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(08/07/2010 11:03:28)

La cotation de Facebook bientôt en orbite ?

(Source EuroTMT) L'idée de l'entrée en bourse n'est pas neuve. L'information avait déjà circulé sur la Toile en 2007. Puis en mars dernier après la publication dans le Wall Street Journal d'une interview du golden boy. « Nous entrerons en bourse un jour, tout simplement parce qu'il s'agit du contrat que nous avons avec nos investisseurs et nos employés. En revanche, nous ne sommes pas vraiment pressés » déclarait à l'époque le fondateur de Facebook. Reste aussi la grande question qui circule dans le milieu des affaires, quelle sera la valorisation de la société ?

Quid de la valorisation

L'an dernier, quelques analystes estimaient que la firme pourrait être valorisée à hauteur de 40 milliards de dollars, voire 59 milliards en 2011. Pour preuve, des analystes américains citaient l'exemple de Google qui avait atteint les 27 milliards de dollars lors de son introduction en bourse en 2004. Aujourd'hui, Google pèse environ 150 milliards de dollars. Du coup, toutes les estimations sont permises en ce qui concerne Facebook. Pour la petite histoire, la décision de faire le triple saut périlleux aurait été prise après la mise au point des résultats financiers enregistrés en 2009. Une année record pour le site créé en février 2004. Depuis décembre 2009 Facebook rassemblerait plus de 400 millions de membres actifs au niveau mondial dont 15 millions en France. Soit une augmentation de 50 % par rapport à 2008.

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Toujours côté chiffres, le site a réalisé 800 millions de dollars de chiffre d'affaires, contre 300 millions l'année précédente. Selon la rumeur, ces recettes seraient par ailleurs assorties d'un bénéfice net estimé à plusieurs dizaines de millions de dollars. Ce rythme de croissance particulièrement exceptionnel en période de crise est justifié en coulisse par l'augmentation du nombre de visiteurs d'une année sur l'autre.

Garder le contrôle de la société

L'entreprise compte aujourd'hui quelque 700 salariés ainsi que des collaborateurs occasionnels éparpillés aux quatre coins du monde. Côté gestion, le passage en bourse ne changera rien au système actuel. De fait, Mark Zuckerberg n'a aucunement l'intention de lâcher les commandes de l'avion au contraire. Cet homme dont le patrimoine personnel est estimé à 4 milliards de dollars par la revue Forbes se dit en effet très à l'aise dans ses bottes de grand patron.

Et son prochain objectif, mis à part l'entrée en bourse, est de rassembler un milliard d'internautes d'ici peu. L'idée est ambitieuse mais elle permettrait à Mark Zuckerberg, de concrétiser un autre objectif, à savoir augmenter le chiffre d'affaires publicitaire. Des accords ont déjà été passés à titre de ballon d'essai notamment avec l'agence Tribal DDB de Chicago.

Rebaptisée «  proximity and delivery system », la formule mise en place permet de toucher les consommateurs équipés de smartphones et de leur offrir des ristournes dans les cafés Starbucks moyennant un message expédié via Facebook. Une idée que Mark Zuckerberg veut développer en s'associant à plusieurs entreprises. Cela devrait avoir lieu avant la présentation en bourse pour augmenter les recettes, et donc la valorisation de Facebook.

(...)

(07/07/2010 17:17:05)

Interpol chasse les fugitifs grâce aux Internautes

Il est assez rare que l'organisation internationale de police criminelle implique le grand public dans ses recherches. Avec le développement des réseaux sociaux et la vitesse de transmission des informations, Interpol a donc décidé d'utiliser ces canaux pour obtenir des informations sur des fugitifs. Cet appel au public s'inscrit dans le service, baptisé Infra-Red (International Fugitive Round-Up and Arrest - Red Notices), qui  visait 450 personnes en fuite. Tous ces individus ont été reconnus coupables, ou sont soupçonnés, d'infractions graves (meurtres, abus pédosexuels, viols et trafic de stupéfiants notamment). Inauguré en mai dernier, ce service a permis d'arrêter ou de localiser 107 personnes.

