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(15/09/2010 12:09:42)
Gartner : le low cost investit les services IT
Une légère reprise économique se fait sentir, mais les SSII restent encore prudentes. Elles n'ont pas tort, si l'on en croît le Gartner, une seule chose paraît certaine pour elles : le passage durable des services informatiques à un modèle à bas coûts. « Les fluctuations économiques et l'incertitude des entreprises, la mondialisation accélérée des services, et la concurrence exacerbée des services IT sont des facteurs importants qui pourraient obliger les entreprises à aller plus loin vers les bas coûts informatiques », note le cabinet.
Le Gartner définit ce « low cost » par le fait que la livraison de services IT se fait en réduisant au minimum le prix par utilisateur et par mois (le per user / per unit / per month, ou PUPM). Dans le même temps, l'entreprise réduit le nombre d'organisations clientes et d'utilisateurs de ces services. Le prix de l'IT va donc continuer à orienter les décisions.
Un effet d'aubaine et un risque de systématisation
Le contexte favorise cette stratégie. Selon le Gartner, l'accès au crédit est toujours difficile, aux Etats-Unis comme en Europe, si bien que les entreprises réduisent les coûts IT et vont vers plus d'externalisation. Conséquences : la croissance s'accélère dans les pays émergents et le fossé se creuse entre eux et les pays aux économies stagnantes. L'industrialisation des services IT conduit également à réduire les coûts, d'autant qu'elle est combinée avec l'externalisation et des technologies comme la virtualisation et l'automatisation.
Si ces phénomènes « low cost » se répandent dans les années à venir, les coûts pourraient être réduits d'un tiers dans les années à venir, assure le cabinet d'étude. Ce qui pourrait entraîner l'émergence d'acteurs spécialisés sur ce domaine. Dans ce scénario, les services informatiques pourraient connaître une baisse de 10 à 25% du prix de leur PUPM dans les 3 à 5 ans à venir. Les grands acteurs des services informatiques pourraient en souffrir avec un décrochage de croissance d'ici 2013. (...)
Le triple play à 32 euros en 2011 ?
Jusqu'alors, la moitié du forfait de base, à savoir 29,99 euros par mois, était soumise à une TVA de 5,5% au titre de l'offre télévision. L'autre moitié du forfait, qui couvrait l'accès Internet et la téléphonie, était en revanche soumise à une TVA de 19,6%. Le ministre du budget a expliqué au quotidien économique "notre priorité, c'est aussi et surtout de protéger le financement du cinéma, auquel contribuent les FAI et Canal+. Et je pense que le cinéma devrait sortir renforcé des arbitrages définitifs".
Des abonnements à 32 euros ?
Pressée par la Commission européenne de mettre en oeuvre une TVA qui reflète la juste part de l'offre télévision au sein de l'abonnement triple play, la France se dirige vers une normalisation complète en appliquant un taux unique de 19,6%. Cette évolution pourrait, théoriquement, porter l'abonnement de base à environ 32 euros par mois, soit une hausse de 6,7%. (...)
Semestriels : Osiatis retrouve des couleurs
Osiatis retrouve le sourire avec un chiffre d'affaires semestriel de 120 millions d'euros (ME) en croissance de 2,3% et surtout une rentabilité repartie en flèche : +22% pour le résultat opérationnel courant (8 ME), +38,9% pour le résultat net (4,9 ME), +21,6% pour la marge opérationnelle (8 ME). La société est repassée en positif que ce soit à l'international où c'était déjà le cas, et surtout en France.
Le deuxième semestre est abordée avec prudence, les entreprises clientes raisonnent à court terme, les perspectives de croissance sont encore faibles, sans susciter d'inquiétudes. Osiatis est de toute façon repartie de l'avant. Le rachat de l'activité « gestion des infrastructures d'Astek en Ile-de-France » ne restera pas sans suite. D'autres acquisitions sont en vue, essentiellement dans le coeur de cible des infrastructures.
Osiatis va par ailleurs amplifier le développement de son activité « conseil et ingénierie de transformation » avec le développement du cloud. Cette activité représente 4% du CA 2010 et devrait passer entre 8 et 10% en 2012. En revanche, l'activité développement d'applications est en berne sur le 1er semestre, en baisse de 12,2%.
La DGGCRF admoneste plusieurs voyagistes en ligne
A l'occasion du lancement de l' « Opération Interministérielle Vacances », le 1er juillet dernier, Hervé Novelli, secrétaire d'Etat chargé du Tourisme, souhaitait mettre l'accent sur le thème des « Vacances pas chères », proposées par les sites Internet. Pour ce faire, la DGCCRF (Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes) a contrôlé tout au long de l'été 429 sites web, qui ont donné lieu à 79 rappels à la règlementation et 8 procès-verbaux. Parmi eux, 12 compagnies aériennes à bas coût ont été surveillées. L'une d'elles, dont le ministre a souhaité taire le nom, s'est vu opposer un PV pour « pratiques commerciales trompeuses ».
Un contrôle continu
Le secrétaire d'Etat en charge également de la Consommation a mis au jour « de nombreuses anomalies », concernant en particulier les offres à prix attractifs « s'avérant très difficiles à trouver sur le site, voire inexistantes ». Il ajoute que « les contrôles ont aussi mis en évidence des cas de sociétés dont les tarifs annoncés initialement diffèrent des montants réellement exigés à la fin de la commande ». Fort de ces constats, il a déclaré que « la DGCCRF ne relâchera pas ses efforts. Elle ciblera les sites à la Toussaint et à Noël, sur le principe de la tolérance zéro ».
