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(03/02/2012 09:56:46)
Un datacenter dans un monument historique
La Société d'Economie Mixte de Construction du Département de l'Ain (Semcoda) est la troisième SEM de France. Construisant un millier de logements par an, elle en gère 24 000 dans 369 communes, 6 départements et deux régions grâce à ses presque 500 collaborateurs. En mai 2011, la Semcoda a installé son nouveau siège social dans un bâtiment classé comme monument historique, une ancienne caserne située à Bourg-en-Bresse (Ain).
Ce siège social devait bien sûr être doté d'un datacenter. Or la réglementation sur les monuments historiques est des plus contraignantes : il était en effet totalement exclu de placer quoique ce soit sur les façades ou les toits, y compris des évacuations de climatiseurs. De plus, la caserne étant en milieu urbain et utilisée prioritairement pour des bureaux, le bruit était un problème particulier supplémentaire : il fallait empêcher la résonance dans le bâtiment des climatiseurs. Bien entendu, la salle devait être parfaitement redondée et installée comme n'importe quel autre datacenter moderne.
En six mois, l'intégrateur spécialisé APL a réussi cette installation en se coordonnant étroitement avec les entreprises en charge de la réhabilitation du bâtiment. Le datacenter a été refroidi grâce à des aérocondensateurs à eau (dry coolers) installés à soixante mètres du bâtiment à refroidir, en sous-sol, avec extraction en surface de la chaleur. Le coût du projet n'a pas été dévoilé. (...)
Plus de 68,5 millions de cartes SIM en France
Au quatrième trimestre 2011, le France comptait 68,520 millions d'abonnements à la téléphonie mobile. Les Français optent plus pour les forfaits, soit 49,079 millions d'abonnements, que pour les cartes prépayées (19,441 millions), précise l'Autorité de régulation des communications électroniques des postes (Arcep), dans son Observatoire des mobiles, rendu public jeudi 2 février. Les autres cartes SIM sont utilisées dans les machines (périphériques nomades ou équipements industriels).
Quant aux usages, l'Arcep note que la France compte de plus en plus de mobinautes. Ces adeptes de l'internet mobile et du SMS représentent près de la moitié du nombre d'abonnements, soit 31,756 millions. D'ailleurs, le nombre de SMS envoyé par client actif et par mois atteint les 212 contre 186 pour le trimestre précédent.
(...)(02/02/2012 17:15:24)Le Crédit Agricole et Gemalto vont tester des cartes de paiement sans contact
La société Gemalto, spécialiste de la sécurité numérique, a annoncé son partenariat avec le Crédit Agricole pour fournir à ses clients une carte bancaire sans contact. Cette technologie, déjà adaptée au passe Navigo pour les transports franciliens par exemple, permettra aux consommateurs de payer leurs achats, d'un montant inférieur à 20€ sans saisir de code.
Alors que les expérimentations de la technologie sans contact se succèdent en France par le biais des mobiles Cityzi, le concept se concrétise du côté des cartes bancaires. Leader sur le marché des cartes à puce, l'entreprise Gemalto s'est associée au Crédit Agricole pour créer des cartes de paiement à scanner sur un terminal, lors d'un achat inférieur à 20€.
Reste à équiper les commerces de terminaux capables de lire ces cartes de paiement, répondant à la technologie NFC (Near Field Communication). Le groupement des cartes a donné son agrément en avril dernier, pour implanter ces machines à travers la France.
(...)(02/02/2012 17:04:15)Recharge par induction sur les prochains Nokia Lumia
Marko Ahtisaari, responsable du design chez Nokia, a déclaré au Guardian que les prochains smartphones Windows Phone de la marque finlandaise seraient livrés sans prise micro-USB, "l'un des deux seuls éléments amovibles du Lumia 800". Cette révélation laisse penser, selon le journal britannique, que Nokia prépare l'intégration d'une technologie de recharge sans fil sur ses futurs appareils, à l'exemple du Palm Pre, l'un des premiers smartphones à l'avoir proposée. Des entreprises comme LG, Energizer, Powermat et Duracell proposent déjà des bases de recharge compatibles avec n'importe quel téléphone doté de la technologie de recharge sans fil.
