Flux RSS

Tarification

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

306 documents trouvés, affichage des résultats 161 à 170.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(28/06/2010 15:41:46)

Les prix de la DRAM amorcent une baisse contrôlée

Cette baisse est importante pour les acquéreurs d'ordinateurs, car le prix élevé des DRAM représentait une part non négligeable d'un PC. Cependant, l'inflexion tarifaire constatée peut-être le signal d'un revirement du marché. La pénurie du début d'année a été compensée par une augmentation forte de la production de puces. Les analystes tablent maintenant sur un glissement baissier progressif pour le reste de l'année.

Gartner prévoit une légère diminution du prix moyen de vente pour le reste de 2010. Cela permettra aux producteurs de DRAM de maîtriser les coûts et de garder ainsi une bonne marge bénéficiaire. Dans son étude Semiconducteur DQ, le cabinet d'étude indique que la DRAM était devenue très onéreuse au début 2010. Elle représentait jusqu'à 15% du coût total d'un micro. Gartner estime donc que cette baisse est une bonne nouvelle pour les fabricants de PC, leur laissant une plus grande marge de manoeuvre dans les négociations avec les fondeurs.

La DRAM est commercialisée comme une marchandise en raison de l'énorme quantité de puces produites chaque année. Environ 20 pour cent des composants sont vendues en direct tandis que les mémoires restantes sont écoulées via des contrats avec les fournisseurs de PC.

[[page]]

Les prix négociés ont diminué pour  la 1 Go DDR3 1066 MHz puces DRAM (double débit de données, de troisième génération) à 2,40 dollars à la fin de la semaine dernière, selon Gartner, alors que le prix en direct de la même puce a diminué de 0,4 pour cent à 2,71 dollars. En avril et en mai, il fallait compter 3 dollars pour le même composant.

InSpectrum, qui effectue des tableaux de bord en ligne des prix des différents types de mémoires, prédit des prix encore plus bas d'ici la fin de l'année, en raison d'un plan d'investissement de Samsung. En effet, ce dernier a annoncé en mai, la création d'une ligne de production cette année pour 9,7 milliards de dollars (le double des investissements initialement prévus). L'augmentation de la production aura certainement un effet sur les prix, mais peut également avoir un impact sur les concurrents de Samsung. On se souvient qu'en 2009, le fabricant de DRAM Qimonda a déposé son bilan, tandis que Powerchip Technology (anciennement Powerchip Semiconductor) et ProMOS Technologies ont demandé l'aide du gouvernement taiwanais. (...)

(02/06/2010 16:17:16)

Offensive sur les offres serveurs dédiés low cost

Les offres de serveurs dédiés étaient en général assez onéreuses pour les particuliers souhaitant s'affranchir du service mutualisé proposé par les hébergeurs. Aujourd'hui, ces mêmes personnes vont découvrir deux offres à 14,99 euros HT par mois.

Online, filiale du groupe Iliad, a passé un partenariat avec Dell pour proposer l'offre Dedibox V3. Elle comprend un serveur XS11-VX8, un processeur Nano U2250 (1x1,6 GHz), 2 Go de Ram DDR2, une capacité de disque dur de 160 Go, ainsi qu'une connectivité de 1 Gbit/s en standard. L'hébergeur indique que ce serveur occupe le même volume qu'un disque dur de 3 oe pouces pour une consommation électrique de 15 W. Les abonnés désirant utiliser le système d'exploitation Windows Server 2008 R2 Web Edition paieront un supplément de 2,99 euros HT/mois.

En réponse à cette offensive tarifaire, OVH a annoncé une baisse des prix de son offre Kimsufi. Cette dernière comprend un processeur Intel Celeron, 2 Go de mémoire vive, 250 Go d'espace disque, une connectivité 100 Mbit/s, un backup gratuit de 100 Go.

A noter que pour les professionnels, les deux sociétés proposent une offre à 99,99 euros HT/mois comprenant des processeurs Intel Nehalem, multi-coeurs et multi-thread et une architecture de stockage RAID.

(...)

(01/06/2010 10:01:45)

Facture mobile : les français moins dépensiers grâce aux SMS

Selon l'observatoire économique de la téléphonie mobile, la dépense moyenne par carte SIM en 2009 était de 37,80 euros par mois, taxes comprises, soit 3% de moins qu'en 2008. Une baisse, selon l'AFOM, qui est liée à un phénomène de substitution, comme l'envoi de SMS plutôt que d'effectuer un appel vocal. Ainsi, la dépense moyenne pour les services voix a diminué de 6,3% l'an dernier (-18% entre 2004 et 2009), alors que sur la partie data (SMS, Internet mobile), le montant a augmenté de 8% pour représenter près d'un quart de la dépense totale des utilisateurs de mobiles.

