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SSII

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(23/07/2008 09:42:03)
Ares placé en redressement judiciaire
Le PDG d'Ares, Michel Berjamin, a été obligé légalement de déposer une déclaration de cessation de paiement, vendredi dernier, devant le Tribunal de commerce d'Evry. Ce dernier a décidé de placer la société en redressement judiciaire et de la mettre en observation pour une durée de six mois. La direction reste en place mais sous contrôle. Deux administrateurs judiciaires, Maîtres Avezou et Valliot sont désignés, un mandataire judiciaire représente les créanciers. Un plan de continuation est engagé pour la partie services (1 300 salariés et 100 millions d'euros de CA), la seule qui reste. Rappelons qu'Ares a d'abord cédé son activité distribution, il y a deux ans, avant de vendre celle d'éditeur (Arcole) le 31 mars dernier, puis sa partie infrastructure. Cette dernière vente a été finalisée vendredi dernier, avec SCC pour l'Ile-de-France, avec Cheops pour les autres régions. Plusieurs directions successives remises en cause La direction elle même est régulièrement remise en cause. En mai 2006, le président fondateur, Maurice Bourlier se désengageait partiellement avec la nomination d'un directeur général : Jean-Jacques Salomon. Deux mois plus tard, cette solution était abandonnée. Mais en décembre de la même année, Maurice Bourlier cédait le contrôle de la société à Michel Berjamin et à une nouvelle équipe d'actionnaires et de dirigeants. C'est cette direction qui est à son tour acculée, le périmètre de la société étant réduit. (...)
(22/07/2008 12:36:13)Michelin se recentre sur quatre fournisseurs
Le groupe Michelin a choisi les quatre fournisseurs à qui il confiera la maintenance et le développement de ses applications informatiques. Il s'agit d'IBM, associé à Sopra, de Logica, de Wipro et du consortium Accenture/Atos Origin. Les heureux gagnants de l'appel d'offres étaient déjà tous fournisseurs de Michelin. Ils participent à l'effort d'optimisation du numéro un mondial des pneumatiques qui réduit de "quelques dizaines" à quatre le nombre de ses fournisseurs. Aucun transfert de personnel n'est prévu. Les contrats ont été signés pour trois ans. Un contrat qui s'appuie sur une forme de co-gérance Michelin, réputé pour sa discrétion, semble avoir particulièrement insisté sur une économie du contrat fondée sur ce que l'on pourrait qualifier de "co-gérance". Non seulement la DSI reste très impliquée dans les projets, mais tous les contractants sont appelés à travailler ensemble. Le but : éviter un écueil classique dans les contrats avec plusieurs sous-traitants, quand chacun se défausse en incriminant l'autre. La répartition des missions se fait comme suit : - Le consortium Accenture / Atos Origin aura en charge le décisionnel, la R&D et le manufacturing. - IBM et Sopra s'occuperont des finances et des achats opérationnels. Ils sont aussi les partenaires pour la zone Amérique du Sud. - Logica s'est vu confier les domaines finance et achat, le reporting groupe, le supply chain management, le marketing et les ventes (CRM) ainsi que la gestion commerciale. - Wipro fournira les services d'intégration entre applications informatiques pour l'ensemble du groupe, ceux du domaine "Groupes Services", ainsi que la prise en charge des zones Asie Pacifique et Chine. (...)
