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(22/06/2007 16:49:34)
ASG finalise le rachat de Mobius, spécialisé dans l'archivage
L'éditeur américain Allen Systems Group (ASG), spécialisé dans les solutions de gestion des applications (des métadonnées, des performances et des identités), vient de finaliser le rachat de son compatriote Mobius Management Systems, fournisseur de solutions de gestion de contenus pour l'entreprise (ECM) et d'archivage de documents. Le montant de la transaction s'est élevé à quelque 211 millions de dollars (157 millions d'euros). Les solutions de Mobius viendront compléter l'offre de gestion de contenus d'ASG. (...)
(22/06/2007 16:48:48)Les éditeurs français restent des nains, révèle l'étude PAC/Afdel
Dans le monde du logiciel, il y a les entreprises américaines, qui se taillent une immense part du lion, et les autres, qui se disputent des miettes. Selon l'édition 2007 de l'indice de l'Afdel (Association française des éditeurs de logiciels) et calculé par PAC (Pierre Audouin Consultants), les éditeurs français ont totalisé l'an dernier un chiffre d'affaires de 3,9 Md€, en hausse de 12%. Sachant que les deux premiers, Dassault Systèmes et Business Objects, dont le CA augmente de 19%, génèrent à eux seuls 47% du CA total. En 2005, ce n'était que 45%. Si l'écart se creuse avec les Américains au niveau mondial, on retrouve aussi cette prime au plus gros au niveau du marché hexagonal. Sur ce marché, selon Jean-François Perret, président de PAC, les éditeurs américains représentent 64% du CA des 150 premiers éditeurs. Ceux d'origine française totalisent 23%. Ils sont quasi exclusivement présents sur le créneau des applicatifs, qui représente 55% du marché national. Sachant que les logiciels systèmes et outils sont entre les mains des éditeurs américains. Microsoft, IBM Software, Oracle, SAP, Sage, HP et Symantec trustent les sept premières places du marché français. PAC constate d'ailleurs qu'il ne reste plus que 6 fournisseurs français dans les 20 premiers. Alors que les grandes sociétés américaines comme Oracle, IBM ou HP conduisent une politique agressive de croissance externe, les éditeurs français sont parvenus à maintenir leurs positions en 2006. Cela n'avait pas été le cas en 2005, quand Adonix avait été racheté par le Britannique Sage. L'Afdel distingue Sinequa pour sa croissance 2006 a permis au Top 100 des éditeurs français d'augmenter leur taille moyenne. Spécialiste des moteurs de recherche en entreprise, Sinequa, centième au classement, a atteint 4 M€ de CA grâce à une croissance de 82%. En 2005, il fallait remonter jusqu'à la quatre-vingt-cinquième place pour trouver un CA de 4 M€. A cette occasion, Sinequa s'est vu décerner "le 1er prix 'Croissance AFDEL' qui récompense la plus forte croissance d'un éditeur logiciel français, toutes catégories confondues". Sinequa n'est pourtant pas tout jeune, puisque la société a été fondée en 1984 sous le nom de Cora. (...)
