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Virtualisation
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(19/02/2009 17:12:11)
VirtualBox, hyperviseur pour poste client de Sun, en version 2.1.4
Sun livre la version 2.1.4 de sa VirtualBox, son logiciel de virtualisation Open Source pour postes de travail x86. Cet hyperviseur de type 2 s'installe au dessus de Windows, de Linux, de MacOS et d'OpenSolaris. Il supporte des machines virtuelles sous Windows (de 2000 à Vista), Linux, Solaris, OpenBSD et MacOS. VirtualBox, dans le giron de Sun depuis le rachat de l'Allemand Innotek en février 2008, est sortie en version 2.0 en septembre 2008. En décembre dernier, la 2.1 marquait des progrès dans le support des extensions dédiées à la virtualisation d'AMD (AMD-V) et Intel (VT-x) et intègrait les spécificités des processeurs Nehalem (Core i7). Cette version 2.1.4 corrige des bugs, voit ses performances dopées, s'améliore au niveau des interfaces réseau et s'insère mieux dans les environnements VMware. (...)
(18/02/2009 18:14:55)Signe des temps, IBM préfère Voltaire à Cisco pour les commutateurs Infiniband
IBM a demandé à la société Voltaire de concevoir un commutateur InfiniBand quad-rate (QDR) qui atteint donc un débit de 40 Gbit/s, pour ses serveurs lames BladeCenter. Le produit est attendu pour l'été. Il se chuchote que ce commutateur Infiniband 40 Gbit/s pourrait être commercialisé seulement 20% plus cher qu'un modèle 20 Gbit/s (DDR - Double-data rate). Autrement dit, avec un rapport prix/performance très avantageux par rapport à des technologies comme le 10 Gigabit Ethernet ou le Fibre Channel 4 Gbit. Le choix de Voltaire par IBM est lourd de sens. Big Blue a préféré retenir ce petit fournisseur (66,6 M$ de CA en 2008, +16%), né sur le marché de niche des supercalculateurs. Celui-ci sera sans doute plus prompt à répondre à ses requêtes qu'un grand fournisseur comme Cisco dont IBM commence à déréférencer certains produits Fibre Channel et Infiniband. HP, Sun, Rackable Systems et Silicon Graphics sont aussi clients de Voltaire. 50% des coûts d'un datacenter proviennent du réseau Ce dernier, comme d'autres sociétés telles que Xsigo ou BNT (Blade Network Technologies) ou même Brocade ou QLogic pourraient profiter des déplacements de frontières auquel on assiste dans les datacenters. Plusieurs facteurs viennent, simultanément, chambouler l'équilibre des forces entre fournisseurs de serveurs, d'équipements réseau et de stockage. Tout d'abord, les architectures propriétaires des serveurs lames poussent à l'intégration de composants d'interface réseau et stockage qui, par définition, ne peuvent plus être standardisés. HP, IBM et dans une moindre mesure, Dell redécouvrent les avantages financiers qu'il y a à retenir les clients dans des architectures fermées. Ils en profitent par ailleurs pour prendre leur distance avec Cisco et tenter de reprendre ce qu'ils lui avaient confié. L'enjeu est de taille puisque la part des réseaux dans le coût d'un datacenter est passée de 25%, il y a trois ans à 50% aujourd'hui. Cette montée en puissance s'accompagne d'une tendance à l'uniformisation autour du protocole IP, tant pour les réseaux que pour le stockage. Ensuite, la virtualisation, dont l'onde de choc s'étend sur toute l'infrastructure, entraîne une redistribution des cartes, de fond en comble. Tous les projets de virtualisation de serveurs se heurtent au problème de la très forte sollicitation qu'ils engendrent sur les entrées/sorties. Diviser par deux, voire trois, le nombre de serveurs revient à menacer de saturation les entrées/sorties de ceux qui restent. En dissociant le matériel du logiciel, la virtualisation fait aussi disparaître les "boîtes noires" qui verrouillent les architectures réseau. Dans ce contexte, on comprend pourquoi IBM choisi un fournisseur comme Voltaire qui dépend totalement de lui pour vendre sa technologie. On comprend aussi pourquoi Cisco travaille étroitement avec VMware pour développer des logiciels de commutation virtuelle et se prépare à proposer ses propres serveurs. On attend l'annonce du premier système, le Nexus 1000V à VMworld Europe la semaine prochaine. (...)
