Benoit Huet : Partagez-vous le constat qu'après une première phase de la virtualisation réussie, à savoir la consolidation des serveurs, le problème aujourd'hui est la sous-gestion des machines virtuelles ? Thomas Luquet/ Sylvaine Dekeyrel : En effet, la consolidation par la virtualisation répondait et répond toujours à un besoin d'optimisation des ressources physiques (et réduction des coûts associés), de réduction d'espace, de réduction du TCO, d'une meilleure maîtrise de l'infrastructure, de souplesse et flexibilité, de haute disponibilité  et le tout avec la promesse d'une simplification...