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(08/04/2011 10:34:46)

Stibo Systems implante ses outils MDM en France

Editeur danois, créé en 1976, Stibo Systems ouvre un bureau en France. La société traite le référentiel produits des entreprises, essentiellement des grands comptes, avec une plateforme : Step master data. Stibo est spécialisée dans ce qu'on appelle le MDM (Master data mangement), le PIM (Product information management) et la publication multicanal (web, papier, ERP, échanges de données).

La société vend en direct, mais recourt à des intégrateurs pour l'implémentation de ses produits. Elle recherche actuellement des partenaires de ce type pour l'aider à se développer en France. Elle compte déjà des clients dans l'hexagone : Manutan, Jeulin, Seton.

Société indépendante, elle dépend d'une fondation, Stibo Systems affronte des concurrents comme IBM, Sap ou Oracle dans un marché mondial qui devrait tripler de taille entre 2008 et 2013, pour atteindre près de 3 milliards de dollars.

(...)

(07/04/2011 09:52:58)

Dimo Gestion entre croissance et modèle SaaS

Le double rachat intervenu en début d'année, celui d'AXC et celui de Yellowstone Software complète les activités de Dimo Gestion. AXC est un éditeur  réalisant 1 ME de CA, avec une spécialité : la gestion des notes de frais, mais dans le secteur public. De taille trop petite pour se développer la société s'est vendue à Dimo Gestion qui complète ainsi son activité de gestion des notes de frais, où il édite le logiciel Notilus.  Les équipes d'AXC rejoignent celles de Dimo Gestion à Courbevoie en région parisienne, dans le pôle CRM.

Yellowstone présente un autre profil, la société est dans le CRM et le Saas. Dimo Gestion, qui a repris ce fonds de commerce, en profite pour créer une filiale, spécialisée en Saas : Dimo Apps, avec l'activité CRM de l'ex Yellowstone et celle développée par Dimo Gestion depuis 2003. D'autres développements sont en cours. Dimo Apps ce sera du Saas vertical, dans trois secteurs : le SRM, Supply relationship management, l'hôtellerie, les organismes  collecteurs de la taxe d'apprentissage. L'activité Saas devant représenter 20 % de celle de Dimo Gestion en 2015.

Ces rachats et cette création de filiale marquent une étape dans le développement de Dimo Gestion. La société veut se développer davantage à l'International. Elle y accompagne ses clients en gestion de notes de frais en adaptant ses produits dans la langue et la législation locale. Parfois, Dimo Gestion crée une implantation, comme en Tunisie ou à Madrid. Elle recherche également des distributeurs à l'international.

Un modèle mixte  de distribution


En France, Dimo Gestion a adopté un modèle mixte  de distribution en direct et en indirect. L'éditeur raisonne suivant chaque affaire. Une quinzaine de partenaires l'accompagnent. Le 21 mars dernier, était organisé le 1er Dimo partner meeting, destiné aux partenaires français et internationaux en indirect. Se tenait également, le lendemain,  le 10 ème Dimo Forum, ouvert aux clients et partenaires, avec plus de 950 participants.

La société est organisée en b.u : BI, CRM, Finance, GMAO (Gestion de la maintenance assistée par ordinateur), Dématérialisation et processus, Gestion, voyages et notes de frais. Chacune d'elles travaille sur les produits édités en propre ou ceux distribués. L'édition c'est d'abord une niche de marché, les notes de frais d'entreprise, où Dimo Gestion détient une place prépondérante en  France et en Europe, avec son logiciel Notilus. Dimo Gestion a lancé un outil de GMAO avec les rachats de CIRIS et d'Ithec. Troisième produit en édition, Geck  destiné aux interfaces ERP. La distribution c'est plusieurs partenariats, comme ceux noués avec  Sage et Cognos.

La société s'est dotée d'un plan de développement pour l'horizon 2015. « L'objectif est d'atteindre les 40 ME de CA, souligne Guillaume Mulliez, P-dg de l'entreprise, tout en restant indépendant, ce qui est notre marque de fabrique ». Les 6 associés de départ ont aujourd'hui 9, rejoints par 15 managers. Un fonds interne, alimenté par 130 salariés est également actionnaire. On retrouve l'ADN des Mulliez : esprit d'entreprise et association des salariés au capital.

(*) Créée en 1983, la société Cerg Finance fut pionnière dans la gestion de trésorerie (cash management) en France, en 1998 elle rejoint XRT, le tout est racheté par Sage fin 2007.

(...)