Pour Martin Cox, coordinateur de l'opération Infra-Red et Sous-directeur chargé du soutien aux enquêtes sur les malfaiteurs en fuite d'Interpol. « Il y a plus de chances que quelqu'un reconnaisse l'un de ces fugitifs sur un site de réseau social ou dans un espace de discussion qu'en le croisant dans la rue, mais quelle que soit l'origine des informations dont dispose le public, nous lui demandons de nous les transmettre ».

Les informations relatives au lieu de séjour des personnes visées par l'opération Infra-Red ou de n'importe quelle autre personne recherchée au niveau international peuvent être envoyées à l'adresse fugitive@interpol.int. (...)

(07/07/2010 16:15:45)

E-commerce : la fraude a encore augmenté en 2009

Fia-Net, filiale du Crédit Agricole, spécialisée dans la labellisation des e-commerçants et l'analyse des transactions financières marchandes, publie son Livre Blanc pour 2010 concernant les fraudes bancaires en ligne observées sur l'année 2009. Le volume étudié représente plus de 3 milliards d'euros de chiffre d'affaire, répartis en 17 millions de transactions sur lesquelles la société a relevé 450 800 tentatives de fraude.

Une hausse globale, mais sur des paniers plus restreints

Les e-commerçants ont subi des tentatives de fraudes pour un montant de 86 millions d'euros, soit un taux de 2,82%, supérieur aux 2,69% de l'année précédente, sur la somme totale des transactions. Cela représente un taux d'impayés quant à lui stabilisé à 0,15% du chiffre d'affaire des marchands en ligne, sur des paniers moyens ayant statistiquement baissé de 435 € à 357 € par rapport à 2008. En somme, il y a plus de fraudes, mais sur des montants moins importants qu'auparavant et donc plus difficilement repérables. Fia-Net tente aussi d'extrapoler ces résultats par rapport à l'ensemble du marché français des transactions commerciales en ligne, identifié par la FEVAD (Fédération de l'e-commerce et de la vente à distance). L'entreprise estime alors, sur les 25 milliards d'euros de chiffre d'affaire relevés par la fédération, que le montant des tentatives de malversations s'élèverait à 705 millions d'euros, et que 36 millions auraient effectivement été détournés par ces attaques.

Des réseaux criminels bien organisés

Fia-Net constate que les fraudeurs, organisés en réseaux pour la plupart, rivalisent d'ingéniosité en développant des moyens sans cesse réinventés pour parvenir à leurs fins. La société relève que le nombre de tentatives effectuées par des personnes connues de ses services a augmenté de 47%, soit 140 064 sur les 450 800 relevées.

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Le chiffre est à corréler avec le nombre d'identifications estimé à 53 000, soit une hausse de 42%. D'après les analyses, ceux-ci effectueraient en moyenne 2,64 délits chacun, pour un montant moyen de 295 €. L'étude remarque aussi que le nombre de réseaux organisés a triplé, de 2394 en 2008 à 7009 en 2009. Ils sont désormais composés de moins d'individus, afin de limiter les risques de détection.

Le textile comme nouvelle cible de choix

Même si le matériel informatique reste le secteur le plus sujet aux malversations (panier moyen d'impayés de 614 €), un regain d'intérêt est observé pour les articles textiles et mode, avec 92% d'augmentation des impayés par rapport à l'année précédente. Le secteur représente même 51% du nombre de fraudes total relevé. Fia-Net note en effet qu'il s'agit de produits plus facilement et discrètement recelés que les produits informatiques.

Les fraudes à la carte bancaire restent donc un risque majeur pour le e-commerce, et ce malgré la mise en place de dispositifs de sécurité de plus en plus précis. Les capacités d'adaptation des criminels en ligne, que ce soit au niveau de leur structure, du mode opératoire ou de leurs outils font qu'il est bien difficile de diminuer le taux de tentatives, mais aussi celui d'impayés. La stabilité de ce dernier, relevée depuis trois années consécutives par l'agence de certification, démontre tout autant la faculté des solutions de sécurité e-commerce à résister à ces attaques, que leur incapacité à renverser notablement la tendance.

