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(08/07/2010 16:40:29)

Réorganisation fonctionnelle à la CNAF

Ancien DSI de la Caisse Nationale des Allocations Familiales (CNAF), Gérard Russeil, aujourd'hui chez Chorégie (un GIE de mutuelles), a eu pour délicate mission de piloter la transformation de la vieille maison en charge du calcul des droits et du versement des prestations sociales à destination des 11 millions d'allocataires et des 33 millions de bénéficiaires (1 allocataire = 1 famille et 1 dossier). En 2009, 67 milliards d'euros ont ainsi été versés par les services de la CNAF.

Parmi les derniers chantiers, la mise en oeuvre du projet phare du Martin Hirsch, l'ancien Haut-commissaire aux solidarités actives contre la pauvreté, le RSA. « On connaissait le projet et on avait une date butoir  pour calculer et verser les allocations. Il s'agissait d'un gros changement par rapport au RMI. La prestation touche un public plus large avec notamment le versement  d'une allocation complémentaire à une activité salariée qui varie en fonction des ressources », précise l'ancien DSI. Le dispositif est assez complexe et concerne des personnes dans des situations sensibles. Le moindre retard aurait en effet entrainé des débuts de mois difficiles dans certains foyers. « Nous avons effectué le travail en moins de six mois pour tenir les délais avec les Conseils Généraux. » La CNAF est l'opérateur de paiements des droits aux bénéficiaires, le dialogue est donc permanent avec Pôle Emploi et les Conseils Généraux. « Nous devons nous mettre à la disposition de nos partenaires pour assurer les traitements et les paiements des prestations ». Dernière demande émanant du gouvernement, la suppression des allocations familiales en cas de manquement aux responsabilités familiales. « Il a fallu répondre rapidement à cette demande. Nous étions un peu time to market », précise Gérard Russeil.

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Pour répondre à ses nombreuses missions, l'ancien DSI peut compter sur 900 salariés en interne et 150 consultants. « Dans l'obligation de travailler avec d'anciennes technologies comme le Cobol, nous confions progressivement à des prestataires externes pour développer en interne de nouvelles compétences ». 150 personnes travaillent par exemple sur le moteur public. Les  départs en retraite sont encore replacés et les effectifs repositionnaient sur les secteurs d'avenir. « La règle de la DSI était de conserver les effectifs pour préserver le fonctionnement du système d'informations. La dispersion territoriale, très forte, correspond aux développements rapides des CAF après la Seconde Guerre Mondiale ».  Des outils Java ont ainsi été développés pour faciliter la maintenance et unifier les 36 000 postes de travail dans les différentes antennes régionales. Une fois déballés, ces derniers sont immédiatement opérationnels. 23 000 postes qui combinent téléphonie et accès aux applications en ligne sont utilisés par des techniciens sur le portail Nims (Navigateur Intranet Multi Services). Le CRM repose également sur un développement interne pour assurer un workflow numérique. Sans papier, les CAF locales bénéficient de moins de contraintes pour le traitement des dossiers. « Les déclarations de ressources en ligne ont atteint  40% en moyenne en 2008 et même 50% dans certaines CAF. Mais personne ne doit être exclue par la fracture numérique, les autres ressources d'accès doivent rester disponibles », explique encore Gérard Russeil.

