Flux RSS
Administration de serveurs

213 documents trouvés, affichage des résultats 21 à 30.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(06/06/2011 12:06:16)
IBM dote les villes d'un outil de gouvernance IT
Karen Parrish, vice-présidente d'IBM sur l'activité solutions industrielles a annoncé « cette plateforme qui doit permettre aux municipalités de faire des économies et d'avoir une réponse rapide en cas de catastrophe ». Ce logiciel, baptisé Intelligent Operations Center, synthétise un ensemble de données issues d'une grande variété de systèmes IT, tels que les réseaux d'eau, la traçabilité des équipements publics, les transports ou la gestion du trafic routier. Il offrira visuellement un résumé des données recueillies, en utilisant un certain nombre de règles développées par IBM.
IOC proposera une série de tableaux de bord, ainsi que des connecteurs pour les différents systèmes de gestion back-end. Il comprend aussi un certain nombre de programmes IBM, comme le serveur d'applications WebSphere et la base de données DB2. « Nous avons construit un centre opérationnel qui est capable de récupérer un ensemble de flux en temps réel, travailler et analyser les données et fournir des renseignements essentiels aux gestionnaires afin qu'ils puissent prendre des décisions plus rapidement et de manière plus efficace », précise Karen Parrish.
Cliquer sur l'image pour l'agrandir
Du sur-mesure avec des « faisceaux de points communs »
IBM a conçu IOC de façon modulaire. Différents modules seront lancés au cours des 12 à 18 prochains mois. Ces unités complémentaires couvrent des données spécifiques, telles que la gestion de l'eau ou la sécurité publique. « Les responsables locaux pourront donc intégrer ces modules en fonction de leurs besoins les plus critiques », souligne Karen Parrish et d'ajouter « nous allons construire ces modules à partir des expériences de plusieurs projets individuels et en extraire les redondances ». Aucun d'eux ne sera néanmoins disponible lors du lancement de la solution.
Pour construire ces unités additionnelles, IBM s'appuie sur 2 000 projets qu'elle a réalisés pour des villes comme New York, Memphis, Washington et Dubuque (on peut citer également la ville de Nice qui a emporté en mars dernier le Challenge Smarter Cities pour bénéficier de l'expertise d'IBM en matière de planification stratégique, de gestion des données et de compétences technologiques). Avec ce travail préalable, Big Blue a remarqué des « faisceaux de points communs», comme la gestion centralisée du personnel ou la décongestion du trafic routier.
IBM prévoit le lancement d'IOC à partir du 17 juin prochain. Karen Parrish n'a pas voulu révéler certains détails comme le prix ou la durée d'intégration d'un tel logiciel. Elle a simplement indiqué que le logiciel se connectera facilement à des systèmes IT normalisés et des adaptations particulières seront nécessaires si les systèmes sont plus anciens. La dirigeante a également indiqué que la version initiale du logiciel sera intégrable directement chez le client, mais une offre en mode hébergée est envisagée dans les futures versions.
Illustration: Intelligent Operations Center
Crédit Photo: IBM
(...)
Orsyp Institute dévoile une mesure de la performance des opérations informatiques
Mesurer la performance des opérations informatiques se faisait jusqu'à présent uniquement via la multiplication d'indicateurs parcellaires comme le coût, des indicateurs-clés, des benchmarks ponctuels ou la perception de la qualité de service. Cette situation ne convenait pas à Orsyp Institute. Il a donc réuni une vingtaine de responsables informatiques de tous secteurs en 2010 pour constituer un groupe de réflexion à ce sujet. Le résultat des travaux se nomme le TRS : le taux de rendement synthétique.
Celui-ci s'exprime sous forme d'un pourcentage et est issu des travaux précédents du secteur industriel. Orsyp Institute estime que le TRS comble un manque important pour le pilotage par la performance à l'heure où la production informatique est un facteur déterminant de la survie d'une entreprise. Cela serait d'autant plus vrai que la production, grâce à la virtualisation, peut être aisément externalisée, notamment via l'informatique en nuage.
Dossier : Virtualisation de serveurs, comment gérer la complexité ?
La virtualisation est un succès. Elle a permis dans un premier temps aux entreprises de consolider le parc de serveurs avec à la clé un réel gain sur les achats de matériels et une réduction sur les espaces et la consommation d'énergie. Résultat : le nombre de machines virtuelles (VM) s'est multiplié anarchiquement dans les entreprises entrainant ainsi plus de complexité dans le système d'information et une explosion des coûts de management due à une sous administration de ces environnements virtuels. Face à ce constat, l'industrie IT monte au créneau pour apporter des solutions pas toujours simples à décrypter...
1ere partie : La virtualisation des serveurs a-t-elle complexifié le système d'information ?
2eme partie : Le défi des solutions pour industrialiser la gestion des machines virtuelles
3eme partie : Interview Thomas Luquet et Sylvaine Dekeyrel de NEC France
Crédit photo : D.R. (...)(20/05/2011 14:52:26)
TechEd 2011: System Center et cloud unifiés chez Microsoft
Cette année au TechEd 2011, les dirigeants de l'entreprise de Redmont ont donné davantage de détails sur la place que pouvait réellement occuper le cloud computing au quotidien dans l'environnement informatique. Utiliser le cloud, cela signifie « avoir plus de personnes capables de se concentrer sur le haut de la pile, gérer les applications et notamment l'Engagement de Service ou Service Level Agreement (SLA), déployer de nouvelles applications, et ne pas avoir à se soucier de l'infrastructure sous-jacente, » a déclaré Robert Wahbe, Corporate Vice-Président de Microsoft, lors de son discours d'ouverture. « La prochaine version de Microsoft System Center sera la clé d'une stratégie cloud unifiée, laquelle permettra aux entreprises et aux administrateurs de contrôler leur charge de travail dans les clouds publics et privés à partir d'un tableau de bord unique, » a-t-il ajouté.
Une console unifiée pour les charges de travail interne ou dans le cloud
Attendu d'ici la fin de l'année, Microsoft System Center 2012 comprendra une console unique qui permettra de gérer les charges de travail virtualisées, qu'elles soient réalisées en interne ou dans un cloud public. C'est Joey Snow, l'évangéliste de Microsoft pour les questions techniques, qui a fait la démonstration de la console. L'utilisateur rassemble les composants habituels, une base de données serveur et l'application, dans le System Center. Le logiciel vérifie les ressources disponibles et les autorisations de la personne pour savoir si elle est bien habilitée à créer la charge de travail demandée. Passée cette étape, l'application peut ensuite être déployée vers un cloud privé local, ou vers un service cloud public basé sur Microsoft Azure. La console peut également vérifier les versions des applications exécutées dans le nuage, et permettre aux utilisateurs d'ajouter d'autres copies d'une application si la charge de travail venait à augmenter.
Hyper-V indispensable
Pour que cette mise en place fonctionne, tous les composants logiciels doivent être exécutés à partir d'une machine virtuelle basée sur Hyper-V. « Celle-ci peut être facilement déplacée entre clouds internes et externes, » a expliqué Robert Wahbe. « L'an dernier, c'était la première fois que l'industrie créait plus de serveurs virtuels qu'elle n'achetait de serveurs physiques, » a-t-il ajouté. « Cette évolution vers la virtualisation est le signe que nous devons infléchir beaucoup plus vers le cloud computing,» a insisté le dirigeant. La virtualisation va permettre aux entreprises de s'approprier « toutes les ressources virtualisées, de les associer de façon à provisionner les applications selon ses besoins, et de ne payer que ce qui est utilisé, » a-t-il déclaré.
