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Virtualisation
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(08/04/2010 17:47:14)
Le cloud privé : priorité des DSI selon une étude PAC
Avec le concours d'EMC, d'Intel et de VMware, le cabinet d'études PAC a demandé à un panel de 200 décideurs informatiques français, répartis dans les principaux secteurs d'activités, leur vision du cloud computing. Étonnamment, le principal avantage mis en avant par ces responsables IT n'est pas la réduction des coûts de production ou les gains attendus pour la mise en service de nouveaux projets, mais la disponibilité des ressources (42% des réponses) et la flexibilité de la plate-forme (34%). Encore plus surprenant, l'optimisation de l'infrastructure et le paiement à l'usage ne rassemblent que 19 et 21% des « suffrages ». Christian Hilaire, PDG d'EMC France, analyse ces résultats en expliquant que « les entreprises démarrent aujourd'hui dans leur réflexion sur un cloud privé. Nos principaux clients réfléchissent à la question, c'est l'étape suivante après la virtualisation. Le cloud est bien la quatrième vague informatique après le mainframe, le PC client et le web. » Les responsables IT ont bien compris que le cloud allait leur permettre de masquer la complexité du système d'informations pour fournir des services à la carte. Et à la différence des projets informatiques traditionnels qui demandent de trois mois pour allouer des ressources à une application, la gratification est immédiate et de type self-service.
Parmi les inconvénients du cloud computing, nos responsables informatiques pointent à 50% la sécurité et à 35% la dépendance au réseau. Des freins liés à l'infrastructure et aux problèmes récurrents de sécurité. La dernière conférence RSA à San Francisco mettait également l'accent sur les défis sécuritaires qui attendaient le cloud (https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-les-defis-securitaires-du-cloud-30182.html). Pourtant, les principaux projets concernent aujourd'hui des clouds privés hébergés dans l'entreprise ou chez un tiers de confiance (opérateur ou intégrateur). Des solutions en théorie moins vulnérables que les clouds publics proposés par les éditeurs ayant flairés la bonne affaire. « Les opérateurs vont contribuer à structurer le marché en Europe, car ils possèdent les infrastructures indispensables pour faire transiter les processeurs les plus critiques à travers le cloud» précise Mathieu Poujol, directeur technologies chez PAC. « Ensuite tous les services de l'entreprise ne sont pas nécessairement hébergés dans un cloud. Il est possible de procéder par étapes » souligne Jean-Pierre Brulard, vice-président Europe chez VMware. Trois types de plates-formes services sont aujourd'hui définis pour le cloud : IaaS (le réseau, le stockage, les serveurs et les outils de virtualisation), PaaS (avec en plus les logiciels serveur, les bases de données, l'intégration SOA et les runtimes) et le SaaS (toutes ces briques avec les applications).
En illustration, Mathieu Poujol de PAC, responsable de l'étude sur le cloud computing en France
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Autre réponse stupéfiante à la question sur les acteurs du cloud computing : Microsoft arrive en tête avec 50%, VMware suit avec 43% et Amazon ne pointe qu'à la huitième place avec 7%. Difficile à comprendre quand on sait qu'Amazon a lancé sa plate-forme EC2 en 2006 ! Un cloud arrivé à maturité avec une tarification très claire alors que Microsoft sort à peine de sa phase de tests et tente de commercialiser ses services depuis février dernier. Sur ce point précis, Mathieu Poujol précise que l'étude a été mené lors du lancement d'Azure début 2010 et que ces responsables IT ont dû être particulièrement sensibilisés au programme de Microsoft. Ce sont donc principalement les éditeurs qui sont spontanément associés au cloud et non pas les opérateurs ou les fournisseurs de services managés comme IBM ou HP.
