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Virtualisation

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(23/10/2008 12:46:51)
VMware enregistre une croissance trimestrielle de 32%
Beau troisième trimestre pour VMware. Le dernier avant que Microsoft n'ait fini de déployer ses premières batteries et que la crise ne déferle sur "l'économie réelle". Le CA sur le territoire américain a progressé de 24% à 249 M$. Il représente 53% de l'activité de VMware. Tiré par l'Europe, l'international a augmenté de 42% à 224 M$. Les ventes de licences (60% du CA) ont crû de 15% à 285 M$. Dans le même temps, les services ont bondi de 70% à 187 M$. Cette activité provient essentiellement de la maintenance logicielle (147 M$, +71%), un domaine où VMware est réputé pour pratiquer des prix supérieurs à ceux habituellement pratiqués. La marge opérationnelle s'établit à 101 M$, en hausse de 53%. Paul Maritz explique que VMware n'a perdu aucun client face à Microsoft et que ce dernier "est toujours derrière en terme d'annonces et qu'il ne comblera ce retard que d'ici 12 à 24 mois. D'ici là, nous espérons bien avoir continué d'avancer." La société, qui a subi le départ de trois dirigeants fondateurs au cours de ce trimestre, affirme qu'elle a su se réorganiser. Paul Maritz, le PDG de la société, pormet pour ce trimestre la disponibilité de VMware View 3.0, outil de gestion de la virtualisation des postes clients. En revanche, tout en confirmant l'arrivée d'annonces significatives pour 2009, il ne donne aucun détail complémentaire sur les trains d'annonces qui doivent constituer, à terme, Virtual Datacenter Operating System (VDC-OS). Malgré la crise, VMware maintient sa fourchette de prévisions de croissance pour l'année fiscale en cours entre 42% et 45%. Le rythme de ses embauches a toutefois été réduit. (...)
(21/10/2008 14:46:32)Systar bascule son offre de supervision vers la virtualisation
Le succès grandissant de la virtualisation de serveurs s'accompagne d'une recrudescence de maux de têtes dans les services d'exploitation. Systar a flairé le bon filon, et annonce « un repositionnement complet ». Editeur français d'outils de BAM (supervision des activités métier) et de gestion des ressources informatiques (Capacity Management, gamme Omnivision), Systar se positionne désormais comme l'auteur d'une solution de gestion des environnements virtualisés, Virtual Capacity Planner. La virtualisation ne règle pas à elle seule le problème de l'optimisation de ressources François Besson, responsable EMEA du développement des ventes pour les solutions de Capacity Management de Systar, explique : « Les directions informatiques adoptent massivement la virtualisation car cela permet des économies très fortes. Toutefois, pour obtenir de vrais résultats, il faut s'équiper d'outils de contrôle. » De fait, si les machines virtuelles (VM) se multiplient dès qu'un chef de projet en fait la demande, ou si aucun outil n'existe pour prévoir le dimensionnement des serveurs physiques appelés à accueillir une ou plusieurs machines virtuelles, le problème de l'optimisation des ressources - censé être résolu par la consolidation et la virtualisation - reste posé. Certes, admet François Besson, les éditeurs de solutions de virtualisation accompagnent leurs offres d'outils d'administration. « Ces outils gèrent le cycle de vie des VM, dit-il, mais ils ne sont pas conçus pour prendre du recul. C'est un peu la même différence qu'il y a entre le BPM, pour l'orchestration, et le BAM, un outil d'observation de ce qui se passe vraiment. Cela se traduit par des analyses, qui font apparaître les problèmes récurrents, les économies non réalisées... » Identifier les bons candidats à la virtualisation et prouver la qualité de service [[page]] Parmi ses fonctions, Virtual Capacity Planner propose d'identifier entre les serveurs physiques les bons candidats à la virtualisation et de simuler des regroupements de VM pour étudier le comportement et la consommation des ressources. Au-delà de ce souci d'optimisation, une solution comme Omnivision, insiste François Besson, donne des indicateurs objectifs pour « prouver la qualité de service liée à