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Virtualisation

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(12/01/2009 10:57:45)

L'Open Cloud Consortium veut promouvoir un cloud computing ouvert

En matière de cloud computing, la technique suit le marketing. Un groupe d'universités américaines* vient de créer l'Open Cloud Consortium (OCC), une association qui a vocation à améliorer les performances des technologies impliquées dans le cloud computing, à y promouvoir l'utilisation des logiciels libres et l'interopérabilité entre chaque implantation. "Notre but est qu'il ne soit pas nécessaire de réécrire les applications si l'on change de fournisseur" explique Robert Grossman, président de l'OCC et directeur du Laboratory for Advanced Computing (LAC) et du National Center for Data Mining (NCDM) à l'université de l'Illinois.

Mise à disposition d'un banc de tests


Robert Grossman annonce cinq axes de travail : - le développement de standards pour le cloud computing, d'interfaces et de frameworks pour l'interopérabilité entre les différentes implantations, - le support des logiciels Open Source pour le cloud computing, - le développement de tests de performances (benchmarks) pour le cloud computing, - la mise à disposition d'un banc de tests, l'Open Cloud Testbed, se composant de quatre sites reliés entre eux par une connexion Ethernet à 10 Gigabit, - et le soutien d'ateliers et d'événements sur le sujet.

Seul Cisco soutient l'OCC pour l'instant


L'OCC travaille avec les logiciels open source suivants : Hadoop, développé par le consortium Apache, et Thrift, originaire de Facebook. Thrift est un framework qui permet de développer des services à partir de plusieurs langages (C++, Java, Python, PHP et Ruby). L'OCC a aussi mis au point Sector qui utilise le protocole UDP et non TCP. Couplé avec Sphere, développé par le National Center for Data Mining, il délivre des performances deux fois supérieures à celle d'Hadoop qui repose sur TCP. Pour l'instant, seul Cisco, parmi les grands acteurs de l'industrie, apporte son soutien à l'OCC. Les autres (IBM, Microsoft, Oracle Amazon, Google...) ont, pour une raison ou pour une autre, moins d'enthousiasme à vouloir favoriser une standardisation du cloud computing qui profite surtout aux utilisateurs. Il reste à espérer que l'OCC parvienne à ses fins. (...)

(08/01/2009 17:31:06)

