Ces demandes d'emploi concernent des contrats à durée indéterminée et à plein temps déposées par des personnes immédiatement disponibles et n'ayant pas exercé d'activité de plus de 78 heures au cours du mois précédent. Néanmoins, le Munci considère que ces données ne concernent pas la totalité des informaticiens, notamment les stagiaires de la formation professionnelle et ceux qui occupent provisoirement un travail à temps partiel. Ce qui laisse présager une sous-évaluation du nombre réel de demandeurs d'emplois dans le secteur. Au contraire, le Syntec Informatique de son côté, estime que le taux de chômage des informaticiens se situe à un niveau beaucoup moins élevé : le syndicat des patrons a en effet évoqué un taux de 1,7% à l'occasion de sa conférence semestrielle bilan et perspectives.