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(12/07/2010 11:15:37)

Avec la liquidation de Péristyle, l'assemblage se réduit au sur-mesure en France

L'effondrement du chiffre d'affaires de Péristyle au cours des dernières années résume à lui seul la difficulté de pérenniser une activité d'assemblage de masse en France, notamment pour alimenter la grande distribution en PC à bas prix. Il était encore de 15 millions d'euros en 2006, est tombé à 7,6 millions en 2007, a légèrement baissé en 2008 (voir Distributique du 24 mars 2009), a chuté à 4,8 millions d'euros en 2009 et le prévisionnel pour 2010 n'était que de 4 millions d'euros. « Il semble définitivement impossible d'être présent sur les marchés volumiques en faisant le travail d'intégration en France », concluait déjà voilà plus d'un an Luc Malgras en tant que Directeur Général de Péristyle.

Dans ce contexte, le moindre incident de paiement pouvait devenir fatal pour l'assembleur aquitain : du point de vue de la banque, un chèque non approvisionné de 1 200 euros a suffit. Déjà placée en redressement judiciaire depuis mi-2009, l'entreprise a donc été liquidée le 31 mai dernier, ce qui a entraîné la destruction d'une vingtaine d'emplois. « Pour une PME comme Péristyle, ce problème de trésorerie pouvait facilement être résolu, d'autant que nous avions 250 000 euros de commandes, mais cela s'est passé au mauvais moment », commente Luc Malgras.

Les marchés de niche subsistent

Cela ne signifie pas que l'assemblage français est définitivement condamné, mais qu'il ne s'approchera plus des marchés grand public. Il ne peut désormais s'agir que de petits volumes, de quelques centaines à quelques milliers de machines, sur des marchés de niches. C'est ce qui a conduit plusieurs ex salariés de Péristyle, dont le Directeur Technique, Christophe Rambeau, et le responsable du SAV, Michel Requier, a créer une nouvelle entreprise d'assemblage, dans la même commune de Gironde, Galgon. Baptisée LC Informatique, l'entreprise affiche un chiffre d'affaires prévisionnel de 1,2 million d'euros pour son premier exercice, avec un effectif de 7 salariés, dont Luc Malgras qui a été « repris » par ses anciens salariés.

Le but est maintenant de fournir des PC spécifiques à une clientèle d'intégrateurs et de SSII. « Sur les marchés professionnels verticaux, les micro-ordinateurs sont désormais le support des logiciels dédiés », commente Luc Malgras. En d'autres termes, le client final n'achète pas une machine, mais une application, avec laquelle le PC est fourni. LC informatique assemble ainsi des configurations sur mesure, pour des usages de CAO ou encore pour les collectivités territoriales. L'assembleur a ainsi conçu un châssis spécifique qui leur permet de glisser les PC derrières une cloison en BA 13. « Si l'objectif de ce premier exercice est atteint, nous devrons certainement embaucher un monteur de plus, car ce type matériels demande une durée d'assemblage plus longue que les PC de masse », conclut Luc Malgras.
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(12/07/2010 11:07:48)

Les ventes de boîtiers de sécurité repartent légèrement à la hausse

Selon IDC, le marché des boitiers de sécurité a connu une hausse en valeur de 0,8% pour 399,5 M$ comparée à 2009, tandis que les volumes atteignaient 134 000 unités en progression de 1,3%. Derrière cette tendance globale positive se cachent toutefois des situations bien différentes en fonction des familles de produits concernées. Le marché ne doit en effet sa progression qu'aux résultats des ventes d'UTM et d'appliances de gestion de contenu. S'agissant de cette dernière famille de produits, la hausse en valeur s'est établie à 42,4% pour un chiffre d'affaires de 92,2 M$. Ce qui en fait, c'est le cas depuis le quatrième trimestre 2009, la seconde famille de boîtiers de sécurité la plus vendue en Europe de l'Ouest. En première position, les UTM ont vu leurs ventes augmenter de 14,3% à 124,4 M$ par rapport au premier trimestre 2009. 

Les firewall en forte baisse

Pour les autres segments de produits qui composent le marché des boîtiers de sécurité, « les résultats sont toujours décevants », commente IDC. Cela se traduit par une baisse de 20,2% (75,56 M$) des ventes de firewall, avec toutefois une forte hausse des revenus pour les firewall haut de gamme. Sur le segment des IPS (détection d'intrusion), le recul est de -29,7% à 56,7 M$. Il s'élève à -16,6% pour les VPN au sujet desquels IDC est toutefois optimiste. Pour le cabinet d'études, l'augmentation du nombre de travailleurs nomades et à distance offre un fort potentiel de croissance à ces produits pour les années à venir. 

