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(20/05/2008 13:07:04)
Index Freelance : hausse de la demande en spécialistes MVS
Cette semaine, les développeurs Java poursuivent leur ascension au sein du Top 10, en se classant à la 4e place. Freelance relève, en parallèle, une hausse de la demande en spécialistes de MVS, un des OS grands systèmes d'IBM, au détriment des spécialistes d'AIX, l'Unix d'IBM, avec des besoins plutôt tournés vers l'ingénierie.
Côté spécialités, la tendance observée depuis bientôt trois semaines, se confirme. Le trio de tête « langage de programmation », « logiciels de gestion » et « bases de données » reste inchangé. Dans les deux premières spécialités, les profils les plus recherchés sur des missions de courte durée sont les développeurs, les architectes, et les administrateurs.
Oracle, SAP et Unix toujours au top des compétences demandées
Pas d'évolution en revanche pour le peloton de tête du Top 10 des compétences demandées : le palmarès, toujours composé d'Oracle, de SAP et d'Unix, reste stable. Idem pour l'index d'évolution de la rémunération des experts indépendants, basé sur le prix moyen des offres proposées par Freelance.com, qui, lui aussi, est relativement constant, à 475 euros.
Méthodologie : les pourcentages indiquent la proportion des offres nécessitant la spécialité ou la compétence donnée dans l'ensemble des offres à pourvoir. Panel représentatif des 563 offres de projets informatiques disponibles au 19 05 2008 (pondération par rapport à l'importance de la demande);
(...)
Exchange Online gèrera des dizaines de millions de boîtes d'ici 5 ans
Chez Microsoft, l'offre Cloud Computing commence par les serveurs de messagerie. D'ici cinq ans, Microsoft prévoit que son offre Exchange Online hébergera des dizaines de millions de boîtes à lettres professionnelles. C'est la première annonce de la mutation d'une offre entreprise du modèle logiciel à celui de "logiciel et services" que Microsoft met progressivement en place. Chez Microsoft France, on insiste sur le fait que l'offre s'adresse à des entreprises qui disposent d'un service informatique. Il faudra toujours un informaticien pour paramétrer les services proposés. "D'ici cinq ans, la moitié des boîtes Exchange seront sur Exchange Online", a déclaré Chris Capossela, qui préside aux destinées de la ligne de produits Office. Cela représente effectivement des dizaines de millions de comptes si l'on considère les chiffres communiqués par les analystes de Radicati. Pour eux, 210 millions d'utilisateurs professionnels sont gérés par un serveur Exchange cette année et ce chiffre atteindra 319 millions en 2012. Microsoft affirme qu'il étoffe chaque mois ses datacenters de 10 000 serveurs. Microsoft brandit déjà le succès qu'il a remporté avec Exchange Online auprès de Coca Cola. Le plus gros producteur mondial de sodas vient d'abandonner IBM Lotus Notes pour confier ses 70 000 adresses mails aux soins de Microsoft Online. Pour les entreprises, le glissement vers une solution hébergée pourra se faire soit en gardant le modèle de facturation à la licence, soit en optant pour un modèle basé sur l'abonnement. Si Microsoft envisage une réduction de ses marges, il prévoit une augmentation de son chiffre d'affaires. Il n'y a pas que le serveur Exchange qui entame sa mutation du logiciel vers le service. Les variantes hébergées des serveurs Sharepoint, Office Communication Online et Office Live Meeting sont en phase bêta. Microsoft France précise que les dates des bêtas francisées (y compris pour Exchange Online) ne sont pas encore connues. (...)
(20/05/2008 12:58:06)Deux VTL supplémentaires chez EMC
EMC vient d'annoncer deux systèmes de déduplication disque à disque (Virtual tape library, VTL) destinés au réseau local des petites et moyennes entreprises. Ces systèmes, les DL 1500 et 3000, sont dotés de systèmes de déduplication administrable à distance (pour éliminer les données redondantes en continu ou seulement à date fixe) et d'un système d'économie d'énergie en fonction de l'activité. Le DL 1500 a une capacité allant jusqu'à 36 To et sera commercialisé dès le 28 mai prochain à partir de 115 000 dollars. Le DL 3000, quant à lui, propose jusqu'à 148 Go et sera commercialisé à la même date, à partir de 215 000 dollars. (...)