(18/07/2008 15:59:19)IBM fait mieux que prévu au deuxième trimestre
Les résultats d'IBM pour son deuxième trimestre ont surpris les boursiers de façon positive. La société affiche un CA en hausse de 13% à 26,8 Md$, assorti d'un résultat net en hausse de 22%. IBM profite pleinement de la faiblesse du dollar. A taux de change constant, la hausse du CA n'est plus que de 6%. IBM, qui se réjouit d'une croissance bien équilibrée sur l'ensemble du globe, a relevé ses prévisions de profit pour l'ensemble de l'exercice. Le CA aux Amériques s'élève à 10,9 Md$ (+8%), en Europe à 9,8 Md$ (+20%, mais seulement +6% en monnaie locale) et en Asie-Pacifique à 5,3 Md$ (+16%, mais seulement +6% en monnaie locale). Une activité serveurs globalement en baisse L'activité Systems and Technology Group, dont font partie les serveurs, atteint un CA de 5,2 Md$ (+2%, mais -3% à taux constant). Les grands systèmes réalisent un bon trimestre (+32%), mais IBM, qui semble avoir tiré un trait sur les System i (AS/400) annonce une baisse de 47% de leur CA. Celui des System p (Unix) progresse de 29%. Sur le créneau des serveurs X64 enfin, les System x font pâle figure avec une baisse de 5% du CA. La forte hausse des ventes de serveurs x64 haut de gamme (+32%) et des serveurs lames (+14%) ne suffit pas à compenser la perte de terrain sur les autres modèles. Le stockage génère un CA en hausse de 12%. Dans l'ensemble, le Systems and Technology Group atteint une marge brute de 38,6%. Le logiciel en hausse de 17% De son côté, le Software Group affiche un CA de 5,6 Md$ en hausse de 17%. L'activité est tirée par les lignes Websphere (+9%), DB2 (+30%), Tivoli (+9%), Lotus (+21%) et Rational (+37%) qui représentent 55% du CA total de la division. Notons que les autres middlewares qu'IBM vend principalement sur ses mainframes z et ses AS/400 ne représentent que 1,2 Md$ de CA. Dans l'ensemble, le Software Group atteint une marge brute de 84,6%. Des services qui représentent 58% du CA L'activité Global Services, en hausse de 16%, dépasse les 15 Md$ de CA, soit plus de 58% du CA d'IBM. Elle se décompose en deux entités : Global Technology Services -GTS (externalisation, intégration de systèmes, maintenance et "business technology optimization") et Global Business Services - GBS (prestations intellectuelles, conseil). GTS atteint un CA de 10,1 Md$ (+15%) et GBS 5,1 Md$ (+18%). La marge brute de GTS atteint 31,6% et celle de GBS 25,8%. (...)
(10/07/2008 14:34:13)Sfeir renforce son capital de 5,7 millions d'euros
La SSII Sfeir vient de réaliser deux augmentations de capital, d'un montant total de 5,7 M€. « Cette somme a été récoltée auprès des actionnaires entrés il y a un an dans le capital de la société, notamment GITT et Borotra », explique Pierre Dalmaz, PDG de Sfeir depuis mai 2007. La SSII, spécialisée dans le développement de projets informatiques en Java, .Net, méthodologies Agile, GWT, Flex et Silverlight, compte surtout des clients dans la banque et la finance (près de 60% de son chiffre d'affaires) ainsi que les médias, l'environnement et les services. Sfeir utilisera cette augmentation de capital pour étoffer son offre, notamment ses pôles dédiés au CRM (gestion de la relation client) et au décisionnel. La SSII envisage de croître à la fois en interne et en externe, via des acquisitions, des partenariats ou encore des joint ventures. Présente en France (le siège social est situé à Suresnes, dans les Hauts-de-Seine) et au Luxembourg, Sfeir prévoit d'ouvrir une agence en Belgique. A travers ces initiatives, la SSII a pour ambition de faire passer son chiffre d'affaires de 21 M€ en 2008 (exercice clos le 31 mai dernier) à 100 M€ en 2012. Créé en 1985, Sfeir emploie actuellement 350 collaborateurs (dont 250 en France). Elle a embauché 60 consultants en 2007, et espère en recruter entre 100 et 130 de plus cette année. A cet effet, la SSII a d'ailleurs refondu son site Internet, afin de le rendre plus attractif et plus ergonomique pour les candidats. (...)
(09/07/2008 16:42:19)Les SSII indiennes s'attendent à un ralentissement de la croissance à l'automne
L'association indienne des entreprises du logiciel et des services informatiques (Nasscom) prévoit un ralentissement de la croissance de l'économie informatique en Inde à l'automne prochain. Elle sera, certes, toujours positive, mais un peu moins élevée : de l'ordre de 21 à 24% (soit 52 Md$), contre 28% au premier trimestre clos le 31 mars dernier. Certaines SSII indiennes, fortement positionnées sur l'offshore, ont d'ailleurs déjà ressenti les effets de la crise américaine. En avril dernier, l'Indien Infosys a par exemple publié des résultats annuels légèrement en dessous des attentes : le bénéfice net a ainsi progressé de façon toujours aussi importante, à 36% (1,2 Md$), mais très loin des 53% affichés un an plus tôt. La SSII devrait d'ailleurs présenter ses résultats trimestriels en fin de semaine, ce qui devrait fournir un indice plus précis sur les retombées économiques et stratégiques de la crise américaine sur le marché de l'externalisation. Les Etats-Unis représentent en effet la source de revenus la plus importante de l'offshore indien (60%). Pour le reste de l'année, les inquiétudes subsistent pour trois raisons principales, à commencer par les incertitudes concernant l'impact de la crise américaine. Par ailleurs la flambée du prix du pétrole ne fait qu'aggraver la situation, et pourrait se répercuter sur l'offshore, les entreprises répugnant à investir dans des pays où il deviendrait coûteux de se déplacer en cas de besoin. Pour enfoncer le clou, la dépréciation du dollar sur la roupie a freiné les exportations. (...)