CheckPoint dégringole

Toujours leader du marché des appliance de sécurité en Europe de l'Ouest, Cisco renforce en outre sa position avec une part de marché (PDM) de 24,1% en hausse de 1,3 points. Loin derrière lui avec 8,8% de PDM, McAfee se situe en seconde position devant Juniper et ses 8% de PDM. A noter que ce dernier s'est fait ravir la seconde place du marché des UTM par Fortinet pour la première fois en deux ans. Dans le classement général, Fortinet se classe en cinquième position avec une part de marché de 4,3%, inchangée depuis l'an dernier. Seul fabricant de premier plan à avoir vu son poids diminuer, CheckPoint n'a pas fait dans le demi-mesure. Sa part de marché a baissé de 6,6 à 3,6%, le reléguant en cinquième position. 

Crédit photo : McAfee

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(12/07/2010 10:47:41)

Les dernières innovations en sécurité et réseau

Voltaire Vantage 6024 : Pour les flux financiers

Vantage 6024

Le Vantage 6024 est un commutateur Ethernet à 10Gbit/s pour les applications d'échanges de flux financiers. Il comporte 24 ports SFP+ pour des ports Ethernet à la fois 1 Gbit/s et 10 Gbit/s dans un encombrement de 1 U. Sa latence est de moins de 700 nano secondes pour une consommation oscillant entre 115 et 168 watts. Le prix par port est inférieur à 500 $.

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Eucalyptus Enterprise Edition (EE) 2.0 : Pour mieux gérer son cloud

Cloud Eucalyptus


Eucalyptus Enterprise Edition (EE) 2.0 est une solution de gestion de cloud délivrée en Open Source. Cette version 2.0 accepte désormais les machines virtuelles Microsoft telles que Windows Server 2003, 2008 et Windows 7 en plus de Linux.

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QualysGuard Patch Report : Une mise à jour essentielle

Patch Report de Qualysguard

Cette fonction de la solution de gestion de vulnérabilités QualysGuard Vulnerability Management fournit des informations de reporting aux personnels non familiers avec la sécurité de l'entreprise (administrateurs système, opérateurs système). Le patch report inclut un système de prioritisation des correctifs (via un listing) ayant besoin d'êtres appliqués à certains actifs pour réduire les risques et sans avoir à appliquer d'autres correctifs inutiles et redondants. Le Patch Report est la dernière mise à jour du QualysGuard Vulnerability Management.

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Watchguard Reputation Enabled Defense : Pour analyser la réputation des URL

Reputation Enabled Defense de Watchguard

Ce service de Watchguard, spécialiste des routeurs pare-feux, le Reputation Enabled Defense (RED) cible la sécurisation de la navigation Internet. Il s'agit d'un outil de consultation de réputation des URL délivré en mode cloud qui permet de savoir si les URL que l'on veut afficher sont bonnes, mauvaises ou inconnues.



WatchGuard SSL 560 VPN : Jusqu'à 500 utilisateurs

SSL VPN 560 de Watchguard


Le SSL 560 de Watchguard est un boîtier de sécurité qui assure la prise en charge de 500 utilisateurs simultanément pour des réseaux virtuels VPN de type SSL. Il est commercialisé à partir de 9000 $.

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Brocade 804FC Host Bus Adapter : Pour étendre un réseau FC


804 FC Host Bus Adapter

Cette carte réseau pour serveur proposée par Brocade, leader des réseaux Fibre Channel, supporte l'optimisation des applications serveur pour étendre les réseaux Fibre Channel des centres informatiques vers les serveurs. Elle cible l'optimisation de la performance des applications et des machines virtuelles.


Brocade FC8-64 blade : Commutateur FC haute densité

Lame FC8 64

La lame FC8-64 blade comporte 64 ports à 8 Gbit/s pour les commutateurs SAN de HP/Brocade. Elle augmente la densité de ces derniers de 33%. Cette plus grande densité est destinée à supporter les usages grandissant de serveurs virtuels.

