Flux RSS

SSII

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

1477 documents trouvés, affichage des résultats 1051 à 1060.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(12/02/2008 15:01:20)

Alex Türk rassure le Munci à propos de l'offshore

Alex Türk, président de la Cnil et sénateur du Nord, n'a pas tardé à envoyer sa réponse au Munci (association professionnelle française regroupant les membres des professions IT), à la suite du billet enflammé publié par le Munci à propos de la position de la Cnil vis à vis de l'offshore. L'association a reproché en effet à Alex Türk des propos tenus au Maroc, qui semblaient encourager implicitement l'offshore. Le Munci a envoyé une lettre au président de la Cnil, en lui demandant des explications. La réponse est arrivée deux jours après. Alex Türk trouve les termes employés par le Munci « excessifs et infondés » pour qualifier le terme d'accompagnement qu'il a utilisé dans son discours. Selon lui, « accompagner l'offshore ne signifie pas en promouvoir le développement sur le plan économique. La Cnil n'a d'ailleurs pas de jugement de valeur à formuler concernant cette pratique, mais elle se doit d'informer les entreprises filiales ou sous-traitants des risques juridiques encourus (contrôles, voire sanctions, y compris pénales) si cette pratique s'opère sans respecter les règles de protection des données personnelles ». Dans un but d'information et de prévention, la Cnil a créé un groupe de travail, présidé par Didier Grasse, commissaire en charge de ces questions et membre de la cour des comptes. Ce groupe devrait auditionner de nombreux professionnels, et proposer des solutions pour inciter les entreprises à une meilleure vigilance dans le respect des règles de protection des données. Alex Türk propose d'ailleurs aux responsables du Munci de les rencontrer, afin qu'ils puissent exposer leur vision de l'offshore. Prise de conscience des pouvoirs publics De son côté, le Munci a salué « cette réponse rapide et tout à fait rassurante ». Avec un bémol toutefois. « Nous avons certaines raisons de penser que les pouvoirs publics (nos trois derniers gouvernements notamment) ont souvent une attitude un peu trop favorable à l'offshore » a en effet répondu Régis Granarolo, président du Munci à Alex Türk, dans une lettre datée d'hier. Le Munci déplore le fait que l'administration française elle-même a de plus en plus souvent recours à l'offshore pour réduire ses coûts, mais se félicite de la prise de conscience des pouvoirs publics à propos du laxisme de certains prestataires offshore en matière de protection des données. Le Munci a par ailleurs accepté l'invitation d'Alex Türk à participer au groupe de travail sur l'offshore. En savoir plus : Correspondance entre Alex Türk et le Munci
(08/02/2008 16:51:49)

Le Syntec adhère au rapport de la commission Attali

Syntec Informatique considère le rapport de la commission Attali pour la libération de la croissance française, avec un intérêt certain. La fédération professionnelle des SSII et des éditeurs de logiciels vient en effet de qualifier le document de « feuille de route ambitieuse et positive pour la mise en place d'une " véritable économie de la connaissance" ». Parmi les 316 décisions du rapport, Syntec informatique approuve, en tout premier lieu, la place qui est faite au numérique. La chambre patronale considère ainsi que « bon nombre des mesures présentées favorisent le développement actif du numérique en France, de ses applications et usages ainsi que celui des entreprises qui constituent ce secteur ». Parmi les décisions en faveur du développement de l'économie numérique, elle retient notamment celles qui visent à généraliser l'e-administration, à réduire la fracture numérique (grâce au projet du haut débit puis du très haut débit pour tous), et celles qui prônent l'éducation par les TIC et la formation à ces technologies. Développer l'édition de logiciels et transformer le CIR La fédération adhère également aux mesures prises en faveur du développement des PME innovantes, grâce au renforcement du programme « Passerelles » qui facilitera les relations entre grandes entreprises et PME innovantes, et à la maximisation des effets du Crédit Impôt Recherche (CIR). Sur le plan social, elle estime qu'un certain nombre des mesures soumises par la Commission font écho à ses propres propositions, et stimulent le développement des entreprises du secteur : modernisation du dialogue social et des règles de représentativité des syndicats, liberté négociée du temps de travail, mise en place d'une « flexi-sécurité », organisation et sécurisation des parcours professionnels, allègement du coût du travail pour toutes les entreprises. Syntec informatique considère néanmoins qu'il faut aller plus loin pour renforcer l'impact de ces mesures : en réunissant les conditions du développement de l'édition de logiciels (secteur stratégique pour l'économie de la connaissance, mais qui reste peu évoqué dans le rapport), en transformant le Crédit Impôt Recherche en Crédit Impôt Innovation, et en favorisant la diffusion des usages innovants des technologies de l'information dans les PME de tous les secteurs d'activités. (...)

