Flux RSS
Virtualisation
557 documents trouvés, affichage des résultats 291 à 300.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(19/11/2008 17:04:16)
Capgemini utilise le 'cloud' d'Amazon pour développer des applications
Capgemini et Amazon Web Services ont noué hier un partenariat autour du 'cloud computing'. La SSII française se servira du nuage d'Amazon pour développer des applications autour de trois axes : les solutions SaaS Microsoft SharePoint, Fusion (le module ERP, progiciel de gestion intégrée, d'Oracle), ainsi que des services de test et de développement d'applications industrielles via Internet. Cette offre, expérimentée aux Etats-Unis depuis le début de l'année auprès de trois grandes sociétés, est destinée à évoluer vers d'autres secteurs, comme l'univers SAP ou l'Open Source. Capgemini se charge de développer des applications qui sont ensuite hébergées par la plateforme EC2 (Elastic Computer Cloud) d'Amazon. Ce service - fraîchement sorti de sa version bêta - permet de créer un nouveau serveur en quelques minutes, en s'affranchissant de l'achat de nouveau matériel. Capgemini et Amazon garantissent une disponibilité de 99,95%, ce qui correspond à un temps d'arrêt n'excédant pas 4 h 30 par an. La facturation se fait au cas par cas. Capgemini fournit également des services de conseil, de migration et de sauvegarde. Un pôle de compétences a même été créé à cet effet. Il est composé d'une équipe d'une cinquantaine de personnes (architectes infrastructure et consultants) situées aux Etats-Unis, en Europe (notamment en France) et en Inde. Capgemini prône la souplesse et la visibilité budgétaire Avec ce pôle de compétences, Capgemini met le pied dans le 'cloud computing' pour la première fois et compte s'y faire une place. « Je ne crois pas qu'il s'agisse d'un simple phénomène de mode organisé autour d'un buzz médiatique, explique Pascal Exertier, directeur de l'activité infogérance et président de l'activité outsourcing de Capgemini France. Nos clients éprouvent de vraies difficultés à prévoir leurs investissements et la conjoncture économique actuelle ne va pas faciliter les choses. Notre offre de 'cloud computing' leur permet d'avoir une certaine souplesse ainsi qu'une meilleure visibilité budgétaire. » (...)
(19/11/2008 16:18:53)Onze conseils de Gartner pour optimiser l'efficacité énergétique des datacenters
Pour moins de 200 dollars, mais sur seulement six pages, le Gartner Group explique "comment économiser un million de kWh dans votre centre de données". Les analystes du groupe affirment que 35% à 50% de la facture électrique d'un datacenter "conventionnel" consacré à sa climatisation peuvent descendre à 15%. Cet écart représenterait un million de kWh par an "même dans un petit datacenter". Loin d'être une somme technologique, la liste des conseils relève plus du bon sens. Mais comme elle vient de Gartner, elle aura certainement plus de poids lorsqu'il faudra appliquer ces bonnes pratiques (et à moins de 200 dollars, cela revient de toute façon moins cher qu'un audit pratiqué par un consultant externe). Les 11 conseils de Gartner pour réguler plus efficacement la température des datacenters : 1) Boucher les trous dans les faux planchers. Ce simple geste, qui évite qu'air froid et chaud se mélangent, permet à lui seul d'économiser 10% de consommation. 2) Utiliser des panneaux isolants dans les racks. En canalisant mieux les flux, ces panneaux font gagner jusqu'à 5 degrés. 3) Coordonner les éléments de climatisation. En gérant ensemble tous les éléments de climatisation, on optimise leur efficacité. 4) Dégager l'espace sous les faux planchers. Dans certaines salles machines, typiquement les plus anciennes, les passages de câbles sous les planchers gênent la circulation des flux de refroidissement. 5) Agencer les racks en fonction des flux. Au lieu de ranger côte à côte les serveurs, il vaut mieux les placer en fonction de la circulation de l'air. Cela évite qu'une rangée envoie de l'air chaud vers celle d'à côté. 6) Installer des capteurs. Autant savoir où se trouvent les zones les plus chaudes pour focaliser les efforts de climatisation. 7) Délimiter des zones de température. Après avoir placé les racks en fonction des flux, la deuxième phase consiste à isoler physiquement les parties chaudes des parties froides. Le Gartner estime que ce conseil est le plus efficace de tous. 8) Laisser monter un peu la température. Quelques degrés en plus ne menacent pas les matériels et font gagner de l'argent. 9) Utiliser des équipements à puissance variable. Un ventilateur dont la vitesse de rotation est réduite de 10% consomme 27% d'électricité en moins. A moins 20%, on gagne 49%. 10) L'air frais se trouve aussi dehors. En saison froide, il paraît inutile de produire de l'air frais alors qu'il se trouve dehors. 11) Modulariser la climatisation. Au lieu d'aborder la climatisation d'une salle de façon globale, il vaut mieux adopter une approche modulaire, centrée sur les racks. (...)