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Silver Peak VX virtual WAN controller : Plus besoin d'appliance

Vantage 6024

Ce logiciel contient toues les caractéristiques des produits NX de Silver Peak, mais ne nécessite plus de matériel spécifique. Il s'installe directement sur des machines standards. L'objectif de ce logiciel est de réduire les coûts en matériel et de mettre en place cette solution sur des sites qui n'auraient pas forcément les moyens d'investir dans du matériel.

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Service-now.com Spring 2010 : Mieux gérer son parc de mobiles

Service-now.com

Cette version de la plateforme de management IT en mode SaaS supporte désormais des caractéristiques comme le multitouch, le  HTML5, les plateformes iPad et iPhone ainsi que les recherches globales provenant de n'importe quel browser mobile. Elle comprend désormais un système de contrôle automatique de confirmité du logiciel sur les postes clients, un système de recherche sur mobile amélioré ainsi qu'un plus grand contrôle sur les personnalisations du logiciel.

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Sepaton S2100-ES2 Series 1900/2900 : Assembler plus simplement ses baies de disques

Sepaton

La version 5.4 du S2100-ES2 pour les baies de disques de stockage inclut une fonction d'assemblage de ces derniers. Cela permet aux systèmes de Sepaton de constituer un plus grand nombre d'ensembles de disques durs, incluant les systèmes multi-tenants avec sélection de données. Un système d'analyse de données (Content Aware) permet une gestion des données granulaire et un reporting. Le logiciel supporte également les baies AMS2100 de Hitachi.
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(12/07/2010 10:25:24)

Netgem affiche son ambition à l'international

Le 8 juillet dernier, Netgem a présenté un bilan du premier semestre de son activité. Le chiffre d'affaires global atteint 74,3 millions d'euros. La part de l'international s'élève à 12 millions d'euros soit dix fois plus qu'en 2009 grâce essentiellement à la signature du contrat avec Telstra (l'opérateur télécoms historique australien). Netgem envisage la Set Top Box comme un agrégateur de fonctionnalités c'est-à-dire un "media center". L'entreprise française estime qu'il faut placer toute la technologie de TV sur IP dans les box et non plus dans les infrastructures de services. Cela permettrait d'optimiser la délivrance des programmes TV. Le logiciel Netgem TV implanté dans la box permet l'accès à de multiples sources de contenus comme du broadcasting, des services web ou encore une plateforme sur le réseau domestique de la maison. Un middleware permet en outre la lecture de nombreux langages internet tels que le HTML et assure la compatibilité avec Linux. Dernier point, un outil de développement (SDK) est placé dans la box afin de créer des application personnalisées à l'instar d'un appstore (magasin d'applications).

Des fonctionnalités déjà présentes chez d'autres

Netgem à également fait une démonstration du fonctionnement de ses solutions via le portail de Monaco Télécom qui comme Telstra est un de ses client. Ainsi les 17 000 monégasques souscrivant à l'offre de Monaco Télécom ont accès à un portail généraliste d'où ils peuvent regarder la TV, et également avoir accès à certains contenus web tels que YouTube ou encore à un système de VOD (Vidéo à la demande) et de vidéo de rattrapage (catch-up TV). Un dispositif de contrôle à distance permet l'enregistrement de programmes. A noter qu'un smartphone (iPhone, iPad, Blackberry etc.) peut faire office de télécommande via une application gratuite téléchargeable en ligne sur un magasin d'applications.

Photo : Set Top Box de Netgem, D.R
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(12/07/2010 11:35:16)

France Telecom conteste le plan THD 92

(Source EuroTMT) La charge est violente. Si le réquisitoire vise, a priori, la Commission Européenne, il s'adresse, en fait au Conseil Général des Hauts-de-Seine. Le document compte 38 pages, sans les annexes, adressé par l'opérateur historique tricolore à la Cour de justice européenne. Il s'agit du recours déposé fin mai 2010 par France Télécom contre la décision de la Commission européenne d'autoriser la subvention de 59 millions d'euros décidée par le département des Hauts-de-Seine dans le cadre du projet de réseau public à très haut débit, baptisé THD Seine. L'opérateur historique juge que cette décision doit être annulée pour deux raisons. La première est que le projet du 92 « ne saurait être qualifié d'intérêt général » et la seconde est que « la Commission ne pouvait pas adopter sa décision sans ouvrir une procédure formelle d'examen ». Sur ce deuxième point, la démonstration de l'opérateur tricolore semble imparable.