(08/02/2008 09:16:33)

L'industrie française dépensera 12 Md€ dans son informatique en 2008

En 2008, le montant des dépenses informatiques engagées sur l'Hexagone par les entreprises françaises du secteur industriel devrait augmenter de 4,37%, en moyenne, pour atteindre 12 Md€. Cette évaluation, issue d'un baromètre établi par Microsoft et IDC, fait apparaître une hausse plus forte dans l'industrie d'assemblage (dite « discrète »), où la dépense IT augmentera de 4,5%, à 5,99 Md€, par rapport aux investissements prévus dans les entreprises dites « de process ». Ces dernières sont celles qui fabriquent par transformation des matières premières, sur la base de recettes, de mélanges et de flux. On y trouve la chimie, la pharmacie, l'agro-alimentaire, la production de plastique et de caoutchouc, la métallurgie, ou encore la fabrication de verre, de papier et de tissu. Dans ce secteur, la dépense IT pèse presque aussi lourd que dans l'industrie discrète, mais elle n'augmentera que de 3,5% en 2008, à 5,97 Md€. Les PME investissent autant que les + de 1000 salariés Le baromètre Microsoft/IDC s'est penché plus précisément sur le secteur du process qui compte des leaders mondiaux dans tous ses segments (Saint-Gobain, Sanofi-Aventis, Lafarge, Michelin, L'oréal, Danone...) et rassemble 14 919 entreprises françaises de plus de vingt salariés. En moyenne, la dépense IT de ces acteurs pèse 1,3% de leur chiffre d'affaires. Alain Pétrissans, directeur études et conseil d'IDC France, note que cette part varie suivant la taille de l'entreprise et son modèle économique : de 0,7% dans l'agro-alimentaire à 2,1% dans l'industrie du plastique/caoutchouc. Cette dernière est notamment très marquée par la présence du groupe Michelin, alors que l'agro-alimentaire rassemble beaucoup de petites PME. Or, celles-ci « dépensent pour leur informatique presque autant que les entreprises de plus de 1 000 personnes », précise Alain Pétrissans, en rappelant que les problématiques métiers des PMI sont très similaires à celles des grands comptes. Des PMI tout particulièrement ciblées par Microsoft avec les déclinaisons verticales de son offre Dynamics CRM et de ses progiciels de gestion intégrés (PGI) Dynamics AX et Dynamics NAV. En 2008, le baromètre prévoit que les PME de 100 à 1 000 salariés débourseront 2,2 Md€ dans leur IT, soit presque autant que les structures de plus de 1 000 salariés (2,5 Md€). Quant aux moins de 100 salariés, elles devraient dépenser 1,2 Md€. Décisionnel, planification et MES s'étendent De façon générale, 90% du budget IT des industries est englouti dans la maintenance du système informatique, explique Alain Pétrissans. Seuls 10% sont consacrés aux projets d'innovation. En 2008, les industriels du process investiront d'abord dans leur système financier, à hauteur de 585 M€ (en incluant les dépenses de matériel et de services associés, le logiciel ne pesant que 15% du coût total). Il s'agit là, essentiellement, d'un marché de renouvellement. A l'inverse, les dépenses prévues sur les applications décisionnelles/BI (161 M€), de planification logistique/SCP (94 M€) et d'amélioration de la production/MES (101 M€) suivent une phase d'acquisition tirée par les exigences de pilotage et la mise en place de métriques. Ces postes d'investissement progressent de 4 à 8% par rapport à l'an dernier, notamment dans le secteur pharmaceutique. On voit aussi augmenter (entre +2 et +4%) les achats qui seront réalisés sur la gestion du cycle de vie des produits (330 M€) et des ressources humaines (190 M€). En revanche, les sommes consacrées à la gestion commerciale (102 M€) et à la gestion de la relation client (158 M€) restent assez stables. (...)

(08/02/2008 09:12:52)

GFI progresse de 5,9% en 2007

Avec 688,5 ME sur l'exercice 2007, GFI enregistre une progression de 5,9%. L'exercice 2006 s'était conclu sur un CA de 633,1 ME. Avec la croissance externe, GFI a progressé de 8,7% La SSII a en effet intégré BTD, une SSII qui avait réalisé 54 ME en 2006 et en prévoyait 65 pour 2007. A l'horizon 2010, Jacques Tordjman, le P-dg prévoit toujours le milliard d'euros de CA. Le groupe se montre bien assuré sur ses positions en France, en particulier avec des contrats pluriannuels importants en TMA (Edf, France Télécom, la Macif, les caisses d'Epargne) et des référencements grands comptes prometteurs avec par exemple Eads, Total ou Casino. A l'étranger, la progression est plus difficile mais GFI est implanté en Espagne, en Italie, Grande-Bretagne, en Allemagne et au Bénélux, au Canada et au Maroc. (...)

(07/02/2008 16:35:55)

Annuels Sodifrance : un CA supérieur aux objectifs

Annuels Sodifrance : Chiffre d'affaires : 57 M€ (+6,6% à périmètre constant) La SSII rennaise Sodifrance a enregistré un chiffre d'affaires de 57 M€ en 2007, supérieur aux prévisions de la société qui tablait il y a quelques mois sur un revenu de 55 M€. Ces résultats sont en hausse de 26,4% par rapport à l'an dernier, notamment grâce aux acquisitions des sociétés API-Group et Onext. A périmètre constant, le chiffre d'affaires a progressé de 6,6%. La première société racheté, une SSII parisienne, vient renforcer le positionnement de Sodifrance dans les secteurs de la banque, des assurances et de la retraite, tout en lui permettant de s'implanter plus solidement en Ile-de-France, et en complétant son expertise dans les nouvelles architectures (J2EE et .Net). Onext, située à Nantes, apporte quant à elle son expertise dans les technologies Web en Open source et les systèmes de gestion de contenu (CMS). Sodifrance a recruté 155 collaborateurs cette année, ce qui porte ses effectifs à 842 personnes. La SSII publiera l'ensemble de ses résultats financiers le 12 mars prochain. (...)

(07/02/2008 12:48:47)

Micropole-Univers s'intéresse au dialogue social via le Web 2.0

La SSII Micropole-Univers a décidé de se pencher sur le rôle des technologies Web 2.0 dans le dialogue social. Ainsi, les outils traditionnels du dialogue social, comme la consultation, la négociation ou la communication entre l'employeur, les instances représentatives du personnel et les employés, ne doivent plus se cantonner aux formes traditionnelles des rencontres et correspondances officielles. L'apparition de nouveaux dispositifs, inspirés des fonctionnalités utilisées quotidiennement sur Internet, ouvrant désormais la voie à de nouvelles pratiques de dialogue social électronique : rédaction de documents de négociation via des applications collaboratives, ouverture d'espaces de concertation sur l'Intranet, podcasting des candidatures aux élections professionnelles, etc. Pour Arnaud Kerhervé, consultant senior chez Micropole Univers, les salariés doivent pouvoir intervenir directement dans le dialogue social (et non plus uniquement via leurs représentants) au travers d'espaces numériques, tels que des blogs ou des forums : « Les délégués et les élus pourront enrichir leurs traditionnels tracts et affiches par des contenus multimédias, expose t-il. Et les DRH, abandonner le classique journal d'entreprise afin d'accroître la réactivité de leur communication interne et développer leur marketing social ». D'après le consultant, trois usages démontrent à ce jour le réel potentiel de généralisation du Web 2.0, au service du dialogue social : il s'agit du vote électronique, de la communication sociale via des Intranets, - forums, tribunes libres, chats et blogs - , et la gestion des activités socio-culturelles du Comité d'entreprise, par des portails web innovants. Reste que le déploiement de ces nouvelles pratiques dépend très fortement de la situation et de l'historique de l'entreprise en matière de dialogue social. « Si ce dialogue était tendu, ce n'est pas la mise en place d'outils et d'interfaces qui changera la donne sociale, même au prix d'un très fort engagement conjoint de la DRH et de la direction générale », conclut le consultant. (...)

(06/02/2008 17:48:32)

Rififi en vue entre le Munci et la Cnil autour de l'offshore

Le Munci, association professionnelle française regroupant les membres des professions informatiques et télécoms (IT) dénonce avec virulence les propos tenus par Alex Türk, président de la Cnil (commission nationale de l'informatique et des libertés) et sénateur du Nord, lors de sa visite au Maroc le 24 janvier dernier. Si le Munci approuve la première partie du discours (à savoir le retard qu'accuse le Maroc en termes de protection des données), il fustige le reste. Alex Türk a en effet déclaré au journal marocain L'Economiste : « le patronat nous a expliqué que le pays compte passer le seuil des 100 000 emplois dans le domaine de l'offshore à l'échéance 2012 (contre 20 000 actuellement). C'est une excellente chose. Et la Cnil est là pour accompagner ce développement ». Le Munci s'est montré extrêmement surpris par cette dernière phrase. « Ce n'est pas le rôle d'un sénateur ni d'un représentant de la Cnil d'encourager implicitement l'offshore, que ce soit au Maroc ou dans un autre pays », s'indigne Régis Granarolo, président du Munci. Ces déclarations sont jugées comme « totalement irresponsables » par l'association, et ont suscité de vives réactions dans la communauté informaticienne. Le Munci rappelle également que l'offshore - qu'il s'agisse de délocalisations ou de relocalisations de postes - représente dans la plupart des cas [[page]]une « concurrence humaine sauvage, inacceptable et mal vécue par les informaticiens français, plus particulièrement vis à vis des jeunes diplômés de niveau bac+2 à bac+5 ». Régis Granarolo n'hésite pas à parler de « préjudice moral pour l'ensemble des professionnels IT français ». Le Munci a adressé aujourd'hui une lettre à Alex Türk, afin de lui demander des explications sur les propos qu'il a tenus au Maroc. En cas de réponse insatisfaisante, l'association se dit prête à monter au créneau, en organisant une campagne publique de courriers de mécontentement des informaticiens auprès de la Cnil et du Sénat, voire organiser une manifestation devant le siège de la Cnil et alerter le gouvernement. Ce bras de fer n'est pas sans rappeler l'affaire qui a opposé le Munci à Jean-Pierre Raffarin en 2003. L'ancien premier Ministre avait en effet remis la médaille d'or de la « personnalité indienne ou française dont l'action a contribué à renforcer les liens entre ces deux pays » au président d'Infosys, l'un des plus grands spécialistes indiens de l'offshore. (...)

(06/02/2008 09:29:36)

SQLI recrute 650 collaborateurs et ouvre un site RH pour ses futurs candidats

Si 2007 a été une année faste pour l'emploi des informaticiens, 2008 semble s'annoncer dans la même veine. En témoignent les vastes campagnes de recrutement annoncées par les SSII depuis le début de l'année. Emboîtant le pas à Atos Origin ( 2000 recrutements prévus en 2008), GFI Informatique (1 100 embauches d'ici à la fin de l'année) ou encore Teamlog (900 postes à pourvoir cette année), c'est au tour de SQLI d'annoncer le lancement d'un vaste programme de recrutement en France et à l'étranger. La SSII, spécialisée dans le conseil et les services e-business, compte en effet sur 650 nouveaux collaborateurs spécialistes des technologies Internet ( Java/J2EE, .net, PHP) et SAP (R/3 et NetWeaver) : il s'agit de consultants, d'architectes et d'experts techniques, de directeurs, de chefs de projet (technique et TMA/TRA), et de consultants formateurs en nouvelles technologies. La SSII recherche également des consultants PGI, spécialistes de SAP. Parmi ces futurs collaborateurs, 45% environ travailleront en région parisienne. Les autres seront rattachés à l'une des 20 agences du groupe situées en Suisse, au Maroc, au Benelux, aux Pays-Bas, en Espagne, au Canada et à Singapour. Dans sa quête de nouveaux talents, SQLI a décide de jouer la carte du Web 2.0 en parallèle, en ouvrant un site Web entièrement dédié RH. Ainsi, www.sqli-carrieres.com emmène les candidats potentiels à la découverte des différents métiers des services informatiques. On y trouve la liste détaillée des postes à pourvoir chez SQLI, de même que les prochaines dates des salons de l'emploi informatique. Il y est notamment possible de poster des candidatures spontanées et même de faire connaissance avec son futur manager et les membres de son équipe par le biais de vidéos. (...)

(05/02/2008 12:02:27)

Altran redresse légèrement la barre en réduisant sa dette

Le cabinet de conseil Altran a enregistré un chiffre d'affaires de 1,591 Md€ en 2007, en hausse de 6,4% par rapport à l'année précédente. La société française (spécialisée dans le conseil en innovations technologiques, en R&D, en systèmes d'informations, en stratégie et management) est surtout parvenue à réduire sa dette de plus de 70 M€, pour s'établir à 365 M€ (contre 437 M€ au 30 juin 2007). Cette baisse est le résultat des efforts accomplis par le groupe pour réduire ses délais de facturation, des retards engendrés par la réorganisation du groupe (rachats de sociétés, départs de dirigeants...). L'outil de gestion a été revu et consolidé, ce qui a apporté à Altran beaucoup plus de visibilité et une facilité de gestion des encours (ou NJC, nombre de jours de crédit clients). Eric Albrand, directeur financier et membre du directoire, se montre confiant : « Altran se concentre sur la poursuite de son désendettement, avec un objectif de facturation à 90 jours de délai client, sur la réduction des coûts indirects ainsi que sur la finalisation du refinancement du groupe ». La société table sur une marge d'exploitation supérieure à 7% au cours du second semestre 2007. Altran emploie actuellement 17 500 collaborateurs dans le monde (8000 en France). Elle a recruté 2200 personnes en France en 2007, et compte renforcer ses équipes avec 2000 ingénieurs de plus en 2008. Le groupe publiera l'ensemble de ses résultats financiers le 28 mars prochain. (...)

(04/02/2008 16:57:07)

Epanouissement et salaire, moteurs de la motivation des informaticiens

Pour avoir une idée de ce que pensent les informaticiens du marché de l'emploi, le site lesjeudis.com a demandé au cabinet d'études Harris Interactive de réaliser une enquête d'opinion sous forme d'un sondage. Chaque trimestre, Lesjeudis.com exploite ces résultats dans un baromètre de l'emploi. Les premières analyses du sondage révèlent que l'épanouissement dans le travail est la première motivation des informaticiens interrogés (pour 58% des réponses). Vient ensuite l'aspect de la rémunération : surtout citée par les employés des SSII, de 36 à 40 ans, la question du salaire est la première raison qui pourrait les amener à changer d'emploi (pour 53% d'entre eux). Il sont également 37% à évoquer en premier lieu le souhait de gagner un meilleur salaire dans les cinq années à venir, et 34% à considérer leur niveau de rémunération comme principale motivation. La moitié des informaticiens interrogés gagnent entre 30 et 50k€ par an, tandis que seuls 15 % d'entre eux perçoivent plus de 50 k€. Des offres d'emploi jugées insuffisantes à 80% Les résultats de l'enquête indiquent par ailleurs que les opportunités du marché de l'emploi sont jugées insuffisantes par la majorité des répondants (80%). Ils montrent également que l'opinion sur le nombre et la qualité des offres d'emploi diffère selon les profils. Ainsi, chez les sondés de moins de 26 ans, 63% pensent que les offres sont nombreuses et intéressantes. Pour 52% des répondants âgés de 31 à 35 ans, les offres sont nombreuses, mais peu intéressantes. Les 41 ans et plus, eux, sont d'un tout autre avis : 35% d'entre eux considèrent que les offres sont peu nombreuses mais intéressantes, et une proportion équivalente estime qu'elles ne sont ni nombreuses, ni même intéressantes ! Le degré de satisfaction est réparti de manière plus homogène entre les différents secteurs d'activité : 38% des répondants travaillant en SSII pensent que les offres sont suffisantes mais inintéressantes. 47% des informaticiens travaillant dans d'autres entreprises partagent cet avis. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >