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Virtualisation

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(02/02/2009 17:42:40)

Dix rustines pour les hyperviseurs de VMware

VMware met à disposition neuf rustines pour ESX 3.5 et une pour ESXi (hyperviseur embarqué). Certaines des rustines pour ESX 3.5 concernent également les versions précédentes (ESX 3.0.x). Deux alertes sont cotées "critiques". L'une vise les VMware Tools et l'autre la mise à jour des drivers pour disques durs SATA. On notera aussi la correction du bogue qui affectait les entrées/sorties iSCSI et FC (Fiber Chanel) à la suite de certaines mises à jour avec l'Update 3 d'ESXi/ESX 3.5. Un bogue d'importance, puisqu'il gelait les accès jusqu'à un redémarrage. Une rustine pallie aussi des problèmes rencontrés avec des disques de machines virtuelles (VMDK) (...)

(30/01/2009 14:23:26)

Annuels Citrix : La réussite de la virtualisation s'est fait attendre en 2008

Citrix clôt son exercice 2008 sur un CA en hausse de 14%, à 1,5 Md$, et un net en baisse de 17%, à 178 M$. Les résultats du quatrième trimestre (CA +4% et bénéfice net -4%) sont en phase avec les données annuelles. L'éditeur, qui fournit un effort de communication remarqué pour se hisser aux premières places des marchés de la virtualisation, entame toutefois cette année fiscale en annonçant le départ de 10% de ses effectifs, soit quelque 460 personnes. Le but est de réduire les coûts de 50 M$. L'éditeur compte aussi réorganiser ses forces vives. L'exercice qui s'achève montre d'ailleurs que Citrix n'est pas encore parvenu à gagner son pari de passer du statut de spécialiste du client léger à celui de "virtualisateur" des systèmes d'information. Tant sur l'année que sur le trimestre, la part des produits pour la virtualisation des applications a baissé dans le CA sous la barre des 70%. La catégorie "Other", où sont regroupés XenServer et Xen Desktop avec d'autres produits, contribue encore de façon marginale à l'activité de Citrix. Même si elle a doublé au quatrième trimestre, cette catégorie ne génère que 4% du CA total (3% sur l'année). La ligne de produits de Citrix qui se comporte le mieux est celle des "Online Services" (Go To...). Sur un an, elle progresse de 22% et atteint désormais 16% du CA total. Les services (+23%, à 116 M$ de CA) se distinguent également. Ce fléchissement de la demande sur certaines lignes de produits a des répercussions sur les ventes de licences. En hausse de 7,5% sur l'année, elles progressent moins vite que le CA et sont même en baisse au quatrième trimestre (-8,8%). En revanche, les renouvellements de licence (+15%) sur l'année montrent que Citrix parvient à fidéliser sa base installée. L'activité en Europe, la plus dynamique sur l'année (+17%), a plus marqué le pas au quatrième trimestre (+1,6%) que celle aux Etats-Unis (+3,2%). (...)

(29/01/2009 08:43:27)

Zimory crée la première place de marché du cloud

Après plus de six mois de tests techniques et plus d'un an d'existence, Zimory, qui se présente comme la première place de marché consacrée à la commercialisation de ressources de cloud, aborde sa phase promotionnelle. Né d'un essaimage des Deutsche Telekom Laboratories, Zimory, basé à Berlin, assure que la vente et l'achat de ressources de traitement par son entremise sont d'une facilité déconcertante. Son Zimory Public Cloud aurait déjà été testé par 150 sociétés et une douzaine de datacenters seraient sur le point de mettre en commun leurs ressources. Cette offre repose sur le savoir-faire de Zimory en matière d'administration de cloud qui prend la forme de ses Enterprise Cloud Tools. Deux clients les utilisent pour leur cloud interne : la Deutsche Post et T-Systems, la filiale service informatique de Deutsche Telekom. Un intérmédiaire entre les fournisseurs et leurs prospects Ce sont ces outils que Zimory met gratuitement à disposition pour permettre à chacun, fournisseur de ressources comme demandeur, d'interagir sur la place de marché. La société précise qu'elle n'est pas concurrente de fournisseurs de cloud computing comme Amazon ou IBM. Elle se place en intermédiaire entre eux et leurs prospects. Zimory se rémunère sur la facturation, la gestion des relations contractuelles, la sécurisation des opérations et la gestion des machines virtuelles. Pour l'instant, l'offre de la jeune entreprise allemande repose sur des appliances standards sous avec Linux et Windows. Elle reconnait déjà les hyperviseurs de de Citrix (Xen), de VMware et de RedHat (KVM) et bientôt ceux de Parallels et de Microsoft le seront prochainement. Zimory vient d'ailleurs de signer un accord avec l'éditeur d'Hyper-V pour que celui-ci intègre ses outils. Au dessus, différentes piles applicatives sont proposées telle Lamp (Linux, Apache, MySQL, PHP). Zimory reste en revanche très flou sur ses prix. Ceux-ci dépendent d'une multitude de facteurs qui vont de la qualité de service demandé à la localisation géographique du datacenter hébergeur. (...)