(17/02/2009 16:23:26)Red Hat et Microsoft passent un accord croisé autour de leurs OS et de leurs hyperviseurs
Red Hat et Microsoft ont signé un accord croisé afin que chacun accepte le le système d'exploitation de l'autre sur son hyperviseur. Ainsi, Red Hat va valider Windows Server 2000 SP4, 2003 SP2 et Windows Server 2008 sur la couche de virtualisation de Red Hat Enterprise Linux (RHEL). Microsoft agira de même avec RHEL 5.2 et 5.3 sur Windows Server 2008 Hyper-V et Hyper-V Server 2008. Les deux parties s'empressent de préciser que cet accord ne comporte aucun volet financier et qu'il n'a pas d'implication vis-à-vis de l'open source. Histoire de marquer sa différence avec celui qui lie étroitement Novell et Microsoft depuis novembre 2006. Un des volets du vaste partenariat annoncé à l'époque portait d'ailleurs sur le support des OS Microsoft sur Xen, l'hyperviseur de Novell Suse. En revanche, autant on sait chez Microsoft de quel hyperviseur il est question (Hyper-V), autant le doute demeure chez Red Hat. Le communiqué de l'éditeur ne parle que "des technologies de virtualisation de RHEL" sans préciser si l'accord porte uniquement sur Xen, actuellement l'hyperviseur inséré dans RHEL, ou s'il inclut aussi KVM, son successeur annoncé. (...)
(13/02/2009 15:48:44)Selon Gartner, la virtualisation va croître de 43% en 2009
Avec une croissance annoncée de 43%, le marché de la virtualisation semble faire fi de la crise. Il semble même être stimulé par celle-ci. En effet, selon le Gartner cette hausse par les impacts positifs de la virtualisation : réduction du coût total de possession (TCO), amélioration de la souplesse, accélération de la vitesse des déploiements de ressources et réduction de la consommation énergétique. Le Gartner group distingue trois domaines dans ce marché : la gestion de la virtualisation des serveurs, leur infrastructure et l'hébergement de postes clients virtuels. En croissance de 42%, l'administration de serveurs génèrera à elle seule près de la moitié de la valeur du marché total. C'est en revanche sur le créneau de la virtualisation des postes de travail que le cabinet d'étude anticipe la plus forte croissance : +300 %. Mais, en valeur absolue, il n'atteindra que 11% de la valeur totale du marché. Le Gartner met d'ailleurs en garde les responsables de projet de virtualisation de postes clients. Une simulation budgétaire approfondie s'impose avant de se lancer. Ainsi qu'une sélection minutieuse des fournisseurs : le cabinet constate une profusion de fournisseurs dont certains sont qualifiés "d'opportunistes". Le manque de maturité des outils d'administration des postes clients virtualisés actuellement disponibles est aussi pointé du doigt. Du côté des fournisseurs, Gartner prédit qu'il faudra attendre 2013 pour que la part de marché de Microsoft se hisse à la hauteur de celle de VMware. L'éditeur de Redmond devrait faire sa percée par le biais des PME. En phase émergente, le marché de l'administration de la virtualisation fourmille de fournisseurs. Le Gartner en dénombre plus d'une centaine. Il prédit une forte consolidation au fur et à mesure que les acteurs traditionnels de ce marché (BMC Software, CA, HP et IBM) intégreront la virtualisation dans leur suite. (...)
(12/02/2009 14:12:52)RHEL 5.3 peaufiné pour la virtualisation
Red Hat livre depuis quelques jours la version 5.3 de sa distribution Linux entreprise, RHEL (Red Hat Enterprise Linux). Arrivée huit mois après RHEL 5.2, cette mouture améliore nettement la dimension virtualisation de l'OS sans pour autant parachever l'abandon de l'hyperviseur Xen pour KVM/Ovirt. Dans son livre blanc de 12 pages sur RHEL 5.3, Red Hat réussit le tour de force de n'employer le mot hyperviseur qu'une fois. Cette discrétion confirme en creux que l'éditeur continue d'utiliser Xen et travaille toujours à une migration sur KVM/oVirt. Migration à propos de laquelle il ne communique aucun détail. En attendant, RHEL 5.3 apporte de notables améliorations. Au niveau physique, cette version gère jusqu'à 126 processeurs et 1 To de mémoire, contre 64 processeurs et 256 Go de mémoire pour la 5.2. La nouvelle mouture est optimisée pour tirer profit du potentiel de l'architecture Nehalem d'Intel. Elle n'a pris corps pour l'instant que dans les Core i7, mais des processeurs pour serveur sont attendus d'ici quelques semaines. La 5.3 supporte 32 CPU virtuels avec, pour chacun, 80 Go de mémoire. Red Hat insiste sur le support d'Extended Page Tables (EPT), la gestion des pages mémoire par les processeurs Intel. Par rapport à une gestion logicielle, l'EPT apporte de notables gains de performances puisque, selon l'éditeur, elle concourt à réduire quasiment à néant l'overhead engendré par l'hyperviseur. Chaque machine virtuelle a droit à 16 NIC (Network Interface Connector) et Red Hat à intégré les pilotes paravirtualisés propres à Xen. Notons aussi pour la première fois l'intégration d'Open JDK, une version open source de Java SE 6, et le support opérationnel du gestionnaire de fichiers GFS2. (...)
(09/02/2009 12:17:42)VMware propose l'essentiel de son client virtualisé en open source
VMware propose désormais en open source le code destiné à son client virtuel. Issu de VMware View, View Open Client est proposé sous la licence GPL 2.1 et hébergé sur Google Code. Le numéro un de la virtualisation ne donne pas l'intégralité des fonctions de son client. Manquent ainsi par exemple, la gestion des ports USB, la redirection des fichiers multimédias et la gestion de cessions multiples. En revanche, VMware laisse des éléments liés à la sécurité : encryptage SSL et authentification avec SecurID de RSA. View Open Client a pour vocation de faciliter le travail de développeurs qui veulent créer un client virtualisé compatible avec l'infrastructure VDI. Cela vise en particulier les clients légers sous Linux et les clients mobiles. Les développeurs n'ont plus à demander une autorisation préalable à VMware et ils peuvent diffuser le fruit de leurs développements sans avoir à obtenir une certification de l'éditeur. Celle-ci ne s'impose que si le support du client développé par VMware est jugé nécessaire. La politique de VMware lâche petit à petit des pans propriétaires Cette annonce s'inscrit dans la politique de VMware qui lâche petit à petit des pans de son univers propriétaire afin d'éviter que la concurrence ne profite de la fermeture de sa logithèque et de ses tarifs élevés pour lui prendre rapidement des parts de marché. Appliqué à la virtualisation, l'open source présente de nombreux avantages dont la "gratuité" est le moindre puisqu'un logiciel propriétaire peut aussi être offert. VMware et Microsoft le font d'ailleurs tous les deux avec leur hyperviseur. En matière de virtualisation, la notion d'ouverture prend une ampleur à la taille des datacenters. Virtualiser, c'est rompre les liens qui lient plateformes matérielles et logicielles. Le faire avec du code open source apporte la garantie de ne pas retomber dans une autre dépendance avec l'éditeur des logiciels de virtualisation. Le hic, c'est que l'on assiste à une mutation de la virtualisation open source. On glisse du modèle originel vers un autre qui tend à lui succéder partout. Les éditeurs mettent la main sur les projets open source (Xen chez Citrix, KVM chez Red Hat) et recréent ensuite des communautés vassales. L'économie de ce schéma rejoint celui des communautés satellites créées de toutes pièces par les éditeurs et celui de celles directement subventionnées par une poignée d'acteurs voire un seul. On retrouve dans ce Landerneau "Open source" la plupart des communautés majeures Ecplise - IBM, Mozilla - Google, Fedora - Red Hat, OpenOffice.org -IBM - Sun. On l'aura compris, ce mouvement open source de deuxième génération vise surtout à standardiser des plateformes sur lesquelles se greffent des solutions propriétaires. (...)
(06/02/2009 11:08:44)LMI invite ses lecteurs pour un petit-déjeuner
Afin de toujours mieux satisfaire ses lecteurs, LeMondeInformatique.fr vous invite une nouvelle fois à rencontrer la rédaction lors d'un petit-déjeuner informel, afin d'échanger sur vos besoins et votre appréciation sur le contenu et la présentation de votre site d'information. Le café et les croissants vous seront servis le 26 février, de 8h30 à 10h, dans nos locaux du 6/8 rue Jean Jaurès à Puteaux, à 5 minutes à pied du métro Esplanade de la Défense. En dehors de cette rencontre avec la rédaction, parce que vous participez aussi au monde de l'IT, nous vous invitons à vous exprimer au travers des commentaires d'articles sur le Forum, sur nos blogs Green IT et Ingénierie logicielle, ou encore sur le blog Experts. Pour plus de renseignements et pour vous inscrire, écrivez-nous : redac_weblmi@it-news-info.com (...)
(04/02/2009 17:40:39)Dell choisit Xsigo pour virtualiser les entrées/sorties
Dell va commercialiser la technologie de virtualisation des entrées/sorties de Xsigo, un spécialiste du domaine depuis 2007, avec ses serveurs PowerEdge et des baies de stockage PowerVault et EqualLogic. En commercialisant l'appliance en rack Xsigo VP780 I/O Director, Dell fait plus que combler son retard vis-à-vis de HP et d'IBM. Ces deux-là ont, chacun, leur propre technologie de virtualisation des I/O pour leurs serveurs lames : VirtualConnect I/O sur les BladeSystem de HP et Open Fabric Manager sur les BladeCenter d'IBM. La semaine dernière, Blade Network Technologies (BNT), essaimage de Nortel, a annoncé VMready, technologie pour virtualiser l'accès à ses routeurs en rack. Méconnu, BNT fournit pourtant IBM et HP. Vendu 30 000 $, le Xsigo VP780 accepte 24 ports en provenance de serveurs interfacés en Infiniband, et peut recevoir jusqu'à 15 modules d'I/O, chacun avec quatre ports gigabit Ethernet iSCSI, un 10 gigabit iSCSI et deux ports FC 4 Gbits. Dell fait miroiter des économies de l'ordre de 50% sur trois ans en remplaçant les équipements d'I/O physiques par la solution de virtualisation de Xsigo. Xsigo, qu'aucun accord d'exclusivité ne lie avec Dell, a déjà signé un accord similaire avec Verari, spécialiste des serveurs lames, en octobre dernier. A voir tous ces fabricants de serveurs s'intéresser de très près aux commutateurs d'entrées/sorties de leurs machines, Cisco fait donc bien de préparer son arrivée sur le marché des serveurs. (...)
(04/02/2009 16:50:08)XenDesktop 3 de Citrix devrait gérer deux fois plus de clients
Citrix va livrer ce mois-ci la version 3 de XenDesktop, sa solution de virtualisation pour les postes clients. Par rapport à la précédente mouture, elle devrait gérer deux fois plus de clients, dans un environnement comparable. Ce progrès s'explique, selon l'éditeur, par l'exploitation des images systèmes centralisées et dédupliquées qui sont, soit activées sur le serveur, soit envoyées en streaming vers les clients capables de faire tourner en local l'OS et les applications. A cela s'ajoute HDX MediaStream pour l'optimisation de la gestion des fichiers multimédia. D'une part, cette technologie optimise la bande passante réseau pour les fichiers multimédias (HDX Broadcast) et, d'autre part, elle exploite les composants multimédias en local tels que les lecteurs MP3, les appareils photo numériques, les smartphones, les scanners etc. (HDX Plug-and-Play). HDX rappelle les protocoles RDP enhancements et RGS (Remote Graphic Software) que HP a annoncé mi-décembre dans le même but. L'hyperviseur est livré dans l'offre Delivery Center XenDesktop 3 est aussi annoncé avec des outils d'administration du profil des utilisateurs et le support de cartes à puce pour la sécurisation. Il s'intègre dans l'offre globale Delivery Center qui regroupe l'ensemble des briques de l'éditeur pour la virtualisation. Outre Xendesktop, on y trouve XenServer et App Receiver. Citrix fait monter Microsoft au front pour soutenir XenDesktop 3. Confronté à la montée en puissance de la virtualisation des postes clients, l'éditeur de Windows ne peut pas ouvertement prôner des technologies qui le menacent directement. Citrix lui permet d'être présent sur le créneau sans cannibaliser son offre. XenDesktop 3 est annoncé à un prix de départ de 75$ par poste client virtualisé. (...)
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