Le prix moyen de la minute d'appel mobile a légèrement diminué, passant à 18 centimes TTC en 2009, contre 18,2 centimes l'année précédente, et 25,6 centimes en 2001. Un chiffre qui est inférieur à ceux observés en Allemagne (19,6 centimes à parité de pouvoir d'achat) ou en Espagne (21,5 centimes), mais plus élevés qu'en Italie et au Royaume-Uni (16,5 centimes).

Moins bavard, mais plus littéraire

La baisse du prix moyen du SMS/MMS a de son côté été plus importante. Le « texto » coûtait en moyenne 4,2 centimes TTC en 2009, contre 12,4 centimes en 2005. Le SMS est ainsi moins coûteux qu'en Espagne (17,9 centimes) ou qu'au Royaume-Uni (4,6 centimes). En moyenne, les Français ont envoyé l'année dernière 88 SMS/MMS par mois (contre 51 en 2008), avec un pic à 110 SMS/MMS au quatrième trimestre.

[[page]]

Ce chiffre, qui s'explique par le succès rencontré des offres SMS illimités, fait de la France l'un des plus gros consommateurs de SMS en Europe, juste derrière le Royaume-Uni (96).

Le parc français de téléphonie mobile comptait en 2009 pas moins de 61,5 millions de cartes SIM en service (+6% sur un an), soit un taux de pénétration de 96% au sein de la population. Les MVNO (Virgin Mobile, Auchan Mobile, etc.) ont recruté quelque 3,2 millions de clients sur les quatre dernières années, soit 25% de la croissance du parc français.

Autre enseignement, le nombre d'utilisateurs de smartphones en France a doublé en 2009 pour atteindre les 7,3 millions (12% du parc mobile).

Cette étude de l'AFOM s'appuie sur l'analyse par l'IDATE (Institut de l'audiovisuel et des télécommunications en Europe) de plusieurs études issues de l'Arcep, l'Insee et la Commission européenne.

(...)

(30/04/2010 10:38:21)

Des enchères mitigées pour les fréquences 4G

(Source EuroTMT) Malgré la bulle médiatique autour du LTE (Long Term Evolution) entretenue par les équipementiers télécoms, les opérateurs européens, engagés dans les processus d'attributions des fréquences 4G, ont manifestement décidé de rester extrêmement prudents.

Avant l'ouverture des enchères en Allemagne, les analystes savaient déjà que le montant global dépensé par les quatre acteurs en lice, à savoir T-Mobile, Vodafone, O2 et E-Plus, n'atteindrait pas les records détenus par les enchères de la 3G. Mais ils ne se doutaient certainement pas que le résultat, provisoire, serait aussi faible. A l'issue du 93ème tour d'enchères, le montant global proposé par les quatre acteurs ne s'élevait en effet qu'à 1,878 milliard d'euros. Avant l'ouverture des enchères, Moody's indiquait que le gouvernement allemand pourrait encaisser entre 5 et 6 milliards d'euros et certains analystes promettaient encore une enveloppe de quelque 8 milliards. Pour mémoire, en Allemagne, les enchères pour la 3G avaient atteint en août 2000 un montant de 50,5 milliards d'euros. Au total six licences avaient été attribuées (Mannesmann Mobilfunk, Consortium 3G Telefonica/Sonera, Consortium E-Plus, MobilCom, T-Mobile, Viag Interkom).

Le niveau actuel, qui n'est pas définitif, des surenchères ayant encore lieu pour des lots dans la bande de fréquence des 2,6 GHz, implique néanmoins que les estimations des analystes étaient encore trop optimistes. C'est d'ailleurs le constat que l'on peut faire des résultats des enchères intervenues en fin de semaine dernière aux Pays-Bas. La bande des 2,6 GHz a été répartie entre cinq opérateurs pour un montant total de 2,6 millions d'euros, soit un montant misérable. Il y a dix ans, les fréquences de la 3G s'étaient vendues pour 3 milliards d'euros et les analystes espéraient que les enchères pour la 4G atteindraient quelques dizaines de millions d'euros.

 

Crédits photo D.R.
[[page]]

D'autant que contrairement au cas allemand, les trois opérateurs mobiles néerlandais KPN, T-Mobile et Vodafone n'étaient pas les seuls en lice. Deux nouveaux entrants étaient également sur les rangs, une société commune aux deux câblo-opérateurs nationaux Ziggo et UPC, ainsi que Tele2.

Des fréquences à intérêt variable

Ayant découpé en 38 lots de 5 MHz les 190 MHz mis aux enchères, les pouvoirs publics néerlandais avaient aussi imposé aux trois opérateurs mobiles déjà en place une limitation de 55 MHz chacun. Finalement, KPN et Vodafone ont acquis 20 MHz chacun, T-Mobile a obtenu 10 MHz, Ziggo et Tele 2 ont gagné 40 MHz chacun. Et 60 MHz n'ont pas trouvé preneur, obligeant le gouvernement à prévoir une nouvelle procédure d'attribution. Si le gouvernement néerlandais semble avoir donné deux ans aux opérateurs pour déployer leurs réseaux en 2,6 GHz, KPN indiquait mardi 27 avril, lors de la présentation de ses comptes trimestriels, que les contraintes réglementaires sur cette bande étaient assez faibles.

