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(21/10/2008 17:51:38)

Intel baisse légèrement le prix de sept processeurs

Intel réduit de 5% à 14% le prix de sept de ses modèles de processeurs. Celui des cent cinquante autres (environ) ne change pas. Parmi les puces pour serveur sont concernées celles des monoprocesseurs Xeon X3210 (-5%) et X3220 (-5%). Pour les machines de bureau, les prix des quadricoeurs Core 2 Q8200 et Q6600 baissent respectivement de 14% et de 5%. Le prix du bicoeur Core 2 E7300 perd 15%, et les tarifs des Pentium bicoeurs E2220 et E2200 baissent respectivement de 12% et 14%. Ces baisses de prix s'appliquent au tarif officiel de vente en gros, par lot de 1000 unités. Ces ajustements ont plus à voir avec la guerre des prix avec AMD qu'avec l'arrivée, en principe le mois prochain, de la ligne Core i7 (Nehalem) qui dispose d'une nouvelle architecture d'interconnexion. (...)

(21/10/2008 18:11:14)

Women's Forum : La Commission européenne veut ramener les filles vers les études d'informatique

Le Women's Forum for the Economy and Society Global Meeting s'est tenu à Deauville du 16 au 18 octobre où il a réuni plus de 1200 leaders d'opinion issus de 85 pays différents. En très grande majorité des femmes. Aude de Thuin, présidente du Forum, a créé cette manifestation en 2005 pour « promouvoir la vision des femmes sur les sujets économiques et sociétaux ». Cette année, la science et les technologies, en particulier l'informatique et les télécoms, ont pris une place de choix. Certains fournisseurs comme Microsoft, Lenovo ou encore Orange ont fait le déplacement pour présenter de plus près ce secteur et ces métiers aux femmes présentes. De plus, la Commissaire européenne Viviane Reding, en charge de la société de l'information et des médias (lire l'entretien donné par Viviane Reding à la rédaction) ainsi que Claudie Haigneré ont mis tout particulièrement l'accent sur le nombre de plus en plus faible de jeunes filles dans les formations informatiques. Elles ont évoqué des actions à mener afin de leur redonner le goût des sciences et des technologies. Seuls 12% des ingénieurs en TIC en France sont des femmes [[page]]En France, on ne compte pas plus de 25% d'étudiantes dans les écoles d'ingénieurs et moins de 18% de femmes ingénieurs, selon une étude commandée par le Women's Forum au Conseil national des ingénieurs et des scientifiques en France (Cnisf). Seuls 12% des ingénieurs diplômés en TIC sont des femmes et environ 13% des femmes ingénieures travaillent dans le domaine de l'informatique et des télécoms. Pour ramener les jeunes filles dans le giron des études informatiques, Viviane Reding a souhaité agir au niveau européen. Elle lance un 'European Code of Best practices for Women in ICT', une initiative qui va consister à récolter dans le monde entier les bonnes pratiques mises en oeuvre pour que les jeunes filles se tournent de nouveau vers les formations en TIC. Elle a confié quelques éléments sur le sujet et sur d'autres projets à la rédaction (lire l'entretien avec Viviane Reding). Un répertoire de ces démarches sera accessible en ligne dès 2009. Des actions concrètes pour ramener les jeunes filles vers l'informatique Ingénieur, médecin, ministre et astronaute, Claudie Haigneré a, quant à elle, joué le rôle de marraine pour le programme SciTechGirls. Pour sa deuxième édition, qui s'est déroulée le 15 octobre, la veille du forum, celui-ci a rassemblé 130 lycéennes européennes. Elles ont rencontré à cette occasion des femmes d'importance dans le milieu des sciences et technologies, comme Frances O'sullivan, vice-présidente senior de Lenovo, ou Jehanne Savi, directrice du pilotage SI de France Telecom. (...)

