Flux RSS

Applications métier

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

1671 documents trouvés, affichage des résultats 631 à 640.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(04/02/2008 12:58:45)

SAP vise 1 000 clients sur Business ByDesign d'ici à fin 2008

SAP table sur un millier de clients d'ici à la fin de l'année sur son offre de gestion hébergée Business ByDesign destinée aux PME. Un nombre que Léo Apotheker, PDG délégué de l'éditeur allemand, juge « suffisant » pour prouver que SAP est un véritable acteur sur le marché des applications fournies en ligne (un mode de diffusion des logiciels également désigné sous l'acronyme SaaS, pour « software as a service », par opposition à la mise en place de l'application sur un serveur interne à l'entreprise cliente). Le PDG délégué n'a en revanche pas souhaité préciser l'objectif de SAP sur le nombre d'utilisateurs susceptibles d'exploiter l'offre à cette date. Business ByDesign est un progiciel de gestion intégré (PGI) complet. Il s'adresse aux entreprises de 100 à 700 salariés souscrivant un abonnement pour 25 utilisateurs au minimum. L'Inde en ligne de mire D'ici au mois de décembre, l'éditeur allemand prévoit d'ouvrir ce service applicatif sur plus de vingt pays, dont l'Inde. « Notre intention est d'aller d'abord sur les plus grands marchés, a expliqué Léo Apotheker. Et l'Inde est un marché très important pour un produit comme Business ByDesign. » Lancé en septembre, le PGI en ligne, tarifé sur la base d'un abonnement mensuel (149 dollars par utilisateur), est actuellement testé ou utilisé par 150 entreprises dans cinq pays : les Etats-Unis, la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni et la Chine. Chaque trimestre, [[page]]SAP lancera le service dans de nouveaux pays. L'arrivée en Inde est prévue pour le deuxième trimestre. ByDesign ne cannibalise ni All-in-One, ni Business One, selon SAP Business ByDesign n'est pas le seul PGI pour PME du catalogue SAP. Ce dernier comporte également Business One, pour les PME de moins de cent personnes, et All-in-One pour les entreprises à l'organisation plus sophistiquée. Deux produits qui s'installent de façon classique sur les serveurs des clients. Des offres qui ne sont pas remises en cause par le lancement de SAP Business ByDesign, surtout si l'on considère que certaines zones géographiques ne sont pas encore familiarisées avec la notion d'application fournie comme un service. « La Chine est un marché où le strict modèle « à la demande » est encore considéré avec circonspection », cite en exemple Léo Apotheker qui balaie le risque de cannibalisation de All-in-One et Business One par Business ByDesign en soulignant l'augmentation significative de la base installée globale pour ces deux offres en 2007. (...)

(30/01/2008 17:48:43)

Annuels SAP : +9%, mais Business ByDesign pèse sur la rentabilité

[mise à jour] SAP a réalisé un très bon exercice 2007. En un an, les ventes mondiales de licences engrangées par l'éditeur de progiciels de gestion ont augmenté de 13% (à taux de change courant), pour atteindre 3,4 MdE (+18% à taux de change constant par rapport à 2006). Ces ventes ont augmenté sur l'ensemble des zones géographiques (+8% pour le continent américain, +14% en EMEA, +28% en Asie/Pacifique). Elles pèsent un peu plus de 33% du chiffre d'affaires total, contre 37,5% pour les revenus liés à la maintenance des progiciels (en progression de 11%), et 26,8% pour les revenus issus des services qui, eux, n'ont augmenté que de 1% par rapport à 2006. La rentabilité opérationnelle, en revanche, a été affectée par les investissements injectés dans le projet SAP Business ByDesign. 125 ME ont en effet été consacrés au développement de cette application de gestion intégrée destinée aux PME et hébergée par SAP (une offre sur le mode SaaS, Software as a service). Il est prévu d'y réinvestir environ 200 ME cette année. L'éditeur allemand mise toujours solidement sur sa R&D. Comme l'an dernier, il y a consacré 1,45 MdE, soit 14,2% de son chiffre d'affaires. La solution Business ByDesign est pour l'instant testée, voire opérationnelle, chez certains clients pilotes (150 entreprises dont 15 en France). Mais elle ne sera livrée de façon plus large qu'à la fin du premier trimestre de cette année, sur cinq pays dont la France où deux clients ont déjà mis l'application en production. SAP France, 2ème croissance en Europe derrière la Russie Les résultats de la filiale française sont largement supérieurs à la moyenne affichée par le groupe. Son chiffre d'affaires s'établit à un peu moins de 500 ME, selon Pascal Rialland, directeur général de la filiale (à comparer [[page]] aux 300 ME réalisés en 2005). Les ventes de licences ont augmenté de 33% (contre +15% l'an dernier), ce qui en fait la plus forte croissance de la zone EMEA (Europe/Moyen-Orient/Afrique), juste derrière la Russie qui réalise 52% de croissance. Après un premier trimestre 2007 moins remarquable, les trois trimestres suivants ont respectivement enregistré des hausses de +20%, +84% et +40% sur les ventes de licences. [mise à jour] Parmi les contrats signés cette année, Pascal Rialland cite volontiers Veolia (gagné sur le 4ème trimestre et âprement disputé à Oracle), qui porte sur les solutions financières de l'éditeur, ainsi que sur ses outils de gouvernance et de conformité. Il représentera 7 000 utilisateurs. Le DG de la filiale française énumère aussi le Ministère des Finances, France Printemps, Bio Merieux, les NMPP (pour accompagner leur plan de restructuration défi 2010), la Mairie de Paris, Thalès, Alstom, ou encore Vinci, Saint Gobain et La Poste. +36% en PME Ces ventes ont progressé de 36% dans les PME et de 32% dans les grands comptes. Rappelons que SAP France fait entrer dans la catégorie PME tous les clients qui n'appartiennent pas aux 170 plus grandes entreprises françaises. Cette précision prise en compte, les ventes réalisées par la filiale dans les PME (avec ses offres All-in-One et Business One) pèsent un tiers de son chiffre d'affaires total, les deux autres tiers venant de l'offre SAP Business Suite. Quant au réseau de distribution indirect, qui enregistre un taux de croissance de 100% cette année, il compte pour un tiers du chiffre réalisé en PME. Concrétisation du rapprochement avec BO Le rapprochement avec Business Objects se concrétise, en France, par des prises de contact entre les équipes et la mise en place d'une organisation opérationnelle, notamment la coordination des structures commerciales. Au niveau global, le fondateur Bernard Liautaud vient, comme prévu, de démissionner de ses fonctions de président du conseil d'administration de BO. (...)

(28/01/2008 17:47:38)

Progiciels, Saas et SOA en tête des prévisions de dépenses en logiciels en 2008, selon Forrester

Les prévisions de dépenses des entreprises nord-américaines et européennes en matière de logiciels en 2008 montrent un intérêt certain pour le long-terme : progiciels internes ou hébergés (Saas), intégration d'applications et gestion des données de référence (SOA, MDM) font partie des secteurs qui ressortent du sondage effectué par Forrester (voir les détails dans l'encadré ci-dessous). Globalement, les montants de dépenses prévues restent similaires à celles de 2007. De même, les budgets seront toujours autant grevés par les coûts de maintenance : en termes de licences pour les mises à jour et de maintenance du code, l'existant représentera encore un tiers des dépenses. Les budgets seront ensuite répartis ainsi : 28% pour les licences logicielles, 13% pour les logiciels vendus sous forme de souscriptions, et 25% pour les nouveaux projets. La SOA stratégique pour 25% des répondants Du côté des priorités, il s'agira - pour la troisième année consécutive, précise Forrester - d'améliorer l'intégration entre applications (pour 33% des répondants). Les mises à jour de progiciels sont aussi prioritaires : 21% pour les progiciels intégrés, 14% pour les progiciels de GRC (gestion de la relation client) et autant pour les progiciels de gestion des compétences et des carrières (HCM, Human capital management). Le décisionnel [[page]]constitue aussi un domaine d'investissement privilégié, avec 8% prévoyant un achat initial et 14% une mise à jour majeure. Les architectures orientées services (SOA) représentent des projets en cours dans la moitié des entreprises, qu'il s'agisse de résoudre une problématique sans stratégie précise (24%) ou que ce soit lié à une stratégie d'entreprise (25%). Et 16% des répondants indiquent que les projets émergeront au cours de l'année. La sécurité, inquiétude numéro un concernant l'Open Source Le logiciel vendu comme un service (Saas, software as a service) prend aussi peu à peu dans les entreprises, notamment via les progiciels de HCM (45%), les outils de collaboration (38%) et les progiciels de GRC (36%). Toutefois, ces données proviennent d'une base plus restreinte de 74 entreprises ayant déjà déployé ce type d'offre. Concernant les développements internes, les plateformes .Net et Java sont au coude à coude (respectivement 65% et 61%), de même que leurs langages (Java et VB.Net à 65%) qui précèdent les langages de script (53%) et C# (40%). Enfin, Forrester a aussi posé une question sur l'Open Source mais, plutôt que de s'interroger sur l'adoption, le cabinet d'analyse a préféré explorer les principaux sujets d'inquiétude liés à l'Open Source. La sécurité est le sujet jugé le plus important (88%), devant la disponibilité du service et du support (79%) et le coût total d'exploitation (79%). (...)