Pour ses derniers appareils, Nokia a opté pour un design minimaliste et des commandes tactiles. Le commentaire de Marko Ahtisaari laisserait donc entendre que la firme continuera sur cette lancée, en s'efforçant de gagner encore en épure : "A chaque fois qu'il sera possible de retirer des éléments amovibles [d'un téléphone] pour rendre le placement de ses composants plus esthétique, nous le ferons. C'est un domaine dans lequel nous pouvons encore nous améliorer. En poussant la logique à l'extrême, ne pourrait-on pas tout simplement se passer de connecteurs?", a déclaré Marko Ahtisaari au Guardian.
Selon le Guardian, Nokia inclura aussi la technologie NFC aux accessoires Windows Phone - ce n'était pas le cas pour les Windows Phones 800 et 900 - ce qui permettra une connectivité "tap-to-pair" (sans mot de passe, par simple contact) avec les casques ou les haut-parleurs Bluetooth. Les blogueurs sont en tout cas persuadés que Nokia présentera une nouveauté appelée Nokia Lumia 910 au Mobile World Congress (MWC), à la fin du mois de février.
Attention au prix des outils BI en mode SaaS
Le développement des demandes de cloud ou de SaaS n'est pas une surprise. De plus en plus de responsables financiers ou informatiques sont tentés de faire appel à ce type d'offres pour répondre à une augmentation des besoins en Business Intelligence. Deux raisons à cela, les faibles couts de démarrage ou de déploiement et l'absence de compétences nécessaires en interne pour construire leurs propres solutions analytiques.
La migration des entreprises vers le cloud pour le décisionnel se fait très vite. Selon une étude Gartner, un tiers des personnes interrogées (1 364 responsables IT) prévoient d'utiliser des offres SaaS en matière de BI dans les 12 prochains mois pour certaines divisions métiers. Cependant, les directeurs financiers ont un peu de mal à savoir combien leur coutera au final l'utilisation de ces offres. Les logiciels achetés comme un service peuvent généralement être passés comme un investissement, plutôt qu'un achat d'actif dans les bilans financiers. Les acheteurs pensent souvent que le SaaS est cher, mais la réalité est plus compliquée. Le modèle de coûts de Gartner montre que le SaaS peut être moins cher au cours des cinq premières années, mais pas par la suite. Les avantages à long terme se trouvent ailleurs - notamment dans le flux de trésorerie et la réduction des coûts de support, indique l'étude.
« Les professionnels sont souvent frustrés par la longueur des cycles de déploiement, les coûts, la complexité des processus de mise à niveau des infrastructures informatiques demandés par les solutions de BI sur site » a déclaré James Richardson, directeur de recherche chez Gartner. « La BI dans le cloud est perçue comme offrant une vitesse de déploiement à faible cout, même si cela reste à prouver ». précise l'analyste. Il constate également que « si l'intérêt est croissant, le marché reste confus sur ce que sont les solutions SaaS et cloud dans le BI et ce qu'elles apportent ».
Le design des puces ARM 64 bits pour serveurs attendu en 2012
Les premières puces 64 bits basées sur l'architecture ARMv8, annoncées en octobre dernier, seront bientôt vendues sous licence aux fabricants. « La production de masse des processeurs 64 bits démarrera en 2014, et seront intégrés dans des terminaux dans la foulée, » a précisé Warren East, le PDG d'ARM.
