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(21/10/2008 14:04:50)
Sun lance un avertissement sur ses résultats trimestriels
Après SAP, c'est au tour de Sun Microsystems de prévenir que ses pertes trimestrielles seront plus importantes que prévu. Le chiffre d'affaires pour le premier trimestre 2009 ne devrait pas dépasser 3,05 Md$, contre 3,22 Md$ pour la même période un an plus tôt. « Sun et ses clients ressentent l'impact d'une économie en pleine mutation », a déclaré Jonathan Schwartz, PDG de la société. Sun est en effet un fournisseur informatique qui compte une importante clientèle dans la finance, un secteur fortement malmené depuis quelques semaines par la crise boursière qui a sévi Outre-Atlantique avant de s'abattre sur l'Europe. Schwartz n'exclue pas de privilégier davantage le logiciel Les résultats n'étaient déjà pas très reluisants à la fin du mois de mars (34 M$ de pertes, associées à l'annonce de la suppression de 7,5% de la masse salariale). Sun doit faire face à des frais de restructuration d'un montant de 60 M$ (notamment en raison du rachat de MySQL en janvier dernier, pour un montant de 1 Md$) ainsi qu'aux départs successifs des co-fondateurs de MySQL. Sun publiera l'ensemble de ses résultats le 30 octobre prochain. (...)
(21/10/2008 10:58:21)Le président d'Oracle montre l'intérêt d'associer CRM et réseaux sociaux
Chez Oracle, on estime que la place prise par les communautés et les réseaux sociaux dans la gestion de la relation client (GRC, CRM en anglais) est suffisamment importante pour que Charles Phillips (photo), le président de l'éditeur américain, se déplace en personne à Paris pour ouvrir la conférence Oracle Executive CRM Summit 2008 (20-21 octobre), ciblée sur l'utilisation des technologies Web 2.0 dans la GRC. Cette année, le fournisseur a lancé pour les directions commerciales et marketing trois applications qui s'appuient sur le principe du réseau social. Sales Prospector, Sales Campaign et Sales Marketing permettent respectivement de déterminer (grâce à des fonctions de datamining) les produits qu'un portefeuille de clients est susceptible d'acheter, d'augmenter les taux de retour des campagnes marketing et de constituer plus facilement des documentations commerciales. Le tout en partageant des contenus et en s'appuyant sur des tags, commentaires et notations sur la pertinence des documents partagés, émis par des intervenants internes ou externes à l'entreprise. Oracle utilise notamment les interfaces de programmation (API) Open Social, de Google, pour se connecter aux réseaux sociaux externes compatibles, tels que LinkedIn ou Ning, et y récupérer des informations (après acceptation des internautes concernés). « Le client veut maintenant engager la conversation » Or, il ne va pas de soi d'adopter dans l'entreprise des usages qui se sont pourtant répandus sur le Web très rapidement, de façon virale. Devant 150 clients et prospects venus d'une vingtaine de pays européens, et après avoir justifié la stratégie d'acquisitions d'Oracle qui vise à constituer rapidement un catalogue applicatif étendu, Charles Phillips a donc cherché à démontrer l'intérêt et la pertinence d'utiliser les technologies du Web 2.0 dans les applications de CRM. « Nous sommes progressivement passés d'un CRM gérant les transactions à un CRM analytique. Le client veut maintenant 'engager la conversation' », déroule le dirigeant. Avec ses trois nouvelles applications, l'éditeur entend donc répondre à cette invitation, voire la stimuler. Et de citer la propre expérience d'Oracle qui a déjà créé de nombreuses communautés, pour ses développeurs (OTN), ses partenaires (Oracle PartnerNetwork) et désormais ses clients (Oracle Mix), le tout complété de nombreux wikis et blogs alimentés par ses collaborateurs et dirigeants. Sales Prospector suit Amazon et Sales Library, FlickR [[page]] « Si vous recherchez une des vingt premières marques mondiales sur Google, 30% des liens affichés sur la première page sont reliés à un site de type réseau social », a rappelé de son côté Anthony Lye, vice-président senior pour l'offre Oracle CRM, soulignant l'importance prise par ces médias d'échange. Cet expert de la relation client, ancien vice-président de Siebel, distingue trois types de réseau social : celui sur lequel se retrouvent les consommateurs, celui qui répond à un besoin de productivité et, enfin, celui qu'un fournisseur ouvre pour créer un lieu d'échanges avec ses clients. Pour concevoir ses trois offres de Social CRM, Anthony Lye reconnaît qu'Oracle s'est largement inspiré de ce qui marchait déjà très bien sur le Web. Selon lui, Sales Prospector emboîte ainsi le pas à la librairie en ligne Amazon - qui analyse les goûts de ses clients. Sales Campaign s'apparente au site Evite qui propose d'envoyer des cartes d'invitation (18 millions d'utilisateurs enregistrés). Quant à Sales Library, il suit les traces de FlickR, célèbre site de partage de photos. L'iPhone remplace la carte de fidélité chez Body Shop Mais le vice-président reconnaît aussi que la plupart des entreprises ne sont pas encore prêtes pour les applications de CRM suscitant et exploitant les interactions clients. Un accompagnement est nécessaire. « Nous travaillons de façon étroite avec les premiers clients qui adoptent ces solutions », précise-t-il. Il y a néanmoins de vrais pionniers sur ce terrain. Parmi eux, Anthony Lye cite le Français L'Oréal qui, sur sa filiale Body Shop, met en place une application de fidélisation de clientèle permettant à ses clients équipés d'iPhone d'utiliser leur mobile Apple comme carte de fidélité pour numériser les codes barres des produits achetés et recevoir des bons de réduction. (...)
(21/10/2008 10:43:27)Deux mesures « vertes » dans le plan France numérique 2012
Si le Grenelle de l'environnement a laissé de côté les TIC, le plan France numérique 2012, lui, n'oublie pas le développement durable. Bien sûr, il appuie sur l'angle sociétal avec une volonté évidente de réduire la fracture numérique et de désenclaver les territoires en généralisant l'accès au haut débit. Le télétravail est également évoqué. Une des conséquences d'une telle démarche serait évidemment une réduction des émissions de gaz à effet de serre liés aux déplacements des employés. Mais le rapport consacre aussi deux mesures sur 154 aux liens directs entre TIC et environnement. Les deux aspects du green IT y sont abordés : l'impact des technologies sur l'environnement d'une part, leur utilisation pour ralentir le réchauffement climatique, de l'autre. On pourra bien sûr regretter, mais comme pour le reste du rapport, que peu de mesures concrètes et aucun élément de budget n'apparaissent. Réduire la consommation des datacenters, à commencer par ceux de l'Etat [[page]]Ainsi, l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) est-elle chargée de piloter un programme de recherche et d'expérimentation sur l'optimisation de la consommation énergétique des datacenters et de la réutilisation de l'énergie produite. Et en toute logique, l'Etat s'applique la démarche à lui-même en lançant une étude de ses propres centres serveurs pour en réduire l'impact. L'écoconception et le recyclage sont, quant à eux, au programme d'un groupe de travail réunissant, sur la base du volontariat, les « filières des secteurs producteurs de composants et de services [...] en collaboration avec l'Etat. » Le rapport Besson souhaite aussi sensibiliser les utilisateurs aux bons usages à travers des « campagnes de communication communes regroupant pouvoirs publics, secteur privé et associations environnementales de consommateurs. » Le rapport se préoccupe de ces mêmes utilisateurs souvent inquiets des effets possibles sur la santé des connexions sans fil, GSM ou WiFi par exemple. En effet, la protection de l'environnement et de la santé de la population devient désormais un objectif pour l'Arcep, dans le cadre du Grenelle de l'environnement. Des prix décernés aux entreprises utilisant les TIC pour réduire la consommation énergétique et les émissions de CO2 [[page]]Enfin, le gouvernement crée deux prix. Un prix « green IT » pour le secteur des TIC, et le prix des « TIC au service des cleantech » dans le cadre du Comité d'orientation stratégique des éco-industries (Cosei), créé en juillet à la suite du Grenelle de l'environnement. Les deux prix récompenseront des entreprises utilisant les TIC pour réduire la consommation d'énergie et les émissions de CO2. Co-présidé par « le ministère de l'Ecologie, de l'Energie, du Développement durable et de l'Aménagement du territoire, du secrétariat d'Etat de l'Industrie et de la Consommation, et du secrétariat d'Etat chargé de la Prospective de l'Evaluation des politiques publiques et du développement de l'économie numérique, le jury est composé de capitaux-risqueurs, chercheurs, entrepreneurs, dirigeants de grands groupes. » (...)
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