(14/11/2008 16:41:25)Le Gartner prédit l'émergence de clouds privés chez les grands comptes
Dans l'univers déjà brumeux du cloud computing, le Gartner Group en rajoute une couche. Selon les analystes de ce cabinet, les grandes entreprises s'intéressent de près aux infrastructures en cloud computing de fournisseurs comme Google et Amazon, non pour leur déléguer les leurs, mais plutôt pour apprendre comment les faire muter sur leur modèle. Et l'analyste Thomas Bittman de créer le concept de cloud computing privé. Il exposera sa vision complète du phénomène le mois prochain dans le cadre de la conférence annuelle du Gartner à Las Vegas. En attendant, il souligne que l'offre actuelle de cloud computing des fournisseurs s'adresse en fait aux clients en quête d'externalisation. Bien qu'il soit mis en avant, le cloud de ces fournisseurs n'est là que pour répondre à un besoin de sous-traitance. Le Gartner prévoit que l'appel au cloud computing pour l'externalisation concernera en priorité le courrier électronique. Le nombre de boîtes de courriels hébergées selon ce modèle passera de 1% du total en 2007 à 20% en 2012. Une prédiction qui résonne avec l'annonce d'Exchange Online par Microsoft en mai dernier. L'éditeur prévoit que, d'ici cinq ans, " la moitié des boîtes Exchange seront sur Exchange Online." La suite logique de la virtualisation [[page]] Quant à la version privée du cloud computing, elle s'inscrit dans la suite logique de la généralisation de la couche de virtualisation qui s'insère de plus en plus dans les serveurs et qui commence à s'immiscer sur les postes clients. Cette 'décorrélation' entre les ressources matérielles et les logiciels ouvre de nouveaux horizons à ce qu'il était coutume d'appeler l'informatique distribuée. C'est dans ce contexte que surgit le VDC-OS (Virtual datacenter OS) de VMware, qualifié par le Gartner de "méta système d'exploitation". Son rôle est d'orchestrer toutes les ressources informatiques pour assurer un bon fonctionnement aux applications. Pour Thomas Bittman, ces clouds privés ne naîtront pas en un jour. Il s'agit plus d'une tendance architecturale lourde des systèmes d'information des grands comptes. Pour les PME, le schéma est différent. Le Gartner pense que, d'ici cinq ans, un important pourcentage d'entre elles aura fait appel à des prestataires de ressources en cloud pour constituer leur système d'information. En fait, le Gartner ébauche un paysage bigarré où les entreprises intègrent plus ou moins, et sous des formes variables, cette informatique distribuée d'un nouveau genre à leur système d'information. Elle fédère des ressources à la fois locales et distantes et à la fois en propre ou externalisées sous le contrôle d'une administration centralisée. (...)
