L'association de défense des consommateurs indique par ailleurs que 59% des débits déclarés par les consommateurs abonnés à la 3G n'excèdent par 1 Mbits/s, alors que la 3G+ autorise, en théorie, un débit de 7,2 Mbits/s. Pour l'UFC, l'insatisfaction des usagers est "la conséquence d'une politique commerciale qui induit les consommateurs en erreur". Elle demande en outre aux pouvoirs publics un encadrement réglementaire de l'Internet illimité, afin de n'utiliser le terme "Internet" que pour désigner un accès universel à tous les contenus sur le Web, et ne plus qualifier d'"illimitées" des offres soumises à un quota de données échangeables.