(27/01/2009 17:10:17)

Annuels VMware : une bonne surprise, malgré les inquiétudes pour 2009

Les résultats affichés par VMware pour le dernier trimestre de son année fiscale, clos fin décembre, ont surpris les spéculateurs de manière positive. Le chiffre d'affaires de l'éditeur au dernier trimestre 2008 se monte à 514 M$ en croissance de près de 25%, alimentant ainsi un chiffre d'affaires annuel clos à 1,88 Md$ (+42%). Le bénéfice net, quant à lui, se monte à 111 M$ pour le trimestre (+ 42,6%) et à 290 M$ (+33%) pour l'année. Crise oblige, ces résultats sont, malgré tout, nettement plus nuancés qu'en 2007 où le CA et le bénéfice de l'éditeur avaient respectivement grimpé de 88,5% et 154% par rapport à 2006... Les résultats annuels de l'éditeur indiquent une part des services en croissance de 67% qui représente près de 30% du CA. Dans le même temps, les ventes de licences (+30%) sont passées de 68% à 63% du CA total. L'activité à l'international (essentiellement en Europe) s'établit à 47% du CA total (+48%) tandis que celle en provenance des Etats-Unis atteint 53% (+37%). Paul Maritz, arrivé à la tête de VMware en juillet 2008, s'est montré satisfait de la performance de sa société et a insisté sur les résultats des efforts engagés pour renforcer l'écosystème autour de ses produits. L'éditeur a ainsi signé des accords avec Atos Origin, SunGard et Terremark pour que ces sociétés utilisent les technologies vCloud de VMware dans leur offre de Cloud Computing. VMware s'est aussi rapproché de certains spécialistes de l'administration de système pour qu'ils intègrent les logiciels de sa ligne vCenter. BMC Software et CA (ex-Computer Associates) en font déjà partie et le chantier avec HP est ouvert. Des prévisions prudentes pour début 2009 Le cours de l'action de la société a à peine varié à l'annonce des résultats. VMware semble ainsi sorti de la période d'intenses spéculations autour de son titre. La valeur de ce dernier avait varié de 29$ lors de son introduction en bourse en août 2007 à un plus haut de 125,25$ en octobre de la même année avant de chuter de 72% en 2008. Mais en ce début 2009, l'éditeur se montre plutôt prudent. Il anticipe un premier trimestre morose avec un objectif de CA à 475M$ contre les 497M$ espérés par les analystes. Des chiffres en hausse de 8% par rapport à la période correspondante de l'exercice précédent, mais en chute d'autant par rapport au trimestre qui vient de s'achever. Début 2008, le numéro un de la virtualisation avait pourtant annoncé une hausse de son CA de 69%... Pour 2009, blâmant la situation économique globale, l'éditeur a préféré ne pas donner de prévisions annuelles. L'arrivée de Hyper-V de Microsoft sur le marché n'est peut-être pas non plus étrangère aux inquiétudes du leader. (...)

(23/01/2009 15:19:36)

Citrix développe un hyperviseur natif pour les poste de travail à base d'Intel

Citrix prévoit de livrer d'ici quelques mois un hyperviseur natif, dit de type 1, pour poste client. Soutenu par Intel, le résultat de ce projet baptisé Independence débouchera sur un hyperviseur pour des machines à base de processeur Intel Core 2 (PC de bureau) et Centrino 2 (portable). Il exploitera la technologie de virtualisation vPro d'Intel, en particulier ses capacités d'administration et de cryptage. Tout comme Citrix, VMware a aussi promis pour 2009 un hyperviseur natif pour poste client. Ces deux hyperviseurs de type 1 pour poste client seront les premiers d'acteurs d'envergure. Pour l'heure, ces systèmes de virtualisation sont réservés aux serveurs. A l'exception de celui de Neocleus et de Virtual Computer, tous les autres hyperviseurs pour poste client sont de type 2. Ils s'exécutent dans un système d'exploitation natif. Les principaux sont VMware Workstation (Fusion sur MacOS), Microsoft Virtual PC, Parallels Desktop et Workstation et la VirtualBox de Sun. Sans oublier l'hyperviseur Open Source QEMU, proposé par Novell. (...)

