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(21/05/2008 15:30:00)

ILM, CDP, Déduplication... La quête des Graals du Stockage

Interview de Vincent Franceschini Directeur de la Veille Technologique d'Hitachi Data Systems et président du SNIA (...)

(21/05/2008 15:29:00)

Résoudre le paradoxe des sauvegardes trop longues

nterview de Vincent Franceschini Directeur de la Veille Technologique d'Hitachi Data Systems et président du SNIA (...)

(21/05/2008 15:28:00)

Stockage et virtualisation

Interview de Vincent Franceschini Directeur de la Veille Technologique d'Hitachi Data Systems et président du SNIA (...)

(21/05/2008 15:27:00)

Concurrence et complémentarité des standards Fibre Channel et iSCSI

Interview de Vincent Franceschini Directeur de la Veille Technologique d'Hitachi Data Systems et président du SNIA (...)

(21/05/2008 15:16:00)

L'activité de Hitachi Data System

Interview de Vincent Franceschini Directeur de la Veille Technologique d'Hitachi Data Systems et président du SNIA (...)

(20/05/2008 18:23:18)

Grèves : EDS mobilisé contre les licenciements, IBM, sur les salaires

La journée d'action lancée à l'initiative des syndicats d'EDS France a mobilisé 200 salariés. Chez IBM France, le mouvement, plus massif, a rassemblé 1 500 grévistes. Aujourd'hui 20 mai, des manifestations ont été lancées à l'appel des syndicats chez EDS et IBM France. Pour le premier, il s'agissait d'une mobilisation contre l'absurdité du plan social en cours, annoncé avant même le rachat de la SSII par HP. Des délégations de plusieurs sites de province se sont rassemblés au siège de l'entreprise à Nanterre : au total, la mobilisation a permis de réunir environ 200 salariés grévistes (sur un effectif de 2 000 collaborateurs environ). « La grève de ce jour, à l'appel de tous les syndicats d'EDS France (CFDT, CGC, CFTC, SUD, CGT, FO) est dirigée contre les fermetures de sites et les suppressions d'emplois, rappelle Jean-Paul Garagnon, délégué syndical central Sud Le rachat d'EDS par HP risque, en outre, de se solder par un grand "ménage" dans les activités d'EDS, sans compter des suppressions de poste dès lors qu' HP aura fixé sa nouvelle stratégie. » Un CE a été convoqué aujourd'hui pour examiner le détail du PSE (plan de sauvegarde de l'emploi) d'EDS sur ses trois sites en région, mais, en dépit du mouvement de protestation, il n'a pas été suspendu pour autant. Chez IBM France, la première journée d'action pour les salaires, lancée à l'initiative de l'intersyndicale (CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, SNA, UNSA) s'est déroulée avec davantage de succès : plus de 1 500 salariés grévistes (sur un effectif global de 9 600 collaborateurs) se sont rassemblés devant les différents sites français de l'Américain, à Paris, en région parisienne et également en province (à Montpellier, Marseille, Toulouse, Bordeaux, Lille, Lyon, La Gaude, Nantes, Orléans, Strasbourg). La mobilisation a été particulièrement suivie dans la Capitale : plus de 600 manifestants étaient réunis devant le siège social. A Montpellier, près de 400 salariés ont débrayé (dont une dizaine de CDD) devant l'entrée principale du site, tandis qu'à La Gaude, ils étaient près de 200 à manifester. Face à la mobilisation, la direction s'engage sur deux réunions d'information sur les salaires [[page]]Devant l'ampleur de la mobilisation, une délégation intersyndicale a été reçue par la direction des relations sociales. « Nous avons eu confirmation de l'ouverture des négociations salariales le 28 mai, indique Jean-Michel Daire, délégué syndical CFDT d'IBM France. La direction s'est engagée parallèlement à mener les négociations, en annonçant la mise en place d'un calendrier spécifique, constitué de deux réunions d'information sur la question des salaires. » Et le syndicaliste de pointer l'absence de maîtrise de la politique salariale d'IBM France : «les grilles de salaires sont bien en deça des minima conventionnels de la branche, déplore t-il . Les ingénieurs commerciaux, notamment, on vu leur salaires fixes baisser de 7% cette année, alors qu'il avaient été revus à la baisse de 6,5% en 2006. Certains salariés n'ont pas été augmentés depuis six, sept, voire huit ans. Sans compter des salaires qui varient de 1 à 4 sur un même coefficient. » Considérant cette journée d'action comme une première étape, les sept organisations syndicales d'IBM France appellent néanmoins les salariés à rester mobilisés jusqu'à la satisfaction de leurs revendications. (...)

