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Windows
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(19/07/2006 12:35:42)
Microsoft acquiert Winternals et ses outils systèmes
Microsoft vient de faire l'acquisition de Winternals Software, un éditeur d'utilitaires Windows co-fondé par Mark Russinovich, le développeur qui a mis en lumière le rootkit contenu dans les CD-Audio protégés de Sony. Winternals, qui emploie environ 85 salariés, développe des utilitaires de récupération et d'optimisation de performance pour les systèmes d'exploitation serveurs de Microsoft. La société est aussi connue pour son site Sysinternals.com qui propose des utilitaires systèmes gratuits. Suite à l'acquisition, l'équipe de Winternals devrait déménager d'Austin à Redmond et Russinovich deviendra l'un des 14 "technical fellows" de Microsoft. Le co-fondateur de la société, Bruce Cogswell, prendra quant à lui le titre d'architecte logiciel au sein de la division plate-forme Windows du géant. Les produits actuels de Winternals devraient poursuivre leur carrière, même si Microsoft n'a pour l'instant pas précisé comment il compte intégrer les différents logiciels dans son offre. Un point intéressant à noter est que les outils de Winternals pourraient servir à bâtir une offre concurrente à celle de certains utilitaires de Symantec, qui doit déjà faire face à l'arrivée de Microsoft sur son pré carré des antivirus et des logiciels de sécurité. (...)
(17/07/2006 17:07:11)Microsoft abandonne Private Folder
Moins d'une semaine. C'est le temps qu'aura vécu Private Folder. Cet outil gratuit proposé début juillet par Microsoft permettait aux utilisateurs de Windows de protéger leurs fichiers des regards indiscrets des autres utilisateurs du même PC. Microsoft en a cessé la distribution ce vendredi 14 juillet, sous la pression de ses entreprises clientes. En effet, de nombreux administrateurs de parcs informatiques se sont émus des risques induits par l'utilisation de Private Folder. Sur le blog MSBlog, un administrateur s'est inquiété du cas où un utilisateur placerait malicieusement des données critiques dans son dossier privé et détruirait les originaux. Ses confrères ont également évoqué la crainte d'utilisateur licencié qui partirait sans donner le code d'accès au contenu de dossier privé, entre autres scénarios. (...)
(13/07/2006 17:13:36)Un client léger Windows pour les entreprises pauvres
Pas les moyens de racheter de nouveaux PC ? Microsoft vient de lancer officiellement Windows Fundamentals for Legacy PCs, une solution pour transformer les « vieux PC » en terminaux accédant aux applications hébergées sur un serveur. Le tout au moyen d'un protocole de type client léger, comme RDP chez Microsoft ou ICA de Citrix. Seuls quelques outils, tels qu'un visualisateur de fichiers ou des outils d'administration, seront disponibles en local. L'outil est basé sur la version embarquée de Windows XP, XP Embedded Service Pack 2. Ce qui, précise Microsoft, permet à ces vieux PC que l'entreprise n'aurait pas les moyens de remplacer d'accéder « à la stabilité et à la sécurité de la plate-forme Windows XP ». Au vu des pré-requis de XP Embedded, on notera qu'un vieux PC pour Microsoft doit avoir au minimum un Pentium 500 MHz et 128 Mo de mémoire vive. L'offre est accessible aux clients ayant souscrit le programme de licence Software Assurance. (...)
(13/07/2006 17:11:25)Microsoft veut démocratiser la virtualisation
Après avoir rendu gratuite en avril dernier son offre Virtual Server, pour installer des systèmes Windows ou Linux dans des « bacs à sable » au-dessus de Windows, Microsoft fait aujourd'hui la même chose pour l'édition desktop de sa technologie, Virtual PC 2004. L'éditeur en profite pour indiquer que la version 2007 de l'outil de virtualisation arrivera en... 2007, et sera également gratuite. Elle supportera Windows Vista, sachant qu'une licence donnera droit à installer quatre fois le système d'exploitation dans des machines virtuelles. Le but de Microsoft est clairement de faciliter les tests afin que la migration vers Vista se déroule le mieux et le plus rapidement possible. D'ailleurs, Microsoft précise que les machines virtuelles pourront être créées avec n'importe quel outil de virtualisation, et pas seulement Virtual PC. Déjà 700 000 VMWare Server téléchargés Comme le relèvent des blogs d'employés de Microsoft (voir encadré ci-dessous), dans la mesure où la version serveur de Virtual PC était gratuite, et où l'outil était livré dans le cadre des abonnements à MSDN (le réseau pour les développeurs), faire payer Virtual PC n'avait plus guère de sens. D'autant que Microsoft livre une guerre psychologique contre VMWare (filiale d'EMC) qui, après avoir lancé en février dernier une version bêta gratuite de son outil de virtualisation de serveurs VMWare Server, vient de le lancer officiellement, toujours gratuitement. D'après l'éditeur, 700 000 copies auraient déjà été téléchargées. Il faut savoir tout de même que l'assistance technique est payante, et que la création d'une infrastructure de serveurs virtualisés au-dessus d'une ferme de serveurs requerra la passage à VMWare Infrastructure 3. La riposte de Microsoft côté serveur consiste à rendre Windows Server 2003 R2 Datacenter Edition disponible en licences en volume - et non plus uniquement par le biais de constructeurs le préinstallant sur leurs machines. Cette édition de Windows est justement conçue pour la consolidation de serveurs. (...)
(13/07/2006 11:29:23)Patch Tuesday: Microsoft publie 7 correctifs
Microsoft publie 7 correctifs (pour 18 vulnérabilités), certains s'appliquant à la suite Office, d'autres concernant la couche réseau de Windows. De ce lot, on distingue particulièrement la faille MS06-037, qualifiée de critique, et que les principaux experts s'attendent à voir exploitée largement dans les jours à venir. A ce trou l'on doit également associer deux autres défauts d'Office, l'un concernant un risque d'exécution à distance après exploit via des fichiers graphiques PNG et GIF (MS06-039), l'autre, MS06-038, affectant trois mécanismes de filtrage (parsers) d'Office, chacun pouvant conduire à une injection de code. Egalement critique, une possibilité d'attaque par réponse malformée d'une requête DHCP - référencée MS06-036. C'est là typiquement une attaque LAN - puisque limitée à la zone d'adressage dynamique -, mais dont le champ d'application peut éveiller bien des convoitises. Le bulletin d'ISS, les découvreurs, parle d'injection de code à distance, mais l'on pourrait également imaginer un scénario facilitant l'installation d'une « rogue station » (résident pirate) après assassinat d'une machine légitime. Reste le bulletin MS06-035, dont le sujet avait déjà été évoqué par Microsoft, et qui signale une instabilité grave du service serveur : double faille, dont une prise de contrôle à distance reposant sur une faiblesse du pilote du service, et une « fuite d'information » par le truchement d'une lecture de zone mémoire dans les tampons SMB. Les autres défauts sont, estime l'éditeur, de moindre importance. Et notamment un défaut dans ASP.Net et un problème d'IIS utilisant les pages ASP. (...)
(12/07/2006 18:04:07)[MàJ] L'UE inflige à Microsoft une amende de 280,5 M€
Le couperet est de nouveau tombé. La Commission européenne, exaspérée par l'attitude de Microsoft à ne pas se conformer à la décision de 2004, inflige à l'éditeur de Redmond une amende de 280,5 M€. Une sanction financière toutefois moins lourde que celle infligée en 2004, qui s'élevait alors à 497 M€. Cette première amende avait été versée suite au verdict de la Commission qui condamnait Microsoft pour abus de position dominante sur le marché des OS. Parmi les sanctions, la Commission avait également sommé l'éditeur de développer une version de Windows sans le Media Player et de fournir les protocoles de communications de ses OS serveurs. Aujourd'hui, la Commission sanctionne Microsoft pour ne pas avoir respecté ce dernier point selon le calendrier fixé initialement. L'éditeur a par ailleurs jusqu'au 18 juillet prochain pour soumettre une version finalisée de l'ensemble des documents techniques. A l'issue de cette date, Microsoft pourrait se voir infligé une pénalité journalière de 3M€. La Commission avait initialement menacé Microsoft d'une amende de 2 M€ par jour. Le montant de l'amende de 280,5 M€ est calculé sur une base de 1,5 M€ par jour, du 15 décembre au 20 juin. Lors d'une conférence de presse, la commissaire européenne Neelie Kroes, qui succède à Mario Conti, a déclaré que la Commission ne pouvait plus tolérer qu'une telle conduite illégale se poursuive indéfiniment. Et "n'avait alors plus d'autres alternatives que d'infliger à Microsoft une amende". Elle reconnaît toutefois que les efforts fournis par l'éditeur ont été "contructifs". "Presque 50% de la documentation est examinée par un comité. Microsoft a réalisé un excellent travail au cours de ces trois dernières semaines. Mais pourquoi ne pas l'avoir fait avant?" La Commission avait donné 120 jours à Microsoft pour se conformer à sa décision de 2004. En mars 2005, puis en juin dernier, à bout de nerfs, elle avait menacé l'éditeur de sanctions financières supplémentaires. La semaine dernière, Bruxelles avait obtenu le feu vert des 25 régulateurs européens pour sanctionner Microsoft. Microsoft : "une sanction inappropriée" Microsoft a immédiatement rejeté la sanction. Brad Smith, directeur des affaires juridiques de l'éditeur à Bruxelles, outré, juge le niveau de la sentence injustifiée et estime l'amende "inappropriée au regard des efforts, de bonne foi, fournis par Microsoft pour se conformer au jugement de 2004". "L'amende est plus importante que celle infligée par la Commission dans le pire cas de violation de la loi", s'indigne-t-il. Et de nouveau de pointer du doigt le manque de clarté des demandes de la Commission dans son précédent jugement. Ainsi, Microsoft prévoit de faire appel auprès de la Cour européenne qui devrait alors déterminer si, oui ou non, la sanction était justifiée, et les efforts de Microsoft à s'y conformer suffisants. (...)
(12/07/2006 12:45:33)L'UE inflige à Microsoft une amende de 280,5 M€
Le couperet est de nouveau tombé. La Commission européenne, exaspérée par l'attitude de Microsoft à ne pas se conformer à la décision de 2004, inflige à l'éditeur de Redmond une amende de 280,5 M€. Une sanction financière toutefois moins lourde que celle infligée en 2004, qui s'élevait alors à 497 M€. Cette première amende avait été versée suite au verdict de la Commission qui condamnait Microsoft pour abus de position dominante sur le marché des OS. Parmi les sanctions, la Commission avait également sommé l'éditeur de développer une version de Windows sans le Media Player et de fournir les protocoles de communications de ses OS serveurs. Aujourd'hui, la Commission sanctionne Microsoft pour ne pas avoir respecté ce dernier point selon le calendrier fixé initialement. L'éditeur a par ailleurs jusqu'au 18 juillet prochain pour soumettre une version finalisée de l'ensemble des documents techniques. A l'issue de cette date, Microsoft pourrait se voir infligé une pénalité journalière de 3M€. La Commission avait initialement menacé Microsoft d'une amende de 2 M€ par jour. Le montant de l'amende de 280,5 M€ est calculé sur une base de 1,5 M€ par jour, du 15 décembre au 20 juin. La Commission avait donné 120 jours à Microsoft pour se conformer à sa décision de 2004. En mars 2005, puis en juin dernier, à bout de nerf, elle avait menacé l'éditeur de sanctions financières supplémentaires. La semaine dernière, Bruxelles avait obtenu le feu vert des 25 régulateurs européens pour sanctionner Microsoft. Microsoft devrait tenir une conférence de presse cet après-midi. (...)
(06/07/2006 18:07:51)Antitrust : Microsoft perd aussi en Corée du Sud
La Haute cour de Séoul a rejeté ce 4 juillet l'appel interjeté par Microsoft visant à suspendre les sanctions prises contre lui dans le cadre du procès antitrust intenté par la commission de la concurrence sud-coréenne. C'est un nouveau camouflet pour le géant du logiciel, déjà condamné en mars 2004 par la Commission européenne et sur le point de se voir infliger une nouvelle amende par l'exécutif communautaire pour avoir failli à se conformer à ses exigences. La Korean Fair Trade Commission (KTFC), le régulateur sud-coréen de la concurrence, a établi en 2005 que Microsoft s'était rendu coupable d'abus de position dominante et l'a condamné à une amende de 35,4 M$. L'éditeur a également été enjoint, comme en Europe, de proposer deux versions différentes de Windows XP : l'une dépourvue de Media Player et de Windows Messenger, l'autre intégrant des liens vers des sites Internet proposant des produits concurrents. Soucieux de gagner du temps, Microsoft s'est empressé d'interjeter appel auprès de la Haute cour de Séoul et de demander un sursis dans l'exécution des mesures complémentaires à sa condamnation, une exécution censée devenir réalité au plus tard le 24 août. Sans se prononcer sur le fond de l'affaire, la Haute cour indique que la date butoir ne saurait être modifiée et que Microsoft doit donc s'y conformer. L'éditeur note qu'il respectera la décision de la KTFC en fournissant les versions alternatives de son système d'exploitation, tout en réitérant sa volonté de voir son appel aboutir. "Alors que Microsoft considère que la décision de la KTFC va freiner l'innovation technologique en Corée, il reste décidé à y poursuivre ses activités et à fournir des technologies innovantes à ses clients coréens", indique le groupe de Redmond dans un communiqué. (...)
(04/07/2006 17:48:08)Antitrust : le principe d'une sanction contre Microsoft adopté
La Commission européenne vient d'obtenir l'accord des vingt-cinq régulateurs sur le principe d'une sanction pécuniaire infligée à Microsoft pour sa réticence à se conformer aux exigences formulées par Bruxelles en mars 2004. Il s'agissait d'une des dernières étapes dans le processus devant conduire à la mise en place d'une amende de 2 M$ par jour, rétroactive à compter du mois de décembre 2005. La semaine dernière, des sources proches du dossier indiquaient que la Commission européenne avait décidé qu'elle avait suffisamment attendu la production des pièces demandées à l'éditeur et qu'il fallait désormais passer à la phase des sanctions. Pour cela, l'assentiment des experts en concurrence était nécessaire. C'est maintenant chose faite après le comité exécutif tenu à huis clos le 3 juillet. Une amende supérieure à 500 M$ En mars 2004, Bruxelles a condamné Microsoft à 497 M$ pour son abus de positon dominante dans les systèmes d'exploitation et l'a notamment enjoint à publier des éléments de son code source afin d'assurer l'interopérabilité de Windows avec les produits concurrents. Après avoir, dans un premier temps, affirmé qu'il avait fourni ces données, le géant du logiciel indique désormais qu'il déplace des montagnes pour se conformer aux exigences de la Commission. Selon l'éditeur, 300 personnes sont mobilisées à plein temps sur la rédaction des éléments requis : "nos ingénieurs travaillent 24/24h pour fournir le septième et dernier élément demandé à la date prévue du 18 juillet". Bruxelles aurait néanmoins décidé, au regard du temps dont Microsoft a disposé pour se plier à ses requêtes - 18 mois -, de ne pas attendre l'ultimatum du 18 juillet pour mettre en pratique sa sanction. L'unanimité exprimée ce 3 juillet par les régulateurs des Vingt-cinq devrait conforter la Commission dans son choix de condamner Microsoft. Il reste maintenant aux mêmes acteurs à se réunir de nouveau pour, cette fois, fixer le montant de l'amende. Ce sera chose faite le 10 juillet prochain. Le groupe de Redmond pourrait écoper d'une sanction journalière de 2 M$ et payer ainsi plus de 500 M$. (...)
(03/07/2006 12:58:26)Microsoft ne désactivera pas les copies de Windows XP non enregistrées
Microsoft ne désactivera pas les copies installées de Windows XP dont les utilisateurs refusent d'installer WGA (Windows Genuine Advantage), le programme controversé d'authentification et d'anti-piratage. L'éditeur a, en revanche, confirmé que son prochain système d'exploitation, Windows Vista, imposera aux entreprises une activation différente de la procédure actuelle. Le but : réduire la chute des ventes de licences en volume, plus gros manque à gagner de l'éditeur. Selon une source issue de la blogosphère, Microsoft envisageait de désactiver les versions non enregistrées de Windows XP de tous les utilisateurs refusant d'installer WGA. Une information que le géant du logiciel s'est empressé de démentir : "les technologies de lutte contre le piratage de Microsoft ne peuvent pas désactiver les ordinateurs. Mais, la donne va changer pour les contrefacteurs. Dans Vista, nous allons rendre l'utilisation de programmes copiés notablement plus difficile, et nous allons faire en sorte qu'une telle difficulté se retrouve avec les versions antérieures de Windows", explique un porte-parole de Microsoft. L'éditeur a commencé à tester WGA à l'automne 2005 comme un moyen de repérer les copies pirates de Windows. A la mi-juin 2006, il annonçait que les utilisateurs devraient installer le programme et s'authentifier pour pouvoir télécharger les mises à jour et les add-ons comme IE7 et WMP 11. Sans tarder, les consommateurs ont manifesté leur ire dont les médias se sont largement fait l'écho, rappelant par exemple que WGA identifiait parfois des copies légales de l'OS à des versions piratées. Toutefois, selon Microsoft, "80 % des échecs d'authentification proviennent d'une utilisation illégale ou d'un numéro de série volé". Soucieux d'apaiser les utilisateurs, le groupe de Redmond a publié une mise à jour de WGA : les PC ne sont plus passés au crible du programme d'authentification que mensuellement, contre tous les jours jusqu'alors. Par ailleurs, Microsoft est poursuivi en action collective devant un tribunal de Seattle. Les plaignants reprochent à WGA de violer la loi anti-spyware en s'installant de manière transparente à travers les mises à jour automatiques. Menée par Brian Johnson, déjà à la tête de la fronde contre le rootkit de Sony, l'action serait "dénuée de fondement" d'après Microsoft. (...)
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