Sur l'initiative des projets cloud, la DSI est aux commandes dans 67% des cas même les métiers et la direction générale pèsent un poids très lourd (26%). Les responsables IT semblent bien décidés à rester suffisamment réactif pour ne pas perdre la main face aux demandes des métiers. Point particulièrement intéressant dans le cadre des projets, quels sont les type d'application ou d'infrastructure concernés ? La messagerie reste toujours sur le podium avec 54% des réponses mais les ressources administratives (finance et compatibilité) arrivent sur la deuxième marche (26%) suivi de près par la CRM (24%). Les activités critiques de l'entreprise ne semblent donc pas mises à l'écart des projets cloud. Jean-Pierre Brulard précise que les différents modèles d'adoption applicatifs se résument à trois étapes, « la production informatique concerne tout d'abord les applications non critiques comme la messagerie » même si cette dernière reste particulièrement visible en cas de panne à la différence d'un ERP qui peut tomber 2/3 heures sans déclencher de plan Orsec. « Les entreprises passent ensuite aux applications métiers standards ou customisés ». On assiste là à un vrai basculement dans le monde cloud, principalement quand la virtualisation passe de 20 à 60%. « Dernière étape, l'extension au business continuity pour la gestion des risques. Mais aujourd'hui, chez les clients la vraie barrière reste le passage de l'étape 1 à la l'étape 2. »
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A la question sur le type d'infrastructure, les décideurs plébiscitent à 71% le cloud privé quitte à développer plusieurs petits clouds à l'intérieur de l'entreprise pour répondre aux différents besoins. Mathieu Poujol estime toutefois que les clouds hybrides vont se développer naturellement avec la maitrise des clouds privés. Les clouds publics (7% des réponses) seraient réservés à une application bien précise comme la solution de SaleForce.com. Des clouds communautaires regroupant plusieurs services publics ne sont pas exclues avec des Conseils régionaux ou des ensembles de communes. « La ville de Barcelone, par exemple, a ouvert son cloud public aux hôpitaux et à sa pépinière d'entreprises » précise Mathieu Poujol.
La conclusion de cette étude que le cloud est devenu une réalité en France et que les infrastructures privées sont clairement la priorité. « Sans s'en rendre compte, en systématisant les VM, les entreprises arrivent naturellement au cloud interne » conclue Jean-Pierre Brulard. « Avec un taux de virtualisation 30% des portefeuilles applicatifs, la France est au niveau des États-Unis et du reste de l'Europe. À 30% de virtualisation, le coût au giga est de 18 cents. Avec une montée en charge pour arriver à 60%, le cout au giga passe 9/10 cents au giga pour les entreprises ». Mais aujourd'hui pour accompagner le développement du cloud et simplifier le transfert d'une VM, il est nécessaire de créer un marché Unique du cloud en Europe pour offrir un marché global aux acteurs européens.
(...)(08/04/2010 10:47:21)
Dossier : La virtualisation des postes de travail dans les starting-block
La plupart des DSI s'interrogent quant à l'usage de la virtualisation de postes de travail. 2010 devrait être l'année des petits projets pilotes, les DSI étant freinés par les coûts engendrés par une telle mise en place. Mais ce processus devrait être en plein essor dès 2011.
Pour lire la suite du dossier cliquer sur ce lien (...)
Un bureau virtuel sur iPad ? Citrix répond présent
Le grand public n'est pas le seul à s'intéresser au dernier produit d'Apple. Les responsables de l'IT s'interrogent aussi sur l'utilité de l'iPad au sein de l'entreprise. Pour adapter ce terminal au monde professionnel, la virtualisation du poste de travail peut être une solution. Citrix et Wise Technology ont déjà publié des applications logicielles portant le poste de travail Windows sur l'iPad d'Apple.
« Je suis convaincu que cela sera un grand succès en entreprise » souligne Chris Fleck, vice-président des communautés et des solutions de développement de Citrix et d'ajouter « nous avons une forte demande pour les travailleurs nomades et les télétravailleurs. Les commerciaux adoptent rapidement ce type de terminaux, qui apportent légèreté et fonctionnalités ». Il sera donc un outil idéal pour les professionnels de santé, les commerciaux, les assureurs, les agents immobiliers, etc. Il aurait même plus de potentiel que l'iPhone. Fleck indique néanmoins que les premiers déploiements seront le fait des salariés qui achètent leur propre équipement. Cela pourrait être l'amorce du scénario « bring your own » (apporter votre propre matériel). « De plus en plus d'employés qui souhaitent utiliser la tablette d'Apple dans leur métier, l'achèteront en propre », explique Chris Wolf, analyste du Burton Group. « Ce scénario entraîne pour les responsables informatiques une augmentation sensible de la connectivité au sein de l'entreprise » prophétise l'analyste.