De nombreuses sessions de la conférence 2011 devaient permettre aux participants de mieux comprendre comment configurer les logiciels de Microsoft pour profiter de l'interaction entre différents clouds. Robert Wahbe a également annoncé que l'éditeur américain fournirait des architectures de référence pour faciliter la mise en place d'une infrastructure cloud. Celui-ci a aussi prédit que le recours au cloud public serait majoritaire. « Les entreprises peuvent utiliser le cloud pour élargir l'accès à des applications existantes, en particulier celles utilisées par leurs clients et partenaires. » Selon lui, la Business Intelligence (BI) devrait prédominer au début, parce que l'analyse de données peut être intensive et varier au fil du temps. « Des usages plus ponctuels pour répondre à des besoins marketing ou la présentation d'événements sont d'autres opportunités naturelles pour le cloud computing, lequel permet d'allouer du matériel et des logiciels à une tâche pendant un temps donné, » a-t-il encore fait valoir.
Mise à jour Windows Phone 7
Dans son intervention, Robert Wahbe a également laissé entendre que les participants pourraient découvrir d'autres nouveautés dans les produits Microsoft au cours de la conférence. Un des sujets concerne notamment la prochaine mise à jour du système d'exploitation mobile Windows Phone 7, nom de code Mango. Attendue pour la fin de l'année, celle-ci doit permettre l'intégration avec Server Lync, l'offre de communications unifiées de Microsoft. Les utilisateurs de Mango pourront appeler leurs contacts Lync directement depuis le téléphone lui-même. Le service permettra également d'envoyer des messages instantanés aux membres de leurs listes de contacts. Un support pour accéder aux référentiels de SharePoint sera également inclus.
Sur le front de la VDI (Virtual Desktop Infrastructure), le dirigeant de Microsoft a annoncé que la banque HSBC était en train de déployer 100 000 postes de travail virtualisé à travers ses filiales, ce qui en fait « l'un des plus importants déploiements de VDI » existants, a-t-il commenté. System Center 2012 sera également capable de gérer un grand nombre de dispositifs non-Microsoft, comme l'iPhone, l'iPad et les dispositifs sous Android. « La console de System Center permettra de gérer la chaîne de bout en bout, » a-t-il ajouté.
Kinect pour un usage professionnel
Robert Wahbe a également profité de l'occasion pour montrer comment le contrôleur de mouvement de la Kinect pouvait être utilisé autrement que pour les jeux. Le centre médical Sunnybrook Health Sciences Centre l'utilise par exemple pour permettre à ses chirurgiens de manipuler les images des scanners en salle d'opération sans avoir à les toucher, ce qui leur évite de se désinfecter les mains à chaque fois. La technologie est également utilisée comme interface pour le projet Microsoft Worldwide Telescope où les utilisateurs peuvent naviguer rapidement dans une galerie d'images immersives de l'univers. Pour l'instant, le vice-président de Microsoft n'a pas précisé quels étaient les projets pour supporter des applications non-ludiques de la Kinect. Celui-ci a simplement indiqué que ces utilisations figuraient de « futures interactions possibles » avec d'autres appareils. « Kinect pourrait changer notre façon de travailler, » a-t-il déclaré.
Illustration principale : Robert Wahbe, vice-président de Microsoft
VMware intègre son outil d'automatisation avec Active Directory
En ajoutant l'intégration de son outil vCenter Orchestrator avec l'annuaire Active Directory de Microsoft, VMWare continue à faire évoluer les produits de gestion automatisée pour les environnements virtuels privés et publics. « Quels que soient les outils ou la quantité de personnel disponible dans une entreprise, l'automatisation est la seule méthode « miraculeuse » pour faire évoluer le cloud computing en accord avec la demande et son mode de fonctionnement », écrit Thomas Corfmat, chef de produit senior chez VMware, dans un post récent. VMware espère que les départements informatiques des entreprises choisiront vCenter Orchestrator pour automatiser des tâches que les administrateurs exécutent manuellement. Selon le responsable de produit, l'outil de VMWare, qui dispose d'une interface graphique pour créer des workflows automatisés, doit permettre à la pile cloud VMware de s'intégrer à l'environnement et aux processus d'un client afin de contribuer « à réduire les coûts et à accroître les performances. »
Créer un compte utilisateur et un mot de passe
Le plug-in vCenter Orchestrator de VMware pour Active Directory (AD) de Microsoft permet d'automatiser la gestion des tâches des services d'annuaire. Compatible avec les versions 2003 et 2008 d'AD, il est livré avec 34 modèles de flux prêts à l'emploi, dont un pour créer un compte utilisateur dans un groupe de travail et définir un mot de passe. « Cette fonction a l'air d'une action de base, mais c'est en réalité une tâche de gestion très importante, car le fait de l'automatiser permet d'atténuer le risque d'erreur de la part de l'administrateur », explique Fredrik Rynger (en photo), chef de secteur chez VMware. Les utilisateurs peuvent modifier ces modèles de workflows prédéfinis pour en créer d'autres plus complexes et les adapter à leurs besoins. En plus du plug-in pour Active Directory, il en existe aussi pour Cloud Director de VMware et Unified Computing System (UCS) Manager de Cisco. « D'autres nouveautés vont arriver, comme la possibilité, très utile, d'intégrer les systèmes de stockage », a également annoncé Fredrik Rynger.
VMware continue à travailler sur vCenter Orchestrator
vCenter Orchestrator est inclus dans vCenter Server de VMware et peut être associé à un certain nombre de solutions existantes déjà proposées par l'éditeur. « De nombreux services informatiques s'appuient encore sur les scripts pour automatiser certaines tâches de gestion, mais à mesure que les systèmes deviennent de plus en plus conséquents, ils sont en train de changer de méthode », explique le chef de secteur. VMware continue à travailler au développement de vCenter Orchestrator. Thomas Corfmat pense que « l'automatisation ne se généralisera pas tant qu'elle ne pourra pas être déployée en quelques minutes plutôt qu'en plusieurs heures ou en quelques jours,» comme il l'a écrit. « C'est ce à quoi nous travaillons », a assuré le responsable produit.
Illustration : Fredrik Rynger, chef de secteur chez VMware (crédit : Joel Asblom / IDG Stockholm)
Performances des applications web : BMC rachète Coradiant
Avec le rachat de l'éditeur Coradiant, annoncé hier, BMC Software récupère des outils permettant de surveiller les performances des applications web. En les ajoutant à sa plateforme Business Service Management, le spécialiste américain de la gestion des services métiers considère qu'il dispose ainsi de la solution la plus complète pour suivre et intervenir de façon proactive sur les performances applicatives offertes aux utilisateurs.
La technologie de Coradiant surveille les performances des applications à la fois « on-premise » (installées dans l'entreprise), accessibles dans un environnement virtualisé ou dans le cloud. Sur le marché, on trouve des offres concurrentes chez Keynote, Opnet et Compuware. Le monitoring d'applications comporte deux volets. D'une part, il aide le département IT à localiser les problèmes risquant d'entraver la fluidité des applications d'entreprise et de réduire la productivité des utilisateurs. D'autre part, ces outils sont mis à profit pour contrôler la disponibilité et le bon fonctionnement des portails publics et des sites de e-commerce.
La gamme TrueSight de Coradiant se décline en plusieurs produits : Enterprise Edition, End User Monitor et le service « on-demand » Performance Reporting Service. L'éditeur a également développé TrueSight Cloud Visibility Edition for Akamai, une appliance virtuelle pour vérifier en temps réel les performances des applications web accélérées par Akamai.
Une visibilité de bout en bout sur les applications
La nouvelle solution BMC End User Exeperience Management, basée sur la technologie de Coradiant, aidera à comprendre comment la performance des applications peut affecter le comportement des utilisateurs et, par ricochet, l'activité de l'entreprise. Elle fournira en temps réel une visibilité de bout en bout sur les applications (en mode SaaS, dans le cloud ou déployées en interne). BMC souligne que la compétitivité des entreprises est de plus en plus tributaire d'applications en ligne et rappelle qu'avec le développement des datacenters virtualisés, du cloud et des technologies Web 2.0, les applications, extrêmement complexes, sont de plus en plus distribuées.