(07/04/2011 10:39:50)

Truffle 100 France 2011 : les éditeurs de logiciels redressent la barre

Pour sa septième édition, le Truffle 100 des éditeurs français de logiciels repart enfin à la hausse de façon significative, après s'être vu ravir depuis 2006 quelques-unes de ses plus belles réussites (Business Objects, GL Trade, Ilog, Viveo). En 2010, ce Top 100 a enregistré une progression de 17,5% du chiffre d'affaires lié à l'édition de logiciels, à 4,7 milliards d'euros (contre 4 Md€ un an plus tôt). Le chiffre d'affaires total du Truffle 100 atteint 6,6 milliards, soit 10% de plus qu'en 2009.

« C'est une année de post-crise, on repasse enfin au-dessus de 2006 qui avait été jusqu'à présent la meilleure année [4,2 Md€] », commente Bernard-Louis Roques, directeur général et co-fondateur de Truffle Capital, en soulignant néanmoins que c'est normal pour cette industrie en croissance. Le bénéfice de ces sociétés reprend lui aussi des couleurs, en valeurs absolue et relative. Le résultat net du Top 100 s'est élevé à 543 M€ en 2010 contre 254 M€ en 2009. Et il a représenté en moyenne 6,6% du chiffre d'affaires du Truffle 100 contre 4,3% l'an dernier. « Mais, on ne retrouve pas le niveau des années 2004 à 2007, fait remarquer Bernard-Louis Roques. On en est encore loin, il n'y a pas lieu de crier victoire. » En 2007, le résultat net représentait en moyenne 11,4% du CA total.

Les éditeurs modèrent leurs dépenses R&D

Le secteur continue de créer des emplois qualifiés : un millier de plus sur ses activités de R&D en 2010, portant ses effectifs à 11 460 personnes sur ces fonctions. Au total, le Truffle 100 employait 57 490 personnes l'an dernier, soit presque 3 560 de plus qu'en 2009. « Toutefois, ce n'est pas massif compte tenu de la croissance, note Bernard-Louis Roques. Les éditeurs de logiciels ont été une industrie résiliente en période de crise. Mais, ils sont maintenant soucieux de ne pas accélérer les investissements en R&D ». Ces dépenses n'ont augmenté que de 1%. Le co-fondateur de la société de capital risque Truffle Capital fait remarquer que ces éditeurs ne se sentent pas vraiment soutenus par les hommes politiques.

Le Small Business Act (SBA) « à la française » appelé de leurs voeux depuis des années n'a toujours pas avancé [cela permettrait de réserver une partie des appels d'offres aux PME]. « Sur ce sujet, un Framework a été fait au niveau européen, mais c'est une coquille vide ». Il y a eu des débats sur le CIR (crédit impôt recherche) début 2010, puis à la fin de l'année, la réforme du statut de la JEI est venue pénaliser ces jeunes entreprises innovantes, ce qui ne favorisera pas les dépenses R&D. « Les éditeurs ne se sont pas sentis véritablement aidés. L'absence de débat sur un SBA qui existe depuis 1953 aux Etats-Unis, le fait que l'on parle d'un plan de relance mais que l'essentiel du grand emprunt ne soit pas facilement accessible aux PME... C'est hallucinant, alors qu'année après année, ils créent des emplois. »

Une industrie centralisée en Ile-de-France


Autre caractéristique de ce Truffle 100 français : 63 éditeurs se trouvent en Ile-de-France contre 59 en 2009. Derrière, la région Rhône-Alpes se maintient, mais avec 12 éditeurs seulement, dont le numéro 4, Cegid.

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Une industrie centralisée en Ile-de-France


Les éditeurs qui entrent en bout de classement sont franciliens, pointe Bernard-Louis Roques en rappelant par ailleurs que les petits éditeurs croissent plus vite que les gros. « Si notion de cluster il y a, elle tend à démontrer que le cluster français est viable au niveau international ». Pourtant, Londres a dépassé l'Ile-de-France dans cette course. Les gros éditeurs croissent faiblement alors que d'autres en Europe sont beaucoup plus agressifs. « Au niveau européen, il y a en Allemagne un software cluster, le seul à être reconnu comme tel, ayant vocation à aider l'industrie locale du software », souligne Bernard-Louis Roques. « Il est soutenu par des fonds publics et privés : 80 millions d'euros de financement public auxquels s'ajoutent des financements privés avec des initiatives venant de SAP et de Software AG. Dans la région de Londres, il y a également les initiatives annoncées, en particulier la création d'une Silicon Valley. En France, il y a les pôles de compétitivité. Chacun veut avoir son pôle, mais seule l'Ile-de-France peut se battre au niveau international. »

Rachat par des Américains : accalmie temporaire


Cette année, la consolidation s'est stabilisée dans le haut du classement. Les rachats d'éditeurs français par des groupes étrangers ont été moins importants. Au total, le poids des rachats a pesé 45 M€ contre 55 M€ en 2009 et 371 M€ en 2008. Le numéro 19 du classement, EmailVision, a tout de même été racheté par le fonds américain Fransisco Partners. Mais Exalead, en revanche, a rejoint le Français Dassault Systèmes, ce qui a consolidé le Truffle 100. Il y a eu par ailleurs onze acquisitions. « Cette année d'accalmie, c'est très positif pour les éditeurs mais ce n'est pas une tendance, considère Bernard-Louis Roques. Cela peut reprendre car les éditeurs américains sont riches, ils ont beaucoup de cash. »

La part du progiciel métier reste prépondérante dans ce Top 100, mais les solutions technologiques prennent plus de place. « Le SaaS est encore embryonnaire en France, estime le co-fondateur de Truffle Capital qui voit en revanche, « en tant que venture capitalist, un « deal flow » [flux de dossiers présentés aux investisseurs] absolument phénoménal sur le mobile. Toutes les sociétés qui sont sous le radar évoluent dans la mobilité, les médias sociaux et sont des pure players SaaS. Il y a toute une vague qui progresse. Nous constatons une très forte différence entre cette année et l'an dernier, un nombre de projets beaucoup plus importants », confirme-t-il. (...)

(01/04/2011 11:52:51)

Au coeur de la Silicon Valley : Retour chez Zoho (Part 3)

Un an après notre rencontre avec Zoho, le marché des applications SaaS se porte bien et les offres se sont étoffées chez les géants comme Google, SalesForce.com et même Microsoft. De son coté, Zoho qui propose 25 applications en lignes (base de données CloudSQL, CRM, facturation, outils bureautique et collaboratif) revendique aujourd'hui 50 000 clients et 4 millions d'utilisateurs.

« Nous avons construit nos logiciels comme des produits et non pas comme des services. Par exemple, tout est compris dans notre tableur mais pour optimiser la réactivité de l'application tous les composants ne sont pas chargés en même temps mais appelé en fonction des besoins de l'utilisateur. C'est notre sauce secrète, nous ne sommes pas Open Source. Notre plate-forme repose sur un framework et une base de donnée utilisés par toutes les applications. Nous sommes bien sûr multi-tenant mais cela a été très dur à faire » explique Sridhar Vembu. Encore une fois dans la vallée (voir FaceBook et BlackBlaze) , Zoho ne recourt pas à la virtualisation sur ses serveurs hébergés dans des datacenters en Chine et en Inde.

«  Nous utilisons des serveurs animés par une version simplifiée de Linux. Moins vous avez de software, meilleur est la sécurité. Et à contre courant de la mode actuelle dans la vallée, nous n'utilisons pas le framework Ruby mais du Python pour certaines choses et du JavaScript coté clients ». Zoho propose également une place de marché  qui regroupe 300 modules à greffer sur les 25 applications de base : TeamWork Task Manager, My Money Manager ou encore du CRM.

Des modules complémentaires


Parmi les nouveautés proposées par la compagnie, citons CRM for call centers pour la gestion des appels et l'intégration contextuelle des services Zoho dans les applications en ligne . On peut ainsi partager ses emails pour recouper des informations sur des clients dans l'application CRM. « Nous croyons à cette intégration contextuelle pour apporter une vraie plus-value à nos clients » assure Sridhar Vembu. Lucide,  ce dernier avoue volontiers qu'il manque encore certaines choses à son portefeuille applicatif notamment dans la suite collaborative.

Un autre axe de développement est la verticalisation des applications pour répondre aux besoins de certains métiers comme les médecins, les avocats... « Zoho réalise des développements spécifiques pour des clients mais beaucoup de développement sont nécessaires pour répondre à certains besoins ; nous ne sommes pas encore prêt, nous recherchons des partenaires qui maitrisent ces métiers ». Fort à propos, le CEO met en avant Medical Mind, un produit développé par sa femme, à destination des médecins et Charm pour accompagner le suivi des enfants autistes.

A la question de savoir si Zoho proposera un jour un ERP online, Sridhar Vembu répond simplement que la société se concentre sur la question... Rappelons pour conclure que Zoho est en fait une déclinaison de SoHo (Small office, Home office). Une déclinaison car le nom de domaine SoHo étant inaccessible, Sridhar Vembu a judicieusement baptisé sa compagnie du nom de Zoho  pour la lancer sur le web.

Illustration principale :  Raju Vegesna, évangéliste, et Sridhar Vembu, CEO de Zoho

(...)