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Des applications et des doutes
La dernière campagne marketing de Citrix considère l'iPad comme « Open for Business » et l'éditeur a publié deux applications sur l'iPad App Store à orientation professionnelle. Il s'agit du Citrix Receiver qui autorise l'accès des utilisateurs aux applications et documents de l'entreprise. Le client peut ainsi connecter des iPads sur les implémentations existantes de XenApp et XenDesktop pour porter des applications Windows et le poste de travail sur la tablette. La sécurité est ainsi renforcée, souligne Chris Flex de Citrix, car les applications tournent sur le datacenter et non sur le terminal. L'autre application proposée est GoToMeeting, une solution de web conférence.
De son côté Wyse Technology, spécialiste des clients légers, a publié une application pour l'équipement d'Apple qui fournit l'accès à Windows depuis un PC virtuel et qui supporte plusieurs technologies de virtualisation comme VMware View et Remote Dekstop Protocol de Microsoft. VMware n'a pas fait d'annonces particulières en ce sens et un salarié de l'éditeur a fait part de son scepticisme sur l'utilisation de l'iPad comme un client virtuel. En janvier dernier, un ingénieur de VMware, Todd Muirhead, expliquait que la tablette était un très bon terminal pour lire et surfer sur Facebook, mais pas pour un usage professionnel.
Enfin, les entreprises peuvent également s'interroger sur les efforts à fournir dans le domaine de la virtualisation sur des clients légers moins onéreux que le déploiement d'une flotte d'iPad.
(...)(31/03/2010 15:39:43)Sourcefire ajoute une fonction de blocage pour sécuriser la virtualisation
«D'ici à la fin de l'année, nous serons en mesure de bloquer le trafic dans les versions de VMware et la version actuelle de Xen », a annoncé Richard Park, chef de produit senior chez Sourcefire. Ce dernier a également confirmé que la fonction de simple surveillance par détection des intrusions serait effective pour les versions 3.3.2 et 3.4.2 de la plate-forme Xen. Ces solutions logicielles peuvent surveiller le trafic entre deux ou plusieurs VM, ou entre des hôtes physiques et des machines virtuelles.
Un travail plus facile avec Zen
Sourcefire concentre son attention sur Xen, en premier lieu parce que « c'est un système Open Source, et ensuite parce qu'il a été adopté par certains fournisseurs de Cloud, » explique Richard Park. Il fait également remarqué que les mouchards virtuels de Xen et VMware pouvaient partager des informations avec un pupitre de gestion centralisé. En décembre dernier, Sourcefire avait livré une version 4.9 de son Système 3D en même temps qu'une solution virtuelle de détection basée sur VMware. C'était son premier produit de détection et de prévention spécialement conçu pour les environnements virtualisés. Cependant, les solutions virtuelles proposées par Sourcefire pour la protection d'ESX, d'ESXi et de vSphere 4.0 restent encore limitées à la surveillance et la détection des intrusions, et ne disposent pas de capacité de blocage pour une protection totale. En dépit des difficultés techniques rencontrées par Sourcefire pour adapter toute la force de son IPS traditionnelle aux environnements virtualisés, l'entreprise affirme avoir fait des progrès et compte bien achever la mise au point de cette fonction de blocage pour les deux principales plates-formes de virtualisation afin de livrer son produit à la date annoncée.
(...)(30/03/2010 16:36:11)Red Hat fait évoluer la virtualisation du poste de travail
La version beta 2.2 de RHEV intègre plusieurs évolutions qui permettront aux clients d'activer des architectures VDI (Virtualization Dekstop Infrastructure). « Elles faciliteront le déploiement d'un OS, Red Hat Linux, Windows XP ou 7 sur une plateforme sécurisée d'un hyperviseur haute performance » explique Andrew Cathrow, responsable senior du marketing produit chez Red Hat et d'ajouter « en utilisant un VDI, vous déplacez le système d'exploitation du terminal de l'utilisateur final au sein du datacenter, ce qui en facilite la gestion ». Les applications proposées par l'éditeur tournent avec une console de gestion de la virtualisation, un hyperviseur Bare Metal, basé sur KVM (Kernell-based Virtual Machine). Si ce dernier comprend l'OS Red Hat Entreprise Linux, RHEV peut également fonctionner avec d'autres OS hébergés Windows ou Linux.
