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(15/05/2008 17:01:00)
Fonctionnement d'une unité mécanographique
Présentation par Bertrand Lemaire. (...)
(14/05/2008 18:43:55)HP-EDS : les PDG évoquent déjà d'éventuels licenciements
Mark Hurd et Ronald Rittenmeyer, PDG respectifs d'HP et d'EDS ont tous deux laissé entendre que des suppressions de postes risquent bien découler de l'une des plus grosses acquisitions de l'année, sans pour autant entrer dans le détail. Le rachat d'EDS (137 000 salariés) par HP (172 000 employés au total) se soldera t-il par des suppressions de postes, dans les mois à venir ? Cela semble inévitable, en dépit du flou qui règne actuellement sur le sujet. En effet, ni Ronald Rittenmeyer, le PDG d'EDS, ni Mark Hurd, PDG d'HP, n'ont été en mesure d'apporter des informations claires et précises sur le sort de leurs salariés. Le second a déclaré que « les salariés d'EDS pourraient profiter des opportunités créées par cette acquisition sur de nouveaux segments et bénéficier de la compétitivité d'HP sur les marchés existants. » De son côté, le patron d'EDS a indiqué que le chevauchement des bases clients des deux entreprises n'était « pas très étendu», avant d'ajouter néanmoins que la SSII poursuivrait la « rationalisation de ses équipes. » Sans préciser davantage ce qu'il entendait exactement par « rationalisation ». EDS a déjà déplacé une bonne partie de ses activités en dehors des Etats-Unis, dans le cadre de sa stratégie autour des services d'externalisation. Actuellement, il ne compte plus que quelque 47 000 salariés dans son pays. En cause, la consolidation des datacenters Ronald Rittenmeyer a aussi reconnu que l'automatisation des datacenters pourraient jouer un rôle non négligeable dans les décisions concernant les équipes. Mark Hurd considère cette pratique comme essentielle et HP a déjà consolidé ses datacenters au sein de six installations en tout et pour tout, avec des capacités accrues d'administration à distance. Selon Mark Hurd, il s'agit d'un meilleur moyen que le offshore pour réduire les coûts tout en augmentant la qualité. Et le PDG d'EDS d'ajouter « Nous allons continuer dans ce sens. Ce type d'automatisation est une évolution naturelle et il y a forcément des ajustements au niveau des emplois. » (...)
(14/05/2008 17:27:41)Le marché américain confirme son essoufflement dans les TIC
Aux Etats-Unis, deux études de CDW IT Monitor et de ChangeWave dépeignent des entreprises américaines qui ralentissent leurs investissements dans les TIC. Pour CDW, en deux mois, l'inquiétude des petites PME commence à gagner les grandes entreprises. L'indice, qui mesure l'investissement en TIC des sociétés, perd sept points dans les PME, à 70. De plus, alors que ces entreprises étaient 31% à prévoir l'embauche d'informaticiens en février, elles ne sont plus que 21% aujourd'hui. Enfin, seulement 45% des petites PME américaines considèrent désormais que les investissements en TIC amélioreront leur rentabilité. Elles étaient 52% en décembre 2007. Pour l'heure, les grandes entreprises résistent encore à la morosité de leurs petites consoeurs. Leur indice se maintient à 80. Grâce à elles, l'indicateur général ne perd qu'un point, à 72. Pour ChangeWave, qui s'attache à la dépense en logiciels, le son de cloche se rapproche un peu plus du tocsin. Son sondage d'avril auprès de 1956 directions informatiques américaines confirme le retournement de tendance qui avait marqué celui de janvier. Le pourcentage de celles qui prévoit de réduire leurs investissements en logiciels au cours des trois prochains mois a encore augmenté (25%, soit 3 points de plus) par rapport à celles qui prévoient d'investir plus (12%, soit 4 points de moins). Cette configuration est à l'opposé de celle d'avril 2007, lorsque 26% prévoyaient d'investir plus, et seulement 9% d'investir moins. Seuls les logiciels de virtualisation (+ 5 points) et de sécurité (+ 4 points) bénéficient encore d'une prévision d'augmentation des investissements. A l'inverse, les PGI (ERP) sont ceux qui subissent l plus fort désintérêt (-11 points), suivi par la gestion documentaire (- 9 points), la relation client (- 6 points), le décisionnel (- 2 points) et les SGBD (- 1 point). En matière de virtualisation, VMware continue d'accroître son parc installé. 70% des sondés ont répondu utiliser ses produits, contre 56% en janvier. Dans le même temps, on compte 26% d'adeptes de Citrix (contre 21%). Derrière Microsoft (22% d'utilisateurs contre 19%), il ne reste plus grand-chose pour IBM (10%) et Oracle (6%). (...)