CES 2009 : De Seven à Server 2008 R2, Steve Ballmer dévoile le futur de Windows

Convergence. C'était le maître-mot de Steve Ballmer lors de la conférence qu'il a tenue hier, 7 janvier, au CES de Las Vegas. Alors que Microsoft n'a souvent juré que par l'environnement du PC, l'éditeur martèle qu'il « n'est désormais plus simplement question du poste de travail », mais de trois écrans interconnectés : le PC, le smartphone et la télévision. Et Steve Ballmer de poursuivre : « Microsoft transforme Windows de système d'exploitation pour PC en plateforme connectée, une démarche à la frontière des mondes du PC, du téléphone, de la télévision et du cloud. » La transformation de Windows s'illustre en premier lieu à travers Seven, le successeur de Vista. Nombreux sont les utilisateurs à avoir placé beaucoup d'espoir dans l'OS à venir après avoir essuyé tant de déception avec Vista. Ils pourront se faire une première idée dès demain, 9 janvier, avec la mise en ligne de la bêta publique du système d'exploitation. Sur scène, Steve Ballmer a insisté sur la facilité de créer un réseau domestique avec Seven et de partager des vidéos et des musiques entre les différents appareils ainsi connectés, du PC à la télévision. Deux univers en voie de rapprochement, selon Steve Balmer : « Au cours des prochaines années, nous aurons des TV plus sophistiquées et plus connectées, et nous assisterons à la chute de la frontière entre le PC et la télévision. » Pour plus de détails sur Seven, consultez notre article consacré au lancement de la pré-version de l'OS. Windows Server 2008 R2 en version bêta L'autre nouveauté dans l'univers Windows s'éloigne de la notion de convergence chère à Steve Ballmer, puisqu'il s'agit de Windows Server 2008 R2, dont la bêta vient d'être mise en ligne. L'OS destiné aux serveurs a été développé en parallèle de Seven, une proximité qui s'illustre dans la sortie simultanée des deux pré-versions. Ces OS sont en outre conçus pour donner le meilleur d'eux-mêmes lorsqu'ils fonctionnent ensemble. Ainsi, la brique DirectAccess de Server 2008 R2 simplifie les accès distants des postes clients utilisant Seven, en permettant à leurs utilisateurs de se connecter à leur environnement de travail de façon transparente, sans qu'il soit nécessaire de passer par un VPN. Au chapitre des innovations figure également la virtualisation des applications, qui autorise l'accès à des applications et des données à partir d'un ordinateur distant. L'utilisateur retrouve sur son bureau des icônes traditionnelles d'applications qui s'exécuteront de façon virtualisées, sans qu'il ne se rende compte que les applications ne sont pas sur son PC. Le boot depuis un disque virtuel [[page]] On le voit, la virtualisation est au coeur des préoccupations de Microsoft avec cette deuxième mouture de Windows Server 2008, qui intègre la v2 de Hyper-V. Les administrateurs pourront profiter du support de Live Migration pour migrer à chaud des machines virtuelles d'une machine physique vers une autre, et apprécieront certainement le démarrage d'une machine depuis un disque virtuel qui héberge l'environnement de travail complet. Avec la disparition de la distinction entre les disques physiques et les VHD (Virtual hard disk), Microsoft estime que l'administration de système tendra à se réduire à la seule administration d'une bibliothèque de disques virtuels. Live Essentials sur les PC Dell Enfin, entre l'annonce de la sortie de Halo 3 ou de Netflix (service de vidéo à la demande) sur Windows Mobile, Steve Ballmer a consacré quelques mots à la mise en ligne de Windows Live Essentials, un pack d'outils regroupant notamment Mail, Messenger, Writer et PhotoGallery. Si certaines de ces applications étaient jusqu'alors intégrées à Windows, Microsoft entend désormais laisser le choix à l'utilisateur de les installer. Ceux qui achèteront prochainement un PC des gammes grand public et PME de Dell n'auront cependant pas ce choix. Steve Ballmer a en effet annoncé un partenariat entre Microsoft et le constructeur texan pour que soient pré-installés Live Search et Live Essentials sur les PC de ce dernier. (...)

(07/01/2009 14:37:05)

Tod Nielsen quitte Borland pour assurer la direction des opérations de VMware

Tod Nielsen quitte la présidence et la direction générale de Borland Software pour VMware où il va occuper le nouveau poste de COO (Chief Operating Officer, directeur général des opérations). Agé de 43 ans, il rapportera directement à Paul Maritz, le patron de VMware avec qui il a travaillé chez Microsoft où il passa une douzaine d'années. Il était chez Borland depuis 2005. Auparavant, Tod Nielsen avait été embauché pour des périodes qui excèdent à peine un an, chez Oracle et BEA Systems. La création du poste de COO devrait permettre à Paul Maritz de se concentrer sur la stratégie à moyen terme et les évolutions technologiques du spécialiste de la virtualisation. Du côté de Borland Software, devenu éditeur de systèmes de gestion du cycle de vie (ALM, Application Lifecycle Management), on annonce aussi le départ de Peter Morowski, senior vice president en charge de la recherche et du développement, ainsi qu'une réduction de 15% des effectifs, soit 130 postes supprimés. Après avoir apuré le coût de ces départs, estimé entre 2,5 et 3,5 M$, l'éditeur table sur une réduction de ses charges annuelles de l'ordre (...)

(18/12/2008 15:04:24)

VMware se dote d'un nouveau patron Europe

Maurizio Carli arrive à la tête de la région EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique) de VMware en tant que directeur général. Ses responsabilités semblent plus importantes que celles qu'avait Mark Stradling, qui a quitté ce poste à la fin de l'été. Selon VMware, il aurait en charge les ventes, la distribution, les services et le marketing. Maurizio Carli, qui a fait un passage éclair de quelques mois chez Google au poste d'Enterprise managing Director EMEA, a travaillé auparavant deux ans chez IBM et cinq ans chez Business Objects. La nomination de Maurizio Carli s'inscrit dans le projet de Paul Maritz, PDG de VMware, de donner plus d'autonomie aux activités internationales de sa société. Au dernier trimestre, l'international, essentiellement constitué de l'activité en Europe, a généré 47% du CA total (472 M$, +32%). Le CA de 224 M$ réalisé à l'international est en hausse de 42%, presque deux fois la croissance de celui en provenance des Etats-Unis (+24%). Premier acteur sur un marché en hausse de 53% par an au niveau mondial, VMware doit internationaliser sa structure encore très centrée sur les Etats-Unis. L'obligation d'appliquer un modèle économique américain aux réalités européennes, l'étroite dépendance des décisions prises depuis le siège social -y compris au niveau juridique- une facturation exclusivement en dollars, tels sont les thèmes de réforme que devra engager Maurizio Carli. (...)