Les évolutions intègrent SPICE (Simple Protocol for Independent Computing Environnements) pour le contrôle des postes de travail distants. L'éditeur a acquis cette compétence en rachetant en 2008 la société Qumranet. Le package inclut également un gestionnaire de connexions, un portail web, etc. L'objectif de la version 2.2 pour Andrew Cathrow est que « les clients disposent d'une plateforme commune et non plus d'un outil pour le poste de travail et d'un autre pour les serveurs ».
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De la conversion KVM à l'extension mémoire
Parmi les autres fonctionnalités, on retrouve la possibilité d'importer des machines virtuelles depuis la plateforme, comme celles proposées par VMware, Citrix et Microsoft. Pour ce faire, RHEV utilise OVF (Open Virtualization Format), un standard ouvert pour les images de VM. Il s'agit de la première intégration du logiciel de conversion, V2V, qui permet de transformer des machines sous VMware ou Xen, créées sous Red Hat Entreprise Linux en machine KVM. L'environnement Windows devrait aussi prochainement être concerné par cet outil de conversion. Les évolutions comprennent également une fonction d'entreposage des données pour surveiller les performances et les usages des machines virtuelles. Sur le plan des performances, Red Hat a fait évoluer la mémoire maximale supportée des machines virtuelles de 64 Go à 256 Go et de 8 à 16 processeurs virtuels. Il pourra donc prendre en compte les derniers processeurs Xeon Nehalem-EX d'Intel et Opteron d'AMD. Ces extensions doivent faciliter le déploiement d'un nombre plus large d'applications au sein des entreprises, comme les progiciels SAP, sur une seule machine.
Si le responsable n'a pas donné les prix de la version 2.2, la précédente était à 499 dollars par socket pour l'édition Standard et 799 dollars par socket pour l'édition Premium. Les clients ayant déjà souscrits à la version 2.1 migreront vers la nouvelle version sans coût supplémentaire.
(...)(26/03/2010 16:22:40)VMware et Citrix en compétition sur les hyperviseurs « bare metal »
Développer les pilotes strictement nécessaires à l'utilisation d'un ordinateur est un enjeu important. Une autre voie est de persuader les constructeurs de PC d'embarquer et de supporter des hyperviseurs, explique le cabinet d'étude Gartner. Citrix et VMware devaient présenter leurs produits en la matière, XenClient et Client Virtualization Platform avant la fin de l'année 2009. VMware espère maintenant sortir quelque chose de nouveau à la fin de l'année 2010. Citrix attend les résultats de sa version beta avant d'annoncer une date, souligne Dave Austin, directeur EMEA marketing des produits de Citrix.
Un architecture bare metal s'apparente à un hyperviseur de type 1, qui travaille directement sur l'ordinateur plutôt qu'à partir d'un système d'exploitation hébergé. Cela permet à un ou plusieurs OS d'être lancé depuis l'hyperviseur sur des machines virtuelles. La virtualisation des postes de travail facilite le travail de déploiement, par les services informatiques, d'un environnement fonctionnel standardisé pour tous les utilisateurs. Mais l'approche actuelle est que ces postes de travail sont gérés depuis un serveur où fonctionne l'OS virtuel. Avec l'hyperviseur en bare metal, les performances sont améliorées, car le système marche localement, pas sur le réseau et en mode déconnecté. Pour les entreprises, cette solution permet de créer des OS personnalisés, avec un déploiement facile sur l'ensemble des postes de travail, évolutif et gérable au niveau central. Pour travailler, les PC ont simplement besoin d'être compatibles avec la technologie Intel VPro.
Complexité et nouvelles orientations
Sur le plan technique, le développement de ce type d'architecture apporte plus de complexité dans la gestion des composants de l'ordinateur qui interagissent avec l'hyperviseur. Les constructeurs le confirment, il y a beaucoup d'éléments réseaux à prendre en compte, le Bluetooth, le matériel graphique, etc. Dans l'univers des serveurs, où le modèle bare metal, fonctionne depuis une dizaine d'années, la compatibilité matériel est plus restreinte et mieux définie, explique Frederik Sjöstedt, directeur EMEA marketing produit pour VMware. Pour les fabricants, cette solution de virtualisation n'est pas nécessairement accueillie comme un bénéfice. Ils craignent que les entreprises ne changent plus facilement de matériels vers des machines à bas coût, capables de faire fonctionner leur système d'exploitation personnalisé.
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Pour les responsables informatiques, ce type d'hyperviseur pourrait faire avancer l'idée que les collaborateurs achètent et amènent leur propre ordinateur au travail, avance Mark Margevicius, directeur de recherche pour des sociétés informatiques chez Gartner. Un OS personnel et de travail peuvent très bien coexister sur les machines. Du côté de Citrix, on approuve cette orientation en apportant aux administrateurs la possibilité d'éliminer les données à distance en cas de perte de l'ordinateur. De son côté, VMware regarde aussi vers les collaborateurs qui utilisent leur propre ordinateurs, mais avec une approche différente. Il souhaite accélérer le développement du poste de travail virtuel hébergé, appelé View Manager Local.
Microsoft n'est pas complétement écarté de ce mouvement, avec des fonctionnalités d'hyperV qui permettent de virtualiser le poste de travail en cloisonnant les applications métiers ou autres processus sensibles auxquels l'utilisateur ne pourra apporter aucune modification. Il disposera également d'un espace plus ouvert pour réaliser des téléchargements, des échanges de documents, etc...
(...)(22/03/2010 09:10:31)Blue Coat décline son appliance Proxy SG en mode virtuel
Le ProxySG de Blue Coat arrive dans une déclinaison virtuelle pour notamment équiper des sites distants. En charge de la délivrance d'application dans le réseau (ADN), les produits de l'entreprise américaine se chargent d'optimiser les échanges sur le réseau WAN et permettent ainsi de réduire les temps de latence. « Aujourd'hui, si beaucoup d'applications sont intégrées dans un serveur central, il reste des services au niveau local comme le DHCP, le système de DNS, les serveurs d'impression ou certaines applications métiers et les besoins d'optimisation sont réels » explique Yogi Chandiramanie, directeur technique et avant-vente EMEA de BlueCoat et d'ajouter « la virtualisation de notre appliance permettra de réduire les coûts et d'assurer une meilleure flexibilité, par le paiement d'une licence ». Cela représente un coût inférieur de 20% sur le prix d'une appliance physique avec la maintenance. Alors à quel moment choisir entre l'appliance virtuelle et la physique ? « les licences pour le ProxySG virtuel se déclinent en quatre versions et vont jusqu'à 300 utilisateurs en simultanée, au-delà nous préconisons de basculer sur une structure physique » souligne le responsable. La virtualisation gère tous les modes d'optimisation, gestion du SSL, l'accélération TCP, la compression de données, etc. Elle est compatible avec l'environnement VMware, même si le constructeur regarde aussi les autres solutions comme le KVM par exemple. Cette solution sera disponible à partir du 31 mars 2010. Aujourd'hui, des versions beta sont effectives et touchent des domaines très variés « nous avons réalisé par exemple des tests dans la grande distribution pour virtualiser les données des caisses enregistreuses qui ne pouvaient pas être centralisées ». (...)
(19/03/2010 15:56:09)Pour contrer VMware, Microsoft baisse le coût des licences Windows pour machines virtuelles
« Nos clients et nos partenaires nous ont fait comprendre que ce contrat était confus et complexe», a déclaré Dai Vu, directeur marketing de la virtualisation chez Microsoft. « C'est pourquoi nous avons décidé de simplifier et d'étendre les droits de ces licences. » Dans le système de tarification actuel, le VECD oblige les clients abonnés au programme d'Assurance Logicielle (Software Assurance, SA) de Microsoft à payer 23 dollars supplémentaires par an pour chaque machine cliente utilisés dans une infrastructure de bureau virtuel (VDI). Microsoft supprimera ce coût supplémentaire au 1er juillet. Cela signifie que les clients utilisant un grand nombre d'ordinateurs de bureau couvert par la Software Assurance n'auront plus besoin de payer la licence supplémentaire Windows lorsqu'ils migreront vers un système virtualisé. Et cela est indépendamment de la technologie de virtualisation choisie, que ce soit celle de Microsoft, de Citrix ou d'un concurrent comme VMware. Les clients qui n'ont pas acheté l' Assurance Logicielle devaient payer 110 dollars par appareil et par an en cas de déploiement sur une solution virtualisée. « Ce tarif, ramené à 100 dollars, ne concerne que les sociétés de petite taille et les ordinateurs utilisés par des contractants plutôt que par des salariés à plein temps, » a expliqué Dai Vu. « Pour les ordinateurs appartenant à l'entreprise, il sera généralement plus avantageux d'opter pour l'Assurance Logicielle que de payer les 100 dollars par unité en vertu du dispositif d'octroi de licences VECD, » a t-il ajouté. Microsoft est également en train de changer le nom de Virtual Enterprise Centralized Desktop (VECD) en Windows Desktop Virtual Access. « L'octroi de licences pour systèmes d'exploitation de bureau et de serveur évolue avec le temps. Historiquement liée au matériel, la virtualisation permet désormais aux bureaux d'offrir de nombreux postes de travail depuis le même serveur, » a fait remarquer Dai Vu. Le nouveau système d'autorisation de Microsoft va permettre aux utilisateurs d'accéder à leur bureau à partir de plusieurs points d'accès différents sans surcoût supplémentaire. [[page]] Bien que la virtualisation n'ait pas encore été adoptée de façon massive, l'arrivée de Windows 7 va amener de nombreux clients à revoir leur infrastructure de bureau et à envisager l'utilisation d'une plate-forme virtuel. Ce mois ci, les éditeurs ont multiplié les annonces pour capitaliser sur Windows 7. Ainsi VMware a, par exemple, a lancé une nouvelle version de son logiciel de virtualisation ThinApp, la présentant comme une alternative à la migration d'anciennes applications Windows 2000/XP vers Windows 7. Conjointement à cette petite réduction du coût de licences, Microsoft s'est associé à Citrix pour offrir une année de virtualisation gratuite aux clients qui abandonneraient VMware. Plus précisément, les clients qui feront défection à VMWare recevront Citrix XenDesktop VDI et Microsoft VDI et pourront mettre cette solution à disposition de 500 utilisateurs sans frais, pendant une année complète. Selon les vendeurs, un autre accord permettra aux clients de Microsoft qui ont acheté des licences d'accès avec l'Assurance Logicielle d'économiser plus de 50% sur un système combiné Microsoft/Citrix. Pour ceux-là, un déploiement virtuel de 250 postes de travail coûtera 7000 dollars, soit 28 dollars par poste. Microsoft et Citrix ont également déclaré qu'ils travaillaient à améliorer l'expérience utilisateur en matière de bureau virtuel, laquelle se fait dans la plupart des cas toujours derrière un ordinateur physique. Citrix, a indiqué que sa technologie HDX (affichage haute définition) sera compatible avec RemoteFX de Microsoft, une technologie d'accélération graphique pour ordinateurs de bureau virtuel acquise en 2008 lors du rachat de Calista Technologies. Citrix a également annoncé son logiciel XenDesktop 4 Feature Pack 1, qui augmente un peu plus encore l'intégration avec les produits Microsoft, y compris App-V, les outils de gestion, de communication et la VoIP. Le nouveau XenDesktop réduit aussi les temps de connexion des bureaux virtuels et de chargement des applications hébergées en achevant le processus d'ouverture de session sans attendre le login complet du profil. (...)
(19/03/2010 12:14:50)La virtualisation renforcée dans les SP1 de Windows 7 et Server 2008 R2
Avec le SP1 de Windows Server 2008 R2, deux fonctionnalités font leur apparition Microsoft RemoteFX et Dynamic Memory, concernant la virtualisation. La première est un complément à Hyper-V, qui permet à l'administrateur de gérer dynamiquement l'allocation de ressource mémoire pour les machines virtuelles. La deuxième booste l'accélération graphique pour afficher sur des machines virtuelles, tout en intégrant les technologies rich media comme le Flash ou Silverlight. Pour Windows 7, peu d'annonces ont filtré, hormis la fonctionnalité Remote Client, qui améliore l'accès à un poste à distance. Celle-ci sera compatible avec la fonction Remote FX, citée précédemment. En parallèle à cette annonce, la firme de Redmond a fait évoluer la virtualisation du mode XP présent sur la version professionnelle de son OS. En effet, cette action nécessitait des fonctions de virtualisation au sein des processeurs, baptisées Intel VT (Virtualization Technology) ou AMD-V. Maintenant, une mise à jour, téléchargeable à cette adresse efface ce besoin matériel et permet au mode XP de fonctionner sur un nombre de processeurs plus important. Toutes ces annonces s'adressent aux entreprises qui attendent souvent les premiers « Service Pack » pour migrer leur parc informatique vers un nouvel OS. D'autres informations sur le contenu de ces packs devraient être publiées dans les prochaines semaines. (...)
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