(...)

(07/07/2010 15:42:31)

EMC acquiert Greenplum, spécialiste de la BI

EMC va s'emparer de la société Greenplum, pour un montant non dévoilé. Cette acquisition devrait donner naissance à une entité spécifique, « Data Computing Product » sur la technologie proposée par la jeune société. Elle sera dirigée par le CEO de Greenplum, Bill Cook qui répondra à Pat Gelsinger.  L'entreprise vend des logiciels pour analyser de grandes quantités d'informations qui sont collectées dans plusieurs bases de données et traitées séparément pour apporter plus rapidement des résultats aux requêtes. « La solution repose sur l'infrastructure de stockage et de calcul de la société pour permettre aux utilisateurs d'obtenir des réponses sur les données » souligne Scott Yara, co-fondateur de Greenplum.

Lors d'un passage à Paris pour signer un partenariat de distribution avec Team Partner, les deux fondateurs de Greenplum, Scott Yara et Luke Lonargan, ont présenté leur société. Basée à San Mateo en Californie, elle a été fondée en 2003. Elle compte 140 employés, qui seront intégrées dans EMC. Pour la petite anecdote, on retiendra que le nom de la société a été trouvé par un des enfants d'un dirigeant, qui après avoir proposé Apple, a finalement choisi ce qu'il voyait dans un panier de fruit, Greenplum (reine claude). Lors d'une discussion avec Luke Lonargan, il nous avait indiqué être en discussion avec EMC et vouloir proposer à la fin de l'année 2010 une appliance (en concurrence avec Terradata ou Netazza).

La donnée a une valeur ajoutée

A travers plusieurs exemples, Greenplum a démontré la valeur ajoutée des millions d'informations intégrées dans les bases de données. Ainsi, pour l'opérateur T-Mobile, le traitement des données a permis de comprendre les raisons du taux d'attrition des abonnés et de leur proposer des offres ad hoc.

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Un service à la volée a même était installé, pour que les salariés puissent, sans passer par les responsables IT, émettre des requêtes sur la base de données. Idem pour une banque américaine, qui avec la crise, avait eu l'opportunité d'acquérir plusieurs sociétés concurrentes. Elle a chargé Greenplum de travailler sur les différentes données pour mieux accompagner les clients des différentes sociétés rachetées (offre adaptée, uniformisée, etc.). Luke Lonargan explique que « peu de gens savent que les données de leur entreprise représente un atout majeur, il suffit simplement de leur démontrer que la donnée a une valeur ajoutée à condition de la traiter ».

Pour EMC, l'intégration de la technologie Greenplum va impacter plusieurs divisions dont le stockage, la sauvegarde, la sécurité. Elle suivra en cela l'expérience du rachat de Documentum, à la différence que ce dernier traitait des données non structurées, alors que Greenplum s'adresse aux informations structurées, souligne Chuck Hollis, vice-président d'EMC. Celui-ci a déclaré qu'il continuera à vendre l'ensemble du portefeuille de produits Greenplum tout en développant un matériel intégré. EMC poursuit ainsi sa montée en puissance autour des services du traitement de la data et de la BI. Il est probable que cela annonce d'autres acquisitions en la matière pour compléter cette nouvelle division.j

(...)

(07/07/2010 15:36:19)

Oracle lance sa suite décisionnelle OBIEE 11g

L'éditeur de Redwood, qui a jusqu'ici révélé peu de détails sur le produit, a qualifié sa nouvelle suite de plate-forme «leader de l'industrie» dans un post annonçant le lancement du 7 juillet. Toujours selon ce post, la suite Business Intelligence offre des capacités d'analyse améliorées, des fonctions de visualisation, de recherche, de collaboration et de gestion système. Le message indique également que OBIEE 11g permet aux entreprises de lier plus étroitement les activités d'analyse décisionnelle à la planification des ressources dans l'entreprise (ERP).

