Cloud public, privé, hybride ou multicloud, les modèles cloud sont aussi différents que les approches des DSI quant il s'agit de migrer les applications. Du convaincu au prudent en passant par les pragmatiques et les opportunistes, CIO UK a demandé à plusieurs responsables IT de raconter leur migration vers le cloud.

Une aide à la reconstruction en cas de problème

Scott Petty, CTO de Vodafone UK, estime qu'être « cloud native » ne consiste pas en la seule migration des applications legacy vers le cloud. Pour tirer avantage du cloud, il faut avoir une vision de la conception à la livraison des applications. Cette stratégie a conduit Vodafone à créer une initiative baptisée « Everything as code », qui s'appuie sur le cloud pour l'ensemble des travaux. « Nous ne nous sommes pas arrêtés là », explique Scott Petty à CIO UK, « il y a quelques mois, nos équipes se sont fixées comme objectif de reconstruire plus rapidement, plutôt que de réparer un environnement en cas de problème ». Il ajoute, « les réparations ont tendance à comporter beaucoup d'inconnues, il est difficile de dire quel est l'impact d'un changement sur d'autres parties du système. Le cloud nous permet de créer rapidement de nouveaux environnements et en reconstruisant au lieu de réparer, nous avons réduit notre délai de livraison de 6 semaines à seulement 30 minutes. Cette approche facilite également l'introduction d'améliorations, il suffit de changer le code source et on reconstruit ».

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