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(13/01/2009 17:06:28)

Syntec Informatique prépare son plan d'action pour doper l'industrie du logiciel

C'est le 20 janvier prochain que la commissaire européenne à la Société de l'information Viviane Reding doit recevoir à Bruxelles les différents contributeurs lui ayant transmis des propositions pour développer l'industrie du logiciel en Europe. Parmi eux, le Comité Editeurs de Syntec Informatique, co-présidé par Pascal Rialland (DG de SAP France) et Gérard Claverie (vice-président du conseil de surveillance de Générix), qui a remis le 12 novembre dernier à la commissaire une prise de position commune avec huit autres associations professionnelles IT européennes. Entre-temps, chacune de ces organisations a travaillé localement pour bâtir un plan d'action afin d'avancer concrètement au niveau de chaque pays, dans la droite ligne des propositions faites à Bruxelles. Dans ce cadre, le Comité Editeurs du Syntec Informatique devrait restituer, fin février ou début mars, un premier niveau de plan d'action détaillé répartissant les actions à mener en quatre axes, sous le sigle i3C : Innovation, Client, Croissance et Consolidation. " Le rapport Besson a formalisé qu'il y a création de croissance lorsqu'on investit dans les nouvelles technologies, mais sans mettre suffisamment l'accent sur l'industrie du logiciel ", rappelle Pascal Rialland. D'où l'importance, pour le syndicat professionnel, de renforcer les initiatives propres à doper ce marché sur lequel évoluent une multitude de petits acteurs. Un statut pour les éditeurs et l'extension du crédit innovation En tout premier lieu, dans le domaine de l'innovation, primordial s'il en est, le Comité Editeurs maintient son souhait que soit établi un véritable statut pour les sociétés d'édition de logiciels, dans l'esprit de ce qu'il avait déjà proposé en janvier 2008 dans le rapport réalisé avec le Medef (" Faire de la France un leader de l'économie numérique "). De même, le Syntec Informatique réitère son intérêt pour la création d'un fonds commun de placement (les SOFICIEL) qui permettrait de déduire fiscalement les investissements réalisés dans les sociétés d'édition de logiciels, au même titre que les SOFICA aident à financer l'industrie cinématographique et audiovisuelle. " Cela me paraît simple à mettre en place et pourrait aider bon nombre de création d'entreprises ", juge Pascal Rialland. Il souligne aussi tout l'intérêt d'étendre l'assiette du crédit innovation, au-delà du coût de l'invention, à l'ensemble du coût de développement, ce qui inclut ainsi la réalisation et le test d'un logiciel prêt à la commercialisation (un coût environ dix fois supérieur à celui de la stricte invention). Communiquer sur les travaux de recherche publics " Nous souhaitons aussi que les pouvoirs publics communiquent sur les travaux des centres de recherche publics qui travaillent parfois dans des domaines proches de l'édition de logiciels, poursuit le co-président du Comité Editeurs. Par ailleurs, Syntec Informatique aimerait se rapprocher des pôles de compétitivité pour développer avec eux une approche collaborative et faciliter les synergies avec nos adhérents. " La valeur réside dans ce qui est développé, et non dans le 'business model' [[page]] Toujours dans le domaine de l'innovation, inventaire sera dressé des différents modèles économiques qui existent dans l'industrie du logiciel (Open Source, SaaS, droit d'usage...) en prenant garde à souligner que l'innovation ne réside pas dans le " business model ", mais dans la plateforme développée et dans la " réponse métier " que le logiciel apporte aux clients qui, seuls, déboucheront sur un revenu récurrent et la génération d'un cash-flow positif. Enfin, dans le cadre du financement de l'innovation, le Syntec Informatique va répertorier les aides disponibles pour indiquer à ses adhérents les mieux adaptées à leur situation. Approfondir les relations avec Ubifrance et avec le Cigref Dans le domaine de l'accès aux clients, deuxième rubrique du plan d'action du Comité Editeurs, l'une des premières initiatives consistera à approfondir les relations avec Ubifrance, l'agence française pour le développement international. Après avoir développé son activité sur le territoire national, un éditeur cherche à l'étendre dans les pays de l'Union européenne et dans les pays francophones. Or il s'agit d'une aventure rien moins qu'évidente (voir par exemple la tribune de Julien Victor, d'Effisoft, dans notre blog Experts) dans laquelle Syntec Informatique peut accompagner fort utilement les PME innovantes qu'il compte parmi ses adhérents. " Nous allons également travailler avec le Cigref avec lequel nous avions déjà une charte ", ajoute Pascal Rialland. Le Cigref, club informatique des grandes entreprises françaises, est présidé par Bruno Menard, vice-président IT groupe de Sanofi-Aventis depuis novembre dernier. Des outils pour aider à attribuer une valeur au système d'information [[page]] Le troisième point du plan d'action concerne la croissance. Il est ici question de valoriser le système d'information des clients et de montrer comment celui-ci peut apporter de la croissance aux entreprises. " Dans ce domaine, nous comptons nous rapprocher de l'Observatoire de l'immatériel ", précise Pascal Rialland. Le co-président du Comité Editeurs reconnaît ici une frustration. " Les entreprises apportent une valeur tangible à leur marque, mais elles ne sont pas capables d'attribuer une valeur à leur système d'information ", regrette-t-il. Une méthodologie et des indicateurs vont donc être mis au point pour aider les clients à valoriser leur SI, notamment face à leur banquier ou à des acquéreurs. Favoriser l'apprentissage et la formation en informatique " Nous entendons aussi mettre l'accent sur l'importance du capital humain en renforçant nos relations avec l'association Pascaline ", complète Pascal Rialland. Créée à l'initiative du syndicat professionnel, Pascaline regroupe 61 écoles et entreprises autour de la promotion des métiers de l'informatique. " Nous utiliserons l'interface unique du Syntec Informatique pour favoriser l'apprentissage et la formation en alternance qui permettent de former et de pré-recruter. " Protéger la propriété intellectuelle Enfin, le quatrième point du plan d'action concerne la consolidation. Ce thème recouvre principalement la protection de la propriété intellectuelle, capitale pour les éditeurs de logiciels. " En trois ans, j'ai constaté une évolution ennuyeuse, alerte Pascal Rialland. Il faut être vigilant sur ce terrain et communiquer. Attention, notamment, aux dépassements d'usage sur les logiciels. Je suis inquiet pour les petits éditeurs. Pour vivre dans ce métier, il faut apporter de la valeur ajoutée et faire respecter son modèle. " Enfin, une réflexion est également menée sur les moyens à mettre en oeuvre pour apporter un peu d'air aux éditeurs au niveau de leur trésorerie et de leurs capacités de financement. (...)