(16/12/2008 16:04:11)

VMware achète Tungsten Graphics spécialiste de l'affichage

VMware a, en toute discrétion, mis la main sur Tungsten Graphics. Cette petite société, constituée de développeurs chevronnés, est spécialiste du graphisme 3D et travaille sur trois axes. Pour commencer, sur l'architecture TG-Gallium3D qui permet de créer une couche d'abstraction entre le matériel et les API. Né sous Linux, Galium3D est présenté comme opérationnel sous Windows. Ensuite sur TTM (translation-table maps) memory manager, un gestionnaire de mémoire graphique qui pallie les faiblesses de Linux dans ce domaine. Et, enfin, Mesa/DRI : Mesa est une implantation Open source de l'API OpenGL tandis que DRI (Direct Rendering Infrastructure) est un framework pour l'accès direct à la GPU (carte graphique). Il est utilisé dans tous les drivers 3D pour les postes clients sous Linux. Malgré la discrétion de VMware, il apparaît évident que le savoir-faire de Tungsten Graphics devrait contribuer à améliorer l'aspect graphique de la virtualisation des postes clients. Ce domaine est aussi crucial que complexe à résoudre sur un poste virtualisé. L'affichage est à la fois la composante la plus "lourde" à virtualiser et l'élément le plus probant pour apprécier la performance d'un poste virtualisé. (...)

(10/12/2008 17:38:09)

HP rassemble ses outils de virtualisation des postes clients dans Virtual Clients Essentials

Changement de nom et améliorations s'affichent au menu d'annonces de HP sur la virtualisation du poste client. Dans sa logithèque désormais baptisée HP Virtual Clients Essentials, le constructeur propose un ensemble de logiciels pour la gestion des sessions, le streaming et le support des contraintes du multimédia. HP est particulièrement fier de deux protocoles, RDP enhancements et RGS (Remote Graphic Software). Le premier, présenté comme une optimisation du protocole RDP (Remote Desktop Protocol) de Microsoft permet le support des ports USB locaux et du streaming multimédia (décodage en local). Ce protocole sera pré installé gratuitement sur la gamme de clients légers HP sous Windows XPe à partir de janvier prochain, et sur ceux sous Linux un peu plus tard dans le trimestre. Il s'insère dans les environnements VMware View et Microsoft Terminal Services. RGS voit son prix fondre Quant à RGS (Remote Graphic Software), il est destiné aux applications les plus voraces en ressources graphiques (CAO, 3D...). Amélioré, RGS sera facturé 35 $ aux 20% des utilisateurs qui, selon HP, ont besoin des performances de ce protocole et de sa faculté à gérer l'affichage multi-écran. Jusque-là, RGS était vendu au moins 80% plus cher et dans des configurations exclusivement HP. RGS fonctionne avec des clients sous Windows XP, animés par des processeurs qui intègrent l'extension SSE2 du jeu d'instruction X86. HP souligne sa compatibilité avec l'offre VMware. Refondu, SAM (Session Allocation Manager), son gestionnaire de sessions utilisateurs, est paré de nouvelles fonctionnalités d'administration et supporte désormais les clients sous Linux et l'authentification par carte à puce. SAM est capable de supporter plusieurs types de clients : PC en VDI, clients sur lame et clients légers. Il sait déconnecter les clients inactifs et établir des rapports de consommation de ressources. Il est aussi discrètement question de HP Neoware Image Manager pour le streaming du système d'exploitation et des applications. Un logiciel récupéré avec le rachat fin 2007 de la société Neoware. Les composantes essentielles d'HP Virtual Client Essentials, seront disponibles au mois de janvier. (...)

(04/12/2008 16:09:43)

View 3 de VMware propose une virtualisation à la carte du poste client

L'arrivée de VMware View 3 constitue une avancée notable dans l'offre de virtualisation des postes clients chez l'éditeur. Cette suite logicielle, qui succède à VDI (Virtual Desktop Infrastructure) intègre désormais, au niveau du serveur, un nouveau 'connection broker' (gestion des sessions utilisateurs), une gestion optimisée des images des postes clients, le support de différents types de clients et la virtualisation d'applications. Du côté du poste client justement, View 3 apporte aussi un pilote d'impression "universel", une gestion optimisée des fichiers multimédias et la promesse d'une utilisation déconnectée. En résumé, View 3 permet une virtualisation à la carte du poste de travail en isolant l'OS, les données, et tout ou partie des applications. View 3 regroupe toutes les fonctions décrites sous le vocable vClient présenté lors de l'annonce du système VDC-OS pour datacenter au dernier VMworld à l'exception de l'hyperviseur natif pour les postes clients. Au coeur de VMware View 3, le 'connection broker' View Manager 3 succède à Virtual Desktop Manager 2. C'est lui qui apporte "Unified Access", la gestion de différents types de cessions. Au support des machines virtuelles, vient s'ajouter celui de machines physiques, de postes Terminal Server et de PC en lames, autrement dit, des clients aussi bien légers et lourds. View Composer, lui, permet de créer des images de clients virtuels à partir d'un modèle maître - création de clones. Ainsi, plutôt que de créer une image complète pour chacun des postes, il suffit de partir d'un même modèle (template) et de paramétrer le différentiel pour chaque utilisateur. Selon VMware, cette méthode engendrerait un gain d'espace de stockage de l'ordre de 70%. View Composer, qui peut gérer plusieurs profils types, accélère aussi la création de nouveaux postes et facilite les mises à jour. Bientôt la possibilité d'utiliser le poste virtuel hors ligne [[page]]Thin App (qui reste disponible indépendamment) permet de virtualiser les applications, sans nécessiter aucun agent sur les postes. Les applications, hébergée dans leur propre machine virtuelle, s'exécutent de façon décorrélée du système d'exploitation. Un moyen d'éviter les conflits en cas de mise à jour, par exemple. Par ailleurs, il est possible d'installer les applications dans une machine virtuelle sur un disque externe partagé par les postes virtuels. VMware a aussi intégré à View 3 une version "expérimentale" (sans support pour l'instant) de son Offline Desktop. Comme son nom le laisse deviner, il permet à un utilisateur d'utiliser son poste virtuel de façon déconnecté. L'utilisateur télécharge la machine virtuelle sur son poste physique et travaille en mode déconnecté. Une fois reconnecté au serveur, il lui suffit de se synchroniser avec sa machine en ligne. View 3 propose également une fonction d'impression virtuelle "Virtual Printing", un pilote générique d'imprimante (technologie Thinprint) permet d'utiliser les ressources du poste local pour imprimer un flux compressé à 80% et crypté. L'autre amélioration se nomme Multimedia Redirection. Elle décompresse les fichiers vidéo sur le poste client ce qui dispense de solliciter le serveur et d'avoir à envoyer un flux vidéo. Une méthode qui consomme beaucoup de bande passante pour un résultat rarement satisfaisant. VMware View 3, qui s'appuie sur l'utilisation d'Active Directory de Microsoft, repose sur la version Entreprise de VMware Infrastructure 3, la plus complète. Sur ce socle vient se poser le Connection Broker (View Manager 3) dans la version View Entreprise, avec Virtual Center et View Manager. La version Premier comprend, en sus, la gestion des images (View Composer), la virtualisation des applications (ThinApp) et le Offline Desktop. View Entreprise coûtera 150$ par utilisateur simultané contre 250$ pour la version Premier. (...)

(24/11/2008 15:15:20)

Veeam, spécialiste de l'administration VMware, s'installe en France

L'éditeur russo-américain Veeam s'apprête à ouvrir sa filiale française dans les deux semaines à venir. Il propose des outils de surveillance et d'administration pour les environnements VMware. Une offre qui se décline en quatre volets principaux. Le logiciel Reporter, pour commencer, réalise un état des lieux des environnements virtualisés d'une installation alors que Monitor, lui, assure la surveillance du site en temps réel. Configurator crée des modèles de configuration de machines virtuelles à partir des installations ESX et ESXi de VMware, afin de faciliter la duplication de celles-ci par exemple. Enfin, Backup permet de mettre en place des plans de reprise d'activité (PRA) par sauvegarde différentielle des machines virtuelles. Les logiciels Veeam s'interfacent avec l'administration de système Operations Manager de HP et System Center Operations Manager de Microsoft à travers des plug-in Nworks. La société espère bientôt en faire autant avec l'environnement Tivoli d'IBM. 70 développeurs en Russie sur un effectif de 110 personnes Le président et le CTO, Ratmir Timashev et Andrei Baronov, tous deux fondateurs de l'entreprise, sont deux ingénieurs russes qui ont terminé leurs études aux Etats-Unis. De bonnes raisons pour s'appuyer sur une force de R&D importante de 70 développeurs installés en Russie (sur un effectif total de 110 personnes) et établir leur siège social aux Etats-Unis, dans l'Ohio. Dès sa création en 2006, Veeam a également vendu ses produits en Europe à travers un réseau de distribution, avant d'ouvrir des bureaux en Grande-Bretagne au mois de septembre. Après la France, l'entreprise investira l'Allemagne et l'Italie dès le début 2009. Malgré sa présence, Veeam continue de vendre uniquement en indirect. 150 distributeurs et 80 clients [[page]]« Nous avons une offre de management de l'infrastructure de VMware ; c'est pourquoi nous ciblons essentiellement ses partenaires », précise Daniel Fried, directeur EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique) qui avait précédemment la responsabilité des ventes européennes pour le géant de la virtualisation. La firme devrait compter quelque 1 000 partenaires de toutes tailles en 2009 dont 150 en France. Parmi eux se trouvent Computacenter, SCC, Neurones, ou des spécialistes de l'infrastructure comme Kappa ou Sysdis. Veeam a déjà 80 clients français dont 50% sont plutôt des grands comptes et l'autre moitié des PME. Les ventes se répartissent pour moitié en produits Nworks, pour un quart en administration et un dernier quart en plans de reprise d'activité. (...)

(21/11/2008 16:26:19)

Départ du patron de la sécurité de VMware

L'hémorragie continue chez VMware. Nand Mulchandani quitte la direction du groupe des produits de sécurité de l'éditeur pour devenir le directeur général d'OpenDNS, fournisseur d'infrastructures Internet. Nand Mulchandani avait rejoint le groupe l'an dernier, lorsque celui-ci avait acheté sa société Determina. Depuis que Diane Green, fondatrice de VMware, a été démise de ses fonctions de directrice générale de VMware en juillet dernier, l'éditeur a subi une vague de départs de dirigeants de haut niveau : son éviction a été suivie par la démission de son mari, Mendel Rosenblum, qui occupait le poste de Chief Scientist, et de celle de Richard Sarwal, patron de la R&D. Ce dernier retourne chez Oracle après quelques mois passés chez VMware. (...)

(20/11/2008 16:25:08)

IBM veut acquérir Transitive pour consolider les applications hétérogènes

IBM s'est porté acquéreur de la société anglo-américaine Transitive. Forte de 48 brevets, sa technologie Quick Transit permet de transcrire dynamiquement le code d'une application sur un autre processeur que celui d'origine. Autrement dit, le savoir-faire de Transitive permet, par le biais de l'émulation, de consolider des applications hétérogènes sur des plateformes hôtes. IBM se dote donc d'un outil d'hébergement d'applications tierces sur ses plateformes. Quick Transit permet de transcrire du code dynamiquement à partir des architectures processeurs suivantes : X86, PowerPC, Mips, Itanium, Sparc et processeurs mainframe. La présence de cette couche réduit les performances de 10 à 50% selon l'importance des appels processeur. La technologie QuickTransit de Transitive est éprouvée. C'est elle, sous le nom de Rosetta, qui a permis à Apple de quitter les processeurs PowerPC pour ceux d'Intel. IBM est également client de Transitive. Sa technologie est au coeur du produit PowerVM Lx86 (ex-PAVE, System P Application Virtual Environment) qui permet de faire tourner du Linux X86 sur plateforme Power. Outre Apple et IBM, Fujitsu Siemens, Red Hat, HP et Sun sont clients de Transitive. Désormais, il y a fort à parier qu'IBM va garder l'exclusivité du savoir faire de sa nouvelle acquisition. Les plateformes Sparc/Solaris pourraient être une cible de choix pour IBM. (...)

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