L'arrivée de ces processeurs - noms de code Atlas et Apollo - pourrait se traduire par la sortie d'un premier smartphone 64 bits, lequel offrirait de meilleures performances, comparé aux terminaux actuels intégrant des processeurs ARM 32 bits. Ces processeurs pourront également offrir une plus large compatibilité avec des applications 64 bits dans les environnements Windows et Linux. « L'objectif est de cibler le haut de gamme dans le domaine des serveurs et des smartphones, » a déclaré Warren East.
Une montée en puissance de la gamme ARM
La plupart des smartphones et tablettes actuels intègrent des processeurs ARM. Mais le fondeur aimerait se faire aussi une place sur le marché des serveurs, dominé par Intel. ARM conçoit et développe des architectures processeurs qu'il revend ensuite sous licence à Apple, Texas Instruments, Nvidia, Samsung ou encore Qualcomm. Le fondeur a déjà licencié son processeur ARMv8 64 bits à quatre fabricants, dont Nvidia et AppliedMicro Circuits. « Les autres licenciés seront annoncés plus tard cette année, » a déclaré Warren East. Dans une présentation réalisée par ARM, on apprend que Nvidia travaille sur une version très attendue du processeur ARMv8-A destinée aux smartphones, tablettes, PC et serveurs, nom de code Project Denver. Quant au fabricant de puces AppliedMicro Circuits, il avait montré une puce 64 bits cadencée à 3 GHz l'an dernier.
Il y a toujours un délai de quelques années entre la mise au point d'une nouvelle architecture et la commercialisation d'un processeur. Par exemple, c'est en 2007 qu'ARM a dévoilé son processeur Cortex-A9 32-bits. Et les premières tablettes et smartphones intégrant cette puce ont été commercialisés l'année dernière. En 2010, ARM avait présenté son processeur Cortex-A15, lequel devrait équiper certains terminaux plus tard cette année. « L'arrivée de puces 64 bits pour les smartphones est attendue. D'une part, elle va permettre d'exécuter sur ces terminaux des applications, multimédias notamment, qui demandent plus de calcul processeur. Mais aussi parce que les fabricants veulent pouvoir augmenter la taille des blocs mémoire, » a déclaré Nathan Brookwood, analyste principal chez Insight 64.
« Le passage aux 64 bits dans les smartphones est inévitable. Les terminaux mobiles disposent en moyenne de 2 Go de mémoire et les processeurs ARM 32 bits actuels ne supportent pas plus de 4 Go, » a déclaré l'analyste. « En ce qui concerne les serveurs, l'utilité d'un processeur 64 bits est évidente, car les applications existent déjà et les exigences sont visibles, » a ajouté Nathan Brookwood. Les serveurs ont besoin de blocs de mémoire importants et de nombreuses applications sont déjà écrites pour l'adressage 64 bits.
Des serveurs moins gourmands en énergie
ARM destine ses processeurs aux centres de calcul « verts » et les fabricants de serveurs travaillent déjà sur des systèmes expérimentaux intégrant le processeur Cortex-A9 du fondeur. Hewlett-Packard a annoncé qu'il testait des serveurs à base de processeurs ARM et le supercalculateur hybride développé par Nvidia pour le Supercomputing Center de Barcelone (BSC) intègre une puce Tegra 3, architecture ARM, associée à des processeurs graphiques. « Le processeur ARMv8a va apporter aux serveurs des caractéristiques spécifiques en matière de sécurité et de virtualisation, » a précisé aussi Warren East. « Les puces 64 bits seront également rétrocompatibles. Elles pourront faire tourner des applications écrites pour les architectures ARM précédentes. » Le fondeur travaille également sur l'aspect logiciel pour accélérer l'adoption de ses processeurs 64 bits dans les serveurs. Une version de production de l'OS Ubuntu basé sur Linux a déjà été livrée, et une version Red Hat compatible ARMv8 est en cours de préparation.
« ARM va avoir une tâche difficile pour détrôner Intel dans le secteur du serveur. Cela fait plusieurs années qu'Intel fournit des puces x86 à ce marché sur lequel elle a une position dominante, » a estimé Nathan Brookwood. Cette année, Intel a également entrepris de marcher sur les plates-bandes d'ARM, en proposant son processeur 32 bits Atom Medfield pour les smartphones. « Avec quelques modifications, Intel pourrait sortir une version 64 bits de cette puce destinée à l'origine aux smartphones, » a ajouté l'analyste. Reste qu'ARM devrait aussi être difficile à contrer sur ce marché. Et pour l'instant, il n'y a pas d'urgence à proposer un processeur 64 bits pour smartphones.
(...)(02/02/2012 16:17:14)Gestion de parc IT : Staff &Line se renomme EasyVista pour s'étendre aux Etats-Unis
Spécialisé dans les logiciels de gestion des infrastructures informatiques, l'éditeur français Staff &Line a décidé de changer de nom pour accélérer son développement sur le marché Nord-Américain où il a pris pied en 2010. La société prend le nom d'EasyVista, déjà adopté pour sa gamme de produits. Elle explique dans un communiqué que cette marque est mieux comprise dans les pays anglo-saxons et indique qu'en moins de dix-huit mois, une vingtaine de grands clients lui ont fait confiance aux États-Unis. Un marché où se concentre selon Gartner plus de la moitié du potentiel mondial des revenus de l'IT Service Management (ITSM).
L'éditeur a entamé en 2005 son implantation internationale en commençant par s'étendre en Europe. Il dispose de filiales outre-Manche, ainsi qu'en Espagne, au Portugal et en Italie, et précise que plus de la moitié de ses collaborateurs et un tiers de ses 800 clients se situent hors de France (35% du chiffre d'affaires sont réalisés à l'étranger). Ses solutions sont utilisées en mode SaaS par 300 clients, une option choisie de plus en plus souvent par les entreprises, souligne la société.
15 processus ITIL version 3 certifiés
L'offre d'EasyVista couvre les différentes étapes du cycle de vie des actifs informatiques : gestion du parc et des configurations, inventaire automatique, mais aussi gestion des incidents et des changements, portail utilisateurs, mises en production et suivi des budgets informatiques, gestion des projets IT et des processus ITIL, amélioration continue des services ITSM... La société a obtenu la certification de 15 processus ITIL version 3.
La société Staff &Line a été co-fondée en 1988 par Sylvain Gauthier et Jamal Labed, respectivement PDG et directeur général de la société. Elle est cotée sur Alternext et a réalisé sur les neuf premiers mois de son exercice 2011 un chiffre d'affaires de 6,7 millions d'euros, en progression de 10% par rapport aux trois premiers trimestres 2010. L'exercice 2010 avait été marqué par un repli par rapport au précédent avec un chiffre d'affaires de 9,2 M€, expliqué par la transition de l'offre vers le modèle SaaS entraînant une baisse des ventes de licences.
845 millions de membres pour Facebook
Le réseau social Facebook comptait 845 millions de membres actifs dans le monde au mois de décembre 2011, dont 425 millions connectés via des applications mobiles, selon le dossier fourni le 1er février par la société à la Securities and Exchange Commission (SEC), l'organisme fédéral américain de réglementation et de contrôle des marchés financiers. Au moment d'entrer en bourse, Facebook est donc forcé de jouer la transparence. Le réseau fournit ainsi dans son dossier d'introduction de nombreuses statistiques éloquentes.
Le premier réseau social mondial compte 845 millions de membres actifs (qui se sont connectés au moins une fois au mois de décembre 2011). Cela représente une progression de 39% sur un an. D'autre part, 483 millions de membres se connectent chaque jour, un chiffre en hausse de 48% par rapport à 2010. Sur cette même période, 425 millions de membres se sont connectés à Facebook via des applications mobiles.