Alors que la situation économique est encore incertaine et que la plupart des opérateurs mobiles sont déjà engagés dans un effort d'investissement en 3G + pour améliorer la capacité de leurs réseaux, l'acquisition, aujourd'hui, de nouvelles fréquences pour la 4G ne paraît donc pas cruciale, surtout en 2,6 GHz. En Allemagne, les prix proposés par les opérateurs mobiles pour les lots dans cette bande demeurent aussi très raisonnables. En effet, la meilleure offre pour un lot de 2x5 Mhz atteint 8,2 millions d'euros. La bataille entre les quatre acteurs s'est en fait concentrée sur la bande des 800 MHz, sachant que les enchères s'y élèvent entre 252,6 millions et 286,7 millions d'euros. Les résultats de ces deux attributions envoient néanmoins comme signal clair aux autres régulateurs européens le fait que la bande des 2,6 GHz n'a qu'un intérêt très limité pour les opérateurs mobiles et les nouveaux entrants. En revanche, les fréquences du dividende numérique ont une véritable valeur.

(...)

(28/04/2010 16:17:33)

Un cloud privé externalisé pour Veepee

Pour Eric Rousseau, PDG de Veepee, « il s'agit d'une évolution logique et naturelle d'un opérateur qui apporte des services managés », en annonçant le lancement de son offre de cloud privé externalisé. Cela signifie que la société met à disposition ses capacités de calcul au sein de ses deux datacenters pour mutualiser les coûts d'infrastructures. L'entreprise est assurée via un VLAN d'avoir un espace dédié pour le stockage et la virtualisation, donc la traçabilité de ses données.

L'offre de l'opérateur se décline en deux gammes. Le cloud HD (Haute Disponibilité) est monosite, et comprend plusieurs packs, pour élaborer des machines virtuelles, allant de 1 processeur Intel, 2 Go Ram et 40 Go de capacité à 8 CPU, 16 Go Ram et 320 Go de capacité. Un autre service THD (Très Haute Disponibilité) reprend les caractéristiques de l'offre HD avec une redondance sur le datacenter d'un opérateur tiers relié en fibre optique elle aussi doublée. Cette offre répond aux besoins spécifiques des PRA (plan de reprise d'activité). La tarification de la gamme HD dépend des ressources souhaitées, mais elle varie de 100€ HT à 800€ HT selon la machine et la capacité désirée. Il n'y a pas de durée d'engagement sur ces deux offres.

Eric Rousseau est optimiste sur les solutions proposées « avec les annonces gouvernementales en matière de cloud (NDLR, une enveloppe de 700 millions d'euros a été évoquée dans le volet numérique du grand emprunt), le déploiement de la fibre optique réduisant ainsi les problématiques de latence ». La cible de l'opérateur est multiple allant des radios aux sites de e-commerce. Ces derniers sont à la recherche de disponibilité et des ressources à des moments précis (soldes, ventes flash, etc.).

(...)

(28/04/2010 12:53:20)

L'iPad ne passera pas par la case opérateurs

Aux Etats-Unis,  le produit phare de la marque américaine est distribué par les magasins de la firme (les "Apple Store"), ainsi qu'à la chaîne Best Buy. Et il en sera de même dans l'Hexagone, Apple n'ayant pas cédé à la demande des opérateurs français de distribuer eux-mêmes ce produit, selon les Echos. Pour acheter l'iPad, qui arrivera fin mai en Europe avec un mois de retard, les consommateurs français devront donc se tourner vers « certains Darty et certaines Fnac de France, qui ont un espace spécifique pour les produits de la marque californienne » précise le quotidien économique, ainsi que sur la boutique en ligne d'Apple et dans les deux Apple Store ouverts à ce jour en France (Paris et Montpellier).

Si les opérateurs ne proposeront pas l'iPad dans leurs boutiques, ils pourront néanmoins commercialiser des forfaits dédiés à la tablette. La version 3G de l'appareil permettra en effet de se connecter à Internet sur le réseau mobile haut débit des opérateurs. Lors de l'achat en magasin, le consommateur devra indiquer au vendeur le nom et le type de forfait qu'il souhaite souscrire (Orange, SFR ou Bouygues Telecom). Apple se chargera ensuite de commander la carte SIM correspondante auprès de l'opérateur choisi.

Enfin, autre information majeure pour le consommateur, l'iPad ne sera pas subventionné par les opérateurs, contrairement à l'iPhone qui peut être vendu pour une centaine d'euros environ avec forfait. Aux Etats-Unis, l'iPad coûte entre 499 dollars pour la version de base (Wi-Fi sans la 3G) et 829 dollars pour le modèle le mieux équipé (Wi-Fi et 3G, 64 Go de mémoire). En France, l'appareil coûterait entre 549 et 879 euros.

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >