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(28/01/2011 10:01:45)

L'AP-HP et l'AP-HM ont choisi la même solution SaaS pour gérer les incidents de santé

L'AP-HP (Assistance Publique Hôpitaux de Paris) et l'AP-HM (Assistance Publique Hôpitaux de Marseille) regroupent les hôpitaux, respectivement, de la région parisienne et de la ville de Marseille. Comme tous les hôpitaux, AP-HP et AP-HM ont l'obligation de mettre en place un recensement et une analyse des évènements indésirables graves en santé (EIGS). Dans deux marchés publics distincts, les deux organisations hospitalières ont fait le même choix pour gérer les EIGS. Les CHU de Bicètre, Bécière et Paul Brousse de l'AP-HP ont notifié le leur le 7 décembre 2010 et l'AP-HM le 18 janvier 2011.

Il s'agissait de disposer d'un outil facile à déployer, accessible par Internet par tous les acteurs de santé concernés, sans lourdeur d'administration technique (mises à jour, gestion des serveurs, etc.) et de mutualiser les moyens techniques pour diminuer l'empreinte carbone du système. Pour ces raisons, les deux organisations ont choisi une solution en mode SaaS proposée par BlueKanGo, l'offre Blue Medi. Les coûts des projets n'ont pas été communiqués.

Illustration : Hôpital de Marseille Nord, crédit D.R. (...)

(26/01/2011 10:30:47)

Tibco lance une plateforme sociale taillée pour l'entreprise

Tibco se risque à son tour sur le terrain des solutions de réseaux sociaux d'entreprise, du type de celle que propose Salesforce.com avec Chatter. Sa plateforme, baptisée Tibbr, annoncée fin 2009, vient d'être lancée par l'éditeur à San Francisco. On y retrouve le concept, désormais familier, des flux d'informations. A ceci près qu'au lieu de suivre l'actualité de contacts, les utilisateurs vont suivre des sujets (données, domaines -Fig1 ci-dessous- ou événements -Fig2) qui auront été générés par les applications exploitées dans l'entreprise. Cette solution est disponible à la fois en mode SaaS, comme un service en ligne, et sous la forme classique d'une application à installer en interne.

Pour Ram Menon, vice-président exécutif du marketing de Tibco, cette approche est plus intéressante que de simplement s'attacher à des personnes ayant les mêmes centres d'intérêt. « Billy qui s'occupe des livraisons à San Diego ne connaît pas Joe qui fait la même chose à Hong Kong. Mais Samsung est leur plus gros client, donne-t-il en exemple. Par conséquent, un sujet intitulé « Livraisons Samsung » pourrait être créé qui afficherait des données provenant du système logistique que ces deux utilisateurs pourraient suivre à travers Tibbr ».
Tibbr de Tibco - suivre des sujets
Fig 1 - Cliquer ici pour agrandir l'image

Tibco a également cherché à améliorer le filtrage des informations. « Les priorités diffèrent : si mon patron publie une information, je veux en être informé en temps réel, explique Ram Menon. En revanche, s'il s'agit d'une actualité sur une campagne marketing, je souhaiterai en être informé le matin, et puis qu'on me l'envoie ensuite sur mon poste. »

La plateforme autorise aussi l'intégration des flux provenant de réseaux sociaux extérieurs à l'entreprise, tels que Facebook. En revanche, la récupération des données ne se fera que dans un sens, afin d'être certain de ne pas laisser sortir des données au-delà du pare-feu.
Tibbr de Tibco - événements remontés des applications
Fig 2 - Evénements remontant des applications

Support des annuaires d'entreprise


Tibbr se complète d'un framework de flux d'événements qui permettra aux responsables métiers de créer des sujets sans passer par le département informatique. Par exemple, un responsable des ventes peut vouloir créer un fil d'actualité mis à jour à partir des champs de l'application de CRM (gestion de la relation client). La plateforme inclut aussi le support de terminaux mobiles et des capacités d'intégration avec les annuaires d'entreprise LDAP et Active Directory de Microsoft, pour l'authentification des utilisateurs.