(23/01/2008 15:16:17)

Lotusphere : IBM veut déployer Sametime en milieu hétérogène

Sur un Lotusphere très animé cette année (environ 7 000 personnes), IBM a mis un accent particulier sur Sametime, sa solution de messagerie instantanée, désormais déclinée en une famille de produits dans le cadre de sa stratégie UC2 (unified communications and collaboration). Depuis la version 8 sortie en décembre dernier, les versions Standard et Entry ont apporté, notamment, l'intégration avec MS Office 2007, ainsi que pour la Standard, le support des environnements VMware. La version Advanced, prévue pour ce premier semestre, permettra de créer des communautés pour retrouver rapidement des experts. Ses fonctions de dialogue instantané autoriseront la poursuite d'une conversation dans le temps (permanent chat). Il sera aussi possible de prendre la main sur un document partagé dans une discussion afin de le modifier. Mais l'objectif le plus pressant de Lotus est d'avancer aussi vite que possible vers la communication unifiée désormais réclamée par les entreprises. Les clients d'IBM veulent déployer Sametime sans remettre en cause les standards de communication qu'ils ont installés. Le groupe d'assurances Prudential UK (25 000 employés) a adopté l'application pour mettre en contact ses équipes réparties dans le monde, mais aussi pour réduire ses coûts de développement, de formation et de déplacements. Sur Lotusphere, Neil Davis, son spécialiste de la messagerie, témoignait de la nécessité d'utiliser une plateforme capable d'intégrer rapidement dans la boucle les partenaires externes et les entreprises rachetées dotés de PABX divers. Cisco et Nortel comme partenaires A Orlando, IBM a notamment annoncé des accords avec Cisco et Nortel, qui distribueront Sametime dans leurs solutions de communication unifiée, ainsi qu'avec Carestream Health, spécialiste des technologies de radiologie. Sur Lotusphere, l'un des exemples volontiers évoqués autour de Sametime est celui de spécialistes médicaux distants commentant, en situation d'urgence, la radiographie d'un patient. Mais au-delà de ces cas sensibles, Akiba Saeedi, responsable des produits de collaboration chez IBM, juge que la messagerie instantanée trouve son application la plus évidente lorsqu'elle est directement intégrée à des processus métiers. « Pouvoir contacter immédiatement un manager pour lancer une commande si on est alerté d'un niveau de stock trop bas prend tout son sens. » Quatrième produit de la famille, Lotus Sametime Unified Telephony, qui sera livré plus tard dans l'année, permettra de gérer ses appels depuis Sametime. Il sera possible, par exemple, de router un appel vers un mobile si l'agenda du correspondant indique qu'il est en déplacement. A Orlando, l'évocation de futures fonctions a aussi donné lieu, sur une note humoristique, à la démonstration d'une conférence audio menée dans un cadre virtuel. (...)

(17/01/2008 16:14:00)

Premières offres combinées de SAP et BO

Avec satisfaction, SAP a annoncé hier, dans ses locaux californien de Palo Alto, le succès de son offre d'achat amicale sur Business Objects. L'éditeur allemand de progiciels de gestion intégrés détient désormais 87,18% du capital de BO, c'est-à-dire bien plus que ce dont il avait besoin pour acquérir le contrôle de l'éditeur français, spécialiste des applications décisionnelles. Désormais division de SAP, Business Objects reste dirigée par John Schwarz, son PDG depuis septembre 2005. A Palo Alto, les trois dirigeants présents, Henning Kagermann et Léo Apotheker, respectivement PDG et PDG délégué de SAP, ainsi que John Schwarz, ont rappelé les objectifs déjà évoqués en octobre dernier lors de l'annonce de l'offre d'achat. Le rapprochement des deux acteurs va permettre de développer une forte intégration entre les offres de SAP et de Business Objects, tout en continuant, « avec un engagement équivalent », a insisté John Schwarz, à développer des solutions Business Objects totalement indépendantes de SAP, à associer aux autres plateformes applicatives du marché. « Mon intention est de proposer pour l'environnement Oracle des solutions décisionnelles meilleures que les propres solutions décisionnelles d'Oracle », a cité en exemple John Schwarz. Henning Kagermann a exposé son ambition de renforcer l'intégration entre l'offre de SAP et celle de BO, jusqu'à réduire à quelques heures les capacités d'accès à l'information nécessaire pour une prise de décision rapide, alors que certains besoins d'analyse nécessitent aujourd'hui des interventions de quelques jours ou de quelques semaines des départements informatiques des entreprises. La mise en oeuvre de cette intégration étroite nécessite, rappelle le dirigeant, de faire travailler ensemble les équipes d'ingénieurs respectives, opération qui peut maintenant démarrer. Une offre hébergée pour les PME En attendant, SAP annonce neuf offres commerciales constituées conjointement avec Business Objects. Ces offres combinent des applications de l'un et l'autre éditeurs dans trois domaines : l'optimisation de la performance (finance et efficacité opérationnelle, gouvernance), les outils décisionnels (tableaux de bord, reporting, analyse, intégration de données, synchronisation de données) et les solutions adaptées aux PME. Parmi ces dernières figure notamment un package permettant d'intégrer les solutions BusinessObjects Edge, livrées en 2007, aux applications de SAP. Henning Kagermann a également indiqué que les équipes développant la toute nouvelle offre de gestion en ligne pour PME, SAP Business ByDesign, pourront recourir aux fonctions d'analyse de Business Objects. Un terrain - celui des applications fournies en ligne - sur lequel Business Objects dispose déjà d'une certaine expérience, l'éditeur revendiquant quelque 70 000 abonnés à sa gamme OnDemand. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >