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(09/07/2010 16:59:15)

L'industrie française du logiciel résiste à la crise

En 2009, malgré les conséquences négatives de la crise sur les investissements informatiques, le chiffre d'affaires global du Top 100 n'a baissé que de 1,4% par rapport à 2008, ramenant son CA global à 3,5 milliards d'euros, alors que la demande de logiciels a baissé de 4,5% en France. Le classement des acteurs est demeuré stable dans un secteur caractérisé par une concentration de 61% du CA global autour des dix premiers éditeurs et un marché par ailleurs fortement atomisé avec 60 entreprises du Top 100 ne réalisant pas plus de 15 millions d'euros de CA. « Ce classement est marqué par une stabilité qui contraste fortement avec l'adaptabilité permanente qui caractérise le secteur » fait remarquer Patrick Bertrand, Président de l'AFDEL.

Les poids lourds français tirent le marché

Cette bonne résistance s'explique notamment par la position de leaders tenue par certains éditeurs au niveau international, comme c'est le cas de Dassault (PLM), d'Axway (plate-forme), de Murex (finance), ou encore d'éditeurs traditionnels comme Cegid, Esker, Générix, qui ont évolué avec succès vers le SaaS/ASP, affichant une progression de 5 à 35% de leur revenu. Par ailleurs, des acteurs plus spécialisés comme Sidetrade, Metaware, Oodrive, ont su consolider leur position. L'optimisme vient également de l'implication des grandes entreprises françaises pour lesquelles le logiciel est devenu un support de service dont elle reconnaisse clairement la capacité à créer de la valeur. En 2009, Gemalto a acquis l'entreprise spécialisée en sécurité numérique et mobilité Trusted Logic (classée au 82ème rang), après avoir racheté un éditeur allemand (O3SIS). Autre exemple, celui de Doc@Post, filiale de La Poste, qui a racheté l'entreprise Sefas, spécialisée en éditique (classée au 93ème rang). Sans parler de HubTelecom (ADP) devenu propriétaire de Masternaut, et de Schlumberger qui a réalisé l'acquisition de Techsia.

Les grands acteurs maintiennent leur place en tête

Néanmoins, concernant les acquisitions, le document pointe le fait que les grands acteurs comme Dassault Systèmes (Exalead), Cegid, Berger Levrault, Cegedim restent leaders du marché : « En France, l'industrie du logiciel doit oeuvrer à l'émergence de nouveaux acteurs de taille critique ayant les moyens et les ambitions d'initier une politique de consolidation » explique Pierre Marty, European Software Leader au sein de PricewaterhouseCoopers. L'Eurosoftware 100 reconnaît aussi que, derrière le nom de ces leaders, la capacité d'innovation vient du travail, moins visible, des centaines de développeurs de logiciels oeuvrant chez France Telecom, Thales, Dassault, Amadeus... « Ce foisonnement de nouveautés et les attentes qu'elles génèrent chez les utilisateurs permettront à ceux qui s'adaptent de se préparer à la croissance de demain, »  déclare Pierre Marty, European Software Leader au sein de PricewaterhouseCoopers. Quant au Cloud Computing, désigné par le document comme vecteur de développement pour faire face à une concurrence d'un type nouveau, il vient aussi remettre en cause les modèles économiques et les modes de fonctionnement du secteur.

(...)

(09/07/2010 16:58:04)

Baromètre Hitechpros/CIO : Une amélioration semestrielle confirmée

Selon le baromètre HiTechPros/CIO du marché de la prestation informatique, cette fin de semestre se termine sur le rapprochement des courbes offre et demande. Le mois de juin voit la demande des clients augmenter de +18,5 %, par rapport à juin dernier, ce qui laisse présager une reprise sur l'année 2010 face à la baisse prononcée de la demande des clients à la même période de l'année dernière.