Cet ensemble de fonctionnalités est le fruit d'un développement qui s'est révélé finalement plus long que prévu, a confié Ram Menon lors de la présentation de la plateforme. Tibco a livré une première version bêta plusieurs mois après l'annonce initiale. Mais l'éditeur s'est vite rendu compte que plaquer des fonctionnalités popularisées dans le grand public ne fonctionnait pas forcément pour l'entreprise, reconnaît le vice-président marketing monde. « Dans les secteurs industriels très régulés, les clients étaient très réticents à voir leurs conversations très privées flotter dans l'atmosphère. Tibco a donc estimé qu'il fallait en proposer une version à installer en interne. » Mais dès que vous parlez de « on premise », vous retombez tout de suite dans des projets qui s'étalent sur six mois. « Nous avons donc travaillé là-dessus ». En utilisant son expertise middleware, Tibco a développé des méthodes qui permettent à Tibbr de fonctionner sur des systèmes « on premise » en quelques heures, de façon assez comparable avec ce que proposerait une version SaaS, assure Ram Menon.[[page]]L'éditeur s'est également rendu compte que l'offre devrait disposer d'un solide support mobile au moment de son lancement. Tibbr s'accompagne d'applications natives pour les plateformes d'Apple, BlackBerry et sous Android. D'autres doivent suivre. De fait, Tibco pense que si un produit comme Tibbr ne peut pas être mis en oeuvre de façon universelle sur des terminaux mobiles, son adoption ne peut qu'être freinée.

La plateforme a déjà reçu une appréciation positive de l'analyste Ray Wang, PDG du cabinet Constellation Research, spécialisé depuis de nombreuses années sur les logiciels professionnels. Il trouve que cet outil de collaboration a beaucoup d'allure, surtout venant d'une société dont on n'aurait pas attendu ce style de produits. « C'est l'une des choses qui peut apporter de la pertinence à Tibco en 2011 », estime-t-il. L'aptitude de Tibco à filtrer l'information pour descendre jusqu'à l'information qui sera véritablement utile, c'est le composant crucial de l'offre, selon lui. « Nous sommes submergés par toute cette information », ce qui fait que même un modeste flux d'actualités sur un compte Facebook se transforme rapidement en vraie pagaille, fait justement remarquer Ray Wang.

La SSII Ciber passe de Yammer à Tibbr

L'un des premiers clients de Tibbr est le prestataire de services IT Ciber (8 000 personnes, plus d'un milliard de dollars de chiffre d'affaires). La plateforme va être déployée auprès de tous ses salariés, a indiqué Tony Hadzi, président de Ciber pour l'Amérique du Nord. La société va migrer de la plateforme de collaboration Yammer pour passer sur Tibbr, a-t-il expliqué. Yammer a été remarquablement accepté par les salariés, une adoption qui a en outre nécessité peu d'efforts de la part de l'encadrement de Ciber. Comme la société utilisait la version gratuite du logiciel, cette expérience a constitué une façon peu coûteuse de tester l'intérêt du réseau social interne, relate Tony Hadzi.

Le groupe Ciber connaît une période de transformation et poursuit l'objectif de rassembler une organisation jusque-là plutôt fragmentée, explique celui qui est aussi le vice-président exécutif de la société. « Nous avons lancé le concept de réseau social et mon intention d'adopter une approche agnostique. Il s'agissait davantage, pour moi, de restructurer la société et d'utiliser ce moyen comme l'un des outils principaux pour changer l'état d'esprit des équipes sur le terrain et de mes cadres dirigeants ».

Mais, avec le temps, la société a trouvé insuffisantes les fonctionnalités de Yammer. « L'expérience de Tibco dans les solutions d'intégration a constitué un argument de vente pour Tibbr », pointe Tony Hadzi. Yammer constituait davantage une solution ponctuelle, tandis que Tibco proposait un produit pouvant être déployé à l'échelle de l'entreprise. (...)

(25/01/2011 10:15:53)

Annuels Esker : SaaS et internationalisation vecteurs de croissance

Esker, éditeur mondial de solutions logicielles destinés à automatiser le traitement de tous les types de processus documentaires, annonce un chiffre d'affaires de 32,7 M€ en 2010, soit une croissance de 19% par rapport à l'année précédente. Cette augmentation s'explique par l'adoption d'une nouvelle stratégie depuis 2005. En plus de son activité d'éditeur traditionnel de logiciels, Esker propose également des solutions SaaS à ses clients ce qui lui permet d'avoir des revenus récurrents. La croissance de 19% de la société est avant tout une croissance organique.

L'entreprise réalise 68% de son chiffre d'affaires à l'international. Il confirme sa présence aux Etats-Unis avec une croissance de ses filiales américaines de 10%, ainsi qu'en Europe (18% de croissance). Esker accentue sa présence internationale en Asie-Pacifique avec l'ouverture d'une nouvelle filiale en Malaisie.  Avec l'adoption du SaaS, les filiales étrangères Esker ont enregistré une croissance de 56% de leur activité à la demande.

Esker annoncera ses bénéfices au mois de mars.
(...)

(24/01/2011 10:40:09)

La dématérialisation du processus d'achat reste morcelée selon Markess

Markess International vient de publier une étude sur la dématérialisation du processus d'achat, au delà de la facturation électronique. En se concentrant sur les organisations pratiquant ou envisageant la facture électronique, le cabinet d'études a cherché à mieux analyser les pratiques des entreprises qui ne sont pas rétives à la dématérialisation des processus. Selon cette étude, le Processus d'Achat Dématérialisé (PAD) repose dans la plupart des cas sur une succession d'outils différents : 12% disposent de solutions séparées pour chaque processus, 65% de solutions séparées mais connectées (éventuellement via le PGI) et seulement 23% d'une solution unique et intégrée.

Les contraintes formelles de la facturation freinent le PAD

Le Processus d'Achat Dématérialisé (PAD) se compose de multiples étapes strictement internes à l'entreprise cliente ou reliant le fournisseur et son client : demande d'achat (24% de dématérialisation), commande d'achat (44%), accusé de réception de la commande (21%), bon de livraison (25%), bon à payer (18%), accusé de réception de la livraison (15%), facturation (67%), demande d'avoir (8%) et avis de paiement (31%). Si on excepte la facturation qui doit revêtir des formes très encadrées par la loi, beaucoup d'étapes se dématérialisent très simplement et peuvent se réduire à un formulaire, un échange de fichier structuré (EDI) voire d'un PDF, ou même un simple envoi de courriel. Les contraintes formelle de la facturation électronique reste d'ailleurs le principal frein au développement de celle-ci, ce qui a des répercutions sur tous les autres dispositifs.

Le secteur public est actuellement très en retard sur le privé en terme d'adoption du PAD. Mais il le rattrape rapidement, surtout à cause de la généralisation de projets à forte dimension de dématérialisation comme Helios (comptabilité des collectivités locales) ou Chorus (gestion budgétaire de l'Etat).

Toujours optimiser les coûts

Le but principal de la dématérialisation du processus d'achat est de réduire les coûts administratifs pour soit supprimer ces coûts (suppression du personnel en charge du traitement manuel des factures) soit redéployer les ressources libérées sur des tâches à valeur ajoutée. Les avantages organisationnels sont loin derrière.
(...)

(21/01/2011 09:41:21)

HP/Mercury vs eCume : l'association d'utilisateurs conteste toujours le prix du support

Après SAP face à ses utilisateurs réunis dans l'USF, HP fait face à l'eCume, le club des utilisateurs des solutions Mercury que le constructeur a rachetées. Les clients ont peu apprécié de voir leur maintenance évolutive, déjà chère, amputée d'une série de nouvelles fonctionnalités disponibles uniquement dans une version plus onéreuse. Pour HP, cette version plus onéreuse constitue une nouvelle offre et ne remet donc pas en cause l'ampleur de la maintenance évolutive.

Le produit Test Director de Mercury est devenu Quality Center en étant racheté par HP. Ce logiciel permet de gérer les plans de tests et de piloter des outils d'exécution comme par exemple Quick Test Pro. Quality Center, en version 9, était vendu en version Entreprise avec une maintenance évolutive permettant d'obtenir toutes les évolutions du produit.

Une augmentation tarifaire déguisée

Or, en passant en version 10, Quality Center a été séparé en deux offres : Entreprise et Premier. Cette dernière est bien sûr plus chère et est destinée à s'intégrer à une suite intégrée et modulaire gérant l'ensemble du cycle de vie du logiciel, Application Lifecycle management (ALM), qui intègre notamment Quick Test Pro. « Mais la version Premier possède une série de fonctionnalités permettant de gagner beaucoup de temps dans l'administration des tests, de définir des modèles réutilisables de plans de tests, etc. », pointe Eric Riou du Cosquer, président d'eCume. Pour le club des utilisateurs, le contrat Entreprise aurait dû leur donner accès à toutes les nouvelles fonctionnalités. La séparation en deux offres est donc contestée, « même si rien n'oblige à prendre, du moins pour l'instant, la version Premier », comme le reconnaît Eric Riou du Cosquer.

Bruno Buffenoir, directeur de HP Software France, conteste bien sûr cette vision : « La maintenance évolutive n'inclut pas toutes les évolutions, et notamment pas les nouveaux modules destinés à couvrir des besoins en dehors du périmètre initial du produit. Nous avons d'ailleurs développé une offre modulaire à la demande de nos clients. En effet, la logique de l'offre Premier est celle d'une automatisation, d'une centralisation et d'une industrialisation qui ne correspondent pas aux pratiques de certains clients qui n'utilisent pas les fonctions avancées et les processus induits. C'est pourquoi nous la distinguons de l'offre Entreprise. » Mais cela n'empêche pas que certaines nouvelles fonctions seront disponibles dans les deux offres, Premier et Entreprise. « HP Sprinter, qui intéresse l'exécution des tests manuels, va ainsi sortir le 18 mars 2011 et sera disponible autant pour les clients Entreprise que Premier », précise Jean-Baptiste Preziosi, solution leader application chez HP Software France.[[page]]Eric Riou du Cosquer expose la crainte qui a déclenché la grogne : « Les évolutions les plus intéressantes pourraient basculer sur la seule version Premier, ce qui correspondrait de fait à une augmentation de prix déguisée ». Ce que consteste Bruno Buffenoir : « Historiquement, HP a toujours pris en compte les évolutions demandées par les clients et les deux déclinaisons de l'offre Quality Center ont chacune leur logique, ce qui implique que les roadmaps ne vont pas s'appauvrir l'une l'autre ».

Un budget considérable

Comme pour tous les éditeurs de logiciels, la politique tarifaire de HP est assez opaque, les remises individualisées pouvant être très importantes. Selon l'eCume, des tarifs publics diffusés il y a plusieurs mois mentionnent, pour la version Entreprise, 49 000 euros pour 5 utilisateurs simultanés, puis 6 600 euros par utilisateur simultané supplémentaire. La version Premier est affichée à 61 000 euros pour 5 utilisateurs simultanés (+25%) et 8 900 euros (+35%) par utilisateur simultané supplémentaire. Dans les deux cas, la maintenance annuelle coûte 23% de la licence initiale et intègre la maintenance évolutive. Les grandes entreprises utilisent le plus souvent des centaines de licences d'accès simultanées, et cela peut atteindre le millier comme chez France Télécom. Les budgets induits sont donc rapidement considérables.

« Nous avons baissé les tarifs depuis le rachat des solutions par HP afin de mieux coller aux demandes du marché qui attend un large déploiement de ce produit au sein de chaque organisation cliente » précise Bruno Buffenoir. HP revendique 55 à 60% de part de marché en France. La part de marché se maintiendrait, avec en prime quelques beaux contrats signés récemment, même si les mises en oeuvre sont très variées selon les entreprises, en fonction des bonnes pratiques appliquées ou non.

Un litige qui explose un an après le lancement

Les offres Quality Center ont été présentées aux clients de HP en octobre 2009. Le réveil brutal des utilisateurs peut donc surprendre. « Nous avons continué de travailler avec nos clients sur les évolutions des offres, notamment autour d'ALM, et cela a réveillé l'intérêt des clients autour de ces produits, ce qui est très positif pour nous », estime Bruno Buffenoir.

Il prend la situation avec philosophie : « Si les utilisateurs ne comprennent pas , c'est que nos explications n'ont pas été assez claires. Mais, dans le monde, 200 grands clients sont passés en offre Premier, dont 15 en France, 3 faisant partie d'eCume. Suite au malentendu qui ne s'est produit qu'en France, nous allons retravailler le positionnement et la roadmap des produits, notamment avec le club eCume qui est destiné à porter les messages vers la communauté des utilisateurs. Revenir vers ses clients pour travailler ses offres ne fait jamais de mal. » (...)

(20/01/2011 09:42:03)

MFP Soft absorbe Apsylis

« Nous préférons parler de fusion car il s'agit d'un projet stratégique porté par les deux sociétés », précise Eric Angelier. Ancien président d'Apsylis, il est aujourd'hui directeur général de MFP Soft aux côtés de Tony Pénochet qui en reste le PDG. En 2010, le nouvel ensemble réalisait un chiffre d'affaires de 7 M€, équitablement réparti entre ses deux composantes, tout en étant largement profitable. D'ici deux ans, il espère atteindre les 10 M€ de revenus.

Les similitudes entre les deux entités sont nombreuses : elles exercent le même métier, ciblent une clientèle de sociétés de services et proposent des produits très similaires sur le plan fonctionnel. Toutefois, en y regardant de plus près, des différences se font jour. MFP Soft s'adresse en effet aux petites entreprises parmi lesquelles il revendique 300 clients. De son côté, Apsylis se focalise sur les entreprises de taille plus importante dont 200 utilisent ses logiciels. En outre, alors que MFP travaille une cible de sociétés d'ingénierie et de conseil de tous horizons, Apsylis se spécialise sur les acteurs de l'IT.

