D'ici 2013, Toshiba pense pouvoir commercialiser des disques durs de 3,5 pouces contenant jusqu'à cinq teraoctets de données, et d'autres de 2,5 pouces douées de capacités pouvant atteindre 1 teraoctet. Pour cela, la société ne s'appuie pas sur la technologie du substrat structuré présentée par Fujitsu en janvier dernier, mais sur une autre technologie développée conjointement avec l'université de Tohoku. Baptisée NC-MR (Nanocontact Magnetic Resistance), celle-ci double la résistance magnétique d'une tête de disque, lui permettant alors de détecter encore plus finement tout changement magnétique. Les têtes deviennent alors plus petites, et donc peuvent écrire ou lire sur des surfaces plus petites. On peut alors stocker jusqu'à 500 fois plus de données sur un disque de taille classique.