(20/05/2008 12:51:55)Un BladeCenter S pour les iSeries - AS/400
IBM commence, enfin, à commercialiser des versions adaptées des BladeCenter S pour ses serveurs iSeries. Ces versions sont regroupées sous le terme de i Edition Express. Elles supportent la version 6.1 de l'OS i. Elles devraient connaître le succès auprès des utilisateurs qui exploitent encore des AS/400 ou des iSeries sous l'OS i5/OS. Notons que ces configurations supportent aussi Linux. L'offre i Edition Express repose sur la lame JS12 dont les caractéristiques répondent bien aux besoins des PME. Elle accueille deux processeurs 64 bits Power6 à 3,8 GHz et peut embarquer jusqu'à 64 Go de mémoire par processeur. Lancés à l'automne dernier, les BladeCenter S sont des serveurs lames conçus pour les PME, autrement dit pour les entreprises qui sont le coeur de cible des serveurs iSeries. Les châssis, qui n'ont pas besoin d'alimentation électrique spéciale, comportent six emplacements. (...)
(20/05/2008 17:21:35)Un environnement numérique de travail universitaire de 100 000 utilisateurs en PACA
En juillet 2002, le gouvernement Raffarin lance à un appel à projets pour constituer des UNR (Universités Numériques en Régions). Les universités d'Aix-Marseille, Avignon, Nice et Toulon répondent en constituant l'UNR PACA (Université Numérique en Région Provence Alpes Côte d'Azur), qui sera l'une des dix retenues en Octobre 2002. L'objectif est de développer l'usage des TIC dans les universités, la mise en oeuvre d'un ENT (Environnement Numérique de Travail) étant imposée dans ce cadre. « Les universités de la région PACA avaient une vraie volonté politique de mettre en oeuvre de tels services pour leurs étudiants et personnels » indique Isabelle Pouliquen, chef de projet de l'UNR PACA. Le ministère de tutelle avait pré-sélectionné quatre ENT disposant chacun d'un bureau virtuel : ESUP se basait sur des technologies open-source et était soutenu par un consortium universitaire ; Ancora, soutenu par les universités de Lyon et Grenoble, comprenait ContactOffice ; EPPUN (Espace Pédagogique Pour les Universités Numériques), soutenu par Strasbourg, se basait sur des technologies hétérogènes ; et enfin MonteCristo, défendu par l'université de Corse, se basait sur la solution Blackboard. Un partage fin de données accessible par le web « Aucune des quatre solutions n'était alors vraiment mature, toutes étant encore en plein développement » se souvient Isabelle Pouliquen. Après une étude de chacune des quatre solutions, l'UNR PACA choisit le bureau virtuel ContactOffice, et l'appliance IronPort pour la gestion des courriels. Isabelle Pouliquen justifie le choix fait : « dès cette époque, Contact Office était opérationnel pour la mise en place d'un véritable bureau virtuel accessible par le web comprenant, pour chaque compte, un agenda, un stockage de documents et une gestion des contacts, le tout avec des fonctions de partage entre personnes ou au sein de groupes (comme une promotion d'étudiants), avec gestion fine des droits (lecture, ajout, modification, suppression...). Même aujourd'hui, il n'existe pas d'autre solution aussi performante. ». Il ne s'agit cependant pas d'un outil bureautique en ligne (comme les GoogleApps ou Zimbra). [[page]] Les universités de la région PACA utilisant le système ont mis en oeuvre une seule plate-forme construite autour de serveurs IBM et la distribution Linux de Red-Hat. ContactOffice gère son frontal web, sa propre base de données (orientée objet) intégrée comportant une gestion de pointeurs et une indexation (sur un serveur dédié). mais les documents partagés eux-mêmes sont stockés sur un SAN IBM, avec un serveur de sauvegarde distante IBM disposant d'une bandothèque. Les courriels sont, eux, traités par une appliance IronPort. Le coût global du projet sur trois ans est estimé à 500 000 euros. Parmi lesquels, une redevance annuelle d'un euro par utilisateur pour les licences ContactOffice auquel s'ajoute la même somme pour les licences Anti-Spam/Anti-Virus, la Région prenant en charge ces derniers coûts récurrents pour les étudiants. L'environnement numérique de travail de l'UNR PACA est autant destiné aux personnels administratifs qu'aux enseignants et aux étudiants. « Cela permet, par exemple, aux enseignants de mettre à disposition leurs documents pédagogiques à un groupe d'étudiants créé aisément par une procédure programmée, comme par exemple pour une promotion entière » signale Isabelle Pouliquen. Sur les 100 000 comptes créés, environ 70 000 sont effectivement actifs à ce jour, tous les étudiants n'étant pas encore des utilisateurs. Pour l'Université Paul Cézanne, tous les nouveaux étudiants bénéficient de douze heures de formation, six en présenciel et six à distance, sur l'ensemble des outils numériques mis à disposition par les universités, dont trois heures sur l'ENT. Côté personnels administratifs et enseignants, l'université dispense deux sessions de formation de trois heures (niveau débutant et niveau avancé). (...)
(20/05/2008 12:59:03)Quand l'informatique est mise à mal par des abeilles tueuses, des enfants turbulents et des chèvres
Installer des systèmes informatiques dans certains villages reculés d'Afrique est louable mais souvent complexe et périlleux. Dans les pays en développement en général, les virus et les bugs ne sont en effet pas les seules sources de pannes. Et Inveneo, société spécialisée dans la fabrication d'ordinateurs et de systèmes de communication, pour de petits villages africains et d'autres zones isolées, en a fait l'expérience. Inveneo est une organisation à but non lucratif issue de la Silicon Valley qui se concentre sur l'informatisation de régions reculées de l'Afrique très en retard dans le domaine, dans des pays comme le Cameroun, au Nigeria et au Burkina Faso par exemple. La plupart de ses projets concernent les écoles, les hôpitaux, les centres communautaires et les camps d'aide. Les équipes rencontrent les mêmes problèmes qu'ailleurs comme l'absence d'accès à l'électricité, aux services Internet ou aux ordinateurs. Mais ce n'est pas tout. Et Inveneo doit beaucoup s'appuyer sur des partenaires locaux parce que l'Afrique réserve des problèmes très spécifiques aux informaticiens. Concours de jet de pierre sur panneaux solaires Ainsi, un jour de grand soleil à Gulu en Ouganda, au mois d'aout, par exemple. Le réseau Wifi installé par Inveneo dans un village a été coupé, privant ainsi d'Internet tous les habitants. Le système comprenait le package classiquement mis en place par l'entreprise : ordinateurs, panneaux solaires et réseau wifi. Le problème ? Une colonie d'abeilles tueuses avait élu domicile dans un boîtier Wifi installé sur une tour télé abandonnée. Résultat : court-circuit. L'informaticien de service n'a, dans de tels cas, pas tout à fait les mêmes compétences que dans le monde développé. En l'occurrence, Norbert Okec connaissait bien, heureusement, l'apiculteur local. Il lui a emprunté un costume protecteur et lui a demandé quelques conseils pour se débarrasser des abeilles. Il a donc attendu la nuit suivante pour grimper sur la tour télé, enfumer les abeilles et récupérer le boîtier Wifi. Inveneo aura ici appris une chose : le miel est un aliment conducteur... Dans un autre village, la société californienne a aussi installé un système dans un immeuble au toit en tôle ondulée. Dessus, il a installé des panneaux solaires. Des panneaux qui n'ont pas fait long feu. Depuis toujours en effet, les gamins du village jetaient des pierres sur ce toit rien que pour entendre le « clong » qui en résultait. Et ils n'ont pas changé leurs habitudes avec les panneaux solaires ! Même sans le « clong ». Plutôt que de poster des gardes jour et nuit devant l'immeuble, Inveneo a demandé à un de ses partenaires d'installer une protection de bois et de grillage à poules sur le toit. Et tout cela, c'est sans compter sur le goût immodéré des chèvres africaines pour les câbles Ethernet. Quand Inveneo l'a compris, elle a du trouver le moyen de cacher et protéger les câbles de façon très efficace pour que les animaux ne soient pas tentés. (...)
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