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(15/07/2011 10:03:48)
Microstrategy World : Facebook en haut de l'affiche
A l'occasion de Microstrategy World qui se tient à Monaco, à l'Hôtel Fairmont Monte-Carlo, du 12 au 14 juillet, l'éditeur a mis en avant sa conviction du rôle croissant de Facebook dans la relation avec les clients. Et, bien évidemment, MicroStrategy se propose de doter es entreprises des outils adéquats pour en profiter.
Après Apple le premier jour, c'était donc au tour du réseau social de tenir la vedette le deuxième jour devant 900 participants, clients ou partenaires. Sur les quatre piliers de la stratégie actuelle de l'éditeur (le « Big Data », le « Social Media », le cloud et la mobilité), Facebook tient clairement le rôle de colonne vertébrale de l'aspect « social media » malgré le rôle certain des autres réseaux sociaux (Linkedin, Viadeo...), surtout dans le domaine professionnel. Mais chaque réseau social constituant sa propre plate-forme technique, tout développement doit être dédié à l'un ou à l'autre mais pas à plusieurs. Autant choisir le leader...
Tim Campos, CIO de Facebook, est ainsi venu expliquer à quel point le choix de Microstrategy avait été judicieux, évidemment en taisant les apports potentiels de ses concurrents. Or ce qu'il a avancé pouvait très bien s'appliquer aux autres. Et il n'a pas manqué d'une certaine mauvaise foi, par exemple en chiffrant le coût pour concurrencer Facebook à plusieurs centaines de millions de dollars, simplement en s'appuyant sur les volumes à charger dans une plate-forme concurrente pour être au niveau de Facebook sur ce seul point très précis.
Facebook est ouvert via des API
Il est vrai, malgré tout, que Facebook a des atouts non-négligeables face à ses concurrents. Il dispose ainsi du graphe social de 750 millions d'individus ayant en moyenne 130 « amis » chacun en générant chaque jour 15 millions de connexions. Les 10 applications les plus populaires sur l'AppStore d'Apple se connecteraient à Facebok selon Tim Campos. Surtout, et au contraire de la plupart des autres réseaux sociaux, Facebook est conçu comme une plate-forme applicative ouverte au travers d'API.
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« Les entreprises se transforment en s'organisant autour des gens » a-t-il martelé. Mais n'est-ce pas là, simplement, le « customer centric » promis et mis en oeuvre depuis des années ? La différence relève du lien de confiance. Comme Tim Campos l'a souligné, « beaucoup de gens croient et suivent les recommandations de leurs amis, 90% pour la musique par exemple ». Ces relations sociales se transforment donc en relations de confiance. La valeur d'un membre de Facebook ne se mesure pas réellement sur son nombre d'amis au sens strict mais sur sa capacité à influencer un grand nombre de gens au travers de ses propres appréciations et activités, du « like » aux activités partagées entre « amis ».
De la théorie aux solutions
Mike Sailor, PDG de MicroStrategy, a alors pris la suite, avec l'aide de démonstrateurs vice-présidents, pour expliquer la réponse de l'éditeur face aux besoins des entreprises. Elle se veut « friendly », c'est à dire à la fois gérant des données personnelles, mobile (sur iPhone/iPad), et « sociale ». Elle se décompose en deux types d'outils. Le premier est une application gratuite disponible sur l' Appstore, « Alert for iPhone by MicroStrategy ». Celle-ci permet de gérer des alertes sur des flux multimédias issus de Facebook mais aussi, simplement de les trier et de les suivre. Une contribution intéressante d'un tiers peut, au travers de cette application, être commentée ou partagée.
Le deuxième outil est davantage du « décisionnel » voire de la gestion de relations clients au sens strict. Il s'agit du nouveau MicroStrategy Gateway for Facebook. Cette application permet de gérer de multiples pages applicatives sur Facebook, en gérant les jetons d'autorisation d'utilisation des profils de fans, le rafraîchissement régulier des informations, le traitement parallèle des tâches et les requêtes. Elle est à la fois capable de créer des pages applicatives « isolées » qu'en lien avec d'autres produits, notamment des PGI comme ceux d'Oracle ou SAP.
Le but est alors de définir qui est influenceur, ou plus basiquement de tirer des statistiques des informations disponibles sur les fans (sexe, âge, statut marital...) avant de se connecter à telle ou telle fiche, sélectionnée sur tel ou tel critère, pour entamer une relation plus approfondie.
MicroStrategy Gateway for Facebook assure ainsi le lien entre le graphe social de Facebook et la GRC d'entreprise. Produit trop récent, aucun utilisateur n'en a présenté d'implémentation.
Dossier : Les infrastructures réseaux à l'heure de la convergence
Cela dit, tous les acteurs de l'industrie s'accordent à dire que la convergence se fera, c'est une question de temps, dans 2, 3 ou peut-être 4 ans. La présence de deux types de réseau est coûteuse à gérer et le sera d'autant plus que le volume de données devrait être multiplié par 44 d'ici à 2020 selon IDC (pour atteindre les 35 zetta-octets), soit une croissance moyenne annuelle de plus de 45%.
Pour consulter la suite du dossier, suivez ce lien.
VMware lance une suite pour les infrastructures clouds
La suite inclut plusieurs mises à jours de versions de produits VMware et en particulier vSphere, la plate-forme de virtualisation pour la création d'infrastructures de Cloud, produit phare de l'éditeur ; vCenter Site Recovery Manager, l'outil pour la protection et la migration de site pour les applications virtualisées; vShield, la solution de sécurité orientée virtualisation ; la console de gestion vCloud Director qui permet de créer des clouds privés sécurisés ; vSphere Storage Appliance, un produit qui offre une alternative aux systèmes de stockage partagé. La Cloud Infrastructure Suite comprend également vCenter Operations, livré plus tôt cette année. Selon VMware, le groupe de produits comporte au total plus de 200 modifications, comparé aux versions précédentes.
« Cette offre intégrée va permettre aux entreprises de concevoir une infrastructure à partir de laquelle elles pourront utiliser des services cloud hébergés, » a déclaré Paul Maritz, PDG de VMware, dans un webcast annonçant la sortie du produit. « Permettre aux entreprises de regrouper leurs ressources dans des pools de données plus larges, les faire fonctionner plus efficacement et les lier à une infrastructure externe, voilà un point de départ fondamental pour effectuer une transition vers le cloud computing, » a-t-il fait valoir.
Automatisation, gestion du stockage et appli iPad
VSphere 5 permet d'exécuter des machines virtuelles de très grande taille, capables de gérer 32 processeurs et jusqu'à un téraoctet de mémoire. Le logiciel peut également faire ce que VMware appelle l'automatisation en conformité avec la politique de l'entreprise, autrement dit prendre des décisions pertinentes comme savoir où déployer une VM. Le nouveau produit VMware vSphere Storage Appliance, peut être affecté pour transformer un serveur de stockage situé en interne en pool de stockage commun, ce qui n'impose plus de disposer d'un SAN (storage area network) séparé. « Jusque là, nous préconisions l'installation d'une baie de réplication pour déplacer les données et les machines virtuelles d'un site à l'autre. Désormais, il est possible de réaliser la réplication directement dans le logiciel et d'utiliser le réseau pour effectuer la copie entre deux sites, » a déclaré Steve Herrod, CTO de VMware.
Pour sa part, VMware Site Recovery Manager offre désormais la possibilité de déplacer les charges de travail du site principal vers le site de sauvegarde et de revenir à nouveau sur le site principal. Cette aptitude à réaliser une « restauration automatique est importante, » estime le CTO, parce qu'elle donne la possibilité aux entreprises de déplacer plus facilement les charges de travail entre différents centres de calcul. VCloud Director donne, aux utilisateurs finaux, accès à un portail pour gérer leur charge de travail et choisir les applications qu'ils souhaitent déployer. La nouvelle version de ce logiciel est accessible depuis un iPad.
