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(17/03/2006 17:45:23)
Comtrend s'apprête à sortir des adapteurs CPL à 200 Mbit/s
Comtrend va prochainement proposer des adaptateurs de réseau CPL à 200 Mbit/s utilisant la technologie de l'espagnol DS2, une technologie approuvée par les principaux industriels européens dans le cadre du projet européen Opera (Open PLC European Research Alliance). L' adaptateur Ethernet CPL CT-901 de Comtrend pourra être utilisé dans le cadre de réseaux domestiques mais aussi dans le cadre de configurations professionnelles, par exemple pour créer un pont réseau CPL entre deux réseaux Ethernet. L'équipement CPL CT-901 est attendu pour le second trimestre 2006. (...)
(17/03/2006 17:44:58)CA annonce Desktop and Server Management r11
CA annoncera lundi 20 mars CA Desktop and Server Management r11, un nouvel outil d'administration de postes clients et de serveurs qui unifiera les fonctions d'outils jusqu'alors disparates pour le déploiement de logiciels, la prise de contrôle à distance, et la gestion d'actifs. Le nouvel outil devrait aussi incorporer UniCenter patch management pour la gestion de correctifs et CA Desktop Management Suite pour la gestion du cycle de vie des application. Il s'intégrera à l'offre de CMDB (Centralized Management DataBase) de CA. L'un des bénéfices du nouveau Desktop an dServer Management r11 est qu'il unifie trois agents en un seul ce qui simplifie son déploiement et réduit les ressources consommées sur les machines administrées. L'intégration avec la CMDB permet aussi aux services de support de disposer d'information précises sur l'état des machines. (...)
(17/03/2006 17:42:51)L'Icann va tester le multilinguisme des DNS
L'Icann (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers) se penche sur l'internationalisation (i18n) des suffixes de premier niveau. L'organisme vient en effet de désigner un comité d'experts en charge du dossier. Leur rôle premier : définir les étapes des tests techniques en prenant en compte les signes diacritiques (présents notamment dans la langue française). Deux approches pour l'heure ont été retenues. Le modèle de désignation DNAME, qui mappe un nouveau domaine sur un existant. Et NS-Record, qui insère, à la racine, un domaine internationalisé. Le choix devrait se décider dès avril. Avant de débuter les phases de tests courant 2006. (...)
(17/03/2006 00:00:00)Gestion de carrières : pour développer des compétences en applications temps réel sous Linux.
L'intégrateur spécialisé dans les logiciels libres Open Wide, étoffe son catalogue de formation. Il propose parallèlement à sa session « Linux embarqué » animée par Pierre Ficheux, auteur d'un ouvrage sur le sujet, deux cursus complémentaires de 3 à 5 jours chacun. Le premier aborde le développement autour du noyau Linux et pour l'élaboration de pilotes. L'objet est de permettre aux participants d'intervenir sur le système et les briques logicielles. Le second est dédié au développement d'applications Linux temps réel (pour de l'acquisition de données, des appareils de mesure, des capteurs, etc). Ils s'adressent à ingénieurs en développement et des chefs de projets. (...)
(17/03/2006 00:00:00)Accompagnement : « Notre taux de réussite aux entretiens avec les clients s'est accru ».
Entretien avec Philippe Gasc. Ce diplômé en sciences humaines occupe la fonction originale de consultant interne auprès des informaticiens au sein de la SSII Projipe. Ils les aide à progresser et à s'adapter aux contextes clients qu'ils rencontrent. Lemondeinformatique.fr : quel est votre rôle chez Projipe ? Philippe Gasc : Je propose un espace d'écoute neutre et confidentiel au sein de l'entreprise. Un lieu dans lequel les collaborateurs peuvent exprimer des difficultés, des doutes ou des souhaits sans avoir peur d'être jugés. La confidentialité est posée dès la prise de contact. C'est un principe qui est totalement respecté par la direction. Dans ce cadre, je leur apporte un accompagnement pour les aider à avancer sur la problématique posée. Je me positionne dans une relation client fournisseur, dans laquelle je suis le fournisseur. L'objectif est que la personne qui me sollicite se sente mieux par la suite. Concrètement, dans quels contextes intervenez-vous ? J'ai défini cinq actions ou services à leur intention. Le premier est associé à l'intégration du collaborateur. Je rencontre les nouvelles recrues pendant au moins deux heures pour leur exposer les principes de nos métiers afin qu'ils s'en imprègnent et pour créer une relation. Le deuxième concerne la gestion de carrières. Je les aide à faire des bilans et à élaborer des projets d'évolution professionnels lorsqu'ils le souhaitent. J'interviens aussi pour les accompagner lorsqu'ils prennent de nouvelles fonctions et qu'ils rencontrent des difficultés. Je propose enfin une prestation pour préparer les entretiens avec les clients, en sessions individuelles ou en groupe. Nous travaillons au développement d'une communication positive et attractive vis à vis du client. Je peux aussi être amené à gérer des cas particuliers. Dans tous les cas, le contenu de ma prestation est adaptée en fonction du ressenti et de la demande du collaborateur. Pourriez-vous donner un exemple de mission de conseil? Je peux évoquer le cas d'une personne qui venait d'évoluer vers des fonctions de conseil, après avoir travaillé dans l'assistance à maîtrise d'ouvrage. Elle s'est retrouvée dans un contexte client qu'elle vivait mal, jugé peu organisé et avec beaucoup de pression venant d'interlocuteurs qui n'étaient forcément ses responsables. Cette personne était paniquée et avait besoin d'aide. Mon travail a d'abord été d'accueillir sa demande pour lui procurer un soulagement, d'établir un dialogue en replaçant la fonction de consultant dans sa réalité, puis de voir ce que le client avait dit. A l'issue de ce travail, nous avons mis en évidence que le client n'avait formulé aucune plainte et qu'il n'y avait pas de raison pour que le consultant ait peur d'être mal jugé. Cela a permis de lever l'anxiété et de commencer à prendre du recul sur la situation. L'angoisse peut entraîner de la confusion, une remise en question de ses compétences et sa valeur et des blocages. Mon travail est notamment d'aider à ce que cette émotion disparaisse. Le consultant peut ensuite raisonner sur ce qui le dérange, se réapproprier la situation et définir un plan d'action structuré. Le côté professionnel reprend le dessus. Je l'accompagne ensuite dans la mise en place du plan d'action. Pouvez-vous intervenir à la demande d'un responsable opérationnel? Dans ce cas, comment assurer le consultant qu'il peut vous aborder en toute confiance ? Oui je peux être sollicité lorsque le manager souhaite faire faire un point de suivi à son collaborateur dans un contexte décorrélé de l'opérationnel, suite à un malaise perçu, une démotivation passagère, ou une situation conflictuelle chez un client par exemple. Dans ces cas là, il a en général prévenu le consultant et m'a présenté comme voie de solution, ce qui est déjà rassurant. Lorsque je prend contact avec lui, je lui précise aussi qu'il n y a pas d'obligation et que mon rôle n'a rien de formel, ce n'est qu'un service. La règle de confidentialité s'applique par ailleurs, même pour l'existence de l'entretien si cela est souhaité. En général, les gens viennent, ce qui leur permet de se libérer en parlant. Nous pouvons ensuite identifier les points de dérives dans la relation client. Comment est mesuré l'impact de votre poste ? Je sais qu'entre 2001 et 2004 pendant une période difficile, le taux de réussite aux entretiens avec les clients s'est accru, ce qui a été bénéfique pour tout le monde. Mon intervention a parfois permis, par ailleurs, que des personnes poursuivent leur mission au lieu d'en sortir. Globalement, il faut comprendre que donner la possibilité à des personnes de dire qu'elles ne se sentent pas bien et de décortiquer des situations sans peur du jugement a un impact énorme en terme de créations de liens et de cohésion interne. Par ailleurs, dans toutes les missions, les problématiques relationnelles et humaines sont aussi importantes que les questions opérationnelles. Mon poste contribue à la qualité de vie dans l'entreprise. Il vise à fidéliser nos collaborateurs. Tout le monde y gagne et la direction me laisse faire, ce qui prouve que ce travail doit être efficace, même si son impact est difficile à mesurer. (...)
(16/03/2006 18:04:39)Etude : le RFID, cible potentielle de virus
Trois chercheurs de l'Université Vrije d'Amsterdam viennent de démontrer qu'il est possible d'utiliser des tags RFID comme vecteur de contamination pour le système d'information. Selon les trois chercheurs, l'attaque peut par exemple prendre la forme d'une injection de code ou d'une attaque par débordement de tampon. Pour apporter la preuve de leur théorie, les trois chercheurs ont créé un Virus RFID capable de fonctionner dans les 114 octets d'un tag. Le développement du virus n'a pris que 4 heures explique Andrew S. Tanenbaum, un professeur de l'Université d'Amsterdam, un avertissement sérieux à destination des fournisseurs de technologies RFID. L'objectif des trois chercheurs est d'encourager les fournisseurs de middleware RFID a être plus prudent dans l'écriture de leur code afin d'éviter toute faille exploitable par un éventuel virus RFID, qui pourrait compromettre un système ou permettre à un attaquant de modifier des données ou installer des "backdoors" dans l'infrastructure RFID... (...)
(16/03/2006 18:07:25)Sun et SAP collaborent pour le développement RFID sur Netweaver
La plate-forme Netweare de SAP devrait désormais intégrer le logiciel de Middleware Java Systems RFID de Sun. La technologie, testée et certifiée par SAP sera disponible au sein de MySAP Bussiness Suite. La collaboration entre Sun et SAP doit permettre aux entreprises d'accélérer leurs déploiements RFID dans le cadre d'une intégration avec leurs systèmes d'infrastructure. Le logiciel Sun Java System RFID apporte notamment des fonctions d'administration et de supervision centralisées pour de nombreux équipements RFID. L'outil intègre en outre des fonctions basées sur Jini pour une transmission des données RFID dans les environnements de production les plus exigeants. Julie Sarbacker, directrice de la division Business RFID, estime que cette association sera profitable à toute sorte « d'environnements professionnels, de la pharmacie à l'industrie en passant par le commerce de détail » (...)
(16/03/2006 18:03:19)HP lance sa nouvelle génération de clients légers
HP fête ses 10 ans de partenariat avec AMD en lançant sa nouvelle génération de clients légers. Le HP Compaq t5720 intègrera un processeur AMD Geode NX 1500. La mémoire flash sera de 512 Mo et la mémoire vive pourra être de 256 Mo ou 512 Mo. Le t5720 fonctionnera sous Windows XP. HP estime que ces capacités offrent le confort et la rapidité demandés par ses clients. La date de commercialisation n'a pas été précisée. Outre ce nouveau client léger, HP revoit au goût du jour plusieurs serveurs. HP intègrera désormais les processeurs bi-c?urs AMD Opteron à 2,6 Ghz - 185, 285 et 885- aux serveurs ProLiant DL145, DL385 et DL585 de HP ainsi qu'aux serveurs blades ProLiant BL25p, BL35p et BL45p. La sortie de ces derniers est prévue pour le 20 mars prochain. (...)
(16/03/2006 18:02:17)Sun devrait ouvrir sa grille de calcul Internet au public lundi
Après un an de promesses, Sun annonce pour lundi prochain l'ouverture officielle de sa grille de calcul destiné sur Internet. Ouvert à tous, le service devrait permettre de louer de la puissance CPU à l'heure à partir de 1$ par heure. L'ouverture d'un compte nécessitera une période de 24h pour être opérationnel car elle devra être approuvée par le gouvernement fédéral. Le paiement s'effectuera par exemple par paypal. Toutes les entreprises des plus grandes aux plus petites auront donc désormais la possibilité de profiter des calculateurs de Sun. Quelques différences sont à noter par rapport à l'offre grand comptes. Ces derniers peuvent réserver une machine pour un temps spécifique et ont une connexion de type VPN. Enfin ils peuvent fonctionner sous Linux alors que les PME et particuliers devront se contenter de Solaris 10. Reste à savoir s'il y aura des amateurs. Les sceptiques estiment que cette offre est inutile. Sun réplique qu'il existe des indépendants qui pourraient avoir besoin d'un tel service, par exemple des architectes. D'après les tests effectués par Sun, 2000 personnes pourront se connecter en simultané. (...)
(16/03/2006 18:01:10)DADVSI : haro sur le peer to peer et la copie privée
Amendement Vivendi. C'est ainsi que les députés de gauche et de l'UDF ont surnommé le dispositif adopté par l'Assemblée nationale et sanctionnant les éditeurs de logiciels peer to peer. Outre cet amendement, la nuit du 15 au 16 mars aura également permis aux parlementaires d'ouvrir la voie à l'interdiction de la copie privée. Une séance à l'issue de laquelle les partisans du logiciel libre et thuriféraires des libertés individuelles sont ressortis minés. Une séance qui a contenté les membres du gouvernement, les députés de la majorité et les géants de l'industrie culturelle. Le peer to peer criminalisé " Je ne pensais pas que le ministre oserait, surtout après ses grandes déclarations sur les logiciels libres, donner un avis favorable à cet amendement dit Vivendi Universal et de surcroît, un avis défavorable aux sous-amendements visant à en limiter les dégâts. Je ne pouvais pas imaginer qu'on irait aussi loin dans l'interdiction des logiciels libres, mais sans doute étais-je naïve" déplorait la députée Martine Billard à propos des sanctions prévues contre les éditeurs de logiciels de P2P. Le texte adopté par la chambre basse punit ainsi de trois ans d'emprisonnement et de 300 000 E d'amende le fait "d'éditer et de mettre sciemment et sous quelque forme que ce soit, un dispositif manifestement destiné à la mise à disposition du public non autorisée d'?uvres ou d'objets protégés". Outre le flou des adverbes "sciemment" et "manifestement", l'amendement expose clairement la préférence du gouvernement pour les offres de téléchargement légales proposées par les majors, à mille lieues de la défunte licence globale. S'il est complété par une précision indiquant qu'il ne s'applique pas aux "logiciels destinés au travail collaboratif, à la recherche ou à l'échange de fichiers ou d'objets non soumis à la rémunération du droit d'auteur", le texte a entraîné de nombreuses réactions indignées : "amendement scélérat", "gravissime", "catastrophique". Le député PS Patrick Bloche rappelait ainsi "ce sont des développeurs français qui ont fabriqué certains des logiciels de P2P parmi les plus performants, capables de fournir à haut débit des contenus à plusieurs millions d'utilisateurs simultanément. Certains souhaitent créer des entreprises et lever des fonds. Seront-ils contraints, comme l'inventeur français du DivX, de s'expatrier en Californie ?" Mêmes levées de boucliers du côté de la ligue Odebi qui se déclare "atterrée" par la décision des députés et " ne comprend pas la logique du gouvernement qui confond l'outil et l'usage dans une mauvaise foi évidente et éclatante". L'organisation rappelle judicieusement que " le P2P est la base même de l'Internet et que tous les logiciels utilisant les protocoles d'échange entre deux ordinateurs distants peuvent être classés dans cette catégorie". Même son de cloche pour l'initiative EUCD.info qui dénonce "un texte liberticide rédigé par les lobbies et voté par des godillots" et qualifie l'amendement de "texte surréaliste qu'aucune démocratie dans le monde n'a encore jamais adopté". La copie privée remise en question Les critiques n'ont guère été plus tendres à propos de la porte ouverte par les députés à l'interdiction globale de l'exception à la copie privée. Une ouverture rendue possible par le retrait par l'UMP Christian Vanneste, le rapporteur du projet, d'un amendement prévoyant que le nombre de copie privée doit être au moins égal à un. L'amendement remanié ne précise plus de quantité et laisse par conséquent le champ libre au "droit à zéro copie", selon l'expression du député Alain Suguenot, trublion UMP défavorable au projet de sa majorité. A la base du retrait de l'amendement originel, un récent arrêt de la Cour de Cassation, dit arrêt Mulholland Drive. La juridiction suprême y avait estimé que la copie privée du DVD éponyme était de nature à porter atteinte à l'exploitation normale de l'?uvre. Une position qui a conduit à de vifs débats au sein de l'hémicycle, les députés de gauche reprochant à leurs adversaires d'être inféodés aux intérêts des éditeurs de contenus. " Le rapporteur nous a expliqué que la Cour de cassation avait souhaité placer le droit d'auteur au-dessus de tout. Cela est faux, ce qu'elle a placé au-dessus de tout, ce sont les intérêts du marché ; les éditeurs de vidéos ne s'y sont d'ailleurs pas trompés qui ont salué sa décision. Ne trompez pas plus longtemps les Français, Monsieur le rapporteur. Admettez une fois pour toutes que vous servez les intérêts financiers et commerciaux, non ceux des auteurs", scandait ainsi le député PC Frédéric Dutoit. Le socialiste Didier Mathus rappelait, quant à lui, que les supports d'enregistrement vierges, comme les DVD, étaient soumis à une taxe pour la copie privée. Une taxe qui pourrait alors constituer un paradoxe si la dite copie venait à être déclarée illégale. La décision finale incombera à un Collège des médiateurs, une autorité administrative indépendante qui sera chargée de "réguler les mesures techniques de protection pour garantir le bénéfice de l'exception pour copie privée". Là encore, l'idée divise : les députés de l'opposition y voient un organe à la fois juge et partie et le symbole de l'abdication de la responsabilité législative dans le domaine de l'Internet. Renaud Donnedieu de Vabres, le ministre de la culture et initiateur du projet, présent tout au long des débats, regarde ce Collège différemment. Selon lui, il constitue le "point d'équilibre" entre le droit à l'exception pour copie privée et les intérêts des industries musicales ou cinématographiques. (...)
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