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(27/04/2009 18:34:14)

Un ancien dirigeant de Facebook prend la tête de MySpace

Après la démission de Chris DeWolfe, fondateur de MySpace, la maison mère - News Corp - a nommé OwenVan Natta nouveau PDG du réseau social. Parmi ses précédents postes (chez Playlist ou encore Amazon.com), c'est surtout son passage chez Facebook qui a séduit ses nouveaux employeurs. Owen Van Natta a en effet participé à la croissance du réseau social et l'a quitté en janvier 2008, peu de temps avant que Facebook dépasse MySpace en nombre d'utilisateurs, et juste avant que son image soit ternie par différents conflits avec ses utilisateurs. Pour autant, avec 130 millions d'utilisateurs contre 200 millions d'utilisateurs pour Facebook, MySpace n'est pas si mal placé que ça. Myspace a par ailleurs réussi là où Facebook et Twitter peinent encore : la monétisation de son audience. En 2008, MySpace a généré 585 M$ en revenus publicitaires, soit trois fois plus que Facebook. (...)

(23/04/2009 14:48:54)

France Angels a investi 60 millions d'euros en 2008 dont 45% dans les NTIC

France Angels a injecté 60 M€ dans des entreprises innovantes en 2008, soit pratiquement le double de l'année précédente (37 M€). L'association a examiné 6 000 projets, contre 3 500 l'an dernier, avant d'en sélectionner 1 200 pour les présenter à des investisseurs individuels. Au final, 120 d'entre eux ont reçu l'aval de business angels, soit 4% des projets reçus. « Malgré l'impact de la crise financière au second semestre, 2008 reste une année positive pour nous », a commenté Philippe Gluntz, président de l'association depuis le 7 avril 2009. Il occupait auparavant le poste de président Paris Business Angels (PBA) (et également celui de DG d'Alcatel puis de vice-président international de Capgemini). Les projets IT viennent en tête des investissements (45% des projets, contre seulement 30% l'année dernière) devant les services et le transport (15%) et l'industrie/chimie (12%). France Angels note également une augmentation de la fréquence des co-investissements : 30% d'entre eux se font avec un autre réseau de Business Angels et 35% avec un autre type d'investisseur (société de capital-risque par exemple). L'association s'attend à une année 2009 plus difficile mais espère que les investissements resteront dynamiques au premier semestre, notamment grâce à la loi TEPA ou Travail, emploi et pouvoir d'achat. Adoptée en 2007, cette loi permet aux investisseurs de bénéficier d'une réduction d'impôts s'ils soutiennent financièrement des PME innovantes (avant la fin du mois de juin). 75% de leurs investissements sont en effet déductibles du paiement de leur impôt, avec un plafond de 50 K€ par an. Créé en 2001, France Angels regroupe plus d'une soixantaine d'associations et SIBA (sociétés d'investissement de business angels), soit 3 000 membres au total. Il est également membre du réseau européen EBAN (European business angel network). (...)

(21/04/2009 16:57:49)

Symantec s'offre les outils anti-intrusion de Mi5

Si John Thomson a quitté les rênes de Symantec pour une retraite bien méritée, la frénésie de rachats semble continuer sous l'ère du nouveau PDG, Enrique Salem. En préambule de la conférence RSA Security, Symantec vient en effet d'acheter Mi5 Networks, une start-up spécialisée dans la protection des entreprises contre les intrusions et les malwares en provenance du Web. L'offre de Mi5 devrait progressivement intégrer les suites de Symantec dans le courant de l'année, notamment ses passerelles de messagerie et ses outils dédiés aux postes de travail, et sera également vendue en produit autonome. Symantec n'a encore donné aucun montant pour cette nouvelle acquisition, mais elle devrait être bien en deçà des 695 millions de dollars dépensés en octobre dernier pour MessageLabs, dernière société en date avalée par Symantec. Entre temps, la crise est passée par là et la dévaluation boursière des actifs de Symantec a causé un trou de près de 7 milliards de dollars dans les caisses d'une société jusqu'ici plutôt profitable. Outre cet achat, Symantec a annoncé dans la foulée deux suites pour les professionnels : Symantec Protection Suite Small Business Edition et Symantec Protection Suite Entreprise Edition. Commercialisées à des prix non encore définis à partir de l'été, ces suites veulent non seulement assurer la sécurité des postes de travail mais également proposer des services de sauvegarde et de restauration de données, de mise en place des politiques d'entreprise et de la protection des données sensibles (notamment leur envoi vers l'extérieur par mail). (...)

(10/04/2009 13:10:04)

Syntec Informatique présente un plan triennal de soutien aux éditeurs

Sous le nom de Syntec Logiciel 2012 (SL12), le comité Editeurs de Syntec Informatique a formalisé un plan triennal destiné à « stimuler » l'industrie du logiciel en France et en Europe. Ce plan a été présenté le 25 mars dernier aux adhérents du syndicat professionnel dont plus de la moitié des membres sont des éditeurs de logiciels. En janvier dernier, Pascal Rialland (DG de SAP France), co-président du comité Editeurs avec Gérard Claverie (vice-président du conseil de surveillance de Générix), nous en avait tracé les grandes lignes. Ce nouvel engagement prend la suite d'une première prise de position en 2006 en faveur d'un Small Business Act à la française et d'une série d'actions déjà menées (cartographie des éditeurs, partenariat avec Truffle pour un classement des acteurs français et avec le Cigref pour améliorer les relations avec les DSI, programmes de formation...). Les actions du plan Syntec Logiciel 2012 s'articulent autour des axes déjà identifiés : l'innovation, les clients, la croissance et la consolidation. Pour soutenir les efforts d'innovation des éditeurs, Syntec Informatique estime nécessaire de faire évoluer l'assiette du Crédit Impôt Recherche (CIR) pour le transformer en Crédit Impôt Innovation. Celui-ci pourrait alors s'étendre à l'ensemble du coût de développement d'un logiciel, nous expliquait en janvier Pascal Rialland. Le syndicat professionnel souhaite aussi imposer les Soficiel, fonds commun de placement permettant de déduire fiscalement les investissements faits dans les sociétés d'édition de logiciels (à l'instar des Sofica créés pour le cinéma). Toujours sur le sujet de l'innovation, Syntec Informatique rappelle l'action collective engagée auprès de Bruxelles, avec huit autres associations européennes, pour développer l'industrie du logiciel en Europe. Il insiste aussi sur la nécessité de multiplier les interactions avec les acteurs de l'écosystème : en interne, avec les comités Embarqué et Données mobiles et les adhérents de l'Open Source, et en externe, avec les centres de recherches et les pôles de compétitivité. Démontrer aux entreprises la valeur de leur système d'information L'axe « clients » du plan concerne l'accès au marché, en France et à l'international ; un travail mené avec la commission PME de Syntec Informatique et qui doit déboucher sur une meilleure collaboration avec le Pacte PME piloté par le Comité Richelieu. L'axe « croissance » s'applique au développement des compétences, en synergie avec la commission social, emploi & formation, et en collaboration avec la Commission Paritaire nationale pour l'emploi, l'Opiiec, le Fafiec et Pasc@line (66 écoles et entreprises réunies autour de la promotion des métiers de l'informatique). Il est aussi question de démontrer aux entreprises la valeur de leur système d'information. Syntec Informatique s'est rapproché à cet effet de l'Observatoire de l'immatériel. L'axe « Consolidation , enfin, vise à aider les éditeurs membres du syndicat professionnel à renforcer leurs fonds propres. Des contacts sont en cours avec des sociétés de factoring pour que les adhérents accèdent à des contrats cadres pour le recouvrement de leurs factures clients. D'autres contacts avec des sociétés de leasing permettront aux éditeurs d'accompagner la vente de leurs logiciels de solutions de financement. Syntec Informatique signale aussi l'accès possible à des contrats d'assurance spécifiques pour protéger les brevets et les dirigeants des entreprises. (...)

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