Sur le dernier trimestre 2011, les utilisateurs du réseau ont généré en moyenne 2,7 milliards de commentaires et de "j'aime" chaque jour. Ce sont aussi 250 millions de photos qui sont chargées quotidiennement sur le réseau. Au total, Facebook a permis de mettre en place plus de 100 milliards de relations entre ses membres.
(...)(02/02/2012 15:30:58)Google Docs pour Android consultable hors ligne
Une demande formulée par les utilisateurs a enfin été acceptée par Google. Les documents stockés dans Google Docs sont consultables hors ligne sur les smartphones et les tablettes reposant sur Android. L'application proposée pour ces terminaux mobiles rend l'accès hors ligne possible pour les fichiers Google Docs : les présentations, les feuilles de calcul, les images téléchargées et les formats de fichiers tels que pdf, doc, xls et ppt, selon Google.
Les utilisateurs peuvent ainsi rendre leurs documents disponibles hors ligne, ou créer un document hors ligne qui sera intégré au cloud de Google lorsqu'ils seront connectés à Internet. Les fichiers sont automatiquement mis à jour lorsque les utilisateurs sont attachés à un réseau WiFi gratuit. Les utilisateurs peuvent également mettre à jour manuellement les fichiers à chaque fois qu'ils ont une connexion de données en ouvrant le fichier ou en tapant "update" dans la section hors de l'application.
Prochain challenge : modifier les documents hors ligne
Il y a plusieurs façons de rendre les documents accessibles hors ligne sur les tablettes et les smartphones. Sur une ardoise, les utilisateurs doivent ouvrir le panneau de prévisualisation, puis sélectionner la case à côté de l'option « disponible hors ligne ». Les utilisateurs de smartphone doivent quant à eux toucher et maintenir le nom d'un élément dans la liste des documents pendant deux à trois secondes, puis valider le «rendre disponible hors connexion » dans le menu qui apparaît.
Google a encore du travail à faire pour rendre l'application Docs plus intéressante sur les smartphones et tablettes basés sur Android. Il est par exemple toujours impossible de modifier les documents hors ligne.
Facebook décortiqué avant son entrée en bourse
Annoncée en début de semaine, Facebook a finalement déposé hier son dossier auprès de la SEC (régulateur américain des marchés financiers) pour s'introduire en bourse. La société s'attend à lever entre 5 et 10 milliards de dollars, ce qui valorise Facebook entre 80 et 100 milliards de dollars. Morgan Stanley, JP Morgan, Goldman Sachs et trois autres sociétés financières ont été retenus pour réaliser les souscriptions. Les documents rendus publics ne donnent pas de date pour cette IPO, ni le prix d'introduction de l'action Facebook.
Par contre, les documents donnent quelques indications financières sur l'entreprise. Facebook a réalisé un chiffre d'affaires de 3,7 milliards de dollars en 2011, comparativement à 2 milliards de dollars en 2010. 85% de ces revenus sont issus de la publicité. Le bénéfice net était de 1 milliard de dollars en 2011, comparativement à 606 millions de dollars en 2010. La société réalisait 777 millions de dollars de revenus en 2009, avec un bénéfice net de 229 millions de dollars. Sur le plan des utilisateurs, le cap des 100 millions a été dépassé en 2008 et comprend à la fin 2011, 845 millions de membres. Le site de réseau social précise que 483 millions d'abonnés étaient actifs quotidiennement en décembre dernier et 425 millions consultent leur compte depuis un mobile.
Zuckerberg garde la main et enrichit les autres
D'autres personnes vont voir leur fortune personnelle augmenter, comme le directeur financier, David Ebersman qui détient 2 millions d'actions. Un des co-fondateurs Dustin Moskowitz devrait voir sa fortune s'enrichir de près de 7,5 milliards de dollars. Enfin, les investisseurs de la première heure - Marc Andressen, fondateur de Netscape et Peter Thiel, co-fondateur de Paypal par exemple - verront leur investissement initial se valoriser considérabelment.
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