Repenser la dispersion géographique de la Cnad

Un des grands chantiers 2009/2010 portait sur une réorganisation des huit centres régionaux de production de la CNAF qui reposent encore sur des mainframes. Cinq sont fournis par Bull et les trois autres par IBM. Tous les métiers de la DSI sont basés sur ces huit entités qui travaillaient en parallèle avec les mêmes applications. Le grand projet de Gérard Russeil consistait donc à spécialiser ces centres avec pour chacun une mission et une certification bien particulière. « Avec l'aide de nos partenaires, nous avons réalisé une concentration technique sur les huit centres. A Bordeaux le traitement et le calcul des droits qui fonctionnent avec notre moteur Cristal, à Dijon la paie, à Rennes l'analyse décisionnelle, au Mans la GED, à Valenciennes l'acquisition automatique de documents,  à Paris le plan de reprise et l'intégration des recettes et des systèmes au niveau national, à Lyon, le développement et à Nice l'hébergement du site Caf.fr qui support 1,2 million de connexions par jour. » Pas encore de cloud, mais Gérard Russeil nous avouait  réfléchir à un cloud interne commun aux huit centres de production. Cette réorganisation a toutefois permis de gagner en performances à Bordeaux, notamment grâce au passage à la base de données PostGreSQL et à de nouvelles machines Bull (voir encadré).

Pour son grand chantier mainframe, la DSI de la Cnaf a demandé aux équipes de revoir et de documenter leurs méthodes de travail pour répondre à la norme ISO 20 000 en vue d'une certification en 2012. « Il s'agit de partager la même méthode de travail dans tous les centres entre clients et fournisseurs et de passer de 8 organisations à une seule globale. ». Certains centres développent même de nouvelles compétences comme l'audit green IT à Bordeaux avec le concours d'APC. L'unité de Grenoble, qui dispose de systèmes Bull, surveille en temps réel le centre de Bordeaux. Si la collaboration avec Bull n'est pas remise en question, la Cnaf se dirige progressivement vers des solutions Open Source et non-propriétaires. « Notre patrimoine logiciel est trop important pour retomber dans des systèmes fermés ».

(...)

(08/07/2010 16:30:08)

Infor s'empare des activités ERP LN de Qurius

L'éditeur de solutions métiers dédiées aux entreprises du « mid-market » a annoncé la reprise des activités ERP LN de Qurius.

Les deux sociétés étaient à l'origine partenaires. Qurius est intégrateur d'Infor pour accompagner ces clients en matière d'architecture, de déploiement et de gestion de systèmes, ainsi que de solutions IT y compris sur les infrastructures. La firme belge disposait d'une compétence propre sur les solutions ERP LN, progiciel de gestion intégré. C'est cette activité que vient d'acquérir Infor.

L'accord prévoit que les 60 membres de Qurius en charge du service clients d'ERP LN en Italie, en Allemagne et en Espagne rejoindront les équipes d'Infor. Ce dernier reprend donc la main sur la distribution de sa solution PGI. Pour Dennis Michaelis, vice-président senior d'Infor « cette opération ne représente pas un changement de stratégie, elle nous permettra au contraire de continuer à investir dans notre programme Channel et de recruter de nouveaux partenaires partout dans le monde ».

Aucun montant n'a été dévoilé sur cette opération.

(...)

(08/07/2010 16:21:43)

Les antivirus gratuits dominent le marché de la sécurité

Opswat, éditeur d'outils de développement, comme Oesis, utilisés pour administrer les applications de sécurité, a publié une étude sur les solutions de protection adoptées par les utilisateurs. Celle-ci s'attarde particulièrement sur les marchés anglophones. L'entreprise a collecté des données à partir des utilisateurs de Windows ayant fait usage de « AppRemover », un programme servant à désinstaller entièrement les applications de sécurité, mais aussi de ceux ayant fait usage de « Am I Oesis OK ? », qui détecte les conflits entre ces logiciels et les applications tierces. Ces deux outils sont gratuits, et auraient, d'après Opswat, des « centaines de milliers » d'utilisateurs.Premier résultat de l'enquête : les grandes marques comme Symantec et McAfee ne dominent pas le marché. Les logiciels de sécurité gratuits sont, sans surprise, les grands gagnants, avec une part de marché de 40% de ces derniers, d'après le rapport. « Il semblerait que les utilisateurs finaux font autant confiance aux antivirus gratuits qu''à ceux qui sont payants », précise Opswat.

La victoire de la gratuité ?

Les logiciels gratuits sont positionnés aux quatre premières places des solutions de sécurité effectivement déployées : 11,45% pour Avast, 9,19% pour Avira AntiVir, 8,6% pour AVG et enfin 7,48% pour Security Essentials de Microsoft. Pour Ruggero Contu, analyste chez Gartner, ces chiffres ne sont pas étonnants. Les produits gratuits ont, selon lui, de fortes chances d'être populaires en période de récession, tandis que les utilisateurs avancés iront plutôt vers les logiciels payants afin d'avoir accès aux fonctions de backup et de cryptage. « Je pense que dans l'ensemble, les produits gratuits sont perçus comme suffisamment fiables », ajoute le consultant.

Une compétition bien réelle

L'antivirus payant d'Avast (pour un usage professionnel) n'arrive qu'en cinquième position, avec 5,4%, suivi par deux autres logiciels payants, Kaspersky Internet Security, à 4,48%, et Norton AntiVirus à 4,24%. Les éditeurs ne passant pas le cap des 1% de part de marché individuellement, comptent tout de même 14,38% d'installations, une fois comptés collectivement. « Il est important de remarquer la diversité parmi les éditeurs réalisant entre 1 et 6% de part de marché. Aux Etats-Unis, Symantec et McAfee sont souvent présentés comme les premiers choix, mais en réalité, la compétition existe dans ce secteur qui est en effet très fragmenté », indique le rapport. L'étude d'Opswat précise que le marché réel de ces applications est bien souvent tronqué, et que chaque éditeur a tendance à prétendre dominer le marché en comparant ses ventes à celles de ses concurrents. D'après les chiffres d'avril 2010 de Gartner, Symantec est en tête du classement des logiciels de sécurité en termes de ventes, affichant 1,8 milliards de dollars pour 2009. L'entreprise est suivie par McAfee avec 699 millions, et par Trend Micro et ses 278 millions de dollars. (...)

(08/07/2010 15:00:29)

HP, 1er contributeur aux tests TPC-Energy

Premier constructeur à utiliser la spécification TCP-Energy, Hewlett-Packard a présenté les résultats des tests de performance pour quatre de ses serveurs. « L'énergie est devenue un enjeu croissant dans le coût global » pour de nombreuses entreprises, a déclaré Karl Huppler, président du TPC. « Le nouveau test de référence qui estime le rendement en watts dépensés leur permettra de juger de l'efficacité de leurs systèmes énergétiques, » a-t-il ajouté. « Combiné à d'autres tests mis au point par le TPC, le TPC-Energy peut aider les clients à estimer le prix, la performance et la consommation d'énergie de tout système transactionnel donné, » indique l'association qui regroupe des éditeurs de logiciels, des fabricants de matériel, mais aussi des organismes de recherche et des organisations d'utilisateurs. « Un système peut fournir un niveau supérieur de performance, mais peut ne pas être aussi efficace en terme de watts par transaction,» a déclaré Mike Nikolaiev, président du comité de TPC-Energy, par ailleurs en charge de l'optimisation de la performance chez HP.

Une série de benchs pour mesurer les performances

Introduit en décembre, le TPC-Energy mesure le nombre de transactions qu'un serveur peut effectuer par watt. Les transactions sont évaluées à l'aide de l'un des trois autres tests TPC - TPC-E, TPC-C et TPC-H utilisés pour noter les performances du serveur. Le banc test TPC-E simule le profil de charge des systèmes de transaction en temps réel (OLTP - On Line Transaction Processing), typiquement le mode de fonctionnement d'une entreprise de courtage. Un test plus ancien, le TPC-C, permet également de simuler un environnement OLTP, et mesure les performances de machines en environnement serveur. Le troisième, TPC-H, simule la requête ad hoc, l'aide à la décision et la répartition de la charge de travail.

Quatre serveurs HP sur le grill

HP a fait passer les quatre tests à ses nouveaux serveurs ProLiant. En TPC-E par exemple, le système HP ProLiant DL585 G7 a exécuté 1.400 transactions par seconde (TPS) en utilisant 6,72 watts. En revanche, l'autre système ProLiant DL580 G7 a consommé 5,84 watts pour exécuter 2001 TPS. En comparant la performance du DL585 et du DL580 établie par les tests TPC-E avec le test TPC-Energy, on pourrait conclure que le DL580 est le meilleur choix, tant pour le débit TPS que pour la consommation d'énergie. Mais le programme encourage à prendre en compte les prix du système. Dans ce cas, le DL580 est plus cher que le DL585 quand on considère la côte dollars-par-TPS (347 contre 330 dollars US). Le système basé sur le DL580 « obtient le meilleur rendement, mais coûte un peu plus cher,» a déclaré Mike Nikolaiev.

Illustration : serveur Proliant GL585 G7, crédit HP

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Pour mesurer la consommation globale d'énergie du système, on teste chaque sous-système avec un certain nombre d'analyseurs de puissance, lesquels envoient un flux de données au logiciel Energy Measuring System fourni par TPC qui se charge de rassembler les résultats. Le logiciel est aussi capable de décomposer les besoins énergétiques par sous-système, pour montrer par exemple ce que consomment respectivement un serveur d'application, un serveur de base de données, des unités de stockage et autres sous-systèmes. « Les tests pour mesurer la performance par sous-système sont optionnels, » a indiqué Mike Nikolaiev. Dans tous les cas, comme pour les autres benchmarks TPC, il revient aux vendeurs d'effectuer eux-mêmes les tests, de trouver laquelle de leur configuration est optimale et de soumettre leurs résultats à l'examen de l'association TPC pour figurer éventuellement dans la liste des meilleurs participants. Une obligation cependant : chaque type de résultats doit être vérifié par une tierce partie.

D'autres résultats attendus

Avec HP comme premier contributeur, TPC espère motiver les autres membres à présenter les résultats de  tests TPC-Energy effectués sur leurs propres systèmes. L'organisation à but non lucratif consacrée au développement d'outils d'évaluation des performances des systèmes de traitement transactionnels et de base de données est financée par des entreprises informatiques comme AMD, Cisco, Dell, HP, IBM, Intel, Microsoft, Oracle, Unisys et d'autres.

Les datacenters principaux concernés

Le travail sur le TPC-Energy réalisé par l'association arrive à un moment où l'Agence pour la protection de l'environnement américaine intensifie ses propres actions pour améliorer l'efficacité énergétique des centres de données. En dehors du test TPC-Energy, l'association travaille à mettre au point un nouveau test de référence pour mesurer la charge de travail des data warehouse, appelé le TPC-ETL, et un autre pour mesurer la charge de travail des systèmes de virtualisation, le TPC-Virtualization. Elle planche également à une mise à jour du TPC-H.

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(08/07/2010 14:41:44)

Spie Communications acquiert Veepee

Drôle d'anniversaire pour Veepee, qui s'offre pour ses 10 ans, à Spie Communications. Aucun montant n'a été dévoilé sur cette union, mais l'opérateur de services IP a réalisé en 2009 un chiffre d'affaires de 16 millions d'euros. Fondé par Eric Rousseau, Veepee a démarré sur un marché de niche très porteur, les médias en assurant, via une plateforme multi-opérateurs, l'envoi des fichiers (photos, maquettes, vidéo etc.) aux imprimeurs ou aux diffuseurs. Cette expertise a évolué avec le temps vers les services managés et plus récemment vers les offres clouds. Il dispose de son propre datacenter en plein coeur de Paris.

L'acquisition par Spie Communications ouvre donc une autre étape de la vie de Veepee avec une industrialisation des services proposés. Pour l'intégrateur, cette opération lui permet de répondre à des demandes spécifiques (maîtrise du Wan, criticité et sécurisation des infrastructures IP) des PME et grands comptes. Veepee, qui va devenir une filiale, comprend 60 personnes et les différentes équipes seront intégrées au sein de Spie Communications.

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(08/07/2010 14:12:36)

Nokia demande à la Russie de récupérer un proto de son N8

Mercredi, Nokia faisait savoir sur son site que l'entreprise avait signalé aux autorités russes que le blogueur Eldar Murtazin, lequel avait posté en avril un court article en russe sur le site Mobile Review illustré de quelques photos du N8. Or ce prototype, premier téléphone à exécuter la première version Open Source de Symbian et sur lequel le constructeur fonde de grands espoirs pour revenir sur le marché haut de gamme, n'est pas encore disponible. Si le finlandais présente bien discrètement ce mobile à certains journalistes de par le monde, il n'est toujours pas question de test pour cause d'instabilité logicielle.

Nokia précise avoir officiellement demandé à Eldar Murtazin la restitution du téléphone, mais affirme n'avoir obtenu aucune réponse. Le blogueur, lequel, semble-t-il, n'a pas révélé comment il s'est procuré le téléphone, reconnaît avoir reçu une lettre « vague » de Nokia. Il déclare qu'il a répondu aux questions, y compris celle lui demandant de préciser la nature du bien auquel il fait référence dans son billet, mais indique qu'il n'a reçu aucune réponse. Il affirme aussi avoir tenté à plusieurs reprises d'entrer en contact avec Nokia à propos du téléphone, mais sans résultats. Celui-ci n'a pas encore réagi à la demande formulée par Nokia à la police russe.

Dans son blog, Nokia écrit à maintes reprises que sa décision de faire appel aux autorités russes n'a rien à voir avec les critiques d'Eldar Murtazin à l'encontre de l'entreprise. « Pour être clair, nous n'avons pas de problème avec les individus qui expriment leur opinion sur notre société et nos produits,» écrit « Phil » le représentant de Nokia dans un message. Rédacteur en chef du site Mobile Review, Eldar Murtazin semble aussi offrir des services de consulting aux fabricants de téléphones. Son profil Twitter, le décrit en effet comme un éditeur et un analyste qui «travaille sur certains projets de téléphones avec des entreprises connues. » Son rôle de consultant potentiel semble préoccuper Nokia. « La question de savoir si M. Murtazin a agi en tant que blogueur ou en qualité de consultant dans le but de fournir des informations à ses clients est ouverte, » indique le message publié sur le blog de Nokia. Du blog à l'espionnage industriel, il n'y aurait donc qu'un pas... 

Crédit photo : Mobiel-Review

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(08/07/2010 13:38:40)

IBM et l'Union européenne créent un consortium sur le cloud

Cette entité devrait développer des modèles scientifiques sur des systèmes informatiques, capables de gérer les services web depuis différents environnements matériels et logiciel dans un système cloud flexible, explique IBM dans un communiqué.

Les systèmes actuels ne sont pas maniables et chaque modification nécessite une intervention manuelle. Les chercheurs espèrent trouver un cadre pour réduire le temps de conception et le déploiement de ces services en les accueillant sur un cloud central. Ces travaux pourront s'inspirer d'un projet déjà mis en route, baptisé Pincette.

Les chercheurs se pencheront également sur un projet nommé ACSI (Artifact Centric Service Interoperation), qui repose sur le concept, introduit cette année par IBM, de hub d'interopérabilités. Ces pôles offrent une plateforme cloud au sein de laquelle les logiciels en ligne et les services  peuvent facilement être créés et déployés. Les clients paieront pour le service d'intégration et aussi pour l'hébergement en fonction des données stockées et les transactions réalisées.

Les universités retenus pour ce consortium sont la Sapienza Universita de Rome, L'université libre de Bozen Bolzano, l'Imperial College (Royaume-Uni), la Technische Universiteit Eindhoven (Pays-Bas), L'Université de Tartu en Estonie et enfin Collibra NV (Belgique).