HiTechPros ne constate aucun changement dans les catégories techniques les plus demandées : « Nouvelles technologies » avec 36,60 % des demandes des clients, « Systèmes, réseaux, sécurité » (21,80 %) ainsi que « Consulting expertise » (13 %). La catégorie « CRM, Décisionnel, Datamining » n'arrive toujours pas à atteindre le fameux trio avec ses 8,5 % des demandes clients en ce mois de juin.

Par rapport à la même période de l'année dernière, les hausses le plus significatives de ce mois de juin concernent les compétences : « Nouvelles technologies » (41,67 %), « CRM, Décisionnel, Datamining » (25,00 %) et « Systèmes, réseaux, sécurité » (21,52 %).

A contrario, les ralentissements les plus forts de la demande ce mois-ci concernent les catégories suivantes : « Consulting Expertise » (- 7,26 %), « ERP» (- 9,09 %) et « Mainframe » (-19,35 %). (...)

(09/07/2010 16:37:52)

Contrit, Google obtient finalement sa licence commerciale en Chine


Le gouvernement chinois a décidé d'accorder le renouvellement de la licence d'exploitation du site google.cn, d'après l'entreprise. « Nous sommes très heureux que le gouvernement ait reconduit notre licence ICP (Internet Content Provider), et sommes vraiment impatients de pouvoir continuer à fournir notre moteur de recherche et des produits locaux à nos utilisateurs chinois » indique un post obséquieux sur le blog officiel de Google. Les autorités pékinoises ont informé l'entreprise de leur décision vendredi, d'après la porte parole de la firme, Jessica Powell. Pour autant, le ministre chinois de l'industrie et de l'information n'a pu être joint pour commenter cette annonce.

Un pas en arrière

Ce renouvellement serait une bonne nouvelle pour les internautes, d'après Liu Ning, du cabinet de consulting BDA, qui ajoute que « Google est important pour le marché chinois du moteur de recherche. S'il venait à en disparaître,  Baidu le dominerait intégralement et ce ne serait une situation profitable ni pour les utilisateurs, ni pour les publicitaires, à mon avis ». En effet, à la différence du reste du monde, Google occupe en Chine une position de nain face au moteur de recherche local, Baidu. A côté de cela, cette décision entérine le pas en arrière opéré par la firme. Après avoir décidé de fermer la version chinoise de son site et de redouter le trafic vers Hong Kong suite à des attaques contre les services Google, et notamment le piratage de comptes Gmail, l'entreprise a finalement mis fin à sa fronde et humblement demandé le renouvellement de sa licence commerciale.

La punition par le délai

Google aura donc attendu plus d'une semaine la décision des officiels chinois. Cette licence d'exploitation doit être revue annuellement, poussant les entreprises à se plier aux demandes des autorités pour continuer à travailler en Chine. La redirection du trafic implémentée en mars par Google vers la version basée à Hong Kong de son moteur de recherche avait passablement énervé les autorités, et rendu incertaine l'issue de la démarche de renouvellement subséquente. Plus tôt dans la semaine, un porte parole du ministère chinois avait déclaré que la longueur du délai de réponse était due à une soumission tardive de la demande faite par Google. Pour autant, le PDG de la firme, Eric Schmidt, avait affirmé jeudi être confiant dans la reconduction de la licence d'exploitation. (...)

(09/07/2010 16:15:04)

Microsoft pressé de livrer ses derniers patchs

Comme prévu, le délai est relativement court : Microsoft a déjà livré plusieurs séries de patchs, alternant les gros et les petits correctifs, avec un calendrier fixé sur les mois pairs pour les mises à jour les plus importantes. En juin, par exemple, l'entreprise a émis 10 bulletins de sécurité corrigeant un nombre record de  34 vulnérabilités. Le mois de mai s'est limité pour sa part à deux bulletins et à deux failles seulement. « Ce mois-ci n'est pas encombré, et aurait été encore plus léger si Tavis ne nous avait pas forcé à aller plus vite que le rythme choisi pour les patchs de vulnérabilité,» a déclaré Wolfgang Kandek, directeur technique de Qualys.

