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(26/09/2008 12:27:01)

Steve Ballmer se donne 5 ans pour concurrencer Google

Microsoft est peut-être la seule société capable de représenter une vraie concurrence pour Google, a expliqué Steve Ballmer, CEO de Microsoft, lors d'un dîner du Churchill Club, dans la Silicon Valley. Mais l'éditeur devra d'abord trouver un moyen d'y parvenir. « Nous devons travailler afin de réinventer de fond en comble le modèle économique de la recherche sur Internet. On ne peut pas s'imposer de force sur un marché. On n'a des grandes avancées que si on parvient à redéfinir le domaine aux yeux des utilisateurs. » En tout cas, Microsoft entend se donner le temps et les moyens de son ambition. Steve Ballmer a expliqué que cette tâche prendrait quelque cinq années. Et l'éditeur a déjà prévenu ses actionnaires qu'il était prêt à perdre 5 à 10% de son revenu opérationnel pendant plusieurs années pour financer ses tentatives dans le domaine de la recherche sur Internet. Le projet de 'cloud computing' Red Dog sera dévoilé à la PDC Steve Ballmer n'a fait qu'effleurer les autres sujets. Il veut notamment laisser aux développeurs qui assisteront à la conférence PDC de Los Angeles, fin octobre, la primeur de découvrir ce que recèle le projet Red Dog, une offre de 'cloud computing' apparemment proche de ce que propose Amazon avec son EC2. Concernant la virtualisation, le patron de Microsoft a répété que son ambition était de démocratiser la technologie - une pique habituelle à destination de VMWare. Steve Ballmer a par ailleurs prédit des lendemains difficiles aux fabricants de smartphones comme Nokia, RIM ou Apple, qui proposent des plateformes matérielles et logicielles étroitement liées. A terme, s'affronteront Windows Mobile, Symbian et Linux [[page]] Commentant les 30% de parts de marché de Nokia, Steve Ballmer a expliqué que « si vous voulez aller au-delà, il faut découpler le matériel du logiciel ». De façon bien sûr à ce que davantage de mobiles puissent tourner sous Windows Mobile... A terme, a-t-il dit, la compétition pour ce marché devrait voir s'affronter Windows Mobile, Symbian et Linux. Pour la même raison, Steve Ballmer estime qu'Apple ne constituera pas une grande menace dans le domaine professionnel. « Apple est une belle société », a-t-il dit, mais sa stratégie exclut les partenaires. Or, a continué Steve Ballmer, c'est la symbiose entre Microsoft et les fabricants de PC qui a assuré le succès de Windows en entreprise. Retard avoué sur Linux et PHP dans les serveurs Web En ce qui concerne les relations avec les développeurs, Steve Ballmer décerne plutôt un bon point à Microsoft, mais relève deux faiblesses : le domaine du calcul scientifique (Windows HPC vient juste de sortir) et celui des serveurs Web, où les technologies Microsoft sont devancées par Linux et PHP. « 40% des serveurs sont sous Windows, 60% sous Linux. [...] Cela ne me plaît pas, nous avons du travail à faire. » Interrogé sur la façon dont les entreprises du secteur IT voient la crise financière aux Etats-Unis, Steve Ballmer s'est voulu plutôt rassurant. « Au moins pour le moment, les gens à qui je parle dans le secteur son plutôt... je ne dirais pas optimistes, mais au moins plus sereins que ce qu'on pourrait penser en regardant [la chaîne d'informations américaine] CNBC toute la journée. » (...)

(23/09/2008 17:09:04)

Windows HPC Server 2008 gère jusqu'à 2000 coeurs et accueille les services Web

En marge de son bilan de rentrée français, Microsoft a dévoilé son Windows HPC Server 2008 à l'occasion de la manifestation « highperformance on Wallstreet », dans les locaux de la bourse de New-York. L'OS de Microsoft destiné au supercalcul n'a plus rien à voir avec son prédécesseur Windows Compute Cluster Server 2003 qui peinait à s'exécuter sur quelques noeuds. Windows HPC Server 2008 tourne sur des environnements qui comptent jusqu'à 2000 noeuds, voire plus (à 475$ par noeud). Chacun des serveurs peut héberger un à quatre processeurs. Basé sur Windows Server 2008, l'OS devrait être disponible d'ici deux mois, mais Microsoft en propose déjà une version d'évaluation en ligne. Côté applicatif, Windows HPC Server 2008 supporte les bibliothèques OpenMP et MPI. Elles permettent de développer des applications parallèles sur des environnements de clustering (grappes de serveurs) ou multiprocesseurs. Il accueillera aussi les environnements à base de services Web. Il est à noter que Visual Studio 2008 comprend un outil de programmation parallèle tout à fait adapté, selon Microsoft. L'OS comprend aussi des outils d'optimisation de la performance applicative, des compilateurs et des débogueurs. Un environment d'administration enrichi en particulier pour la SOA Toujours selon l'éditeur, le déploiement des images systèmes a été simplifié avec Windows Deployment Service et un nouveau système d'administration surveille la montée en charge et la performance. Une « carte de chaleur » fournit ainsi à l'administrateur un état très visuel et instantané du système ainsi que de la charge des différents noeuds. Le répartiteur de taches, coeur de l'OS, travaille aussi bien avec des modules en batch que des applications SOA. Dans ce cas, les noeuds communiquent au travers des courtiers ('brokers') WCF de Microsoft qui jouent les intermédiaires (Windows Communication Foundation est la couche d'intermédiation du système). Les éléments applicatifs pourront être distribués sur des serveurs, des processeurs voire des coeurs de processeurs. Enfin, l'OS est conforme au standard OGF (Open Grid Forum), ce qui assure en particulier l'interopérabilité avec d'autres répartiteurs de taches. Cray et IBM déjà intéressés [[page]]La semaine dernière, Cray, le spécialiste historique du supercalcul, annonçait déjà une machine équipée spécialement de l'OS Microsoft. Aujourd'hui, c'est au tour d'IBM de s'intéresser à Windows HPC Server 2008. Big Blue propose des espaces de test pour l'OS au prix de 99$ sur son 'cloud', IBM Computing on Demand. Il proposera Windows HPC Server 2008 sur des unités de 14 à 16 noeuds sur des BladeCenter ou des serveurs System x avec des Xeon multi-coeurs. L'idée des deux géants est bien entendu d'offrir ces capacités matérielles et systèmes de supercalcul, à la demande, à des PME qui n'ont pas les moyens de s'offrir une telle infrastructure. Si le HPC a longtemps été réservé à de très grands comptes ou à des laboratoires scientifiques, c'est qu'il n'était accessible que sur des machines très spécifiques, imposantes et chères. Aujourd'hui, les plus petites configurations du marché s'appuient sur des puces multicoeurs, et les serveurs d'entrée de gamme sont des multiprocesseurs. Sans oublier que le cluster est devenu le roi du supercalcul. Alors, pour Microsoft, avoir à son catalogue un OS capable d'exécuter des environnements parallélisés prend désormais tout son sens. (...)

(17/09/2008 09:13:57)

Microsoft et Cray inventent le supercalculateur de bureau

Il fut un temps où le seul nom de Cray allumait des petites étoiles dans les yeux des informaticiens férus de calcul. De là à disposer un jour d'une des petites merveilles du constructeur sur son bureau... Et pourtant, si eux en ont rêvé, Microsoft, lui, l'a fait. Il dévoile avec Cray, un supercalculateur de bureau. Selon Kyril Faenov, DG de l'équipe HPC de Microsoft, le CX1 serait disponible dès octobre. Il compte jusqu'à 8 noeuds et un total de 16 Xeon d'Intel (au printemps, le fondeur est devenu partenaire de Cray, qui travaillait jusque là avec AMD.) Les Xeon sont au choix des bi ou quadri-coeurs, au choix. Chaque noeud possède jusqu'à 64Go de mémoire et l'ensemble dispose d'un maximum de 4 To de stockage. Les systèmes mixent des lames de calcul, de stockage et de visualisation en fonction des besoins. Le CX1 tournera dès octobre sous Windows HPC Server 2008 Le partenariat de Microsoft avec Cray n'est pas exclusif et l'éditeur en envisage d'autres pour mettre au point des petits frères au CX1. Certains pourraient être dévoilés en même temps que Windows HPC Server 2008. En effet, bien que compatible avec Linux, le CX1 tournera sous l'OS HPC (High performance computing) de Microsoft. Prévu initialement pour la fin de l'année, celui-ci pourrait être disponible dès lundi. Reste à savoir si Microsoft, qui n'a jamais percé dans le domaine, répondra aux attentes d'un secteur particulièrement exigeant. Pour l'instant, les deux partenaires n'annoncent aucune mesure de puissance pour la machine. Compact, le CX1 est destiné aux applications de simulation et modélisation, particulièrement gourmande en puissance. Le projet pourrait paraître incongru, mais ces applications longtemps réservées aux chercheurs et aux scientifiques se répandent de plus en plus hors des laboratoiresdans l'industrie pour la conception de produits, dans la finance pour anticiper, dans l'animation vidéo pour modéliser les images, voire même dans le commerce pour simuler le comportement des clients dans les magasins, etc. Enfin, même si le CX1 s'installe sur le bureau et ne prend que peu de place, ce n'est pas un netbook. Il faudra compter entre 20000 et 60000 $ pour s'en offrir un. Mais pour un supercalculateur, c'est un vrai prix d'ami. (...)

(10/09/2008 15:33:41)

Sun sort xVM, son hyperviseur serveur Open Source

Et Sun d'annoncer à son tour un hyperviseur pour serveurs x86. xVM Server sera disponible le mois prochain gratuitement et son code est mis en Open Source. La version supportée est proposée pour 500$ par serveur physique. xVM accueille comme systèmes d'exploitation hôtes : Windows Server, différents Linux et Solaris. Il repose sur un noyau Xen auquel Sun a ajouté des technologies en provenance d'OpenSolaris. Elles contribuent à l'amélioration dans des domaines comme la fiabilité. La semaine dernière, Sun a annoncé la version 2.0 d'xVM Virtual Box, solution de virtualisation des postes clients. (...)

(09/09/2008 09:14:06)

Microsoft proposera désormais Hyper-V gratuitement

A quelques jours de l'ouverture du Vmworld 2008, grand messe annuelle de VMworld, Microsoft ne parle plus que de virtualisation. Cette fois, il annonce que la version 'stand alone' de son Hyper-V sera désormais gratuite, et ce dans les 30 jours qui viennent. Sorti en juin, l'environnement de virtualisation est inclus dans la plupart des versions de Windows Server 2008, mais il fallait jusque là payer environ 30 € pour le télécharger seul depuis le site web de Microsoft. L'éditeur sortira aussi dans les mois à venir System Center Virtual Machine Manager 2008, dont la version bêta est disponible depuis avril dernier. Ce outil d'administration sert entre autres à provisionner et à gérer les machines virtuelles. Selon Microsoft, il est compatible avec Windows Server 2008 Hyper-V, Microsoft Virtual Server 2005 R2, Microsoft Hyper-V Server 2008 et surtout VMware Virtual Infrastructure 3. La virtualisation au coeur des stratégies de consolidation Microsoft a fait en sorte de créer un package complet d'outils et de technologies de virtualisation pour concurrencer en particulier VMware, maître du marché. Les administrateurs voient la virtualisation comme une façon d'obtenir plus de puissance de leurs machines, puisqu'il permet d'exécuter plusieurs systèmes d'exploitation sur un seul serveur physique. Sans oublier que pointe depuis quelques mois, l'intérêt majeur de la virtualisation dans une politique de réduction de la consommation énergétique des centres informatiques. (...)

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