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Windows

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(29/10/2007 18:01:09)
Les installations de Linux s'essouffleraient
Le petit monde des études informatiques s'agite autour de la stagnation des ventes de Linux. Certains y voient une victoire de Windows Server, d'autres invitent à regarder la réalité et pas seulement les chiffres de ventes de machines neuves. Linux, qui progressait de 45% par an en 2003 dans le monde, n'a progressé que de moins de 10% en 2006. Quel que soit l'indicateur pris en compte, il apparaît que Linux progresse désormais moins vite que Windows. Un consensus semble s'établir autour de l'explication de ce phénomène. Pour la plupart des analystes, Linux ne tirait pas sa croissance de transfuges de Windows Server qui l'abandonnaient pour lui, mais de migration en provenance soit du monde des autres Unix, soit de Netware. En 2000, un serveur sur deux tournait avec Windows. Venaient ensuite les Unix et Netware avec chacun 17% du marché. Linux n'arrivait qu'en dernière position avec 10%. Aujourd'hui, Windows est passé de 50% à 70%, Linux s'est hissé à hauteur de 20% du marché tandis que les Unix n'ont plus que moins de 10% et que Netware a disparu des ventes. Maintenant que le gros des applications qui devaient migrer d'Unix et de Netware l'on fait, Linux aurait fait le plein. C'est la raison avancée pour expliquer que, désormais, cet OS voit sa progression s'essouffler tandis que Windows continue sa progression. Elle serait tirée par la montée en charge des environnements déjà acquis, par le succès d'Exchange qui n'a pas d'alternative digne de ce nom sur Linux et par celui des autres produits compagnons de Microsoft. La palette de ces derniers ne cesse de s'étendre tandis que la logithèque de Linux tarde à s'étoffer. Cette explication a le mérite de la simplicité. Les défenseurs de Linux ont aussi beau jeu de souligner que mesurer les installations d'un OS gratuit recèle des difficultés méthodologiques qu'il ne faut pas négliger. Sans parler du fait que Linux s'installe souvent sur des machines pour leur offrir une seconde vie et que l'OS est le candidat idéal pour la virtualisation. (...)
(25/10/2007 16:02:43)Oracle 11g disponible sous Windows
Trois mois après la version Linux de son SGBD Oracle 11g, Oracle annonce celle pour Windows. Cette version embarque des fonctionnalités propres à cet environnement telle l'exploitation du service Windows Volume Shadow Copy de Windows Server, ainsi que, par rapport à la version précédente, une amélioration de l'intégration à l'environnement de développement Visual Studio, au gestionnaire d'annuaire Active Directory et à Kerberos, le protocole d'identification réseau que Microsoft a retenu par défaut. En même temps que sa disponibilité, Oracle annonce que 11g Windows établit un nouveau record performance/prix à l'aune du test TPC-C avec 102 454 transactions par minute (tpm) et un prix de 0,73$ par transaction. Selon Oracle, l'édition standard de 11g améliore de 47% les performances et de 20% les coûts par rapport au précédent record établi en août dernier. Celui-ci (100 926 tpm à 0,74$ la transaction) était détenu par Oracle 10g sous Oracle Linux dans une configuration quasi identique. Le faible écart entre les deux tests s'explique par le fait que la "gratuité" d'Oracle Linux est "compensée" par un coût de maintenance qui le hisse au même niveau de prix que Windows Server et sa maintenance. Le test de 11g a été effectué sur une configuration estimée à 74 556 $ qui se compose d'un HP Proliant ML350G5 animé par un Xeon quadricoeur à 2,66 GHz avec 24 Go de mémoire sous Windows Server 64 bit SP1 R2 avec un stockage en attachement direct. Plus significatif, Oracle 11g permet d'obtenir un ratio prix/performances selon le TPC nettement meilleur que Microsoft SQL Server 2005. Toujours à configuration comparable, celle sous SQL Server avait atteint 82 774 tpm pour un prix de 0,84$ la transaction en mars dernier. Aux Etats-Unis, les prix des différentes versions calculés par processeur sont : 5000$ (Standard Edition One), 15 000$ (Standard Edition) et 40 000 (Enterprise Edition). En France on paye 3700€, 11 105€ et 29 612€, soit 6% plus cher que le taux de change officiel. Une bonne entrée en matière pour la négociation tarifaire. En savoir plus La page du classement des 10 configurations ayant le meilleur rapport Prix-Performance selon le TPC (Transaction Processing Performance Council). (...)
(23/10/2007 16:01:23)Microsoft dévoile un système de gestion de téléphonie mobile à distance
Microsoft poursuit sa lancée sur le front de la téléphonie. Quelques jours après avoir annoncé la sortie d'Office Communications Server 2007, décrétant au passage la mort du sacro-saint PABX, l'éditeur de Redmond inaugure aujourd'hui un système de gestion à distance de parc de mobiles. La solution baptisée System Center Mobile Device Manager 2008 fonctionnera de concert avec Windows Mobile et bénéficiera de tout l'écosystème de la marque en matière de gestion de système. Une annonce que Steve Ballmer, PDG de Microsoft, s'apprête à réaliser à l'occasion du CTIA Wireless IT and Entertainment conference à San Francisco. Selon John O'Rourke, directeur de la division "Mobile Communications" de Microsoft, interviewé par nos confrères d'IDG News Service, la solution, qui comprend des modules serveur et client, doit "permettre aux administrateurs de sécuriser et de contrôler à distance les téléphones mobiles, comme ils le font pour des parcs de PC ou ordinateurs portables". Ils pourront par exemple couper l'utilisation d'un capteur d'un photophone ou interdire l'usage de services de messagerie, le tout à distance. "Un point important pour les entreprises qui doivent s'aligner sur les politiques de conformité, notamment autour du stockage". Un des points forts de System Center Mobile Device Manager 2008 est qu'il s'intègre à la famille d'outils de gestion de l'éditeur comme Microsoft Operations Manager. Un couplage qui donne aux administrateurs des moyens d'interactions étroits avec les offres de l'éditeur, comme par exemple Active Directory. Ainsi, les politiques de sécurité par groupe pourront être facilement propagées sur les téléphones à base de Windows Mobile. En outre, le support des connexions par VPN sécurisera l'accès aux données de l'entreprise. Selon John O'Rourke, Microsoft prévoit de lancer sa solution pour le premier semestre 2008. Selon lui, l'application serveur devrait supporter jusqu'à 5 000 utilisateurs. Pour l'heure, aucune tarification n'a été annoncée. Certains analystes, interrogés par nos confrères de Computerworld, tablent toutefois sur des prix s'échelonnant de 75 $ à 150 $ par utilisateur et par an. Si Microsoft n'est pas le premier à proposer ce type de produit, il s'appuie sur ses outils de gestion et de messagerie (comme Exchange) pour l'imposer. Sur le marché, quelques éditeurs ont, à l'inverse du géant de Redmond, décliné des offres de gestion de terminaux à distance multi-OS. C'est notamment le cas de Nokia qui commercialise Intellisync pour les appareils sous Symbian, Windows Mobile, Blackberry (Rim) et enfin Palm. Et aussi Rim avec le BlackBerry Enterprise Server. Notons enfin que Palm serait le premier constructeur à supporter la solution de Microsoft dans sa gamme Treo 750 (qui fonctionne avec Windows Mobile). (...)
(18/10/2007 12:27:51)Microsoft fournira des services en ligne aux entreprises
La stratégie « software plus services », ou S+S, de Microsoft conduira l'éditeur à fournir directement aux entreprises des services en ligne. Steven Guggenheimer, responsable plateformes de Microsoft, l'a confirmé dans un entretien avec lemondeinformatique.fr. Microsoft fournit déjà des services aux particuliers, il s'agit de son offre Live. Mais l'éditeur, qui croit en l'explosion des services applicatifs, ne compte pas laisser le segment professionnel entièrement aux mains de ses partenaires. Il y aura un équilibre à trouver, explique Steven Guggenheimer : « Nous fournirons certains services aux entreprises, mais nous avons toujours eu une approche partenaires et nous continuerons. » De même, les responsables informatiques des entreprises devront trouver de leur côté un équilibre entre les logiciels d'infrastructure qu'ils installeront en interne et les services qu'ils pourront déléguer. « Je dirais que tout dépend de la taille, en règle générale, les grandes entreprises ont besoin de technologies comme les ESB et d'outils pour virtualiser leur existant, tandis que des start-up, qui n'ont pas de problème d'existant, sont plus des candidates pour du Saas ou du mashup. » (...)
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