(08/01/2009 14:36:09)

Programme PM'up : 200 PME soutenues par l'Ile-de-France

Mis en place par la région Ile-de-France, le programme PM'up va permettre à 200 entreprises ayant un projet de développement de recevoir un soutien financier et un accompagnement individualisé pendant trois ans. Ce bouquet d'aides vise les PME les « plus prometteuses », évoluant dans des filières ou territoires identifiés comme prioritaires et qu'il convient d'assister, a fortiori dans une conjoncture difficile. Parmi les filières retenues figurent, en particulier, les industries de la création, les éco-activités, les systèmes complexes, les sciences de la vie, les loisirs, la mobilité, la mécanique ou encore les services financiers. La région entend favoriser « la création d'emplois stables sur le territoire francilien » en soutenant la capacité d'innovation et d'anticipation de ces entreprises au moment où elles atteignent une taille critique. Plusieurs dizaines de ces PME évoluent dans les TIC Mené du 5 mai au 1er juillet 2008, l'appel à projets PM'up a conduit l'Ile-de-France à retenir pour l'instant 187 dossiers, sur les 338 déposés en ligne. Parmi les lauréats figurent plusieurs dizaines d'acteurs du secteur des TIC (technologies de l'information et de la communication). Certains d'entre eux sont déjà connus sur le marché depuis quelques années. Dans cette liste, non close, on trouve notamment des éditeurs tels que Fimasys (fournisseur de progiciel financier), Legal Suite (suite juridique), Neolane (planification et exécution des actions marketing), Spring Technologies (solutions de gestion du cycle de vie des produits -PLM), Intercim/Pertinence (optimisation des procédés de fabrication complexes), ou encore Temis (logiciels de Text mining). Un certain nombre de représentants du monde Open Source y figurent également, parmi lesquels Wallix et Nuxeo, respectivement éditeurs de solutions de sécurité et de gestion de contenu, ou encore la société de services en logiciels libres Linagora. Des projets de développement à l'international Wallix, qui développe le logiciel AdminBastion, va par exemple bénéficier, pendant trois ans, d'un accompagnement par des conseillers-experts, ainsi que d'un financement (environ 150 000 euros) pour des aides au conseil, au développement à l'international et au recrutement. La société va notamment utiliser les fonds pour renforcer sa stratégie de vente indirecte. Pour Linagora, l'apport financier a également été sollicité en vue d'une expansion internationale, en Europe et aux Etats-Unis. Les éditeurs Fimasys, Nuxeo et Neolane visent aussi la conquête de nouveaux marchés à l'exportation. Sur trois ans, par exemple, Nuxeo prévoit 55 créations de postes, dont 33 en Ile-de-France. Le projet présenté par Spring Technologies, lui, met en avant l'enrichissement de la suite logicielle Atelier numérique. L'éditeur prévoit 76 emplois de plus sur trois ans, dont 60 sur le territoire francilien. Dans une perspective de développement durable [[page]] A noter que le soutien apporté par la région Ile-de-France s'inscrit dans une stratégie de développement durable, avec un objectif de diminution de l'empreinte écologique des entreprises bénéficiaires. L'apport financier, plafonné à 200 000 euros par entreprise, peut ainsi monter à 250 000 euros si la PME s'engage à investir pour réduire son empreinte, ou si elle recrute un collaborateur handicapé ou défavorisé. Si l'on considère l'ensemble des 338 entreprises candidates, qui cumulaient 11 617 salariés au moment où elles ont déposé leur dossier, les effectifs prévisionnels à trois ans s'établissaient à 20 507 salariés, ce qui représente potentiellement près de 8 900 créations d'emploi. Globalement, les entreprises candidates se situaient majoritairement sur Paris (37,8%) et les départements de Seine et Marne (15,8%), des Hauts-de-Seine (12,5%) et de l'Essonne (11,6%). La majorité comptait moins de 50 salariés (84,2%), l'effectif moyen s'établissant à 34 salariés pour un chiffre d'affaires de 4,5 M€. Leurs perspectives de développement sur trois ans prévoient un effectif moyen de 60 salariés et un chiffre d'affaires moyen de 9,9 €. (...)