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(08/07/2010 11:03:10)

Direction changée et ambition renforcée pour le CICF Informatique

Elue le 23 juin dernier pour deux ans, Marie Prat en était jusqu'ici la vice-présidente. C'est son prédécesseur, Jacques Setton qui fut à l'origine de la création de ce syndicat dédié aux petites entreprises du secteur informatique (Revendeurs, sociétés de conseil, agences web, éditeurs de logiciels...). L'organisation est affiliée à la Chambre de l'Ingénierie et du Conseil de France. Cette fédération regroupe 11 syndicats patronaux et 1200 adhérents actifs dans les domaines de l'ingénierie et du conseil, dans divers types de secteurs d'activités (BTP, hôtellerie-retauration, Management, Industrie...).

Un ambitieux plan de recrutement

« De nouvelles adhésions sont enregistrées tous les jours. D'ici la fin de sa mandature, la nouvelle équipe dirigeante s'est fixée l'objectif réaliste de recruter deux cents nouveaux adhérents », indique Marie Prat. Sans un nombre suffisant d'entreprises derrière lui, il est en effet difficile pour le syndicat de faire entendre sa voix, notamment sur les initiatives gouvernementales qui concernent ses membres.

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La présidente du CICF Informatique est d'autant plus confiante dans la capacité du syndicat à rassembler que le vivier dans lequel il peut recruter est important : « D'après l'Insee, la France compte environ 80 000 sociétés [Ndlr : Au sens des codes APE] susceptibles de nous rejoindre.»

Des outils et de la pédagogie

L'élargissement du nombre de services fournis aux adhérents du syndicat constitue le deuxième axe de travail de la nouvelle direction. Outre des contrats d'assurance RCP et de garantie social d'entreprise négociés, ainsi que des formations à des prix préférentiels, le CICF Informatique propose déjà une newsletter et met à la disposition de ses membres une plate-forme collaborative. Pour aller plus loin, sa commission Economie et Marché planche par exemple sur la mise en place d'un observatoire des petites entreprises du secteur IT. L'objectif est de fournir aux adhérents du syndicat des indicateurs sur les activités à fort potentiel de revenus dans leur secteur ou encore sur les métiers qui recrutent. Ces types d'information devraient être disponibles d'ici la fin 2010.

Le CICF Informatique souhaite également organiser en région des événements comme le petit déjeuner d'information sur le Cloud Computing qu'il a mis sur pied en juin à Paris. « Nous allons d'avantage solliciter nos 15 chambres régionales pour organiser localement des événements de ce type », conclut Marie Prat. (...)

(08/07/2010 11:02:34)

APX se renforce dans la virtualisation avec Kappa

Les projets de virtualisation de postes de travail ne sont pas encore légion. Mais ce marché représente un potentiel de revenus importants qui aiguise l'appétit des prestataires de services en infrastructure. Encore faut-il qu'ils aient les compétences pour en capter une partie. Tel n'était pas le cas de la SSII APX qui vient de remédier au problème en rachetant sa consoeur Kappa. Cette structure de taille modeste a réalisé en 2009 un chiffre d'affaires de 7 M€ pour un effectif de 30 personne réparties entre Lorient (siège) et Paris. Elle réalise 40% de son activité autour des solutions de VMware, 40% autour des solutions Citrix et 20% autour d'hyper-V de Microsoft. L'an dernier, APX affichait quant à elle 178 M€ de chiffre d'affaires pour plus de 1500 collaborateurs.

Ambition dans la virtualisation

« Nous voulons devenir le leader sur le marché de la virtualisation », martèle Bruno Lampe, le directeur général et co-fondateur d'APX. Or, jusqu'ici, la SSII ne pouvait mettre en avant dans ce domaine que des compétences dans la virtualisation des serveurs, dont dispose également Kappa, et du stockage. « Il est essentiel que nous maîtrisions toutes les problématiques de la virtualisation. Après les serveurs, l'enjeux est aujourd'hui d'être bien positionnés sur le poste de travail où la compétition s'organise. Cela nous permettra de profiter dans les meilleurs conditions de l'envolée des projets de virtualisation du stockage attendue en 2011 », explique Bruno Lampe.

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Le rachat de Kappa va également permettre à APX de dégager plus de revenus récurrents. Grâce aux compétences de son acquisition, la SSII va en effet proposer des services de support de niveau 2 et de maintien en condition opérationnelle autour des technologies Citrix et VMware.

Une intégration en douceur

Pour parvenir à l'intégration totale des équipe de Kappa au sein des siennes, APX veut agir en douceur. Un souci qui témoigne de l'expérience acquise par la SSII dans ce type d'opération qu'elle a mené dix fois lors des dix dernières années. En pratique, le nom de Kappa et le mode de fonctionnement de ses équipes vont perdurer jusqu'au 31 décembre prochain. A l'issue de cette période, elles rejoindront le pôle virtualisation d'APX. Il sera dirigé par Armel Kermorvant qui n'est autre que le président de Kappa. Celui-ci sera notamment chargé de diffuser le savoir-faire de ses équipes en termes de virtualisation de postes de travail à travers les 13 agences d'APX en France. (...)

(08/07/2010 11:03:54)

Jean Noël de Galzain, PDG de Wallix au secours de Mandriva

Après des années de difficultés financières et des semaines de rumeurs (un éventuel rachat par Linagora ou par l'anglais Lightapp était évoqué), Mandriva entre dans une nouvelle phase.  « Arnaud Laprévote  (*) m'a appelé pour me demander un coup de main, j'ai réuni une équipe et réussi à construire un plan, nous explique Jean-Noël de Galzain, Pdg de Wallix (**) qui entre au conseil d'administration de Mandriva.  Bertrand Glineur, ancien DSI du Crédit Foncier devient également administrateur.

Jean-Noël de Galzain annoncera, début septembre, le nouveau tour de table (ainsi que  le nom des actionnaires qui ont pris le contrôle de la société avec lui) et la nouvelle équipe de direction. Pour l'heure, il donne des précisions sur son plan de redressement qui tient en deux étapes. D'ici la fin de l'année 2010, Mandriva sera restructurée avec une baisse des coûts de fonctionnement, pour l'amener à l'équilibre financier. « Depuis dix ans, la société perd de l'argent, on veut tout simplement que fin décembre, elle commence à en gagner ».  Dans un second temps, en 2011, Mandriva sera refinancée et prendra de nouvelles orientations.

Mandriva sera totalement en indirect

Parmi ces orientations, deux sont déjà arrêtées. D'abord, Mandriva va évoluer vers une distribution commerciale exclusivement en indirect à travers des revendeurs et des intégrateurs. C'est le modèle suivi par Wallix, dans le domaine de la sécurité, ces derniers mois.

Ensuite, Mandriva  prendra plus fortement le virage de l'entreprise où, malgré la demande, elle n'a pas su s'implanter.  l'éditeur proposera ainsi des offres de gestion de parcs, actuellement, elle est surtout focalisée sur le poste de travail, les serveurs et les appareils mobiles. Une deuxième ligne de produits sera donc mise au point, d'où la nécessité d'investissements supplémentaire à partir de 2011. La solution « Mandriva Linux 2010 Spring », développée par l'actuelle direction, sortira comme prévu dans une semaine.

« Mandriva est une perle technologique, avec des produits bien conçus, souligne Jean-Noël de Galzain. C'est la dernière distribution Linux européenne avec une communauté de 3,5 millions d'utilisateurs. Le nom est connu dans le monde entier. C'est pourquoi nous avons engagé un plan ambitieux pour lui donner une bonne gestion et une nouvelle dynamique ».
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