(13/11/2008 16:08:05)Cisco virtualise l'interface entre son offre SAN et l'environnement VMware
Cisco va collaborer avec VMware pour optimiser l'intégration de ses MDS (Multilayer DataCenter Switch) pour SAN (Storage area network) dans l'environnement virtuel du second baptisé VDC-OS (Virtual Datacenter OS). Pratiquement, les administrateurs pourront déplacer leurs serveurs physiques ou virtuels en préservant leur configuration vis-à-vis des commutateurs et des baies de stockage. Cette annonce s'inscrit dans le partenariat technologique entre les deux sociétés annoncé lors de la manifestation VMworld de septembre dernier. Ce partenariat pêche toutefois par un manque de précision sur la façon dont VD-OS, du côté de VMware, et Datacenter 3.0, du côté de Cisco, cohabiteront à terme. En effet, les deux projets visent tous deux à une supervision globale de l'infrastructure des systèmes d'information. (...)
(12/11/2008 16:39:54)VMware installe la virtualisation dans les mobiles
Après les serveurs, le stockage et les postes de travail, VMware veut porter la virtualisation jusque sur les téléphones portables. Il utilise la technologie du Grenoblois Trango Virtual Processors acheté en octobre. VMware à décider d'explorer un nouveau domaine de virtualisation, celui des téléphones portables. Pour ce faire, il a tout simplement acheté la société grenobloise Trango Virtual Processors, spécialisée dans ce type de technologie. VMware commercialisera le savoir-faire de Trango dans son nouvel hyperviseur MVP (Mobile Virtual Platform).Développé en priorité pour les processeurs ARM (architectures 4, 5 et 6) et MIPS (MIPS32 et 64), celui-ci s'adapte parfaitement aux contraintes propres aux mobiles : consommation énergétique faible et mémoire interne restreinte. Au delà de la performance technique qui consisterait à faire tourner Windows Mobile sur un téléphone Symbian par exemple, la virtualisation a une utilité bien concrète dans les sociétés où les salariés font un usage personnel de leur téléphone professionnel ou l'inverse. Les services informatiques pourraient ainsi utiliser MVP pour créer deux profils : l'un purement professionnel avec les applications métiers de la société et le niveau de sécurité nécessaire pour protéger le réseau d'entreprise, et l'autre mis à disposition du salarié pour un usage privé à ses risques et périls (notamment avec le téléchargement de jeux et autres sonneries). La virtualisation jouant en quelques sortes le rôle d'isolant entre les deux. Les premiers mobiles équipés à partir de fin 2009 [[page]]Pour l'instant, le MVP d'une taille oscillant entre 20 et 30 Ko fonctionne avec les téléphones sous Linux, Windows CE 5.0 et 6.0, eCOS et Symbian. La société travaille d'ores et déjà à un portage sur Windows Mobile. A l'heure actuelle, VMware veut se rapprocher des constructeurs de mobiles pour implanter son hyperviseur dans leurs produits. Aucun nom n'a encore été annoncé, mais l'éditeur espère voir les premiers appareils équipés de virtualisation fin 2009 ou début 2010. Mais sur le marché des mobiles, la concurrence entre hyperviseurs s'annonce aussi rude que sur le marché des serveurs. Outre Trango, d'autres sociétés telles Virtual Logix et Open Kernel Labs travaillent à leur propre solution, sans le soutien financier d'un grand groupe. Pour l'instant... (...)
(10/11/2008 12:31:50)Le label Energy Star limite à 60W la consommation des serveurs inactifs
L'agence américaine de protection de l'environnement (EPA) annonce la troisième version intermédiaire de sa spécification Energy Star destinée aux serveurs. Le standard définitif devrait arriver en février 2009. Objectif : permettre aux entreprises d'identifier les serveurs les plus efficaces en terme de consommation énergétique. Le label concerne déjà les PC, les écrans, les imprimantes, les scanners et de nombreux autres produits informatiques et électroniques. Cette troisième version intermédiaire de la spécification Energy Star pour serveur s'attache à la consommation d'une machine inactive. Pour obtenir le label, un serveur mono-processeur inactif ne devra pas dépasser 60 watts. La limite est fixée à 271 watts pour un quadri-processeur. Celle-ci peut être relevée en cas de présence de composants additionnels. Ainsi, un deuxième disque dur donne le droit à 15 watts de puissance électrique supplémentaire. Mais les fournisseurs doivent aussi répondre à un minimum d'exigences en terme d'efficacité des alimentations électriques et publier un tableau pour chaque serveur indiquant ses niveaux de consommation et de performance pour des configurations minimale, maximale et « typique ». Les serveurs de plus de quatre processeurs et les lames attendront La spécification concerne des machines qui intègrent jusqu'à quatre processeurs. Mais l'EPA en a volontairement exclu les lames. L'organisme de tests Spec a en effet indiqué que sa mesure SPECPower_ssj2008 de consommation pour des serveurs inactifs - sur laquelle s'appuie l'EPA - ne peut fonctionner sur ce type de machines. L'agence intègrera dans ses futurs travaux des outils appropriés pour tenir compte des lames. De la même façon, une deuxième mouture de la spécification pourrait arriver en octobre 2010 incluant les serveurs au delà des quadri-processeurs. (...)
(06/11/2008 18:24:29)Sun combine MySQL à ses serveurs en cinq nouveaux packages
Sun vient d'annoncer cinq nouvelles solutions conçues pour optimiser les performances de sa base de données Open Source MySQL avec ses serveurs et systèmes de stockage, tout en réduisant les coûts de consommation électrique. Ces cinq offres s'accompagnent d'un programme d'évaluation gratuit de 60 jours à l'issue duquel les clients pourront acquérir les produits à un prix réduit (jusqu'à -40% sur le tarif). Virtualisation et gain de place La première offre, Sun Systems for MySQL x86 Performance associe le support de MySQL Enterprise Gold aux serveurs Sun Fire X2250, X4240 ou Blade X6250, ainsi qu'au système de stockage en grappe J4200 (à partir de 1 500 dollars avec le serveur X2250 pouvant recevoir jusqu'à deux processeurs Xeon d'Intel). La deuxième solution, Sun Systems for MySQL Virtualization, met à contribution des technologies de virtualisation gratuites en Open Source telles que Solaris Containers et LDoms. Elle s'appuie sur les systèmes CoolThreads de Sun (décrits par le constructeur jusqu'à cinq fois plus performants que des systèmes x86 dans un espace deux fois moins important) et ses technologies Open Storage sous Solaris. Des solutions pour les contenus numériques, les environnements multi-niveaux et les sauvegardes [[page]] Troisième package, Sun Systems for MySQL Rich Media Storage vise la gestion des contenus numériques, en pleine explosion. Il repose sur Open Storage, le serveur Fire X4540 et le système de stockage J4000. Là encore, le constructeur met en avant un ratio capacité/prix qu'il juge très concurrentiel (il donne en exemple le ratio 1 dollar/Go avec le J4000). Le quatrième package, Sun Systems for MySQL Multi-tier deployment, concerne les déploiements en environnement multi-niveaux. Enfin, le cinquième, Sun Systems for MySQL Backup, destiné à la protection des données, s'appuie sur un serveur Sun Fire X4540 et sur la solution de sauvegarde Zmanda ZRM for MySQL Enterprise. (...)
(05/11/2008 14:58:29)Intel abandonne en partie VMware
Un an après son entrée dans le capital de VMware, Intel Capital, le fonds d'investissement du fondeur, s'en retirerait petit à petit, si l'on en croît l'agence Reuters. Il a en effet vendu le 30 octobre dernier un million d'actions VMware réparties également entre Cisco et EMC, les deux autres co-actionnaires du spécialiste en virtualisation, au prix de 26,52 dollars par action. Et selon un rapport adressé à la SEC (Security Exchange and Commission), l'autorité américaine de régulation des marchés, le fonds souhaite se séparer ainsi de 3,75 millions d'actions VMware immédiatement. Au total, à la fin de ces opérations, Intel Capital se sera séparé de 4,75 millions d'actions VMware, soit la moitié des 9,5 millions d'actions achetées (à 23 dollars l'unité) en juillet 2007. Au delà d'une simple bonne affaire financière, l'achat initial visait - comme son investissement précédent dans Virtual Iron - à doper ses ventes de processeurs dans le monde professionnel à une époque où la virtualisation commençait à être la tendance à la mode. Désormais, les outils de virtualisation intégrés dans les puces d'Intel commencent à être mieux connus, et VMware doit faire face à une concurrence accrue avec l'arrivée de l'hyperviseur gratuit de Microsoft, Hyper-V. Cet investissement peut donc sembler moins intéressant pour Intel. A l'heure actuelle, ni Intel ni VMware n'ont souhaité commenter cette vente, et l'action de VMware est actuellement côtée à 30,56 dollars à la bourse de New-York. (...)
(24/10/2008 16:43:34)Microsoft se serre la ceinture pour affronter la crise
Malgré des résultats financiers conformes aux attentes du marché , Microsoft a présenté hier un plan pour braver la crise économique. Le géant de Redmond ne voit pas d'amélioration à l'horizon et préfère se mettre au régime dès à présent. « Nous ne pouvons pas contrôler l'économie mondiale mais nous pouvons contrôler nos propres performances » a indiqué Chris Liddell, directeur financier de la société. Avec ce plan, Microsoft espère alléger ses dépenses de 500 M$ pour le reste de l'exercice en cours, qui se termine le 30 juin 2009. Au menu : une réduction des dépenses dans tous les pôles considérés à priorité basse. Le marketing est particulièrement visé. La société a récemment déboursé 300 M$ en frais de marketing et de campagne de publicité pour Windows Vista qui n'a, de surcroît, jamais réussi à répondre aux attentes de Microsoft. Sont également concernés les investissements dans les centres de données et les frais généraux, notamment liés aux voyages (comme l'a fait SAP il y a quelques jours, suite à l'avertissement sur résultats). Moins de recrutements et Microsoft ne remet pas l'affaire Yahoo sur le tapis Microsoft met également un frein sur les recrutements. Ils ne seront pas gelés, mais ils seront sous les 15% atteints l'an dernier par l'éditeur. Pour attirer et retenir de nouveaux clients à la recherche de « faire plus avec moins » dans un climat économique difficile, le directeur financier a annoncé que Microsoft allait se concentrer sur la fourniture de « produits à valeur ajoutée mais à faible coût ». Il a cité des outils tels que le logiciel de virtualisation Hyper-V ainsi que des solutions de communication unifiées pour les entreprises. Chris Liddell n'a pas évoqué l'éventualité pour Microsoft de mettre sur la table une autre offre de rachat de Yahoo, alors que Steve Ballmer a récemment déclaré publiquement qu'un accord entre les deux sociétés « avait encore un sens économique » . (...)
(23/10/2008 13:24:21)EMC a fait plus que résister au troisième trimestre
Certes, la profitabilité d'EMC a baissé au troisième trimestre par rapport à la période correspondante de l'exercice précédent (-17%), mais moins qu'attendu. Alors que le résultat du troisième trimestre 2007 avait été gonflé par la vente, pour 150 M$, d'actions de sa filiale VMware à Cisco. Le résultat opérationnel progresse d'ailleurs de 3,7% et la marge brute reste stable à 55%. De plus, EMC semble mieux se comporter que l'activité stockage d'IBM, son principal concurrent. Alors que les ventes d'IBM dans ce domaine fléchissent, celles d'EMC progressent de 11% à 2,9 Md$. L'activité d'EMC en Europe progresse plus vite (+20%) qu'aux Etats-Unis (+19%). L'activité Sécurité, née de l'achat de RSA, a augmenté de 11% à 147 M$. En revanche, celle centrée sur la gestion et l'archivage de documents stagne à 188 M$. EMC, qui détient toujours 84% du capital de VMware, consolide ses résultats (472 M$ de CA et 83 M$ de bénéfices nets). La direction a prévenu que l'activité au quatrième trimestre devrait pâtir du contexte économique général et ne progresser que de quelques pour cent. Il n'y aura donc pas de vingt-deuxième trimestre consécutif de croissance à deux chiffres. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |