Le groupe de restauration à thème Flo possède 300 restaurants (dont 136 en franchise) sous les enseignes Brasseries Flo, Hippopotamus, La Taverne de Maître Kanter, Tablapizza, Bistro Romain... ainsi que quelques grandes adresses comme La Coupole ou Bofinger. Le système d'information est commun à l'ensemble du groupe et se répartit entre applications locales (encaissement, certains applicatifs métier) et applications centrales (PGI Oracle Applications...) pour un total d'un millier d'utilisateurs sur l'ensemble des sites, dont une centaine d'utilisateurs nomades. La disponibilité de l'accès aux applications centrales est donc fondamentale.

Or une récente migration de Tru64/Alpha en fin de vie vers un environnement x86 avait entraîné une dégradation des performances, surtout aux heures de gros trafic dans les transferts de données le matin et le soir (ouverture/fermeture des restaurants). Il était donc nécessaire de mettre en place un accès avec une répartition de charge sur plusieurs serveurs.

Du load balancing pour les applis de gestion


Pour ses sites web sur serveurs Linux, le groupe avait mis en oeuvre du load balancing Open Source avec HAProxy intégré par Exceliance. Au moment de mettre en place une technologie similaire pour ses applications de gestion, Groupe Flo s'est retourné de nouveau vers Exceliance mais a préféré mettre en place des appliances Aloha 2K.

Deux appliances ont été mises en oeuvre dans un emplacement 1U en mode actif/passif. Le coût tant d'acquisition que de fonctionnement (consommation électrique de 7W) et l'évolutivité de la solution ont été des critères majeurs.

Outre l'amélioration de la disponibilité, cette solution permet également de concentrer les flux sur un seul serveur afin de permettre des opérations de maintenance sur un autre. Les équipes informatiques du Groupe Flo peuvent donc désormais intervenir sur le système d'information durant les heures ouvrables sans provoquer d'interruption de service.

Le coût du projet, déployé à partir de début 2010, n'a pas été dévoilé.

Une extension du système est envisagée pour permettre la virtualisation centralisée des systèmes locaux sur les 300 sites.