une application, ou établir des métriques pour la refacturation ». Un grand compte passé de 540 à 460 serveurs, pour un ROI obtenu en 6 mois Un sondage effectué par l'éditeur lors de la dernière édition de VMWorld, la conférence utilisateurs de VMWare, auprès de plus de 200 sociétés, aurait montré que « 66% des organisations indiquent un fort ou un très fort besoin de reporting sur la performance et les capacité de leur infrastructure virtuelle ». Systar tente donc des opérations « coup de poing » dans des entreprises, afin de démontrer l'intérêt de sa solution de supervision. « Nous préconisons une période d'observation longue, afin d'être précis, mais souvent le client est pressé et veut prendre des décisions en trois ou quatre semaines », précise François Besson. Néanmoins, l'éditeur s'enorgueillit de quelques beaux résultats. « Par exemple, un grand acteur de l'électronique grand public, qui souhaitait une réduction rapide de ses coûts. Il a décommissionné 15% de son parc, passant de 540 à 460 serveurs. » Impossible de connaître le coût de la solution, mais François Besson assure que « le retour sur investissement était de 6 mois ». En revanche, s'il est capable d'identifier les problèmes, Omnivision n'en est pas encore à préconiser des solutions : « L'automatisation de la décision n'est pas prise en compte. » Côté technologies gérées, Systar prend en compte les infrastructures VMWare, IBM Power et Solaris Sparc. « Xen et Hyper-V sont en veille technologique. » (...)
(20/10/2008 11:19:44)La virtualisation ne progresse plus que de... 53% !
L'étude du marché de la virtualisation au deuxième trimestre par IDC souligne des signes de maturation sur un secteur qui demeure largement dominé par VMWare malgré l'irruption de Microsoft. IDC estime que la phase de consolidation des grands parcs de serveurs grâce à la virtualisation tire à sa fin. Le marché aborde une période qui se caractérisera par des ventes de moindre ampleur et par une extension au secteur des PME. Au cours de ce deuxième trimestre, VMWare a livré 44% des logiciels de virtualisation, contre 51% il y a un an. Ce tassement ne profite que partiellement à Microsoft puisque l'éditeur voit sa part de marché en volume passer de 20% l'an dernier à 25%. IDC indique que « pour son premier trimestre depuis son lancement, Hyper-V a eu une forte présence ». Toutefois, ce chiffre est calculé à partir de la somme des livraisons d'Hyper-V et de son ancêtre Virtual Server 2005. Et la progression des ventes d'Hyper-V est liée à celles de Windows Server 2008. Or celles-ci, au deuxième trimestre, étaient encore inférieures à celle de Windows Server 2005. Nette domination de VMware en valeur Au cours de ce trimestre, les livraisons de logiciels de virtualisation ont progressé de 53% (+72% il y a un an). Avec 60% de livraisons en plus, c'est l'architecture x86 qui tire le marché. Les livraisons pour les systèmes à base d'Itanium (EPIC - Explicitly Parallel Instruction Computing) augmentent de 18% tandis que celles pour les autres diminuent (-15% sur les processeurs Cisc et -7% sur les Risc). [[page]] En valeur, le marché mondial de la virtualisation a augmenté de 15%. Le segment x86 progresse plus vite que tous les autres. Il enregistre +39% alors que celui des processeurs Epic ne fait que + 9%. VMware, dont les ventes augmentent de 27%, s'octroie une part de marché en valeur de 78% grâce à ESX et VMware Server. Elle était de 86% l'an dernier. Virtuozzo arrive en deuxième position avec une part de marché qui se maintient à 16%. Microsoft, qui considère l'hyperviseur comme « un utilitaire devant être gratuit », ne récolte que 1,1% de la valeur de ce marché. HP et Dell livrent 66% des serveurs virtualisés Les livraisons de serveurs destinés à la virtualisation ont progressé de 52%. Avec une croissance équivalente à celle du marché, Hewlett-Packard obtient une part de marché de 34%. Dell, qui progresse de 110%, réduit l'écart avec une part de 29% (25% il y a un an). IBM arrive troisième avec 16%. IDC note une progression de 32% de ses livraisons de machines, en particulier grâce à la bonne santé de sa gamme de serveurs à base de processeurs Power. (...)
(14/10/2008 17:48:19)FalconStor assure la récupération de données avec Hyper-V
Déjà certifié pour Windows Server 2008, FalconStor annonce aujourd'hui une compatibilité totale pour la récupération des données via son logiciel Network Storage Server (NSS). En cas de problème, celui-ci est désormais capable d'utiliser Microsoft Server 2008 Failover Clustering et Hyper-V pour récupérer et restaurer les données dans un réseau Wan aussi bien sur des serveurs physiques que sur des machines virtuelles. Pour bénéficier de cette protection, il suffit de télécharger la nouvelle version de NSS sans coût supplémentaire. Une fois installée, la sauvegarde est automatique. (...)
(09/10/2008 15:54:22)CA se pose en gestionnaire de la virtualisation
CA met son offre d'administration à l'heure de la virtualisation. La clef de voûte en est Data Center Automation Manager 11.2 auquel s'ajoutent neuf autres outils d'automatisation des tâches d'administration de l'infrastructure, des performances des applications et des services. Vendu plus de 150 000$, Data Center Automation Manager (DCAM) s'appuie sur un moteur de règles qui, selon CA, gère les machines virtuelles tant actives qu'en sommeil et les ressources systèmes afférentes. En s'appuyant sur CA CMDB (Configuration Management Database), il peut évaluer les ressources disponibles et les allouer. DCAM s'interface avec CA AutoSys Workload Automation, CA NSM 11,2 (CA Unicenter Network and Systems Management), CA Service Desk, et avec CA Wily APM. CA, qui s'affiche en fournisseur des plus grands comptes, veut se différencier de ses concurrents par l'éclectisme de son offre s'étendant du poste client au grand système. Pour les spécialistes de l'administration de systèmes, la virtualisation est un enjeu vital. A plus ou moins long terme, ils devront proposer des outils pour piloter, surveiller, gérer et administrer des VM en environnements multiples. C'est la raison pour laquelle tous se lancent dans des annonces sur le sujet. Outre celles de CA, les dernières en date sont celles de BMC et de Hewlett-Packard. Ils doivent aussi compter sur les velléités de VMware et de Microsoft ainsi que sur celles d'éditeurs spécialistes de la virtualisation comme Vizioncore ou le Français Systar. (...)
(09/10/2008 12:58:56)Verari propose des lames dernier cri avec des composants standards
Sur le marché très concentré des serveurs lames, les seconds couteaux n'ont d'autre issue que d'innover. C'est le cas du Californien Verari, qui a commercialisé ses premières lames avant HP et IBM sous le nom de RackSaver. Il équipe des grands comptes à la recherche de la plus haute densité. Parmi eux, on trouve des sociétés comme Microsoft et Akamai. Le fournisseur y parvient tout en utilisant des composants standards (carte mère, mémoire...). En revanche, le système de ventilation, qui repose sur l'enfichage vertical des lames, est breveté. Le constructeur annonce aujourd'hui des BladeRack 2X dont le châssis peut accueillir trois types de lames. Centré sur la densité, la ligne M permet d'installer 72 lames dans un volume de 8U. Mixant serveur et stockage, elle peut accueillir jusqu'à 864 coeurs (avec des processeurs quadri coeurs) et 672 To de disque. La ligne E se caractérise par la présence d'alimentations redondantes. 66 lames (serveurs -720 coeurs- stockage -576 T- ) prennent place dans un volume de 7U. La ligne L se différencie par la présence de composants redondants. Dans un volume de 8U, elle peut intégrer 96 lames uniquement serveurs (soit 864 coeurs). Verari mixe depuis longtemps serveur et stockage dans ses lames [[page]]Le constructeur combine depuis longtemps les lames serveurs et les lames de stockage. Approche découverte dernièrement par Fujitsu Siemens et IBM. En mai dernier, Verari s'est associé avec Xsigo pour intégrer aussi un commutateur virtuel à ses châssis. Les deux sociétés affirment pouvoir atteindre 32 connexions stockage et 64 connexions réseau par lame dont l'administration est centralisée sur une seule console. Les lames Verari acceptent ESX Server 3.5 et 3i de VMware. (...)
(07/10/2008 07:40:13)Banc d'essai : ESX surpasse Hyper-V sur tous les plans
Les hyperviseurs ESX de VMware et Hyper-V de Microsoft ont été auscultés sous toutes les coutures par notre confrère Network World deux mois durant. Et le premier surclasse nettement le second. Sans surprise. Rappelons que le premier règne en maître sur les serveurs x86/64bits depuis plusieurs années alors que le second sort tout juste de l'oeuf, après une longue et difficile gestation. Alors qu'il aurait dû être disponible en même temps que Windows Server 2008, Hyper-V n'est arrivé que bien plus tard. Quant à Virtual Machine Manager, sa console d'administration, elle tarde elle-aussi à voir le jour. C'est pour la migration que l'écart entre Microsoft et VMware est le plus imposant Le banc d'essai était focalisé sur quatre aspects de l'utilisation des produits : tout d'abord, la mise en service, la compatibilité et la migration, ensuite, l'administration et la gestion, puis les performances et, enfin la sécurité, la supervision et la gestion des événements. Chaque test a compté pour 25% de la note globale. Sur un maximum de 5, ESX a obtenu 4,25 et Hyper-V seulement 3,25. VMware affiche ses meilleurs scores (4,5) avec la performance et la mise en service, la compatibilité et la migration. C'est sur ce dernier point que l'écart est le plus grand avec Hyper-V qui n'obtient que 3. [[page]]Même note de 3 pour Microsoft sur la sécurité, la supervision et la gestion des événements. Il fait mieux avec 3,5 en matière d'administration et de gestion ainsi que sur le chapitre des performances. Hyper-V se démarque en particulier pour la consolidation de machines virtuelles sur des serveurs monoprocesseurs. A la décharge de Microsoft, nos confrères rappellent que la version testée de Virtual Machine Manager, sa console d'administration, restait une version bêta. Cette comparaison entre les hyperviseurs ennemis était une première à deux titres. D'une part, les deux produits n'avaient encore jamais été mis face à face. D'autre part, c'était aussi la première fois que VMware se prêtait à un banc d'essai comparatif. L'éditeur refuse habituellement, par principe, ce type d'exercice arguant de leur manque de pertinence. (...)
(06/10/2008 12:30:26)Crédit Suisse commercialise sa propre administration d'environnements virtualisés hétérogènes
Crédit Suisse est tellement satisfait de son outil d'administration des environnements virtualisés hétérogènes qu'il a décidé de le commercialiser. La banque, dont les analystes figurent parmi les plus écoutés du monde des TIC, a capitalisé la jeune pousse DynamicOps au début de cette année pour qu'elle vende son administration d'environnements virtualisés hétérogènes, Virtual Ressource Manager (VRM). Ni le plan d'annonces de Microsoft, ni celui de VMware n'apportaient de réponse satisfaisante Les acheteurs potentiels seront sans doute intéressés par le fait que le président et CTO de DynamicOps n'est autre que l'ancien directeur en charge de la virtualisation des serveurs de la banque. Selon lui, VRM est d'abord issu d'une expérience de deux ans pour administrer des milliers de serveurs et de postes de travail virtualisés. Mais le produit résulte aussi du fait que ni le plan d'annonces de Microsoft, ni celui de VMware n'apportaient de réponses aux besoins de Crédit Suisse ! L'architecture ouverte de VRM est conçue pour évoluer en environnement hétérogène (VMware, Microsoft, Citrix, Sun). Son but est de permettre une gestion fine des machines virtuelles tout au long de leur cycle de vie en respectant des règles pré-établies de workflows et de politique de déploiement. (...)
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