Payer le WiFi à l'hôtel, énerve les Français
Avoir à payer pour accéder au WiFi (78%) ou encore pour une place de parking (30%) et le petit-déjeuner (12%), voilà le top 3 des mécontentements des touristes concernant les suppléments à l'hôtel, selon Hotels.com. D'ailleurs, concernant le WiFi, 68% des Français affirment qu'ils ne paieront jamais pour obtenir un accès Internet à l'hôtel et 33% considèrent que ce service devrait être gratuit.
Toutefois, comparé aux autres voyageurs internationaux, les Français semblent moins râleurs. Ils ne sont que 11% à remettre en question les suppléments pratiqués par les hôteliers au moment de régler la note, alors que 56% des autres touristes n'hésitent pas à marchander.
Cette enquête a été conduite auprès de 1.815 voyageurs à travers le monde entre le 21 juillet et le 11 août 2010.
Crédit Photo: D.R
(...)(25/08/2010 12:14:08)François Baroin confirme le relèvement des taxes sur le triple play
« Le statu-quo sur le triple play n'est pas possible. On a une injonction de Bruxelles qui nous pousse à bouger. On va bouger suffisamment pour être en ligne sur le plan économique avec Bruxelles », a-t-il déclaré sur l'antenne d'Europe 1.
François Baroin confirme ainsi une information publiée la veille par le quotidien Les Echos, et selon lequel l'Etat français planche sur plusieurs options pour relever la fiscalité sur les abonnements triple play. Ces forfaits, qui combinent accès Internet, télévision et téléphonie fixe, sont actuellement taxés par la TVA à 19,6% sur 50% de la facture, tandis qu'un taux réduit à 5,5% est appliqué sur l'autre moitié. La Commission européenne prévoit un taux réduit de TVA sur la télévision payante, mais pas sur l'accès à Internet et la téléphonie fixe. Bruxelles estime donc anormal d'appliquer le taux réduit sur une moitié de la facture alors que l'offre de télévision n'est pas utilisée par tous.
Parmi les options étudiées, la plus envisageable consiste à ramener de 50% à 40% voire 30% la part de la facture soumise au taux réduit de 5,5%. En conséquence, la facture de l'abonné pourrait grimper de quelques euros. Une décision pourrait intervenir rapidement, sans doute pour la loi de Finances 2011, le manque à gagner pour l'Etat dans ce domaine étant évalué à plusieurs centaines de millions d'euros.
Plébiscité par plus de 20 millions de foyers en France, l'abonnement triple play des opérateurs (Orange, Free, SFR, Alice, etc.) coûte généralement près de 30 euros par mois.
Les pratiques du e-commerce sous surveillance
Les autorités ont surtout relevé des manquements quant à l'identification du vendeur, des fausses annonces de réduction de prix et de fausses inscriptions gratuites. Mis en place en 2000 pour « veiller à la sécurité du consommateurs sur Internet », le Centre de surveillance du commerce électronique a effectué 9 728 contrôles en 2009 auprès de 7 353 sites marchands (soit 11% des sites marchands).
Des comportements litigieux
Ce travail a donné lieu à 189 procès-verbaux et 1.124 rappels de règlementation. Les autorités ont en effet eu du mal parfois à relever l'identité d'un vendeur, si celui-ci était un particulier ou un professionnel ou s'il était domicilié en France. Des pratiques commerciales trompeuses ont été aussi observées. Les internautes sont dans ce cas attirés par des offres avantageuses qui ne sont finalement que « très marginales, voire absentes ».
A noter que certains sites se permettent d'ajouter des frais accessoires ou des options non demandées explicitement par le consommateur dans le panier virtuel. Une pratique qui peut même se faire à l'insu de ce dernier.
Crédit Photo: D.R (...)
Le gouvernement dit non à la redevance sur les PC
Répondant à une question de Jean-Claude Flory, député UMP de l'Ardèche, le ministre du Budget a écarté l'idée d'une extension de la redevance aux ordinateurs. "Aucune étude ne permet en effet d'affirmer que les ménages français consomment désormais principalement les programmes de télévision sur ordinateur : on observe plutôt des phénomènes de duplication, l'ordinateur devenant "un second écran". C'est la raison pour laquelle le Gouvernement est défavorable à une extension du champ d'application de la taxe aux micro-ordinateurs", a-t-il expliqué. Toutefois, François Baroin juge nécessaire le "suivi de cette question, au travers notamment de l'examen récurrent des modes de consommation des foyers".
L'idée de taxer les ordinateurs de la redevance audiovisuelle avait refait surface ces derniers jours, suite à la remise d'un rapport au Sénat, dans lequel deux parlementaires préconisent de considérer les ordinateurs individuels comme des postes de télévision, et donc de les soumettre à la redevance audiovisuelle. Les deux rapporteurs estiment que les personnes possédant un ordinateur pour recevoir la télévision, mais ne possédant pas de téléviseur dans leur foyer, doivent être soumises à cette taxe.
En janvier 2009, le Sénat avait adopté, contre l'avis du gouvernement, un amendement qui étend la taxe des téléviseurs aux ordinateurs capables de recevoir les programmes des chaînes TV. Toutefois, cette extension n'a jamais été validée en commission mixte paritaire. (...)
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