(21/10/2008 16:38:40)

SQLI intègre les Google Apps avec le système d'information

Après avoir expérimenté et lui-même installé en interne les logiciels Google Apps, le groupe français SQLI propose maintenant des services d'intégration et d'accompagnement autour de la mise en place de ces outils de collaboration en ligne. Par rapport aux autres intégrateurs des applications bureautiques de Google, parmi lesquels figure Cap Gemini, SQLI peut ainsi s'appuyer sur son propre retour d'expérience, fait remarquer Guillaume Plouin, responsable de la veille IT du groupe, « en particulier sur tous les aspects de gestion du changement, d'adoption des solutions et de réaction de la DSI ». La résistance peut effectivement venir des départements informatiques qui ne voient pas toujours d'un bon oeil l'arrivée d'outils hébergés qui les court-circuitent quelque peu. SQLI a d'abord mis à l'épreuve l'agenda, le carnet d'adresses, le calendrier et les outils bureautiques de Google dans le cadre de son programme d'industrialisation de l'innovation 6mmx (bâti pour tester des technologies ou des applications innovantes avant de les proposer aux clients). « Google propose aussi du stockage de fichiers et de vidéos « qui s'apparente à un YouTube privé », rappelle Guillaume Plouin. Sans oublier Google Apps Engine pour développer des applications et les héberger sur la plateforme de Google. Ou encore Google Site, présenté comme un outil de wiki, utilisé comme espace de partage documentaire dans le cadre de projets. Intégration autour des API de Google SQLI a déployé les Google Apps auprès d'une centaine de ses collaborateurs. D'ici à la fin de l'année, le déploiement devrait concerner les 2 000 salariés du groupe. Parmi les prestations proposées par la SSII autour de ces applications figure l'intégration avec le système d'information de l'entreprise, par le biais de trois interfaces de programmation développées par Google. D'une part, l'API de provisionning qui permet à une entreprise de créer un compte chez Google quand un nouveau collaborateur arrive et de le supprimer à son départ ; « une mise en oeuvre qui n'a rien de trivial », souligne Guillaume Plouin. D'autre part, une API de synchronisation permettant de relier le calendrier de Google à d'autres calendriers, MS Outlook, notamment. Enfin, l'API de reporting qui servira à établir des statistiques d'utilisation des Apps. Outre son offre d'intégration et de gestion du changement, SQLI a élaboré un plan de migration vers les Google Apps ; un plan en plusieurs étapes (pilote, expérimentation, déploiement progressif) qui inclut la synchronisation d'applications sensibles telles que la messagerie. (...)

(21/10/2008 16:18:05)

Encore une vague de licenciements chez Yahoo

Quelques heures avant de publier ses résultats trimestriels, le spectre d'un nouveau plan de restructuration plane de nouveau sur Yahoo, selon le Wall Street Journal. Le moteur de recherche californien avait déjà supprimé 20% de ses effectifs en janvier dernier. Cette fois, ce sont entre 1000 et 3000 postes qui seraient menacés (sur un effectif total de 14 300 personnes), essentiellement dans les sites américains de Sunnyvale et de Santa Clara. Yahoo aurait également demandé aux équipes financières d'identifier les moyens de réduire les coûts de 15%. Une boulette côté utilisateurs Yahoo doit par ailleurs affronter la colère de certains utilisateurs qui affirment que le site n'a pas clairement expliqué ce que la mise à jour des profils créés sur Yahoo 360 allait entraîner. Certains d'entre eux affirment que leur profil (messages et historique compris) a purement et simplement été effacé. Yahoo s'est platement excusé vendredi dernier de ne pas avoir été « plus proactif » et transparent en annonçant à l'avance les changements concrets qui attendaient les profils utilisateurs. « Beaucoup d'entre vous ont exprimé leur inquiétude par rapport à la nouvelle version, nous sommes attentifs à vos commentaires, écrit Melissa Daniels (chargée de gérer la communauté de Yahoo) sur son blog. Nous savons que vous avez travaillé dur sur vos anciens profils et que vous voulez récupérer vos données." (...)