(28/03/2011 11:30:07)

Sage s'essaye au SaaS progressivement

Resté longtemps frileux sur le sujet, Sage engage une stratégie mondiale sur le Saas (software as a service). Annoncée depuis quatre mois en interne, celle-ci reste encore prudente. Elle repose sur la mutualisation des développements assurés dans un pays et réutilisables dans d'autres grâce à la technologie Sdata de Sage (**). Chaque pays évoluant ensuite à son rythme au plan commercial. La comptabilité en Saas par exemple, déjà engagée en Grande-Bretagne avec la solution SageOne, ne le sera pas tout de suite en France, le marché n'étant pas jugé suffisamment mûr.

Sage France conduit une stratégie en deux volets, d'un côté des « add on » en ligne, de l'autre des solutions de gestion complète. Dans le premier cas, il s'agit de modules, ce que Sage appelle des « services connectés », de l'autre des « solutions de gestion », soit pour TPE, soit pour ETI (entreprises de taille intermédiaire), par exemple une comptabilité ou une gestion des ressources humaines. Les services connectés sont des fonctionnalités complémentaires pour des clients de Sage possédant déjà des solutions sur site. Les services de gestion sont des solutions complètes pour des créateurs d'entreprise ou des PME de taille importante.

Sur le premier point, les services connectés, Sage France propose par exemple un fichier prospects et une solution de génération et de suivi de commandes pour compléter le logiciel de CRM Act ! Autres exemples : la visualisation en temps réel sur un smartphone des compteurs d'activité de l'entreprise (encours clients, portefeuille de commandes en cours), l'interfaçage d'un site de e-commerce avec la gestion commerciale Sage, le passage de déclarations fiscales ou sociales en ligne (en complément du logiciel de Sage directDéclaration). « On amène ainsi des services en ligne sur le poste client et on propose à nos utilisateurs des fonctionnalités nouvelles », souligne Antoine Henry.

La paye en SaaS pour les TPE

Quant aux solutions complètes de gestion, Sage France propose déjà Ciel e-service Paye pour gérer la paye avec une facturation au bulletin de salaire. Ce logiciel est destiné aux entreprises de moins de 20 salariés, plutôt des entreprises jeunes, peut-être venues à l'environnement Sage par le logiciel « auto-entrepreneur ». Sur 1 200 000 entreprises de moins de 20 salariés, 300 000 seulement sont équipées d'un logiciel de gestion. Le Saas sera peut être un moyen de leur faciliter le passage à la gestion informatisée, espère Antoine Henry.

Les entreprises de taille plus importante se voient proposer leurs logiciels habituels, Sage 100, FRP Treasury, Transport, en mode Saas et par les partenaires en indirect. L'éditeur a également mis au point une approche hybride. Dans ce cas, son client peut utiliser le même logiciel, soit dans la formule traditionnelle, soit dans une formule en Saas pour certains de ses utilisateurs. Deux produits sont actuellement concernés : Sage 100 Entreprise Etendue et Sage SalesLogix (CRM vendu aux Etats-Unis).

Sage a réalisé 315 millions d'euros de chiffre d'affaires l'an passé en France, en progression de 3%. Sur ce total, 10 millions d'euros venaient du Saas. En 2009, selon Pierre Audoin Consultants, l'éditeur britannique Sage réalisait 80 millions d'euros dans le monde dans le domaine du Saas. C'était le premier éditeur en Saas, devant son compatriote Misys (74 M€), Linedata Services (38 M€), SAP (14 M€) et Cegid 12,5 M€. Les chiffres 2010 sont en cours d'enquête.

(*) En remplacement de Pascal Houillon, parti diriger l'Amérique du nord.
(**) http://sdata.sage.com/sdatacore_covers.html

(...)

(24/03/2011 10:58:03)

Optimisation et automatisation des processus analysées

Décideurs métiers comme responsables IT s'accordent autour de l'intérêt d'optimiser et d'automatiser les processus au sein des organisations, tant publiques que privées. Les processus métier sont ciblés de façon prioritaire par rapport aux processus IT.

Les raisons invoquées sont multiples. On y compte : l'efficacité opérationnelle, la réactivité, la traçabilité, la satisfaction client, etc. L'agilité des organisations est l'un des motifs majeurs invoqués. Mais il ne faudrait pas oublier aussi la capacité à mieux maîtriser les coûts d'une organisation aux processus bien gérés.

Tout cela est d'autant plus vérifié que les processus sont en permanente évolution.

Pour optimiser les processus, les organisations ont recours, bien entendu, à des solutions dédiées de cartographie ou d'automatisation mais aussi à des acteurs de solutions métier. Ainsi, des outils de GED, de GRH, de dématérialisation voire même le PGI sont autant sollicités.

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