(09/07/2008 13:06:04)Arès cède des activités à CIS Aquitaine Valley dans le Sud-Ouest
La réduction de voilure d'Arès se poursuit à marche forcée. La SSDI vient d'annoncer qu'elle est entrée en négociation exclusive avec la SSII CIS Aquitaine Valley en vue d'opérer des cessions dans le Sud-Ouest de la France. Plus précisément, elle prévoit de vendre à son homologue ses activités liées aux infrastructures et aux services menées par l'agence de Merignac, en région Aquitaine. Les négociations vont également porter sur les activités du pôle SIS (ventes d'infrastructures) d'Arès en région Midi-Pyrénées. D'après Arès, l'ensemble a représenté un chiffre d'affaires de 20 M€ durant l'exercice 2007-2008 et emploie un effectif de 40 personnes. En avril dernier, Arès a déjà vendu ses progiciels Arcole pour 6 M€ à l'éditeur De Gamma. Un peu plus de deux mois après, la SSDI s'est délestée de son activité infrastructures, qui a représenté 70% de son chiffre d'affaires sur l'exercice 2007-2008. (...)
(08/07/2008 16:42:40)Progonline accueille son premier actionnaire, la SSII Polarys
Polarys, une SSII spécialisée dans le décisionnel et le BPM, vient d'investir 200 000 euros dans Progonline, plateforme de mise en relation à distance entre prestataires freelance (ou SSII) et clients (en général des TPE et des PME qui ne disposent pas des ressources nécessaires en interne, mais ne souhaitent pas embaucher). Polarys, qui détient à présent un tiers du capital de Progonline, fait partie des prestataires historiques de la société. Les services proposés par Progonline couvrent divers domaines : technologies du Web, création et édition de contenu, design, programmation et développement, conseil en business... « Depuis sa création (en février 2005), les prestations informatiques n'ont cessé de croître, pour représenter 70% des mises en relation que nous réalisons actuellement », explique Valérie Apaloo, responsable marketing et communication chez Progonline. 11 000 prestataires présents sur le site Le fonctionnement de Progonline est simple. Des donneurs d'ordre soumettent leurs annonces au site (demande de création d'un site Internet, conseil en référencement, développement de logiciels...). Ces dernières sont examinées par les chefs de projet de Progonline, qui se chargent de les valider et de les mettre en ligne. Les quelque 11 000 prestataires que compte le site peuvent ensuite y répondre en proposant un devis. « Le tarif des projets peut aller d'une centaine à plusieurs dizaines de milliers d'euros, et la durée des contrats est également variable », précise encore Valérie Apaloo. Chaque jour, une dizaine de projets sont publiés en moyenne sur le site, et 45% finissent par aboutir. Progonline se rémunère en prélevant une commission de 15% sur la facture. En cas de litige, c'est la société qui se charge de vérifier la concordance entre le cahier des charges et les travaux réalisés, « ce qui demande des compétences à la fois juridique et techniques », souligne Gabriel Cian, fondateur et président de Progonline. Les références des prestataires inscrits sur le site sont vérifiées par Progonline. Ils doivent obligatoirement être inscrits auprès du Registre du Commerce et posséder un numéro Siren. Progonline a réalisé un chiffre d'affaires de 150 000 euros en 2007, et espère atteindre le million d'euros cette année, afin de convaincre d'autres fonds d'investir dans la société. (...)
(08/07/2008 12:02:54)Deloitte requinque son pôle conseil avec Infineo
Spécialisée dans le conseil en stratégie et en organisation, le cabinet Infineo et sa centaine de consultants rejoignent le groupe Deloitte Touche Tohmatsu, qui réunit désormais 6000 salariés en France, dont plus de 700 consultants. Auparavant, Infineo était détenu à hauteur de 19% par la SSII Business & Decision. « Il ne s'agit pas d'un désengagement, explique Pauline Cieutat, responsable de la communication de Business & Decision. Le conseil en stratégie était pour nous une activité additionnelle, et les dirigeants d'Infineo souhaitaient se rapprocher d'un leader de ce secteur afin de prendre une envergure internationale. Cela ne signifie pas que nous cessons de collaborer. Au contraire, nous allons continuer à sous-traiter les services de conseil en stratégie à Infineo et, davantage qu'auparavant, à Deloitte. » Association de droit suisse, Deloitte Touche Tohmatsu est en effet un géant du conseil, présent dans 140 pays avec un effectif de 165 000 personnes. Deloitte s'était séparé de son pôle conseil en 2003 Deloitte détient désormais 100% du capital d'Infineo. Cette opération, dont le montant n'a pas été communiqué, permet au cabinet de renforcer son pôle Consulting & Risk Services, une activité que Deloitte avait mise entre parenthèses en 2003, en raison de l'adoption de la Loi sur la Sécurité Financière (LSF) par le parlement français. « Les critères imposés par cette loi était trop stricts, et nous obligeaient à refuser des missions, explique Frédéric Moulin, associé responsable de l'unité Consulting & Risk Services chez Deloitte. Nous avons donc cédé cette branche conseil, qui est devenue INEUMconsulting ». L'acquisition d'Infineo permet à Deloitte de reprendre pied d'un coup sur le secteur du conseil, avec des compétences comme la gestion de la relation client ou de la 'supply chain management'. Yves Jarlaud, PDG d'Infineo devient numéro deux du pôle conseil de Deloitte. De son côté, la SSII Business & Decision compte un effectif mondial de 2 800 personnes, ce qui représente 300 salariés de plus qu'au début de l'année. L'entreprise avait connu une année particulièrement forte en 2007, marquée par le rachat de l'américain Inforte et une progression de 43% de son chiffre d'affaires. En 2008, la SSII prévoit une nouvelle croissance d'environ 24%, qui lui permettra de passer la barre des 250 millions d'euros. Si elle s'est désengagée du capital d'Infineo, Business & Decision a déjà réalisé deux opérations de croissance externe depuis le début de l'année : ICS en Grande-Bretagne et BnV au Benelux, soit 130 salariés supplémentaires. (...)
(08/07/2008 09:25:06)Le Gartner identifie sept risques dans le 'cloud computing'
Pour le Gartner Group, l'ampleur de l'impact du 'cloud computing' sur les DSI aura une magnitude similaire à celle qu'a le commerce électronique. Cette prédiction n'empêche pas le cabinet d'analystes d'alerter sur les risques inhérents à l'utilisation de ressources et de services informatiques mis à disposition par des tiers, via Internet. Il énumère sept points clés à clarifier avant de signer avec un fournisseur. 1) La qualité des superviseurs Sous-traiter ses données les plus sensibles ne peut s'envisager que si l'on a la certitude que les informaticiens du sous-traitant sont dignes de confiance et que leurs faits et gestes sont contrôlés. Le Gartner recommande un droit de regard et de contrôle sur les personnels du fournisseur. De là à dire qu'un contrat de 'cloud computing' doit être signé "intuitu personae", en fonction des personnes qui pourraient avoir accès aux ressources et aux services fournis... 2) Conformités légales Au final, c'est le propriétaire des données qui est tenu responsable en cas d'infraction à la législation. Les fournisseurs de 'cloud computing' doivent se plier à toutes les demandes d'audit externes et disposer de toutes les certifications de sécurité nécessaires pour que leurs clients aient la certitude d'être couverts. 3) Localisation des données L'utilisation de sites de stockage multiples fait partie des points forts du 'cloud computing', mais aussi de ses points faibles. En effet, la dématérialisation touche à ses limites lorsqu'on s'intéresse au lieu où se trouve implanté un site de stockage. Les données qu'il contient relèvent alors du régime juridique local. Autant savoir sous lequel peuvent se trouver ses données. [[page]] 4) Isolement des données Par définition, le 'cloud computing' rime avec partage des ressources. Cela engendre une menace sur la confidentialité des données. Il faut s'assurer de leur cryptage correct et qu'il est possible de les isoler. Ce point est crucial. Un cryptage qui ne respecte pas les règles de l'art peut déboucher sur une perte irréversible. 5) Récupération Ignorer où se trouvent ses données ne veut pas dire que l'on ne puisse pas avoir l'assurance des moyens mis en place pour leur sauvegarde en cas de problème majeur. La réplication sur plusieurs sites distants est un impératif. Une restauration complète dans des délais contractuels l'est aussi. 6) Collaboration avec la justice Une architecture en 'cloud computing' ne doit pas empêcher de répondre aux injonctions de la justice, que ce soit pour des raisons fiscales ou d'autres d'ordre juridique. La traçabilité de l'accès aux données, en particulier, peut être une gageure pour le fournisseur. Un accord contractuel voire, dans l'idéal, la démonstration qu'il a été répondu facilement aux demandes lors d'une précédente enquête, s'imposent. 7) Viabilité à long terme Le fournisseur idéal de 'cloud computing' ne défaille jamais et gagne suffisamment bien sa vie pour, d'une part, ne pas déposer le bilan et, d'autre part, ne pas devenir une cible et être absorbé. Quoi qu'il en soit, les données de ses clients doivent traverser ces éventuels aléas sans en être affectées et, surtout, pouvoir être restituées. La description précise de cette restitution (conditions, délais, formats) doit figurer dans le contrat originel. Après, il sera trop tard. (...)
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