(21/10/2008 15:48:22)

Une machine virtuelle Java réduite pour préparer l'arrivée de JavaFX

Mine de rien, la mise à jour numéro 10 de la version 6 de la plateforme d'exécution Java (JRE, Java runtime environment) prépare la voie à ce qui est en train de révolutionner la stratégie de Sun pour le poste de travail. Java Platform Standard Edition 6 Update 10 (ou Java SE 6u10 de son petit nom) réduit en effet considérablement le poids du plug-in à télécharger pour faire tourner les applications Java. Un préalable essentiel pour faire de Java une plateforme d'accueil pour les clients riches, par le biais de JavaFX. Alors que Sun était, avec Java, le premier à proposer une solution d'exécution de clients graphiques sur tous les postes connectés à Internet, il s'est largement fait devancer sur le terrain des RIA (applications Internet riches) par Adobe, avec Flash et Flex (et plus globalement Adobe AIR), et plus récemment par Microsoft, avec Silverlight. JavaFX est en quelque sorte la réponse de Sun. Présenté lors de la dernière conférence JavaOne, JavaFX devrait arriver dans sa version 1.0 « cet automne » selon Sun, en tout cas avant la fin de l'année. Télécharger le noyau Java, pas forcément le JRE entier JavaFX promet une richesse graphique comparable à celle de ses concurrents, mais la technologie était handicapée par le poids du JRE et (...)[[page]] JavaFX promet une richesse graphique comparable à celle de ses concurrents, mais la technologie était handicapée par le poids du JRE et une certaine lourdeur de la JVM (machine virtuelle Java). La 6u10 élimine ces obstacles : le client Windows, par exemple, passe de 15 Mo à 5 Mo (l'utilisateur charge un noyau, dit Java Kernel, d'autres éléments du JRE étant ensuite téléchargés en cas de besoin) et Sun assure qu'avec la technologie Java Quick Starter, le temps de lancement des appliquettes a été « radicalement amélioré ». Cette mise à jour procure d'autres avancées : un outil s'assurant que l'utilisateur dispose bien de la dernière version, la possibilité de glisser-déplacer une appliquette depuis le navigateur vers le poste de travail de façon à la faire fonctionner comme un widget, ou encore la capacité d'exécuter plusieurs machines virtuelles en parallèle. (...)

(21/10/2008 15:43:23)

Viviane Reding excédée par la riposte graduée

Viviane Reding, la Commissaire européenne à la Société de l'information, montre peu de bienveillance envers Paris. Interrogée par Lemondeinformatique.fr, elle a la dent dure contre les démarches entreprises par Nicolas Sarkozy pour faire annuler un amendement adopté par les eurodéputés. Le chef de l'Etat s'était en effet tourné vers la Commission européenne pour qu'elle rejette le texte, qui condamnait le principe de riposte graduée tel qu'envisagé par le projet de loi français. Si, dans un premier temps, des sources avaient rapporté que Viviane Reding comptait combattre cet amendement, la Commissaire s'était rapidement rangée derrière la position défendue par José Manuel Barroso, le président de l'exécutif européen : la Commission n'interviendra pas et la demande de Nicolas Sarkozy est déplacée. « Je ne veux plus en entendre parler » [[page]] Viviane Reding se défend maintenant d'avoir abordé le sujet : « C'est très simple, je n'ai jamais parlé de la riposte graduée, explique-t-elle au Mondeinformatique.fr. J'ai parlé de la réforme du cadre télécoms. » Pourtant, elle n'hésite pas à désigner l'amendement combattu par Paris, comme « un amendement de compromis ». Gageons que Nicolas Sarkozy aurait choisi un autre adjectif pour qualifier le texte. Quant à une éventuelle intervention de la Commission pour rejeter l'amendement, comme l'avait demandé le président de la République, il n'en est toujours pas question : « la Commission doit respecter le Parlement. Elle transfère donc cet amendement du Parlement à l'autre institution, le Conseil des ministres. Elle attend ensuite ce que le Conseil en fait. Puis, les trois institutions commenceront à discuter ensemble. » Est-ce le sujet de la riposte graduée lui-même ou la multitude de questions auxquelles la Commissaire a dû répondre depuis quelques semaines, toujours est-il que Viviane Reding semble lassée par ce sujet : « D'ici là, je ne veux plus en entendre parler, lâche-t-elle. Maintenant, c'est au Conseil des ministres européens de décider ce qu'il veut faire. » Et, dans une dernière salve adressée à Paris : « Que les Français fassent leur projet de loi dans l'indépendance et sans instrumentaliser les uns et les autres. » (...)

(21/10/2008 14:46:32)

Systar bascule son offre de supervision vers la virtualisation

Le succès grandissant de la virtualisation de serveurs s'accompagne d'une recrudescence de maux de têtes dans les services d'exploitation. Systar a flairé le bon filon, et annonce « un repositionnement complet ». Editeur français d'outils de BAM (supervision des activités métier) et de gestion des ressources informatiques (Capacity Management, gamme Omnivision), Systar se positionne désormais comme l'auteur d'une solution de gestion des environnements virtualisés, Virtual Capacity Planner. La virtualisation ne règle pas à elle seule le problème de l'optimisation de ressources François Besson, responsable EMEA du développement des ventes pour les solutions de Capacity Management de Systar, explique : « Les directions informatiques adoptent massivement la virtualisation car cela permet des économies très fortes. Toutefois, pour obtenir de vrais résultats, il faut s'équiper d'outils de contrôle. » De fait, si les machines virtuelles (VM) se multiplient dès qu'un chef de projet en fait la demande, ou si aucun outil n'existe pour prévoir le dimensionnement des serveurs physiques appelés à accueillir une ou plusieurs machines virtuelles, le problème de l'optimisation des ressources - censé être résolu par la consolidation et la virtualisation - reste posé. Certes, admet François Besson, les éditeurs de solutions de virtualisation accompagnent leurs offres d'outils d'administration. « Ces outils gèrent le cycle de vie des VM, dit-il, mais ils ne sont pas conçus pour prendre du recul. C'est un peu la même différence qu'il y a entre le BPM, pour l'orchestration, et le BAM, un outil d'observation de ce qui se passe vraiment. Cela se traduit par des analyses, qui font apparaître les problèmes récurrents, les économies non réalisées... » Identifier les bons candidats à la virtualisation et prouver la qualité de service [[page]] Parmi ses fonctions, Virtual Capacity Planner propose d'identifier entre les serveurs physiques les bons candidats à la virtualisation et de simuler des regroupements de VM pour étudier le comportement et la consommation des ressources. Au-delà de ce souci d'optimisation, une solution comme Omnivision, insiste François Besson, donne des indicateurs objectifs pour « prouver la qualité de service liée à une application, ou établir des métriques pour la refacturation ». Un grand compte passé de 540 à 460 serveurs, pour un ROI obtenu en 6 mois Un sondage effectué par l'éditeur lors de la dernière édition de VMWorld, la conférence utilisateurs de VMWare, auprès de plus de 200 sociétés, aurait montré que « 66% des organisations indiquent un fort ou un très fort besoin de reporting sur la performance et les capacité de leur infrastructure virtuelle ». Systar tente donc des opérations « coup de poing » dans des entreprises, afin de démontrer l'intérêt de sa solution de supervision. « Nous préconisons une période d'observation longue, afin d'être précis, mais souvent le client est pressé et veut prendre des décisions en trois ou quatre semaines », précise François Besson. Néanmoins, l'éditeur s'enorgueillit de quelques beaux résultats. « Par exemple, un grand acteur de l'électronique grand public, qui souhaitait une réduction rapide de ses coûts. Il a décommissionné 15% de son parc, passant de 540 à 460 serveurs. » Impossible de connaître le coût de la solution, mais François Besson assure que « le retour sur investissement était de 6 mois ». En revanche, s'il est capable d'identifier les problèmes, Omnivision n'en est pas encore à préconiser des solutions : « L'automatisation de la décision n'est pas prise en compte. » Côté technologies gérées, Systar prend en compte les infrastructures VMWare, IBM Power et Solaris Sparc. « Xen et Hyper-V sont en veille technologique. » (...)

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