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(06/11/2007 14:34:00)

Symantec achète bien Vontu et entend poursuivre ses rachats

Pressentie depuis une quinzaine de jour, l'acquisition de Vontu par Symantec est désormais confirmée. Pour 350 millions de dollars, le géant de la sécurité va acheter son partenaire spécialisé dans la détection de fuites de données. Sur ce marché juteux, EMC a avalé Tablus, WebSense a acheté PortAuthority et McAfee, après Onigma, s'intéresse de près à SafeBoot, spécialiste du chiffrement et des terminaux de validation d'accès. Symantec, qui utilise déjà les produits de Vontu, les intégrera à ses solutions de sécurisation des terminaux et du réseau. Puis, dans un deuxième temps, il les utilisera dans les solutions d'archivage et de sauvegarde du groupe pour permettre de retrouver plus facilement des données sensibles. Les rachats de Symantec ne s'arrêteront pas là. Son PDG, John Thompson, a déclaré que Symantec allait continuer à procéder à des rachats tout en consacrant par ailleurs 15 % de ses revenus au développement interne de produits. (...)

(12/10/2007 10:58:16)

Les assises de la sécurité ouvrent sur fond d'évolution des menaces

Les assises de la sécurité, le salon qui réunit les principaux RSSI, fournisseurs et acteurs gouvernementaux de la sécurité informatique, ont ouvert leurs portes jeudi 11 octobre à Monaco. Comme chaque année, le salon permet aux différents acteurs de confronter leurs vues et de découvrir les dernières nouveautés en matière de solutions et de services de sécurité. Mais il est aussi l'occasion de faire un point sur les menaces de l'année écoulée et de s'intéresser aux grandes tendance d'évolution. Comme le constate Bernard Ourghanlian, le directeur technique et sécurité de Microsoft France, les motifs d'attaque ont profondément changé. « Pour schématiser, on est passé de la manifestation d'un ego (NDLR : celui du hacker) à des contextes plus criminels ou les vulnérabilités s'achètent et se vendent. Il y a par exemple un vrai marché du botnet. (...) Le résultat est que, comme l'objectif, quand on attaque, est monétaire, les attaques sont plus ciblées qu'avant. On a par exemple des attaques de type extorsion de fonds comme ce qui s'est passé pour les casinos en ligne au Royaume-Uni. » Les entreprises continuent à laver leur linge sale en famille Lors de la conférence plénière du salon, cette évolution a été confirmée et les grands responsables gouvernementaux de la sécurité ont regretté le fait que les entreprises n'aient pas plus souvent le réflexe de recourir aux services de l'Etat pour les aider lorsqu'elles subissent une brèche ou une attaque. En revanche, elles n'hésitent plus à le faire pour le traitement de problèmes comme la pédophilie sur Internet, une amélioration certes, mais qui n'a pas grand chose à voir avec la sécurité informatique en soi. Pourtant, plusieurs responsables de la sécurité rencontrés sur le salon confirment la multiplication des pertes de données et intrusions y compris dans les plus grandes sociétés. Ils regrettent au passage que les problèmes soit souvent pudiquement dissimulés derrière un rideau et surtout qu'ils soient cachés au public, notamment lorsque l'intrusion concerne des données personnelles. Ce réflexe pourrait ne plus être toléré très longtemps. A Bruxelles, la Commission travaille sur l'adjonction dans le paquet Télécom d'une directive de publication des brèches de données personnelles. Cette directive contraindrait les sociétés à informer une autorité publique compétente de toute intrusion mais aussi à informer les clients et utilisateurs de toute perte de données les concernant. Autant de mesures déjà en vigueur aux Etats-Unis et qui ont permis de révéler au public des vols massifs d'identités ou d'informations personnelles au cours des derniers mois. Reste qu'il faudra vraisemblablement quatre à cinq ans avant que la disposition ne soit transcrite en droit national. (...)

(11/10/2007 15:15:35)

Les DSI consacrent désormais 20% de leur budget à la sécurité

En 2006, 20 % du budget IT des sociétés était consacré à leur protection, contre seulement 15 % en 2005 et 12 % en 2004, selon une étude menée auprès de 1070 sociétés par CompTIA (Computing Technology Industry Association). De plus, sur chaque dollar dépensé pour la sécurité, 42 cents concernent l'achat de produits liés à la sécurité, 17 cents à la mise en place de processus, 15 cents à la formation, 12 à la gestion des acquis et 9 à la certification, le reste étant réparti dans des secteurs variés. Environ 50 % des entreprises interrogées comptent augmenter la part de la sécurité dans leur prochain budget par l'achat de nouveaux produits, et 33 % d'entre elles par la mise en place de formations liées à la sécurité. (...)

(04/10/2007 17:57:55)

Google sécurise la messagerie de Google Apps Premier Edition

Comme prévu, Google fait profiter ses applications en ligne Google Apps Premier Edition des outils de sécurité pour messagerie rachetés à Postini en juillet dernier. Pour autant, le prix de l'accès au service ne bouge pas. Il reste fixé, pour l'Europe, à 40 euros par an et par utilisateur. Des services de filtrage de pourriels (spams) et d'anti-virus viennent ainsi s'ajouter à ceux qui étaient déjà proposés dans Google Apps Premier Edition. A ces outils de contrôle, destinés aux administrateurs, s'ajoute la possibilité de centraliser la mise en place de règles autour des contenus (pour empêcher, par exemple, l'envoi de messages contenant des informations sensibles sur l'entreprise). Les nouvelles fonctions permettent aussi la restauration des messages accidentellement détruits au cours des trois derniers mois. Avant son acquisition par Google, Postini proposait ces services comme add-ons à Google Apps Premier Edition moyennant une souscription complémentaire. En rendant ces outils gratuits, Google prouve sa détermination à voir ses applications adoptées par les petites et moyennes entreprises, selon l'avis de Matt Cain, de Gartner. Des outils que l'analyste qualifie « d'obligatoires » dans le cadre d'une exploitation professionnelle. Gmail stocke 2,5 fois plus qu'avant Dans le même temps, Google multiplie par 2,5 la capacité de stockage de sa messagerie Gmail pour les utilisateurs d'Edition Premier, en la faisant passer de 10 Go à 25 Go. Rappelons que, outre Gmail, les services en ligne Google Apps rassemblent la messagerie instantanée Google Talk, un agenda, un outil de création de pages Web et, surtout, des fonctions de traitement de texte et de tableur. L'offre comprend aussi des interfaces de programmation (APIs) pour intégrer les services avec le système d'information de l'entreprise qui les utilise. Près de 500 000 entreprises et organismes auraient déjà choisi les Google Apps, selon Google, ce qu'il traduit en « millions d'utilisateurs ». (...)

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