« Au-delà des performances intrinsèques des architectures GPU/CPU, c'est la plateforme de développement qui fera la différence » annonce Jean-Pierre Panziera, directeur technique de la Business Unit HPC chez Bull. Un avis que partage Christophe Leroy, responsable serveurs et réseaux chez Dell France, qui met aussi en avant le long processus de validation d'une application sur une architecture HPC. Et depuis quelque temps, les approches se multiplient pour tirer parti le plus possible de la puissance brute des GPU, une technique appelée GPGPU pour General-Purpose Computation on Graphics...