Le « Libre » s'intègre bien dans les projets SOA ou Cloud Autre signe de maturité, du fait de l'ouverture de son code et du respect des standards, le « Libre » s'intègre bien dans les projets SOA ou Cloud. «Ils nécessitent beaucoup d'interopérabilité, on travaille avec des gens partout dans le monde, en réalisant beaucoup d'assemblages de composants déjà développés », une voie royale pour SOA et Cloud. Non seulement, le « Libre » gagne en maturité, mais en plus, il se professionnalise, remarque Mathieu Poujol. Dans une étude réalisée pour le Syntec Informatique, PAC remarquait le grand nombre d'autodidactes sur ce marché, la minceur des formations proposées, mais la progression des informaticiens en reconversion. Donc l'arrivée d'ingénieurs rompus à d'autres technologies et qui retrouvent du travail par le « Libre ». Plus généralement, PAC souligne évidemment la forte présence du logiciel libre en France. « La France est un bon terreau, souligne Mathieu Poujol, parce qu'en France nous aimons le spécifique, et que le « Libre » a démarré dans le monde de la recherche autour de Grenoble ou Toulouse. « Mais ceci appartient au passé, « le logiciel libre est devenu de moins en moins communautaire et de plus en plus professionnel » souligne PAC.