(20/05/2008 18:23:08)

BMC UserWorld : BMC intègre l'automatisation de la gestion des serveurs

Lisbonne accueille jusqu'à jeudi la conférence utilisateurs de BMC. L'occasion pour l'éditeur d'expliquer en détail sa stratégie et sa vision à ses clients et ses partenaires. BMC est en effet venu sans annonce dans son chapeau, mais le redécoupage de l'offre lié à la récente acquisition de BladeLogic pourrait à lui seul suffire pour occuper plusieurs sessions. Président et CEO de BMC Software, Bob Beauchamp a ouvert le bal mardi matin en rappelant les bons résultats du groupe, tout juste annoncés (voir ci-dessus), et l'arrivée chez BMC de BladeLogic et de son patron, Dev Ittycheria, qui a accepté le rôle de vice-président senior du nouvel ensemble, avec la responsabilité d'en superviser le développement et la stratégie. BMC est depuis 5 ans le héraut du BSM (Business service management) et son positionnement reste identique. Le BSM vise à donner au service informatique les moyens d'optimiser son travail et de fournir à son client, la direction métier de l'entreprise, un service de qualité ainsi que la preuve de la qualité de ce service. Comme aime à le rappeler BMC, il ne s'agit pas seulement d'afficher des feux verts ou rouges pour certains composants techniques ou applicatifs, mais de redéfinir et de superviser des processus liés à des services business. L'offre BMC s'articule désormais en trois sphères autour d'une CMDB commune Avec l'arrivée de BladeLogic, BMC a gagné une suite d'outils d'automatisation dans le domaine des serveurs, qui vient compléter les outils que l'éditeur proposait déjà pour les réseaux (grâce au rachat d'Emprisa) et pour les clients (grâce au rachat de Marimba). Il devenait urgent, en effet, d'avoir une offre à même de superviser et d'automatiser la gestion de milliers de serveurs physiques et virtuels. Comme nous l'explique Peter Armstrong, évangéliste de BMC, « la virtualisation est typiquement un domaine qui a évolué très vite, nous ne pouvions nous permettre d'attendre deux ans, le temps d'écrire un outil nous-mêmes ». [[page]] BMC articule donc désormais son offre en trois sphères : le « service support », qui repose essentiellement sur l'offre Remedy de support aux utilisateurs, le « service assurance », qui repose essentiellement sur l'offre Patrol de supervision technique et les outils d'analyse prédictive hérités de Proactivenet, et le « service automation », comprenant donc la suite d'automatisation de la gestion des serveurs, des postes de travail et des réseaux. Les trois sphères sont soudées entre elles par l'offre Atrium, une série de technologies communes aux trois, dont la CMDB (Configuration management database, référentiel des actifs informatiques et de leurs interrelations) et un outil de workflow. Des gains de productivité observés chez les clients de BladeLogic/BMC En prévision de l'événement, Dev Ittycheria a compilé quelques exemples concrets d'économies et de gains de productivité réalisés par des clients grâce aux outils d'automatisation. Pour mettre à jour ses applications d'infrastructure sur 5000 serveurs, France Telecom n'aurait ainsi plus besoin que de trois jours, alors qu'il lui fallait quatre semaines auparavant. Le déploiement d'une application type chez Expedia, qui nécessitait 15 personnes sur 12 heures, ne demanderait plus aujourd'hui que 2 personnes sur 3 heures. Chez Capgemini, un administrateur pouvait superviser 22 serveurs avant, contre 166 aujourd'hui. Chez Telecom Italia, le temps de diagnostic d'un incident serait passé de 2 jours à 90 minutes, et le coût par incident de 435 à 295 euros. Une autre statistique attire l'attention chez Telecom Italia : le taux de succès lors du déploiement d'une application aurait grimpé de 38% à 94%. Dans son portfolio, BladeLogic dispose en effet d'un outil capable de prendre en amont le code d'une application et de l'accompagner au travers du processus d'assurance qualité jusqu'au déploiement, afin d'éviter le maximum d'erreurs, de configuration notamment. Cette échappée, du domaine de l'opérationnel vers le domaine des études et du développement, est un des chevaux de bataille de Peter Armstrong, qui s'avoue désolé que ce ne soit pas davantage la règle. Prendre en compte les conditions de déploiement le plus en amont possible devrait en effet garantir une meilleure adéquation des besoins. « Mais je suppose que le marché n'est pas encore assez mûr pour ça », soupire-t-il. (...)

(20/05/2008 17:11:03)

Annuels S&H : Intégration PeopleSoft et conseil SIRH dopent les revenus

La société de services des Systèmes et des Hommes (110 collaborateurs) annonce des résultats 2007 qui dépassent ses objectifs. Le groupe, qui tablait sur une croissance d'environ 15% de son chiffre d'affaires 2007, a réalisé un CA en hausse de plus de 35% par rapport à l'année précédente, à 11,5 M€. Son résultat net a également progressé, à 641 000 € en 2007, contre 492 000 € en 2006 . Représentant à elle seule 65% du chiffre d'affaires 2007, l'activité « Intégration PeopleSoft et conseil SIRH » a relevé de 10 points sa part dans le chiffre d'affaire global ; les 35% restant ayant été générés par l' informatique décisionnelle (17%), le e-business (10%) et l'accompagnement au changement (8%).« Les bonnes performances de notre activité Intégration et conseil SIRH sont dues à une hausse des investissements de nos clients dans les systèmes d'information en ressources humaines, et sur Peoplesoft », commente le PDG Amadou Ngom. Côté recrutements, la SSII, qui comptait 25 nouveaux collaborateurs de plus l'année dernière (des consultants techniques et des fonctionnels RH, pour la plupart), envisage 40 nouvelles embauches d'ici la fin 2008. Les profils recherchés sont des ingénieurs ou des consultants fonctionnels ayant 2 à 4 ans d'expérience, de même que des jeunes diplômés. Mais c'est sans compter les tensions du marché de l'emploi sur certains profils : « Les candidats ayant entre 2 et 4 ans d'expérience, qui constituent notre coeur de cible, sont de plus en plus difficiles à trouver, déplore le PDG. Idem pour les jeunes diplômés qui constituent 25% de nos embauches. » Cette situation a eu des effets néfastes sur l'activité de la SSII, qui s'est vu dans l'obligation de suspendre certains projets en raison du manque de ressources. Pour son seul premier trimestre 2008, la SSII a dégagé un CA de 3,5 millions au global. En février 2008, la SSII s'est également ouverte à l'international, en créant une nouvelle filiale en Inde (à Puna). (...)

(20/05/2008 15:41:51)

Bull devient porte-parole de Climate Savers Computing en France

Bull devient le représentant en France de l'initiative Climate Savers Computing. Celle-ci a été créée il y a près d'un an par des acteurs importants du marché comme Intel, Google, Dell, HP, IBM, Lenovo, Microsoft, de grands utilisateurs comme PG&E (énergie) et le World Wildlife Fund. Leur objectif est de définir de bonnes pratiques pour que les infrastructures informatiques consomment moins d'énergie, et par conséquent diminuent leur empreinte carbone. « Nous serons la tête de pont de l'association en France », précise Bruno Pinna, directeur marketing de Bull. Le rôle du Français consistera à communiquer de façon plutôt globale sur la démarche de Climate Savers Computing auprès d'un large public mais aussi à l'expliquer de façon plus précise aux associations, aux politiques, aux institutions, etc. Enfin, Bull sera aussi chargé de recruter de nouveaux membres dans le secteur des TIC en France. C'est Ahcene Latreche, responsable de programme marketing chez Bull en particulier pour le Green IT, qui sera le représentant de l'initiative chez le Français. (...)

(20/05/2008 14:26:41)

Des services packs pour les anciens outils de virtualisation de Windows

Ce n'est pas parce qu'il a désormais un hyperviseur à opposer à VMWare et Citrix que Microsoft en oublie ses anciens logiciels de virtualisation. Pour preuve, l'éditeur vient de lancer un nouveau service pack pour Virtual PC 2007 et un autre pour Virtual Server 2005 Hyper-V est bientôt là, mais Microsoft n'en oublie pas pour autant ses anciens logiciels de virtualisation. L'éditeur vient en effet de lancer les premiers services pack pour respectivement Virtual PC 2007 et Virtual Server 2005 R2. Sans grande nouveauté, ce service pack a surtout pour but de mettre à jour les systèmes d'exploitation supportés - tant en hôte qu'une invité - par ces plate-formes. Ils sont ainsi désormais compatibles avec trois versions de Vista - Ultimate, Business et Enterprise -, avec Windows XP SP3, et Windows Server 2008 en invité. Virtual Server 2005 R2 est même compatible avec les versions modulaires de Windows Server 2008 : Core 2008, Datacenter 2008 et Entreprise 2008. Plutôt discret, ce lancement n'a fait l'objet d'aucune annonce officielle de la part de Microsoft. Seul Ben Amstrong, un membre de l'équipe de développement de Virtual PC, l'a annoncé sur son blog . Pourtant, ces outils - gratuits - ont de nombreux adeptes. Notamment ceux qui utilisent des processeurs un peu anciens sans les nouvelles technologies de virtualisation Intel VT ou AMD-V intégrées au chipset. Grâce à ce service pack, même les plus vieux ordinateurs d'un parc informatique pourront faire tourner les systèmes d'exploitation les plus récents et les applications correspondantes. (...)

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