(06/01/2009 12:46:00)

L'encodage de vidéos à la volée séduit les investisseurs : Ripcode lève 12,5 M$

Après avoir amassé 19,5 M$ sur 2006 et 2007, Ripcode vient de lever 12,5 M$ pour financer son développement à l'international. Cette start-up texane a mis au point une technologie d'encodage des vidéos à la volée, pour simplifier leur diffusion vers les mobiles. Début décembre, Ripcode signait ainsi un contrat avec MySpace. Dans son blog, Brendon Mills, le fondateur de Ripcode, explique qu'ainsi MySpace n'a plus à encoder ses vidéos dans plusieurs formats (flv, mp4, etc.) - ce que Brendon Mills appelle « des méthodes historiques pré-transcodage » - afin de pouvoir toucher le maximum de plateformes. De leur côté, les utilisateurs de la version mobile de MySpace n'ont pas à choisir le format vidéo qui leur convient, ils se contentent de cliquer sur la vidéo qu'ils veulent : la technologie de Ripcode encode automatiquement le contenu dans le format accepté par le mobile. Ripcode partage la conviction des grands acteurs des plateformes d'exécution, comme Microsoft, Adobe ou Sun : tant le contenu multimédia sur le Web que le nombre d'utilisateurs y accédant via des appareils mobiles vont exploser. En revanche, même si Ripcode s'affiche comme un partenaire, ils différent complètement sur la stratégie à adopter. La technologie de Ripcode (On-Demand and Real-Time Stream Transcoding) est à l'opposé de ce que proposent Microsoft, Adobe et Sun qui souhaitent, avec leurs offres respectives Silverlight, Flash et JavaFX que tous les producteurs de contenu et les fabricants de téléphones prennent leur format comme standard. (...)

(17/12/2008 16:37:38)

Bouygues Telecom se fait incubateur de jeunes pousses

Bouygues Telecom veut accompagner les start-up dans leur développement et piocher, au passage, dans les bonnes idées concoctées par ces dernières. Pour cela, l'opérateur vient de lancer Bouygues Telecom Initiatives, un incubateur de jeunes pousses spécialisées dans les services de télécommunication. Sur le site mis en ligne pour présenter ce projet, Bouygues Telecom permet aux start-up de déposer leur dossier de candidature. Cinq à six entreprises seront retenues annuellement pour bénéficier du soutien de l'opérateur. Celui-ci signera un contrat le liant aux lauréats pendant 12 à 24 mois, une période au cours de laquelle les sociétés sélectionnées profiteront des moyens de Bouygues Telecom en matière de logistique, de plateformes de test, d'expertise juridique, financière ou marketing, etc. Les entreprises seront en outre hébergées dans les locaux de Bouygues Telecom. Pour l'heure, deux projets ont déjà été retenus, qui seront présentés dans les prochaines semaines. Bouygues Telecom, qui justifie son initiative par sa « volonté de se différencier par des services innovants et de s'appuyer sur la dynamique de créativité de start-up », prévoit également la constitution d'un fonds d'investissement. L'opérateur pourra ainsi prendre une participation dans le capital des entreprises qu'il épaule, une somme qui oscillera entre 100 000 € et 1 M€. (...)

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