La bataille juridique s'annonce longue

Alors que la notification de la subvention est intervenue le 27 juin 2008, la décision de la Commission Européenne n'a été rendue que le 1er octobre 2009. Soit un délai de quinze mois, alors que « dans la grande majorité des décisions similaires, la durée d'examen généralement observée est d'environ 6 mois, ce qui est déjà en soi une dérogation à la règle des 2 mois » note l'opérateur. D'autant que durant cette procédure, les autorités européennes n'ont pas cessé de demander des précisions supplémentaires à l'Etat français. Devant cette durée, l'opérateur en conclut donc qu'il y a avait suffisamment de doutes pour amener la Commission à ouvrir un examen approfondi, qui aurait permis à toutes les parties, y compris aux opérateurs opposés au projet, de faire valoir leurs arguments.

Un intérêt général peu convaincant


Sur le premier point - s'agit-il d'un projet d'intérêt général ?- c'est une attaque en règle à laquelle se livre France Télécom, d'autant que les précisions apportées par la France lors de l'examen montrent que la décision de la Commission s'est basée sur des critères qui ne figuraient pas dans l'appel aux candidatures pour la délégation de service publique !

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Ainsi, selon l'opérateur, le taux de rendement interne, fixé par le délégataire, Sequalum et non pas la collectivité locale, est de 10,63 %, subvention comprise, soit un taux supérieur au ratio des projets réalisés par les opérateurs privés non subventionnés. De plus, le niveau élevé du TRI (Taux de Rentabilité Interne) est justifié par l'existence de zones non rentables, calculées non pas au niveau d'une commune, comme c'était le cas dans l'appel d'offre lancé par le Conseil Général, mais en fonction d'un découpage par SRO (Sous Répartiteur Optique), un critère qui n'a jamais été communiqué aux candidats et qui ne correspond pas au maillage du département proposé par Séqualum !

69 millions d'euros de subvention ?

D'autre part, en reprenant les données communiquées à la Commission européenne, France Télécom affirme que le montant, déjà trop élevé, de la subvention n'est pas de 59 millions d'euros, mais de 64 millions d'euros. Contacté par EuroTMT, le Conseil Général a refusé de répondre à nos questions. Autre information capitale dévoilée par France Télécom, la DSP (délégation de Service Public) va se réaliser en deux temps, mais seule la première tranche a été autorisée, la réalisation de la deuxième tranche nécessitant un nouveau vote. Or, ce sont les zones les mieux couvertes, celles où les centres d'affaires les plus importants sont concentrés, qui sont concernées par le première tranche. Les zones blanches ou non rentables figurent dans la deuxième.

Des objectifs sociaux et concurrentiels incertains


Ce qui amène France Télécom à considérer que ce projet n'aurait pas dû être autorisé puisque son objectif social n'est pas à ce jour certain. D'autant que, comme le rappelle l'opérateur historique, depuis le lancement de ce projet en 2004, le département l'a toujours justifié pour défendre et améliorer l'attractivité économique du département et non pour des raisons sociales avancées uniquement devant la Commission européenne pour faire passer le projet !

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Enfin, France Télécom enfonce le clou en rappelant que la situation de la fibre optique décrite en 2004 par le département et la situation actuelle n'ont plus rien à voir. Si en 2004, alors que les réseaux xDSL étaient en train de décoller, aucun opérateur ne parlait de la fibre optique, ce n'est plus le cas aujourd'hui. L'opérateur réaffirme son objectif de couvrir 100 % du département en très haut débit dans les cinq ans qui viennent. Contrairement aux affirmations du département ou de la Commission européenne, il n'y a donc pas défaillance des opérateurs privés, ce qui aurait dû empêcher que le projet soit qualifié de service d'intérêt économique général.

Et l'opérateur de rappeler qu'un autre SIEG (Service d'Intérêt Economique Général), non financé par des fonds publics, existe déjà dans le département, le réseau Irisé, déployé par le Sipperec. D'où la conclusion de l'opérateur que la subvention versée par la collectivité des Hauts de Seine ne vise pas à développer un réseau d'intérêt général, mais à soutenir financièrement un troisième projet concurrençant les deux réseaux déjà en place.

Pour France Telecom, THD Seine ne correspond donc pas aux critères établis par la jurisprudence Altmark invoquée par la commission européenne pour le qualifier de SIEG. La mise en évidence par l'opérateur historique de cette accumulation d'incohérences suscite une question : comment la Commission européenne a-t-elle pu se laisser embringuer dans un dossier aussi mal ficelé ?

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