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(15/04/2008 13:02:44)

Seagate joue de ses brevets contre les SSD

Les disques SSD sont trop chers et ne décolleront pas, avait dit le patron de Seagate au magazine Fortune le mois dernier. Mais il avait ajouté que s'ils avaient du succès, alors il considérerait une action en justice. Et Bill Watkins tient ses promesses : le patron du plus gros fabricant de disques durs vient d'assigner STEC, fabricant de disques à mémoire électronique (SSD, solid state drive), devant une cour de justice américaine, pour violation de quatre brevets. Dans une lettre ouverte, Bill Watkins explique bien évidemment que cela n'a rien à voir avec une tentative quelconque de torpiller le marché naissant des SSD, réputés plus fiables et plus rapides que les disques durs magnétiques traditionnels. Il s'agit juste, dit-il, de préserver les quelque 7 Md$ investis en R&D depuis une dizaine d'années, et le portefeuille de 3 900 brevets enregistrés aux Etats-Unis. « Nous apprécions les avancées dans ce domaine [les SSD], ainsi que dans d'autres technologies, écrit Bill Watkins. En fait nous continuons d'investir considérablement en R&D et nous avons maintenant des équipes se concentrant sur le développement de SSD Seagate et de technologies liées. Le but de ce procès est de préserver pour nos actionnaires la valeur que nous avons créée en construisant notre portefeuille de brevets. » Seagate brandit la menace de procès pour récolter des royalties [[page]] Avec un chiffre d'annuel inférieur à 200 M$, STEC est un petit poisson, qui a apparemment valeur d'exemple. Car la menace pointe sous l'appel au dialogue. Le CEO de Seagate explique en effet qu'il préférerait ne pas avoir à mettre ses ressources en branle pour attaquer les autres fabricants (pour rappel, Seagate a réalisé 11,4 Md$ de chiffre d'affaires en 2007, et 913 M$ de bénéfice net). Le mieux, dit-il, serait que ces derniers lui versent spontanément des royalties : « Nous préférerions éviter des procès coûteux et perturbateurs, et à la place nouer des partenariats commerciaux et des accords de licence constructifs avec d'autres dans notre industrie. » De tels accords auraient un triple mérite pour Seagate : cela lui rapporterait de l'argent facilement, cela renchérirait le prix des SSD des concurrents (qui devraient refacturer au client cette sorte de taxe Seagate), et cela lui ferait gagner du temps - pendant la durée des négociations - pour proposer au marché sa propre gamme de SSD. (...)

(15/04/2008 13:02:35)

AOL rachète le moteur de recherche de blogs Sphere

Un mois après avoir déboursé 850 M$ pour se payer le réseau social Bebo, AOL remet le couvert en rachetant Sphere, pour un montant non communiqué. Sphere est un moteur de recherche de blogs, comme Technorati ou encore Google Blog Search, à deux différences près. Le moteur de recherche de Sphere ne se contente pas d'indexer des billets à tout va, mais sélectionne les contenus qu'il juge les plus pertinents, grâce à une technologie qui permet de proposer automatiquement des blogs en rapport avec ce que l'internaute est en train de visionner. Tony Conrad, PDG de Sphere, a fait preuve d'un autre coup de génie. Il a noué une série de partenariats avec quelques-uns des principaux sites d'information américains, comme le Wall Street Journal, le New York Times ou encore CNN, ce qui a apporté une grande crédibilité à son site. Sphere a réalisé une levée de fonds de 3,75 M$ en mai 2006, quelques semaines à peine après sa création. AOL est actuellement en quête de reconnaissance, depuis que Jeffrey Bewkes, responsable exécutif de Time Warner (qui détient AOL), a évoqué la possibilité de se défaire d'AOL. Il y a quelques jours, AOL s'est rapproché de Yahoo, dans le but de l'aider à contrer l'OPA hostile lancée par Microsoft, mais surtout de retrouver un second souffle. AOL est en effet en perte de vitesse dans le secteur de la recherche en ligne. Le cabinet ComScore le place en quatrième position des moteurs de recherche les plus utilisés par les internautes, avec seulement 4,9% des requêtes, loin derrière Google (59,2%), Yahoo (21,6%) et Microsoft (9,6%). (...)

(14/04/2008 18:50:35)

Le directeur technique d'AMD s'en va

Vendredi, Phil Hester a démissionné de son poste de directeur technique d'AMD, pour un autre poste dans une société encore inconnue. Pour l'instant, le fondeur californien n'a pas l'intention de le remplacer à ce poste. L'un des porte-parole d'AMD, Drew Prairie, explique ce choix par la structure même de la société : « Chacune de nos division a eu et continuera d'avoir ses propres directeurs techniques. Ces personnes sont responsables du développement des produits, de feuilles de routes des processeurs, etc... » Le rôle de Phil Hester, arrivé en septembre 2005 chez le fabricant de processeurs, après 23 ans passés chez IBM, était totalement différent, selon Drew Prairie : « Il ne dirigeait pas les opérations au jour le jour pour la société. Lui et son équipe voyait plus loin et aidaient à trouver une direction de développement, avec comme objectif premier l'accélération de la vitesse de calcul (NDLR : notamment en intégrant des processeurs spécialisés dans les puces AMD comme la fusion entre processeurs classiques et puces graphiques). » Par conséquent, l'équipe montée par Phil Hester devrait être dissoute et son personnel réaffecté en grande partie dans les différentes divisions du groupe. Pour les porte-parole d'AMD, ce départ n'a rien à voir ni avec les différents retards dans la sortie des produits, ni avec l'annonce de licenciements à venir. Ces derniers mois, le fondeur avait déjà vu partir deux autres dirigeants, David Orton, ex-directeur général d'ATI, et Henry Richards, vice président, responsable des ventes et du marketing. (...)

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