Ce dernier fait allusion à Tavis Ormandy, ingénieur en sécurité chez Google qui a publié, début juin, le code d'attaque utilisé par un bug affectant l'aide de Windows XP et du Centre de Support, une fonctionnalité qui permet aux utilisateurs d'accéder et de télécharger des fichiers d'aide de Microsoft via le Web. Elle est également utile aux supports techniques pour effectuer la maintenance à distance d'un PC en local. Comme l'a annoncé Microsoft, ce bug affecte également Windows Server 2003. Après avoir rendu cette vulnérabilité publique, insinuant au passage que Microsoft ne s'engagerait pas à émettre un correctif dans un délai raisonnable, Tavis Ormandy s'est retrouvé au coeur d'une sérieuse controverse. Si certains chercheurs en sécurité l'ont critiqué d'avoir divulgué cette faille publiquement, d'autres ont pris sa défense, bombardant Microsoft et la presse, Computerworld compris, pour les accuser de lier Tavis Ormandy à son employeur, Google.

La semaine dernière, un groupe de chercheurs anonymes du nom de Collectif de Chercheurs rejetés par Microsoft (CSEM) - le groupe a repris ironiquement l'acronyme de l'équipe de chercheurs chargée de pister les bugs chez Microsoft - a riposté en publiant des informations sur une vulnérabilité non corrigée dans Windows Vista et Windows Server 2008. Le groupe déclare vouloir marquer sa désapprobation quant à « l'hostilité de Microsoft envers les chercheurs en sécurité, » et cite l'affaire Ormandy comme exemple le plus récent. « Cela montre que Microsoft peut agir très rapidement quand il le faut, » a déclaré Wolfgang Kandek, qui s'exprimait sur la vitesse de réaction de Microsoft à livrer ses patchs.

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Selon Jerry Bryant, un manager en relation avec le Microsoft Security Response Center, l'entreprise commençait son enquête lorsque Tavis Ormandy a rendu le fait public. Celui-ci a contacté l'éditeur le 5 juin. « Deux jours plus tard, Microsoft lui faisait savoir qu'elle ne pouvait pas estimer de calendrier de livraison d'un patch avant la fin de la semaine, » a t-il déclaré. «Le 9 juin, la faille a été rendue publique alors que nous étions dans les premières phases d'investigation, » a t-il encore écrit dans un mail. «À la fin de la semaine, nous avions décidé d'essayer d'inclure le correctif avec le cycle prévu en août, mais nous avons du aller plus vite, afin limiter le risque pour nos clients, soumis cette fois à des attaques actives. »

Les pirates n'ont pas tardé à utiliser la vulnérabilité à leur profit, lançant des attaques cinq jours après la publicité faite par Tavis Ormandy. La semaine dernière, Microsoft a indiqué que depuis le 15 juin, elle avait comptabilisé plus de 10.000 attaques utilisant le bogue du Centre d'aide. Jerry Bryant a également fait remarquer que la livraison d'un patch dans ce délai a été possible parce que le bug n'affectait que deux versions de Windows. La notification mensuelle de l'éditeur a donc été avancée à la semaine prochaine: trois des quatre mises à jour sont qualifiées de «critique», pour signifier le risque le plus élevé dans le classement établi par Microsoft. Le quatrième patch est qualifié pour sa part d'«important», soit juste derrière dans l'échelle des menaces.

Egalement dans le tuyau, un correctif pour un bug déjà connu qui affecte les versions 64 bit de Windows 7 et Windows Server 2008 R2, réparant une faille confirmée par l'éditeur mi-mai. Les deux patchs concernant Windows sont également marquées comme « critiques », tandis que la mise à jour d'Office est également désignée d'« importante ». Les mises à jour d'Office bouchent des trous dans la base de données Access et le client de messagerie Outlook. Enfin, les correctifs à paraitre mardi seront les dernières pour Windows 2000 et Windows XP Service Pack 2 (SP2), puisque ces deux produits ne bénéficieront plus de support à partir de cette date.

Les quatre mises à jour seront mises en ligne à environ 1 h (Eastern Standard Time) le 13 juillet.

(...)

(09/07/2010 16:07:52)

Le mystérieux code du Cyber Commandement américain craqué (MAJ)

9ec4c12949a4f31474f299058ce2b22a, c'est ce que l'on peut lire sur le rond doré, au centre du blason du cyber commandement américain. Ce code a été soumis par un site Internet à la sagacité de ses lecteurs et les hypothèses ont été légions. Du mot de passe pour le réseau WiFi de l'organisation à sa localisation GPS, l'imagination des Internautes n'a pas de limites.

La solution a été dévoilée par Sean-Paul Corell, un chercheur de Panda Security, éditeur d'anti-virus, qui a reconnu, un Hash MD5, une méthode de scellement, qui était lié à la phrase indiquant les missions attribuées à l'organisation : « USCYBERCOM plans, coordinates, integrates, synchronizes and conducts activities to: direct the operations and defense of specified Department of Defense information networks and; prepare to, and when directed, conduct full spectrum military cyberspace operations in order to enable actions in all domains, ensure US/Allied freedom of action in cyberspace and deny the same to our adversaries. »

Pour l'anecdote, le chercheur a indiqué qu'entre le moment de sa réflexion sur le sujet et la découverte du lien avec Hash MD5, deux minutes se sont écoulées.

(...)

(09/07/2010 15:07:47)

VMware évasif sur la sortie de son hyperviseur client

Presque deux ans après l'annonce par VMware de son  initiative « Vclient » pour donner une option VDI à ses différents produits, l'éditeur n'a toujours pas activé cette technologie.  Certes, il offre la virtualisation du poste de travail à partir des serveurs, mais il avait annoncé en 2008, un hyperviseur de type Bare Metal , « Virtualisation Client », pour PC.

Ces derniers permettent  aux postes de travail d'exécuter une machine virtuelle installée directement sur le terminal d'un utilisateur, plutôt qu'à partir d'un serveur au sein d'un datacenter. Cette approche ouvre la voie au modèle « apportez votre propre ordinateur au travail ». Ces portables une fois installé fonctionnent avec un OS virtuel et des applications de l'entreprise, bien séparés de l'usage personnel.

Sur ce type de solutions, VMware a comme concurrent Citrix qui devait dévoiler son hyperviseur client en 2009. Finalement, l'éditeur a attendu mai 2010 pour dévoiler Xen Client.

Une réorientation vers PCoIP ?


Sollicité sur un calendrier,  Bogomil Balkansky, vice-président du marketing produit de VMware, indique « nous n'avons pas de calendrier » et de reconnaître « ce n'est pas un problème informatique facile à résoudre ». Le responsable pense peut-être aux hypothèses émises par le cabinet Gartner pour expliquer ces retards : des difficultés pour intégrer les différents pilotes et la réticence des fabricants à embarquer l'hyperviseur client au sein des machines.

Bogomil Balkansky avance un autre élément : le développement de PCoIP (PC over IP), le protocole de VMware autorisant l'accès à distance aux postes de travail et serveurs de clients légers. Cette technologie prend le pas sur les travaux sur l'hyperviseur bare-metal. Elle est surtout un moyen d'éviter l'écueil des pilotes, audio, USB, webcam, etc.

Deux stratégies semblent donc se dessiner entre Citrix qui va pousser son hyperviseur client, sur une base installée moins importante que celle de son concurrent. VMware de son côté va devoir choisir une position plus claire entre hyperviseur bare metal ou PCoIP, au risque sinon de voir partir ses clients vers les sirènes de Citrix.

(...)

(09/07/2010 13:54:48)

Le gouvernement dit non à la redevance sur les PC

Répondant à une question de Jean-Claude Flory, député UMP de l'Ardèche, le ministre du Budget a écarté l'idée d'une extension de la redevance aux ordinateurs. "Aucune étude ne permet en effet d'affirmer que les ménages français consomment désormais principalement les programmes de télévision sur ordinateur : on observe plutôt des phénomènes de duplication, l'ordinateur devenant "un second écran". C'est la raison pour laquelle le Gouvernement est défavorable à une extension du champ d'application de la taxe aux micro-ordinateurs", a-t-il expliqué. Toutefois, François Baroin juge nécessaire le "suivi de cette question, au travers notamment de l'examen récurrent des modes de consommation des foyers".

L'idée de taxer les ordinateurs de la redevance audiovisuelle avait refait surface ces derniers jours, suite à la remise d'un rapport au Sénat, dans lequel deux parlementaires préconisent de considérer les ordinateurs individuels comme des postes de télévision, et donc de les soumettre à la redevance audiovisuelle. Les deux rapporteurs estiment que les personnes possédant un ordinateur pour recevoir la télévision, mais ne possédant pas de téléviseur dans leur foyer, doivent être soumises à cette taxe.

En janvier 2009, le Sénat avait adopté, contre l'avis du gouvernement, un amendement qui étend la taxe des téléviseurs aux ordinateurs capables de recevoir les programmes des chaînes TV. Toutefois, cette extension n'a jamais été validée en commission mixte paritaire. (...)

(09/07/2010 12:06:22)

Twitter limite les connexions pour les applis externes

Des applications comme TweetDeck et Echofon, clients de gestion pour Twitter, sont désormais limitées à 175 appels API par heure, contrairement aux 350 autorisés jusqu'à présent. Concrètement, cela signifie qu'elles ne pourront plus mettre à jour les tweets aussi fréquemment qu'auparavant. « Les problèmes d'API de Twitter continuent d'affecter tous les clients, car celles-ci sont maintenant fixées à un niveau moins élevé. Cela mènera très probablement à des erreurs du type « limite de connexions dépassée » pour TweetDeck. Nous vous suggérons donc de vous assurer que vous avez activé « Autoriser TweetDeck à gérer ma limite d'API sur Twitter », dans Paramètres > Mises à jour Twitter. Cela devrait éviter que l'application ne manque de requêtes, même si avec une limite API si basse, la fréquence de rafraîchissement sera relativement lente », peut-on lire sur les pages d'aide du programme depuis la semaine dernière.

TweetDeck révèle aussi que quelques utilisateurs ont fait état de limitations à 75 appels par heure. Reconnaissant que de nombreux utilisateurs ont reçu des rapports de dépassement de limite erronés, le service de micro-blogging affirme mener l'enquête pour en déterminer les causes. (...)

(09/07/2010 11:56:35)

5 milliards d'abonnés à la téléphonie mobile dans le monde

Selon le rapport d'Ericsson, la 5 milliardième ligne de téléphonie mobile a été ouverte jeudi 8 juillet. En 2000, le nombre d'abonnés s'élevait à 720 millions, soit à peine le chiffre d'utilisateurs que compte la Chine actuellement. Les recrutements évoluent désormais à un rythme de 2 millions par jour, grâce à la forte croissance des pays émergents, notamment la Chine et l'Inde.

Sur les 5 milliards d'abonnements mobiles, la part des contrats 3G (réseau mobile de troisième génération) s'élèverait à 500 millions. Un chiffre qui devrait atteindre les 3,4 milliards en 2015, selon Ericsson. Avec 5 milliards d'utilisateurs, la téléphonie mobile représente l'une des technologies personnelles la plus adoptée dans le monde, avec le téléviseur (environ 5 milliards également), mais loin devant le PC (près de 2 milliards).

(...)

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