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(23/03/2010 10:02:38)

Un ThinkThank numérique régional en Alsace

On ne les arrête plus, les entrepreneurs alsaciens multiplient les initiatives pour doper l'usage des Tic dans leur région. Cette fois, ils créent un ThinkThank (réservoir d'idées), nommé TEN :ThinkThank Economie Numérique. Sept thèmes sont arrêtés : télétravail, e-learning, e-santé, e-ubiquité, énergie, information intelligente, objets intelligents. Chaque thème est porté par un groupe de travail lui-même animé par un « champion ».

Jean-Christophe Uhl, secrétaire général d'UBI, est le « champion » du groupe télétravail. « La loi existe, les technologies aussi, le problème vient des pratiques et sans doute d'un blocage dans les entreprises » note le « champion » de ce groupe. L'idée est de sortir le télétravail du domicile, de le faire pratiquer dans des télécentres. Pour cela, l'Alsace peut compter sur un réseau dense de fibre optique. Il lui manque des centres de télétravail dans ses grandes villes, des centres de proximité, peut être un système d'échanges de bureau entre entreprises. Les idées abondent.

Des relais au niveau national

Ce groupe se met également en contact avec Actipole 21, qui, au plan national s'active pour la création de sites collaboratifs en télétravail, de même que « La Cantine » pour le moment parisienne qui pourrait essaimer en région Alsace. Très introduit dans les institutions régionales (au sens large), TEN veut s'inscrire dans la démarche du grand emprunt. Le but ? Répondre à ce Grand emprunt, avec des documents élaborés avant l'été pour amener des idées lors de son attribution en septembre.  TEN n'est d'ailleurs qu'au début de cette démarche et recherche des contributeurs pour ses groupes de travail.


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(22/03/2010 14:57:04)

Salon DEMO Spring 2010 : L'innovation à l'heure du cloud

«Le cloud est un sujet énorme - chaque élément de cette plate-forme est aujourd'hui creusée et explorée » introduit Matt Marshall, le responsable l'événement. Alors que les solutions en démonstration sont généralement axées sur les utilisateurs, il existe également de nombreux produits destinés aux systèmes d'information de l'entreprise. La start-up FathomDB dévoile, par exemple, une base de données relationnelle qui s'exécute dans un cloud avec une tarification basée sur la capacité utilisée. «Le niveau de prix devrait être vraiment très bas » assure Matt Marshall.

Une autre société dénommée Gwabbit, qui avait déjà participé à la précédente édition de DEMO avec une solution de gestion de contacts pour Microsoft Outlook, est de retour est de retour avec un service hébergé sur un cloud qui synchronise automatiquement les contacts à travers de multiples systèmes. "Non seulement il récupère tous vos contacts, mais il les répartit sur les différentes plates-formes que vous utilisez », LinkedIn ou Facebook explique le responsable du salon. "À chaque connexion, le service dialogue avec les plates-formes pour synchroniser tous les contacts et opérer les changements nécessaires. "

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Une autre société du nom de Teneros met également l'accent sur les réseaux sociaux, mais avec un angle résolument professionnel. Son logiciel, appelé Social Sentry, permet aux entreprises de surveiller l'activité des employés sur des sites comme Facebook et Twitter. Le service piste les échanges avec les postes de travail externes à l'entreprise pour s'assurer que les employés ne diffusent pas d'informations sensibles. Teneros est probablement la société la plus opérationnelle sur le salon, puisqu'elle a déjà levé près de 100 millions de dollars auprès d'investisseurs selon Matt Marshall. Ce dernier, qui est arrivé cette année aux manettes de DEMO, est naturellement très excité sur les sociétés qu'il présente. «J'étais particulièrement enthousiaste lors de la préparation de cette liste ", dit-il." Il y a vraiment des entreprises étonnantes."

Mais c'est un moment difficile pour les start-ups qui cherchent à lever des capitaux dans le cadre d'un joint venture, souligne Jeff Couronne, président de DEMO et promoteur de la société VenueGen. Cette start-up a créé une plateforme de rencontre virtuelle 3D grâce à un premier investissement de 2 millions de dollars. Elle tente aujourd'hui de réaliser un tour de table pour récupérer 5 millions de dollars qui serviront à poursuivre le développement de l'entreprise. «Il n'est jamais très facile de lancer une entreprise», explique Jeff Couronne. "À la fin de la journée, toute personne qui aura investi dans une société, aura la satisfaction de soutenir une équipe », qui aura présenté son travail sur le salon.

Ces investisseurs recherchent des sociétés qui prospectent un marché prometteur , et qui ont déjà réussi à conquérir des clients, ajoute Jeff Crown. "Les investisseurs en capital-risque veulent voir les clients, les revenus et les produits, et c'est très différent d'hier quand ils étaient disposés à financer des prototypes et des idées de recherche. »

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(18/03/2010 12:29:08)

Une start-up migre les données stockées sur Centera

Interlock Technology, jeune société américaine, offre un service d'évaluation des données hébergées sur Centera (baie d'archivage d'EMC), pour ensuite pouvoir les transférer au sein d'autres réseaux de stockage. Ce service utilise un logiciel exploitant des API standards, qui respectent l'intégrité des données. Elle utilise notamment l'API nommée, XAM (Extensible Access Method) qui facilite l'échange entre les topologies de réseaux de stockage, NAS et SAN. Cette API n'est pas propriétaire et a été développée au sein de l'association des industriels du stockage. Le PDG de la jeune pousse, Gary Liebermann explique « les produits Centera peuvent atteindre certaines limites en cas de catastrophes ou de continuité d'activité, car les sociétés ne peuvent pas s'en offrir plusieurs et vous ne pouvez répliquer les données sur un seul Centera » Interlock Technology a passé des accords avec Netapp pour intégrer sa solution au sein de SnapLock Application et avec IBM pour son service cloud de stockage. Le tarif du service de migration proposé par Interlock est de 5000 dollars par To, mais baisse en fonction du volume de données migrées. (...)

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