(21/01/2009 16:35:44)

Essilor virtualise ses centres serveurs

Essilor, leader mondial du verre ophtalmique, disposait de deux datacenters principaux dans le monde, comptant chacun environ 200 serveurs, en plus de plusieurs centres plus modestes dans une centaine de laboratoires (5 à 20 serveurs). Dans le courant de 2008, il a migré l'essentiel des serveurs physiques de son datacenter français vers des serveurs virtuels équipé des logiciels VMware. Le nombre de machines physiques a ainsi été divisé un facteur supérieur à vingt. Toute nouvelle installation se fait désormais sur des machines virtuelles. La réduction du nombre de machines s'est traduite mécaniquement par une diminution du coût de leur hébergement. En revanche, le coût du projet n'a pas été indiqué mais Marc Giraud, directeur architecture et systèmes chez Essilor, estime que le retour sur investissement devrait être inférieur à deux ans. (...)

(19/01/2009 09:39:28)

Sun précharge ESX et Hyper-V sur des serveurs x64 Galaxy

Sun propose des configurations de ses serveurs W64 Galaxy avec les hyperviseurs de VMware et de Microsoft préinstallés. Pramatique, Sun ne se limite donc pas à proposer son propre hyperviseur xVM Server. Pour VMware ESX, le constructeur a retenu les modèles X4150, X4250 et X4450 auxquels il adjoint la baie de stockage 7210 de sa ligne "Unified Storage". Sun en profite pour annoncer un bon score de son modèle 7460 au banc d'essai VMmark de VMware. Ce quadri-processeur / 24 coeurs à base de Xeon réalise un meilleur score que ses équivalents d'IBM, de Dell et d'HP. Pour supporter Hyper-V de Microsoft, Sun a retenu le serveur X4250 et la baie J4200. (...)

(16/01/2009 16:30:26)

Les responsables des datacenters sous pression

Faire plus avec moins, ainsi se résume le rapport que Symantec consacre aux datacenters. Publiée en pleine crise, la deuxième édition de cette enquête annuelle stigmatise la double pression mise sur les responsables de datacenter. D'un côté, ils doivent réduire leurs coûts, de l'autre la demande des utilisateurs va croissante. Pris dans cette tenaille, ils peinent aussi à recruter les compétences qu'ils recherchent et ils ne parviennent pas à optimiser l'exploitation des ressources serveur et stockage dont ils disposent. Pour achever le tableau, les plans de reprise d'activité (PRA) font figure de parent pauvre. Et le green computing dans tout cela ? Et bien, les motivations qui poussent à opter pour une informatique respectueuse de l'environnement relèvent avant tout des économies d'énergie qu'elle permet. Près de 50% des répondants indiquent qu'ils trouvent plus difficile que l'an dernier de répondre aux exigences des utilisateurs. Et ils sont dans le même temps 34% à avoir comme priorité de réduire les coûts. Pour y parvenir, l'automatisation des tâches quotidiennes arrive en tête (44% des répondants), suivie par la formation des informaticiens à plusieurs compétences (41% ). La première réponse technique, la virtualisation / consolidation des serveurs est à l'ordre du jour de 34% des entreprises. Il est vrai que les estimations actuelles portent sur une utilisation du parc installé à 60% de sa puissance. Ces projets s'inscrivent dans un contexte humain tendu. 37% des responsables déplorent un manque d'effectifs et 48% parlent du gros, voire de l'énorme problème, de trouver des professionnels compétents. Réalisée pendant l'explosion putride de la bulle spéculative, l'enquête indique que les budgets des datacenters étaient, à l'époque, orientés à la hausse dans 53% des entreprises (de 5 à 10% dans 50% des cas). Les postes de dépenses le plus en vue sont ceux des applications, de la consommation électrique et de la qualité de service.Bien évidemment, les responsables de datacenters concentrent leurs efforts sur les serveurs et le stockage. Pour les deux, dans 88% des entreprises, le maître mot est standardisation, avec une couche logicielle identique pour tous. Toutefois, les projets n'en sont qu'aux premiers balbutiements. Même situation en ce qui concerne tant la consolidation des serveurs que leur virtualisation : elles sont l'ordre du jour dans 87% des entreprises, mais elles n'en sont qu'aux prémisses. Enfin le rapport souligne que, plus les entreprises s'intéressent à la virtualisation, plus elles découvrent des écueils. En 2007, 31% déploraient un manque de maturité des solutions proposées, elles sont désormais 42%. Même évolution en ce qui concerne l'administration. Elles n'étaient que 18% à se plaindre de difficultés d'administration en 2007. Elles sont désormais 39%. Pour cette étude, Symantec a demandé à Applied Research d' interroger les responsables de 1 600 sociétés de plus de 5 000 personnes de par le monde. Parmi elles figurent 536 sociétés européennes, dont 95 françaises. (...)

(14/01/2009 07:07:33)

Gartner : en 2009, les DSI devront faire mieux avec autant

C'est plutôt une bonne surprise, pour Gartner : les budgets informatiques ne diminueront pas en 2009. Le cabinet d'études a publié son enquête annuelle « CIO Agenda Survey », réalisée auprès d'un peu plus de 1500 entreprises et administrations, représentant un montant de dépenses IT annuelles de plus de 138 Md$. Il en ressort qu'après plusieurs années de croissance continue (1,3% en 2004, 2,5% en 2005, 2,7% en 2006, 3,0% en 2007 et 3,3% en 2008), les dépenses en 2009 seront étales, à + 0,16%. Le cabinet s'attendait-il à bien pire ? « Oui, répond Dave Aron, vice-président de Gartner. Nous prévoyions un tableau bien plus négatif, avec davantage de coupes, et de projets d'externalisation. » Ces derniers permettent en effet de transformer la structure des coûts, une opportunité bienvenue en ces temps de crise économique. « Or, il n'y a pas de signaux en ce sens. » De même, si Gartner conseille aux DSI de saisir l'opportunité de remettre à plat leur organisation, et de « couper les branches mortes », il ne devrait pas y avoir de plans de licenciements, du moins pas en grand nombre. « Rien ne le laisse présager, et les départements informatiques sont déjà bien maigres. Il faut noter en outre que très peu d'entreprises subiront une baisse de leur budget IT de plus de 10%. En Europe, par exemple, cela ne concernera que 8% des entreprises. » Gartner aux DSI : « travaillez plus intelligemment » Reste que les DSI devront tout de même se serrer la ceinture, alors que la pression venant du métier n'a aucune raison de diminuer, au contraire. Pour Gartner, l'informatique pourra toujours apporter de la valeur à condition d'être plus efficace. En d'autres termes, « il ne s'agit pas de faire plus avec moins, mais de travailler plus intelligemment ». Dave Aron explique que « les DSI vont devoir prendre au sérieux la notion de stratégie, et établir des priorités en fonction de ce que l'IT peut apporter au business ». L'analyste s'attend à très peu d'investissements dans les nouvelles technologies. « Un peu de Web 2.0, de virtualisation, de collaboratif. » Gartner conseille plutôt de faire porter le gros des efforts sur « une utilisation plus stratégique des technologies déjà en place, comme le décisionnel, dont la plupart des projets jusqu'à présent ont échoué à vraiment délivrer de la valeur ». Gartner conseille un pilotage des projets par le risque [[page]] Le conseil de Gartner pour utiliser plus efficacement des technologies déjà installées ? « Etablir des métriques strictes pour mesurer la valeur en termes métier, explique Dave Aron. C'est ce que font les DSI les plus avancés. » Ils doivent aussi sortir de leur sphère d'influence, et parler en termes métier avec le directeur financier et le directeur général. C'est ainsi qu'avec les outils de gouvernance appropriés, ils pourront piloter les projets en termes de risques. « Les DSI doivent se demander : quels risques y a-t-il si j'annule tel projet ? Quels risques y a-t-il si j'investis dans tel projet ? » SOA, virtualisation et cloud apportent une flexibilité bienvenue Pour Dave Aron, si les DSI mettent en place cette stratégie, tous les projets à long terme ne sont pas condamnés. On pense par exemple aux SOA (architectures orientées services), qui impliquent à la fois de la transformation du SI et une démarche transversale. « Les SOA sont toujours sur le radar des DSI, d'autant plus qu'elles n'impliquent pas nécessairement un projet d'un seul tenant, cela peut être fait de façon très modulaire. » En outre, remarque Dave Aron, « les SOA contiennent une promesse de flexibilité, d'agilité, tout comme la virtualisation et le 'cloud computing', ce qui rend ces technologies particulièrement intéressantes en ce moment ». Parmi les autres priorités des DSI listées par l'enquête de Gartner, on retrouve, principalement en France, d'ailleurs, la volonté d'améliorer la qualité du service rendu par l'IT. Ce qui dénote peut-être un léger manque de maturité sur les solutions orientées Itil (référentiel de bonnes pratiques), observe Dave Aron. La bonne nouvelle est que les DSI français devraient être un peu plus gâtés que leurs homologues étrangers. Gartner, qui a interviewé 16 entreprises françaises (totalisant 4 Md$ de dépenses informatiques), arrive à la conclusion qu'en France les budgets devraient connaître une légère augmentation, de 1,26% en moyenne. (...)

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