Une offre modulaire
« Dans un scénario de déploiement classique, une entreprise peut utiliser certains ou même tous ces produits comme base d'une plate-forme Cloud, » a déclaré Jacques Neela, manager marketing produit chez VMware. « vSphere lui-même, gère les machines virtuelles individuelles et vCloud Director fournit aux administrateurs un moyen de virtualiser toutes les ressources physiques, comme les serveurs, les réseaux et les appareils de stockage, en les regroupant dans un seul pool de ressources. vCenter Operations édite des rapports et des statistiques sur l'utilisation tout en réalisant des fonctions de gestion comme le suivi de facturation pour chaque utilisateur. Le framework vSphere peut être utilisé par les vendeurs de logiciels antivirus et antimalware pour scanner les machines virtuelles et repérer les virus.
Le logiciel vSphere Storage Appliance est plutôt destiné aux petites et moyennes entreprises qui n'ont pas les ressources nécessaires pour mettre en place un réseau de stockage séparé, » a détaillé le manager. « S'ils prennent leurs disques partagés et en font un pool commun, les entreprises peuvent profiter de l'équilibrage de charge et d'une haute disponibilité automatique, » a ajouté Neela Jacques. « Notre objectif est d'aider les clients à transformer l'infrastructure physique en une infrastructure virtualisée, et de rendre cette infrastructure beaucoup plus agile, » a t-il encore ajouté. VMware prévoit de livrer l'ensemble de ces produits d'ici la fin septembre. Chaque application sera disponible sous licence individuellement.
Google aurait violé une partie des brevets Java d'Oracle
Le juge William Alsup a écrit cette phrase dans le cadre d'une motion déposée par Google pour exclure le rapport des experts d'Oracle sur le montant des dommages et intérêts. Les deux parties ont présenté des mémoires dans le cadre d'une audience sur cette motion, qui est prévue le 21 juillet prochain. « En lisant la motion déposée, il apparaît possible que Google se soit rapidement aperçu qu'Android portait atteinte à une partie des brevets Java et soit entré en négociations avec Sun Microsystems pour obtenir une licence d'utilisation, puis a abandonné ces discussions, car les propositions [[d'Oracle]] étaient trop coûteuses. Au final, Android utilise des brevets sans licence », écrit dans une lettre le juge de la Cour du District Nord de la Californie. « Quelle est la précision de ce scénario ? » s'interroge le magistrat. « Si Google admet la violation d'une partie des brevets sur Android, comment l'analyse des dommages sera-t-elle affectée? Comment cela impacte la notion de préméditation et de rétribution équitable? Les avocats devront être prêts à aborder ces questions lors de l'audience » ajoute le juge.
Oracle, qui a pris le contrôle de Java grâce à son acquisition de Sun Microsystems, a poursuivi Google l'année dernière, en expliquant qu'Android viole sept de ses brevets Java. Google a nié toute malversation. Les experts diligentés par Oracle ont estimé que les dommages et intérêts pourraient s'élever jusqu'à 6,1 milliards de dollars. L'éditeur de Redwood commençait même à approcher les constructeurs de téléphonie mobile pour réclamer son dû.
Aller vite et trouver un accord sur le court terme
Il reste des questions en suspens, car l'Office des brevets et des marques réexamine un certain nombre de brevets d'Oracle. Google avait fait une demande dans ce sens. Le juge a demandé aux deux parties de préparer un résumé qui explique l'état de ces examens et de fournir « leur point de vue respectif sur la possible suspension de l'action en justice en attendant l'achèvement des réexamens. »
In fine, William Alsup semble mettre la pression sur Oracle et Google pour s'accorder, selon Florian Mueller, un blogueur qui suit de près les questions judiciaires sur les logiciels Open Source. « Hier la possibilité d'une suspension était une mauvaise nouvelle pour Oracle » , explique Florian Mueller. « La lettre d'aujourd'hui ressemble à un signal clair à Google pour reconnaître son obligation de payer. Mais le problème est que les exigences d'Oracle sont apparemment bien au-dessus de ce que Google est prêt à payer sans changer son modèle économique sur Android, c'est-à-dire de gratuit à licence commerciale. Je ne sais pas si Oracle va réduire ses exigences de manière significative afin de permettre un règlement à court terme » conclut le blogueur.
WPC Microsoft : « Il est temps de passer à Windows 7 »
Microsoft veut aller vite dans la migration de Windows XP vers Seven. Stephen Rose, Community Manager de l'équipe de commerciaux de Windows, reprend le compte à rebours des 1 000 jours de support restants à Windows XP dans un blog de Microsoft. « Windows XP a fait un parcours incroyable et des millions d'utilisateurs PC lui en sont reconnaissants. Mais il est temps d'aller de l'avant, » écrit Stephen Rose, faisant valoir que le système ne bénéficiera plus de mises à jour de sécurité dans « moins de 1 000 jours. »
« Du point de vue de la sécurité, les ordinateurs PC bas de gamme tournant sous Windows XP seront vulnérables » après cette date, ajoute le manager. « Sans compter que de nombreux éditeurs de logiciels tiers n'ont pas l'intention de prolonger le soutien de leurs applications tournant sur Windows XP, ce qui rendra la situation plus compliquée, des risques pour la sécurité, et des coûts de gestion supplémentaires pour les départements informatiques. » Selon les statistiques et sondages menés par les cabinets d'études sur la popularité des systèmes d'exploitation, Microsoft a beaucoup de mal à faire bouger les utilisateurs d'XP. Selon Net Applications, qui mesure la type d'OS utilisés lors des connexions sur le web, Windows 7 tient 27% du marché, mais XP domine encore avec 51% de systèmes tournant sur les ordinateurs PC au niveau mondial. Si la tendance se poursuit sur les trois derniers mois, Windows 7 ne dépassera pas XP dans la course aux parts de marché avant le deuxième trimestre 2012. Selon Forrester Research, les entreprises s'avèrent encore plus dépendantes de Windows XP. Le cabinet a établi récemment que la part du vieil OS sur les PC d'entreprise atteignait 60%.
Travail de sape et assurance sur la compatibilité Windows 8
Ce n'est pas la première fois que Microsoft tente de ringardiser Windows XP. Plus tôt cette année, certains responsables de l'équipe d'Internet Explorer (IE) avaient qualifié XP de « plus petit dénominateur commun», pour expliquer pourquoi l'ancien système d'exploitation ne pourrait pas faire tourner IE9 et les futurs navigateurs. L'entreprise a également pris des mesures radicales pour tuer d'autres produits qu'elle considère obsolètes. Ainsi, depuis mi-2009, Microsoft exhorte les usagers à abandonner IE6, le navigateur livré peu avant XP. Il y a quatre mois, l'éditeur a fait monter un peu plus la pression en lançant un site web affichant la baisse continue d'IE6, sa lente agonie en quelque sorte. Cette campagne incitant les utilisateurs à abandonner XP a coïncidé avec l'ouverture de la Worldwide Partner Conference (WPC), un show annuel organisé par Microsoft pour les revendeurs. Le PDG, Steve Ballmer, a ouvert la conférence en annonçant que Windows 7 avait franchi la barre des 400 millions de licences. Quant à Tami Reller, la directrice marketing produit pour le groupe Windows, elle a repris ce chiffre pour comparer le temps d'adoption de Windows 7 avec celui de Windows XP sur une période comparable. « Il est trois fois plus rapide que pour Windows XP, » a-t-elle déclaré.
Quant à Windows Vista, le premier OS de Microsoft à échouer depuis Windows Millennium, il a encore été passé sous silence. Pourtant, les clients sont unanimes : Vista a culminé à un peu moins de 19% en octobre 2009, mais a perdu environ la moitié de ses parts de marché depuis. Tami Reller a seulement mentionné Windows 7 comme remplaçant de XP, mais aussi désigné son successeur, Windows 8, qui devrait vraisemblablement être livré l'année prochaine. Alors que Tami Reller a encouragé les entreprises à poursuivre le déploiement de Windows 7, celle-ci a promis que Windows 8 serait en mesure de fonctionner sur le même matériel. « Pour nos clients professionnels, vos clients, » a t-elle dit en s'adressant aux partenaires présents à la conférence, « c'est un élément important, car le fait que Windows 8 puisse tourner sur du matériel compatible Windows 7, garantit que les investissements en hardware fait aujourd'hui par nos clients pourront exécuter Windows 8 dans le futur. »
Ni Tami Reller, ni Steve Ballmer n'ont mentionné le cycle de vie de Windows 7, mais l'entreprise compte pousser les utilisateurs déjà sous Windows 7 à passer à Windows 8. Conformément à une politique qu'elle pratique de longue date, Microsoft assurera le support de Windows 7 Home Premium, l'édition la plus populaire auprès des particuliers, pendant cinq ans, soit jusqu'en en janvier 2015, contre dix ans pour les entreprises.