(22/06/2007 16:45:10)Gestion du service au client : Forrester distingue Oracle Siebel
Les solutions « Oracle Siebel CRM » et « Oracle Siebel CRM On Demand » apparaissent parmi les progiciels de GRC (gestion de la relation client, en anglais CRM) les mieux classés par Forrester, sur les fonctions de « gestion du service au client » dans la catégorie des offres orientées Business-to-Business (B-to-B), c'est-à-dire gérant des relations entre entreprises. Dans une étude publiée en mai 2007, le cabinet de conseil analyse sous cet angle vingt-cinq progiciels de GRC et de centres de contacts, en s'appuyant sur 180 critères. Ces derniers sont répartis en trois domaines : les points forts de l'offre commercialisée (base de connaissances, dialogue en direct, forums, workflows, fonctions en self-service, mais aussi architecture du produit, accessibilité et coût), la stratégie et la présence sur le marché. Bien adaptée aux organisations complexes, mais chère Parmi les produits B-to-B, l'étude de Forrester distingue les offres de Microsoft, Oracle Siebel, SAP, Salesforce.com et Entellium. Elle attribue à Salesforce, mais surtout à Microsoft, une bonne vision stratégique sur les fonctions de service au client. Elle signale aussi que ces fonctions ont été étendues par SAP dont le produit constitue une offre robuste pour les entreprises qui souhaitent relier le service au client à d'autres processus métiers. Mais, c'est bien Oracle Siebel CRM qui se positionne en tête sur l'axe de la robustesse des offres déjà commercialisées. Forrester souligne l'étendue et la profondeur fonctionnelles de cette offre pour le service au client, particulièrement pertinente sur les fonctions B-to-B. Le poste du téléagent dispose des informations nécessaires pour traiter tous les aspects de la relation avec le client. Le progiciel peut s'adapter aux organisations complexes, supporte quinze langues et s'intègre avec la plupart des systèmes téléphoniques. Il dispose aussi de bonnes déclinaisons verticales. Corollaire à cette richesse fonctionnelle, le cabinet regrette en revanche la complexité de l'application, la longueur de sa mise en place et son coût élevé. Une offre hébergée plus abordable Forrester remarque par ailleurs que l'essentiel des fonctions de Siebel CRM se retrouvent dans la version hébergée Oracle Siebel CRM On Demand qui, de son côté, fournit tous les atouts des solutions SaaS (software as a service) : rapidité de mise en ?uvre, coûts réduits et bonne accessibilité. Sur cette offre aussi, des déclinaisons verticales sont disponibles : pour l'automobile, la high-tech, l'assurance, la chimie/pharmacie et la santé. (...)
(22/06/2007 16:28:46)La messagerie instantanée va supplanter l'email d'ici à 2013
La messagerie instantanée a de beaux jours devant elle, prédit le Gartner, qui voit en elle l'outil de convergence de toutes les communications en temps réel des entreprises. Un maillon indissociable des systèmes d'informations qui, à l'image de l'email dans les années 90, deviendra générateur de valeur pour chaque secteur. David Mario Smith, auteur de l'analyse, estime ainsi que la messagerie instantanée sera l'outil de facto de 95% des employés pour les communications vocales, vidéo et à base de texte (chat) d'ici à la fin 2011. Et deviendra d'ici à 2013 l'interface de communication universelle des entreprises. Le client IM supplantera inévitablement le téléphone et l'email, en termes d'usage, par des conférence en ligne ou de la visio-conférence. Cela reste toutefois sujet à quelques conditions rappelle le Gartner. Comme par exemple, le renforcement de la sécurité - un élément clé pour sa propagation dans les entreprises qui devrait atteindre 100% d'ici à la fin de décennie. Le taux est actuellement de 25%, précise le cabinet d'analystes. Smith recommande alors l'utilisation d'outils d'éditeurs comme IBM ou Microsoft pour s'assurer d'un trafic des données sécurisé à l'intérieur du pare-feu, ainsi que d'outils de sécurité de Facetime ou Symantec pour garantir des connexions propres avec les services intéropérés, comme Yahoo avec MSN. « Si la messagerie instantanée ne remplacera pas l'email », explique David Mario Smith, elle devra toutefois se hisser à son niveau, notamment en termes d'archivage. Et ce d'abord pour séduire les entreprises, puis pour se plier aux politiques de conformité. « Un élément crucial pour le succès de la messagerie en entreprise sera comment capturer les sessions IM et comment développer des politiques concrètes. » A l'image de l'email. Résultante inévitable de l'engouement de l'IM, la consolidation du marché (qui, de 267 M$ en 2005 passera à 688 M$ en 2010) qui verra l'absorption d'éditeurs spécialisés par les ténors du secteur - IBM et Microsoft-. Jouant sur le rapprochement de l'email et de l'IM dans l'esprit des entreprises, ces grands acteurs souhaiteront doper leurs formules de communications. (...)
(22/06/2007 15:27:21)L'OSI se révolte contre l'usurpation du terme Open Source
Révolte à l'OSI (Open Source Initiative), l'organisme garant de la validité des licences et de la marque Open Source. Sur son blog, son président Michael Tiemann, en colère, a décidé de réagir face à l'usurpation du terme Open Source, de plus en plus galvaudé par nombre d'éditeurs qui, selon lui, n'hésitent pas à promouvoir leurs logiciels comme étant ouvert, alors qu'ils sont en fait propriétaires et fermés. « Jusqu'à l'année dernière, indique-t-il, il nous était facile de faire la police autour du terme Open Source.» Michael Tiemann raconte alors comment une simple alerte auprès d'un éditeur faisait basculer ce dernier vers l'adoption d'une licence Open Source valide et reconnue par l'OSI. Leur rappelant qu'en utilisant faussement ces termes, c'était également leurs clients qu'ils trompaient. Cet argument paraissait alors suffisant, « du moins jusqu'à l'année dernière ». Tiemman a alors constaté en 2006 un changement avec l'arrivée de deux types d'attaques : « Une première d'éditeurs qui s'octroyaient le droit de proposer une définition du terme, comme l'OSI le pratique, et la deuxième d'éditeurs qui affirmaient que leur licence était bien conforme à la définition de l'Open Source Definition (OSD - définie par l'OSI, ndlr), mais que l'OSI s'était bornée à ne pas la reconnaître. » Le temps est venu de porter l'affaire au grand jour [...], déclare-t-il. Enfin, il invite les éditeurs à se ressaisir, « parce que nous valons mieux que ça ». Et d'adresser un message à la communauté Open Source : « L'Open Source a grandit. Il est temps de se défendre. Et ainsi, les vendeurs qui ignorent actuellement nos normes admettront soudainement qu'ils doivent choisir : étiqueter correctement et honnêtement leur logiciel, ou l'encadrer d'une licence approuvée par l'OSI qui correspond à leur doctrine Open Source. » Rappelons par ailleurs que l'OSI avait été pointée du doigt par la sphère du Libre pour son processus de certification de licences justement jugé trop laxiste. L'organisme avait dû durcir ses procédures et opérer un nouveau classement des licences afin d'en réduire la longue liste. (...)
(22/06/2007 13:10:48)400 experts SAP disponibles sur une place de marché
Sur le site sapexpert.eu, pas de description de mission ouverte à tous vents, comme le fait une démarche habituelle de recrutement. Cette nouvelle place de marché se veut le plus court chemin, par mise en relation directe (par le biais d'un moteur de sélection multi-critères), entre un besoin de compétence SAP précis et l'expert indépendant disponible. Partant du constat de la forte spécialisation de ce créneau de compétences (avec quelques 500 sous-modules du progiciel intégré) qui complique la recherche d'un renfort au moment voulu, le cabinet Conseils-Plus (constitué à l'origine par trois experts SAP) a lancé cette initiative de « bourse de compétences » en misant sur la cooptation. Sur ce segment de marché sur lequel opèreraient près de 4 000 consultants-experts indépendants (estimation généralement donnée pour cet écosystème), en moins de deux mois d'existence de ce nouveau canal de relation offre-demande, plus de 400 « pros » de SAP se sont inscrits. Dont 5 à 6% disponibles pour des missions d'envergure européenne. Court-circuiter les intermédiaires habituels Selon les promoteurs de cette démarche, «la surestimation de la demande des entreprises sur des projets SAP est due à un processus de recrutement inadapté ». Sachant que, derrière une bonne part des annonces publiées en ligne, il y a les mêmes employeurs en attente de renfort, et les mêmes intermédiaires, qui ont recours à de multiples canaux de diffusion du fait de la difficulté à dénicher le profil voulu. Le fait de court-circuiter les intermédiaires habituels permet non seulement de réduire le coût et d'accélérer le processus de rencontre entre le besoin ponctuel d'une entreprise et le renfort de compétences voulu. En visant à fluidifier ainsi le marché, SAPexpert tend également à démystifier la bulle spéculative entretenue autour des compétences SAP. (...)
(22/06/2007 13:02:29)L'Europe, terre d'élection des défaillances du vote électronique
Au Royaume-Uni, aussi, le vote électronique montre de graves défaillances. Les critiques reposent toujours sur le sacro-saint concept de boîte noire dont la fiabilité des résultats est telle qu'il est impossible de pouvoir la vérifier.
C'est la conclusion de l'association The Open Rights Group, qui a remis un rapport à l'administration britannique à la suite des élections de mai dernier. Celle-ci a répondu attendre le 3 août, date à laquelle sa propre commission lui remettra son rapport dans le grand calme politico-estival. Elle n'aura pourtant d'autre choix que de constater les situations ubuesques relevées en Ecosse.
Rappelons que l'Italie n'a toujours pas fini de recompter les bulletins des élections législatives d'avril 2006. Forza Italia, le parti de Silvio Berlusconi, est soupçonné d'avoir transformé des bulletins blancs en bleu par l'entremise d'un logiciel utilisé dans la centralisation des résultats.
Une certitude, le vote électronique ne fait gagner ni temps, ni confiance.
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WebEx avance l'argument écologique pour vendre la téléconférence
WebEx a ouvert un site Web offrant aux entreprises la possibilité de calculer leurs émissions de CO2 à l'occasion des voyages d'affaire. Le but : démontrer que se déplacer en personne est mauvais pour la planète, et qu'il vaut donc mieux recourir à des outils de téléconférence, tels que ceux vendus par WebEx, évidemment. Dans un communiqué, WebEx explique qu'en utilisant ses solutions « au lieu d'envoyer un employé de Paris à New York, on évite l'émission de 1,2 tonne de CO2 ». Ou encore, « l'utilisation de WebEx, pour remplacer des réunions nécessitant des déplacements de 40 kilomètres par semaine, permettrait d'éviter l'émission de 0,4 tonne de CO2 par an ». Dans les rappels utiles, signalons de notre côté qu'il existe déjà un site, climatmundi.com, qui propose de calculer les émissions de CO2 à l'occasion d'un voyage, et de faire un don correspondant à ses émissions pour « financer des projets d'énergies renouvelables et d'économie d'énergie qui génèrent d'importantes réductions de CO2 ». Retrouvez, sur le même sujet, notre dossier complet : Pourquoi l'IT viendra à l'écologie (...)
(22/06/2007 12:52:12)Le Français Pertinence racheté par Intercim pour devenir sa tête de pont européenne
Encore un protégé du programme Idees racheté. Intercim, éditeur américain de solutions de gestion des processus de fabrication, a mis la main sur Pertinence, éditeur français d'outils analytiques pour les industriels. Pertinence, qui a bâti son offre sur .Net, fait partie de la cinquantaine d'éditeurs inscrits à Idees, le programme lancé par Microsoft France pour aider l'industrie logicielle en France. Comme l'écrit avec une certaine fierté dans son blog Julien Codorniou, qui travaille au sein de Microsoft France sur le programme Idees, il s'agit d'un « succès mérité » pour le management de Pertinence, qui prend d'ailleurs la direction des affaires européennes d'Intercim. Toutefois, Julien Codorniou souligne aussi qu'il s'agit du 3e achat en 3 mois après AS Infor et Polyspace. « J'espère quand même que ça ne va pas arriver trop souvent car la mission d'Idees est de faire éclore de gros ISV [éditeurs de logiciels, NDLR] indépendants, en France. » Polyspace, éditeur d'outils de test pour logiciels embarqués, a en effet été racheté fin avril par The Mathworks. On notera toutefois que de son côté, AS Infor, éditeur de la solution winShop.net, une suite logicielle conçue pour la gestion et l'animation d'une chaîne de magasins, a été repris début avril par un autre éditeur français, l'éditeur lyonnais de progiciels pour PME Cegid. (...)
(22/06/2007 12:48:28)Données personnelles : l'UE s'intéresse aux concurrents de Google
Google n'est pas le seul moteur de recherche dans le collimateur du « Groupe de l'article 29 ». Les 27 représentants des institutions de défense des données personnelles, réunis sous la bannière européenne, s'en étaient pris à Google à la fin du mois de mai, stigmatisant la durée de conservation des logs par le moteur. Les concurrents du géant de Mountain View ne sont donc pas oubliés : le groupe de travail vient de réclamer à plusieurs d'entre eux des informations sur leur politique en matière de conservation des données personnelles. Yahoo, Lycos et Windows Live seraient les cibles des experts européens, bien qu'ils n'aient pas été nommément cités. Le rapport accablant dénonçant les pratiques de Google a conduit ce dernier, il y a quelques jours, à ramener la durée de conservation des données de connexion de ses utilisateurs de 24 à 18 mois. (...)
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