(14/05/2008 17:01:17)Ericom, une alternative à Citrix
Avec PowerTerm WebConnect, Ericom se pose en concurrent de Citrix pour la virtualisation des postes clients. Cette société américaine fondée en 1993 a commencé par proposer des accès à des systèmes centraux (zSeries, iSeries, Unix et Linux). Les analystes du Butler Group trouvent à Ericom des attraits qui valent la peine que l'on s'y intéresse. Lancé en 2000, PowerTerm WebConnect ajoute aux connecteurs sur systèmes centraux le support de WTS (Windows Terminal Server), y compris la mouture contenue dans la version 2008 de Windows Server. Parmi les autres atouts du produit, le Butler Group relève une bonne gestion de l'impression (qui est toujours un problème pour les clients virtualisés), le support de SSL et de SecurID de RSA. Enfin, parmi la douzaine d'infrastructures de virtualisation supportée par PowerTerm WebConnect figure celle de la VM d'Oracle. Celle-ci, gratuite, risque fort d'être privilégiée par son éditeur qui fait tout pour la virtualisation ne soit pas un moyen d'investir ses places fortes. A noter que, pour l'instant, le marché français est géré par Ericom UK. (...)
(14/05/2008 16:57:43)Le Cell d'IBM s'offre un nouveau serveur lame
IBM lance un nouveau serveur lame à base de processeurs Cell, le BladeCenter QS22. Celui-ci intègre une nouvelle version compatible avec l'architecture Cell Broadband Engine (Cell/B.E.), le PowerXCell 8i. La puce est cinq fois plus rapide que le Cell/B.E. d'origine, et comprend 16 fois plus de mémoire (jusqu'à 32 Go). Le serveur est équipé de Red Hat Enterprise Linux et de Eclipse pour le développement. Big Blue estime que son nouveau serveur pourrait par exemple servir, dans certaines configurations, à diagnostiquer une tumeur en quelques secondes plutôt que quelques heures. Vingt partenaires et trente-cinq universités participeront au développement de l'écosystème HPC (high performance computing) de ce nouveau serveur, en développant des applications capables d'exploiter au mieux ses capacités. Une nouvelle version du kit de développement parallèle Le Cell est en effet un multi-processeur très spécifique, destiné au calcul intensif, qui comprend un processeur principal de type Power PC qui se décharge de certaines tâches gourmandes sur huit autres processeurs connexes. Un système qui exige donc une parallélisation particulière des applications. C'est pourquoi en même temps que son nouveau serveur, IBM rend disponible une mise à jour de son SDK (Software Development Kit) For Multicore Acceleration v3. Selon IBM, la finance, les media numériques et l'imagerie médicale ont désormais besoin de ce type de serveurs conçus pour le calcul intensif. C'est donc logiquement que parmi les 50 premiers clients se trouve le studio d'animation Threshold Animation Studio. Les éditeurs de grid Platform Computing et de simulation immersive Simudyne font également partie des utilisateurs. (...)
(14/05/2008 16:44:28)Une console décisionnelle pour JD Edwards EnterpriseOne
Oracle propose aux utilisateurs de JD Edwards EnterpriseOne versions 8.11 SP1 et 8.12 un outil décisionnel. Cette "Financial Management and Compliance Console" permet d'afficher en standard une quarantaine d'indicateurs et propose aussi sept alertes en regard avec la conformité de leur activité. Oracle souligne la facilité d'utilisation et d'implantation de cette console qui s'installe directement sur EnterpriseOne. Il est bien sûr possible de paramétrer cette console pour adapter le recueil des informations aux besoins spécifiques d'une entreprise. (...)
(14/05/2008 16:14:24)Exclusif : les dessous du scandale du Référentiel général d'interopérabilité
Avant d'entrer dans le vif du sujet, nos confrères de CIO tiennent à préciser : « le texte qui nous est parvenu est, pour nous, crédible, notamment à cause des voies empruntées, raison pour laquelle notre rédaction a décidé de publier cet article. Il convient toutefois de rester prudent. » A l'automne dernier, la direction de Microsoft aurait rencontré les plus hautes instances de la République Française . L'éditeur voulait à tout prix bloquer la publication du Référentiel Général d'Interopérabilité (RGI), consacrant le format OpenDocument, normalisé ISO, comme seul format bureautique de l'administration française. Ce format est en effet soutenu par tous les concurrents du géant de Redmond, empêtré à l'époque dans le refus de voir son propre format, Office OpenXML, confié au consortium ECMA, et dont la standardisation avait été rejetée dans un premier temps par les membres de l'ISO. Depuis, Open XML a obtenu sa normalisation (à noter que la France s'est abstenue de voter). [[page]] Par ailleurs, Microsoft Office 2007 a été conçu autour et pour le seul format Open XML. D'où les craintes de l'adoption d'ODF comme format unique. Ce choix exclusif aurait pu donner un coup fatal à la suite bureautique d'Office 2007, et mettre à mal la domination de Microsoft. L'éditeur aurait donc remis aux dirigeants français une note de six pages sur le Référentiel Général d'Interopérabilité. Il en aurait résulté un retard volontaire de la publication du RGI, pourtant prêt à être appliqué, ainsi que l'intégration d'Office OpenXML dans le RGI, une fois la normalisation ISO de ce format obtenue. C'est cette note qui serait parvenue à la rédaction de CIO. Microsoft y liste les raisons pour lesquelles le choix unique d'ODF serait néfaste pour les administrations et bafouerait « le respect de l'égalité de traitement ». (...)
(14/05/2008 14:30:29)GFI redresse légèrement la barre au premier trimestre
Après les tourments qui ont agité GFI Informatique suite à l'offre de rachat inamicale lancée par Fujitsu Services en mai 2007, la SSII française poursuit sur sa lancée, et confirme ses ambitions d'ici à 2010 : dépasser le milliard d'euros. Elle vient de publier un chiffre d'affaires trimestriel de 186,5 M€, en hausse de 12,2%. L'OPA de Fujitsu Siemens - qui a fini par avorter, notamment grâce au soutien des actionnaires, aura coûté à la société de services la somme de 5 M €. La SSII réalise la plus grande partie de son chiffre d'affaires en France (128,1 M€, en hausse de 17,5%), où elle a signé de nombreux contrats dans le domaine du décisionnel, des progiciels et des services avec des grands comptes (EDF, La Poste, Neuf Cegetel...), mais également deux conseils généraux. En revanche, l'international ne progresse que de 2,1%, pénalisé par les difficultés que rencontre sa filiale italienne, notamment en raison de règles sociales très lourdes à appliquer. Toutefois, la SSII n'envisage pas de s'en séparer, et compte y privilégier la « qualité des projets ». Des contrats ont d'ailleurs été signés dans le secteur de l'énergie. (...)
(14/05/2008 12:16:58)Index Monster : toujours plus d'offres d'emploi en R&D
En avril, l'index de l'emploi publié par le spécialiste de la gestion de carrière en ligne Monster pour identifier les tendances du recrutement en ligne, n'a progressé que d'un point, à 161. En revanche, cette reprise très modérée de l'emploi en ligne ne concerne pas les informaticiens, et encore moins les chercheurs. C'est en effet dans le domaine de la recherche et le développement que la dynamique reste la plus soutenue. Dans ce secteur, le volume des offres d'emploi a atteint le taux de croissance le plus élevé au cours des douze derniers mois, avec un index particulièrement élevé en avril, à 192 points. Dans l'informatique, l'activité de recrutement en ligne s'est poursuivie au cours du mois dernier, mais de façon nettement plus modeste : dans cette catégorie, l'indice progresse de cinq points, pour atteindre les 118. Selon Monster, la plupart des régions ont observé une croissance soutenue du nombre de postes à pourvoir sur Internet, à l'exception toutefois de la région Ouest, dont la quantité d'offres est plutôt revue à la baisse. Le Nord est la région qui affiche la plus forte progression du volume des offres, sur les douze derniers mois, devant l'Ile-de-France. En région parisienne, l'index a gagné deux points, grâce à une hausse de la demande des recruteurs dans le conseil, le management, et les télécommunications, et ce pour le troisième mois consécutif. (...)
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