D'autres éléments sur la suite ont pu être glanés ici et là. Comme dans cet entretien paru dans Database Trends and Applications où un responsable et un partenaire d'Oracle indiquent que cette version permet une plus grande intégration avec les applications Fusion et Scorecard d'Oracle, ainsi qu'avec Essbase Online Analytical Processing Server, acquis par Oracle avec l'achat d'Hyperion.

Un nouveau moteur de rendu graphique

La version a été architecturée pour être complètement basée sur le Web. Elle est capable de prendre en charge des sources de données hétérogènes et s'intègre bien avec le langage relationnel XML et les bases de données OLAP, comme le rapporte la revue Database Trends and Applications. Cintra Inc, un partenaire d'Oracle basé à New York, qui semble avoir été un bêta-testeur du produit, a déclaré dans un blog que « l'« aspect et la convivialité » de l'interface graphique de la nouvelle suite BI sont excellents. » OBIEE 11g offre « un nouveau moteur de rendu graphique signé Oracle, une meilleure fonctionnalité d'indexation et de recherche des états et met à profit Essbase d'Hyperion pour accélérer la performance des applications disponibles avec OBIEE 11g, » indique également Cintra.

Crédit photo : Oracle

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Boris Evelson, analyste chez Forrester Research à Cambridge, Massachusetts, complète ce tableau en ajoutant que les utilisateurs peuvent s'attendre à voir dans OBIEE 11g d'Oracle des technologies résultant du rachat d'Hyperion et de Seibel, « deux acquisitions très importantes, » selon l'analyste. « Depuis ces rachats, ajoutés aux outils de BI propres à Oracle, l'entreprise s'est retrouvée en possession d'instruments réalisant le même travail, » a déclaré Boris Evelson. «Ils ont dû passer beaucoup de temps à concilier ces technologies, » a-t-il ajouté. « Maintenant que l'intégration de ces technologies est achevée, le lancement de OBIEE 11g aujourd'hui met en avant le fait que l'entreprise est devenue le chef de file du secteur de l'analyse décisionnelle, » a dit Boris Evelson. « Le produit d'Oracle arrive à un moment où l'intérêt du marché pour les outils de Business Intelligence est en plein essor, » a-t-il ajouté. «L'analyse décisionnelle est une priorité en tête des ordres du jour de nombreux grands fournisseurs comme IBM, SAP, SAS et Oracle. Ce qui fait prévoir à Boris Evelson que le produit d'Oracle sera favorablement accueilli par les clients. «Ce BI arrive avec beaucoup de fonctionnalités qui viennent combler les lacunes des versions antérieures, plus quelques autres éléments qui le placent au-dessus de ses concurrents, » a-t-il dit.

Pour le moment, on ne sait pas exactement quand OBIEE 11g d'Oracle sera disponible, mais la version américaine du produit est prévue pour le 20 juillet.

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(07/07/2010 14:22:45)

Interview : Massimo Spada, DSI d'Alstom


Interrogé sur le déploiement de Microsoft Office 2010/Office Live sur 60 000 postes chez Alstom, Massimo Spada, DSI de l'entreprise, détaille les raisons de ce choix.

LMI : Quel était l'objectif d'Alstom dans le cadre de cet appel d'offres qui a notamment opposé Google et IBM à la solution Microsoft ?

Massimo Spada : Nous voulions une suite intégrée capable de résoudre les problèmes d'obsolescence de nos installations logicielles. Notre parc, au niveau bureautique, était équipé des versions 2000 d'Office ainsi que de versions obsolètes de Lotus Notes, et il était grand temps de mettre à niveau l'ensemble des stations de travail. Mais nous voulions aussi développer la collaboration dans l'entreprise, notamment avec la mise en place du programme Alstom Collaborative Way. Il nous manquait les outils techniques pour réellement développer ce plan au sein de l'entreprise. Dans cette optique, nous avons commencé à réfléchir à ce bouleversement il y a environ deux ans, puis il y a un an nous sommes rentrés dans une phase plus opérationnelle, avec par exemple des visites de sociétés en train de mener le même type de projet, des rencontres avec des analystes, etc. Puis il y a quelques mois, on s'est dit qu'il fallait se lancer, prendre une décision rapide cette année. Les outils du « package » de Microsoft répondaient à nos objectifs, et donnaient cette bouffée de modernité à travers le passage sur Online Services. Cette démarche s'inscrit complètement dans notre plan de transformation des systèmes informatiques d'Alstom.

Pour consulter l'intégralité de cette interview, rendez-vous dans notre rubrique Entretiens.
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(07/07/2010 14:06:40)

400 comptes iTunes piratés sur 100 millions

Le site Engadget a reçu, lundi, un email de la part d'Apple, indiquant que le pirate vietnamien, Thuat Nguyen, pointé du doigt par des développeurs d'applications ebooks lésés par ses actions, avait été banni, tout comme ses programmes. « Le développeur Thuat Nguyen et ses applications ont été exclus de l'App Store pour avoir violé le Program Licence Agreement, notamment par des comportements d'achat frauduleux », était-il écrit dans le mail. Celui-ci ajoute que « les développeurs ne reçoivent aucune donnée confidentielle du compte client iTunes lors lorsqu'une application est téléchargée ».

Les avis divergents sur la dimension de ce piratage

Ces quelques mots admettent pourtant que problème il y a eu, tout en occultant sa cause. Seuls 400 comptes iTunes sur la centaine de millions auraient été piratés. Alexdander Brie, lui, en est persuadé, après que son programme Self Help Classics ait été relégué en dehors du top 50 ebooks par l'introduction de près de 40 programmes frauduleux et de mauvaise qualité du développeur vietnamien dans celui-ci. Il soupçonne Thuat Nguyen d'avoir acheté ses propres applications via le piratage de comptes iTunes. Alexander Brie estime que ce dernier aurait ainsi détourné environ un million de dollars, qui ont toutefois été bloqués, et n'ont donc pas été versés au pirate. « Il faut à peu près 100 ventes par jour pour sécuriser la neuvième place dans le top ebooks américain. Multipliées par les 4,99 $ que coûte une application, et par les 41 concernées, le résultat tournerait autour de 20 000 $ par jour. Cela ferait un million de dollars depuis la mi-mai, même si ce pourrait être au moins le double techniquement » détaille-t-il.

Crédit photo D.R.

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Mais pour un autre développeur, préférant rester anonyme, n'est pas convaincu qu'iTunes ait été effectivement piraté. « Je pense qu'il s'agissait plutôt d'une fraude à la carte bleue. La remontée dans le classement n'était qu'un dommage collatéral qui a exposé Nguyen. Il en a voulu trop, trop vite. Cela aurait pu durer bien plus longtemps » affirme-t-il.

Apple remis en cause pour sa communication

Entre ce mail en demi-teinte et les précédents de l'entreprise dans l'exclusion d'applications pour iPhone non-frauduleuses elles, Apple se retrouve passablement décriée. Les explications tardives sur les événements ayant impliqué le pirate vietnamien et le détournement des comptes iTunes jouent en la défaveur de l'entreprise. Elle est d'ailleurs actuellement décriée pour la faible crédibilité de ses explications sur les problèmes d'antenne de l'iPhone 4, impliquant une cause purement logicielle plutôt qu'un problème de design.

Une sécurité légèrement renforcée

La conclusion de leur mail est toute aussi évasive, conseillant aux clients iTunes de changer leurs mots de passe, et d'annuler les achats en cas de prélèvements indésirés avec leurs cartes, reportant la faute sur une mauvaise sécurisation des comptes par leurs propriétaires. Beaucoup de mots de passe sont en effet encore du type « azerty » (« qwerty ») ou « 123456 ». Enfin, Apple a décidé de revoir ses règles de sécurité, en demandant à ses clients les trois chiffres inscrits au dos de leur carte bancaire. (...)

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