IBM dévoile un mainframe abordable, le zEntreprise 114
Il y a pratiquement un an jour pour jour, IBM avait dévoilé le zEntreprise 196, signe du renouveau dans le marché du mainframe haut de gamme. Aujourd'hui, Big Blue décline ces systèmes « Business Class » en présentant, le zEnterprise 114, une solution mainframe à un coût débutant à 75 000 dollars HT. Le constructeur indique que pour ce tarif-là, les entreprises disposent d'une amélioration de 25% des performances par rapport au système Business Class z10, qui datait de 2008, mais comprend aussi certaines capacités présentes dans le zEntreprise 196. Il peut ainsi gérer les charges de travail (AIX, Linux et prochainement Windows) fonctionnant sur du Power ou des blades x-86.
Reconsolider sur mainframe
Pour les entreprises qui ont une stratégie de consolidation de leurs serveurs, le zEnterprise 114 peut apporter une réponse à cette problématique, a déclaré Mike Kahn, analyste chez The Clipper Group. « Cet équipement hybride est une carte majeure dans les mainframes d'IBM » ajoute-t-il. Ce produit sera directement en concurrence avec les serveurs Linux tournant sur des plateformes x86. Lorsque le z10 BC a été lancé en 2008, IBM déclarait qu'il pourrait remplacer jusqu'à 232 serveurs x86, le zEntreprise 114 est capable de gérer jusqu'à 300 systèmes x86. Le tarif agressif proposé par IBM est aussi une stratégie pour réduire la tendance de consolidation des mainframe prônée par les constructeurs concurrents.
Parmi les petites différences entre le z 196 et z 114, les processeurs utilisés sur le haut de gamme sont cadencés à 5,2 GHz, alors que pour l'entrée de gamme, ils le sont à 3,8 GHz.
Doro rachète l'éditeur Prylos pour renforcer les applications mobiles vers les seniors
Prylos avait été créé en 2003 afin de rendre les applications d'entreprise mobiles. La société a été fondée par l'emblématique Caroline Noublanche, diplômée d'HEC, ayant dix ans d'expérience dans la mobilité chez SFR et Phonevalley. Cet éditeur faisait face à une concurrence à la fois forte et émiettée où l'on rencontre à la fois des leaders américains tels que Sybase ou des petites sociétés françaises comme Tech4Field.
Prylos dispose d'une plate-forme Android qui sera intégrée dans les produits Doro à venir et apporte une équipe spécialisée dans les solutions télécoms pour seniors. Doro s'oriente notamment vers les solutions de télésanté à travers le mobile. Prylos a développé des applications mobiles pour SFR et Ten, ainsi que des applications de santé mobile pour l'INRA et des services d'aide à domicile tels que A2micile, Aappui, AS Morlaix ou l'UNA Bocage Ornais.
Une orientation résolument senior
Depuis 2010, Prylos s'est plus particulièrement centré sur la cible des seniors et a été sélectionné pour participer au programme Proxima Mobile, financé par le gouvernement français, en développant une application mobile capable de fournir aux seniors des services liés au confort, à l'assistance et à la santé. Ce service, appelé Tel & Age, sera disponible en France courant juillet 2011. En 2010, les revenus de Prylos se sont élevés à 1,2 million d'euros, sur le marché français.
Caroline Noublanche a été nommée Directrice de l'Activité Applications et Webstore chez Doro. Ce dernier a réalisé en 2010 un chiffre d'affaires de 71 millions d'euro, soit une augmentation de 28,5% par rapport à 2009. La société est dirigée par Jérôme Arnaud, l'un des trois français à la tête d'une entreprise suédoise.
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