Réaliser des synergies commerciales

Enfin, ce dernière a opté pour une stratégie de distribution totalement directe quand son homologue réalise environ 20% de ses ventes à travers des partenaires (souvent issus du réseau de Sage). « Nous allons accentuer notre politique de ventes indirectes pour mieux commercialiser nos offres en SaaS », préciser Eric Angelier et d'ajouter « nos synergies vont notamment se concrétiser entre nos forces de ventes qui passent à 23 personnes réparties entre Paris, Lyon, Strasbourg, Grenoble, Aix-en-Provence, Toulouse et Nantes, ajoute Eric Angelier. Bien entendu, les commerciaux issus des deux entités continueront d'approcher leur cible de clients traditionnels mais ils pourront se communiquer des leads. » Au-delà de l'aspect commercial, MFP Soft et Apsylis entendent également mutualiser leurs approches en R&D et en marketing. Par exemple, elles se doteront cette année d'une nouvelle marque commune dont seront estampillées les deux gammes de produits issues de leurs catalogues respectifs. Les logiciels en question disposeront de la même interface. Une approche qui permettra par exemple d'accompagner une entreprise évoluant du statut de TPE à celui de PME.

(...)

(18/01/2011 12:13:18)

SAP réorganise ses directions opérationnelles au niveau mondial

L'éditeur allemand SAP vient d'annoncer plusieurs promotions au sein de son encadrement global pour, dit-il, simplifier la structure de sa société et accélérer sa vitesse d'innovation. Ainsi José Duarte (en photo), qui était jusque-là président de SAP pour la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique), devient président de l'activité Services à l'échelle mondiale. Ses responsabilités englobent les entités SAP Consulting, SAP Education, SAP Custon Development et SAP Maintenance Go-to-Market.

Prenant la suite de José Duarte, c'est désormais Franck Cohen qui présidera SAP EMEA. Il assurait jusqu'à cette date la direction des opérations de cette zone géographique.

Franck Cohen, président SAP EMEA
Franck Cohen, président de SAP EMEA

Eric Duffaut est nommé président des réseaux de distribution et de l'écosystème, au niveau mondial (Global Ecosystem & Channels). A ce poste, il est chargé des relations avec l'ensemble des partenaires, intégrateurs, éditeurs de logiciels, revendeurs et OEM. Ses attributions incluent la place de marché EcoHub, ainsi que l'équipe chargée de commercialiser l'offre Business ByDesign (solution de gestion « dans le cloud » pour PME) qui doit renforcer son réseau de partenaires revendeurs.

Eric Duffaut, président Ecosystem de SAP

Les équipes d'Eric Duffaut (ci-dessus) se concentreront notamment sur le développement de la co-innovation avec les partenaires et l'extension des approches de vente multicanales sur tous les segments de clientèle (des PME aux grandes entreprises). SAP entend améliorer sa couverture du marché.

La responsabilité des ventes mondiales est confiée à Robert Enslin, qui était jusqu'alors président de SAP Amérique du Nord. Il est remplacé à la tête des activités américaines par Robert Courteau. Enfin, Sanjay Poonen devient président de Global Solutions Go-To-Market ce qui couvre notamment les solutions analytiques et d'optimisation des performances, de la Business Intelligence et de l'EIM (Enterprise Information Management), de la gestion du risque et des solutions par industries A ce poste, il rendra compte conjointement aux deux co-PDG, Bill McDermott et Jim Hagemann-Snabe.

Illustration : José Duarte, désormais président de l'activité Services de SAP au niveau mondial (crédit photo : SAP) (...)

(17/01/2011 16:35:52)

Cegid crée six clubs utilisateurs

Cegid a décidé d'impliquer ses clients dans l'évolution de leurs solutions technologiques en mettant sur pied six clubs utilisateurs. Destinés à répondre aux besoins des entreprises sur des processus liés à la vente, aux achats et à la gestion comptable et financière, ces espaces  visent à renforcer le dialogue et le partage autour de différentes offres fonctionnelles et métiers de Cegid. Le club U Finance sera dédié aux outils de comptabilité et de gestion des immobilisations, U Consolidation portera sur les offres de consolidation statutaire et de reporting de gestion, tandis qu'U Performance Management sera centré sur les solutions d'élaboration budgétaire proposées par l'éditeur.
Le Club U Fiscalité abordera  l'ensemble de la gamme fiscale éditée par Cegid, U Négoce permettra aux utilisateurs d'échanger autour du logiciel de gestion commerciale et de ses différents modules, tandis qu'U Service sera consacré aux solutions à destination des sociétés de services via l'application « gestion d'affaires ».

Illustration : l'an dernier, le club utilisateurs Cegid Manufacturing avait réuni plus de 110 industriels et partenaires. Crédit photo : Cegid
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