BMC disposera donc de fonctionnalités de monitoring pour analyser finement le comportement des utilisateurs face à leur interface applicative. En reliant ces données à la performance applicative, il sera possible de fournir un compte-rendu détaillé des problèmes survenus pendant chaque visite d'internaute, explique l'éditeur. L'acquisition de Coradiant lui apporte une brique de plus pour alimenter la concurrence avec les trois autres acteurs du « Big Four » de l'administration de systèmes (CA Technologies, Hewlett-Packard et IBM), dans lequel BMC Software constitue le quatrième protagoniste.
Illustration : le service "on-demand" TrueSight Performance Reporting (...)
BMC tire parti des performances de DB2v10 sur System z
« Les clients veulent migrer vers la version 10 de DB2 plus rapidement qu'ils ne l'avaient souhaité lors des précédentes évolutions de la base de données, en raison des promesses de réduction de coût faites par IBM », constate Robin Reddick, directeur marketing de BMC pour la gestion de service mainframe en ajoutant que BMC avait fait évoluer 23 de ses applications de gestion de service mainframe pour qu'elles supportent la version 10 de DB2 sur System z9 et z10 (en photo).
Les derniers modèles System z exploitent des co-processeurs zIIPs (Integrated information processor) qui viennent décharger le processeur principal de certains traitements, ce qui permet aux clients de réduire le coût au Mips (million instructions par seconde) des systèmes. Lorsqu'IBM a lancé DB2 10 pour z/OS l'an dernier, il a annoncé qu'en migrant vers cette version, les clients verraient une amélioration automatique des performances, de l'ordre de 10%, grâce à l'utilisation de ces co-processeurs. Selon lui, il était même possible d'obtenir des gains supérieurs si le client procédait à des réglages fins du système. Dans ce domaine, Robin Reddick, indique que les solutions BMC qui tirent parti des co-processeurs zIIP aideront à réaliser ces ajustements.
Parmi les produits pour DB2 que l'éditeur a mis à jour figurent System Performance, Database Administration, Database Performance, Recovery Management et SQL Performance. Ce dernier identifie les requêtes SQL qui surconsomment les ressources et il a justement été réécrit pour fonctionner avec les zIIP. « Parmi les outils qu'un client peut avoir, les produits d'optimisation sont typiquement ceux qui font le plus appel au CPU », souligne Robin Reddick. En déplaçant le logiciel vers le processeur zIIP, les clients peuvent l'exploiter sans monopoliser les ressources du processeur principal.
Un datawarehouse sur DB2 10 au Florida Hospital
Le groupe hospitalier Florida Hospital est au nombre des clients susceptibles de tirer profit de ce nouveau jeu d'outils. Son système d'information rassemble 42 applications médicales et de back-office prenant appui sur une instance de DB2 exploitée sur un mainframe IBM. La base de données reçoit près de 400 millions d'accès chaque jour. L'établissement va passer à DB2 version 10 et l'utilisera en premier lieu pour une application de datawarehouse. DB2 supporte le mode « time-based data » (enregistrement périodique des données), ce qui permettra à l'hôpital d'interroger le datawarehouse à tout moment. « Nous pourrons obtenir des réponses [sur les données enregistrées] au jour le jour], ce qui nous ne pouvions pas faire auparavant », explique Bob Goodman, administrateur senior de la base de données de l'hôpital.
L'établissement va également déployer différentes mises à jour de produits BMC, parmi lesquelles le logiciel de monitoring MainView pour DB2 qui facilitera la résolution des problèmes sur le datawarehouse. Ce dernier va répondre à de nombreuses requêtes dynamiques, ou bien à des requêtes uniques qui n'ont pas encore été optimisées pour un usage répété. « MainView donne la possibilité de se tourner vers Dynamic SQL », ajoute Bob Goodman. Il explique que contrairement à d'autres outils de monitoring qu'il a utilisés par le passé, MainView propose de conserver un historique des appels SQL et des chemins qu'ils ont empruntés dans le système. « Avec MainView, nous pouvons revenir à une connexion pour l'examiner. Cela constitue pour nous une aide à la productivité. Nous avions l'habitude de faire la chasse aux dysfonctionnements. Maintenant, nous pouvons voir où se situe le problème. »
Illustration : le mainframe z10 (crédit photo : IBM) (...)< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |