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(11/01/2008 12:26:11)
Les salariés d'Orsyp rachètent une partie de l'entreprise avec le soutien d'Argos Soditic
Orsyp a réalisé une opération de MBO (Management Buy Out, rachat d'entreprise par certains de ses cadres avec l'intervention d'un capital-investisseur) en partenariat avec Argos Soditic. L'éditeur français de logiciels d'automatisation et d'exploitation des flux informatiques en entreprise compte sur cet accord pour accroître sa présence internationale, renforcer son activité de conseil, recruter de nouveaux collaborateurs et investir dans la recherche et le développement.
« Dans un marché en pleine consolidation (Computer Associates a racheté le canadien Cybermation en mai 2006 et UC4 s'est payé AppWorx un an plus tard), cette opération apporte à Orsyp une véritable crédibilité et visibilité auprès de notre clientèle, des investisseurs et de potentiels partenaires (constructeurs et éditeurs) », souligne François-Xavier Floren, le nouveau PDG du groupe. Il succède à Jean-Jacques Parinet, fondateur de la société, qui devient président du comité de surveillance.
L'accord entre Orsyp et Argos Soditic a été conclu le 20 décembre 2007. Les termes financiers de cette transaction demeurent confidentiels. Orsyp a réalisé un chiffre d'affaires de 26 M€ en 2006 (l'exercice fiscal 2007 sera finalisé en mars prochain) et emploie 270 personnes au sein de 12 filiales dans le monde. Le Gartner a récemment distingué l'éditeur français parmi les cinq acteurs internationaux majeurs du marché de l'automatisation d'exploitation, aux côtés de Computer Associates, BMC, IBM et UC4. (...)
L'offre de BAM de Systar se distingue par sa maturité, selon Yphise
La solution BusinessBridge BusinessVision, de Systar, sort une nouvelle fois en tête d'une étude d'Yphise portant sur quatre solutions de BAM (business activity monitoring). C'est sans surprise la maturité de l'offre de cet acteur spécialisé dans la supervision des activités métiers qui la distingue des autres produits analysés par Yphise, à savoir, BusinessFactor, de Tibco, webMethods Optimize, de Software AG, et Websphere Business Monitor, d'IBM. Rappelons que les produits de BAM sont utilisés par les entreprises pour superviser le déroulement de leurs activités métiers et fournir aux utilisateurs des informations en temps réel sur les dysfonctionnements et les opportunités qui auront été identifiés par les dits outils. Ces solutions ont vocation, de cette façon, à contribuer à augmenter la productivité des entreprises et à réduire les coûts des dysfonctionnements. Modélisation complexe et analyse prédictive des risques Yphise note des différences significatives entre les quatre offres qu'il a examinées sur plus de 220 critères techniques et fonctionnels. A l'issue de son analyse, c'est le produit de Systar qui, selon le cabinet, répond « le mieux aux bénéfices attendus par les grandes entreprises ». Cette solution se distingue par sa facilité de mise en oeuvre, simplifiée par l'existence de modèles prédifinis, de solutions verticales prêtes à l'emploi et d'assistants. Elle se démarque aussi par ses possibilités de modélisation complexe et de prise en compte des activités métiers non standard, ce qui lui permet de s'adapter à chaque secteur d'activité et aux besoins de chaque entreprise. Yphise souligne également sa capacité à anticiper les événements et opportunités, ce qui procure une analyse prédictive des risques efficace. Enfin, l'offre de Systar convient à la supervision d'activités reposant sur des systèmes d'information hétérogènes, le produit ayant été conçu pour rester indépendant des plateformes d'exécution et d'intégration. Le cabinet note par ailleurs la robustesse de BusinessFactor, de Tibco, la facilité d'utilisation de webMethodes Optimize, de Software AG, et l'intérêt de la solution d'IBM qui répond aux principales exigences de la supervision d'activité métiers (et dont les quelques faiblesses sont compensées par les autres produits de la gamme Websphere). (...)
(08/01/2008 16:55:35)Progress Software : bénéfice net en hausse de 44% grâce aux SOA
2007 a été une année profitable pour Progress Software. L'éditeur de logiciels d'infrastructures SOA vient en effet de publier un chiffre d'affaires de 494 M$, en progression de 10%, et un bénéfice net qui est passé de 29,4 M$ à 42,3 M$ (+44%). Sur un marché marqué par la consolidation - Oracle, IBM, Microsoft et SAP captant de plus en plus d'acteurs - Progress met en avant sa bonne santé financière : « La trésorerie et les investissements à court terme de la société se montent à 340 millions de dollars à la fin du trimestre, indique l'éditeur. Au cours du dernier trimestre, la société a acheté 600 000 actions pour un coût de 18,5 millions de dollars. L'autorisation de rachat existante, au titre de laquelle la société peut encore racheter 9,4 millions d'actions environ, expire le 30 septembre 2008. » Le quatrième trimestre a particulièrement été fructueux, puisque le bénéfice net a enregistré une augmentation de 75% (12,1 M$ contre 6,9 M$ un an plus tôt). Sur cette même période, les revenus générés par la vente de licences atteint 53,8 M$, contre 49,4 M$ en 2006 (+9%). La société explique ces bons résultats par la maturité du marché, et la forte adoption des architectures orientées services (SOA) dans les entreprises. Les ventes de logiciels SOA ont en effet progressé de 20% en 2007 chez l'éditeur. Progress Software ne compte pas s'arrêter en si bon chemin, et table d'ores et déjà sur un chiffre d'affaire compris entre 515 et 525 M$ pour l'exercice fiscal 2008. Progress Software propose ses solutions SOA sous différentes marques : Apama (gestion d'événements en temps réel), Actional (supervision des services Web), DataXtend (réplication et accès aux données) et Sonic (bus de services d'entreprise). L'éditeur emploie 1600 personnes dans une trentaine de pays (27 personnes en France). (...)
(07/01/2008 16:14:39)CES : Bill Gates fait ses adieux en musique
Bill Gates a convoqué des artistes comme Jay-Z, Bono et Slash pour faire, en musique, ses adieux au CES de Las Vegas. Délivrant hier soir le premier 'keynote' du Consumer Electronics Show, le fondateur de Microsoft a encore une fois exposé sa vision d'un monde connecté, mais aussi profité de l'occasion pour rappeler son intention de s'occuper à plein temps de sa fondation à partir de juillet prochain. Il s'agira donc de son dernier discours au CES - du moins en tant que représentant de Microsoft. Le premier datait de 1994, a rappelé l'actuel président du conseil d'administration de l'éditeur. Bill Gates, qui n'est pas un 'showman', a tout de même réussi à conquérir le public présent au Venetian, l'un des plus beaux hôtels-casinos de Las Vegas, avec une vidéo de quelques minutes montrant ce que pourrait être son dernier jour chez Microsoft. Dans cette fiction, Bill Gates n'hésite pas à se moquer de lui-même. On le voit ainsi tentant de démontrer son talent de musicien au rappeur Jay-Z, de convaincre la rock star Bono de lui offrir une place au sein de U2, de passer une audition déguisé en Wolverine (un des X-Men) devant Steven Spielberg, de harceler des présentateurs de la télévision américaine pour obtenir un emploi auprès d'eux, ou encore de se proposer en co-listier aux présidentiables Hillary Clinton et Barak Obama... Plus classiquement, Bill Gates est ensuite revenu sur les quelques années écoulées et le discours qu'il tenait alors sur les appareils connectés pour expliquer que nous entrions dans une autre ère - « the next digital decade » - où l'utilisateur serait au centre. Trois éléments domineront cette décennie, a-t-il indiqué. D'abord, l'image et le son de haute qualité seront partout. Ensuite, tous les appareils délivrant ces services seront interconnectés. Enfin, les interfaces utilisateur vont évoluer, pour prendre en compte le toucher - comme l'iPhone, a expliqué Bill Gates -, la parole ou la reconnaissance des formes ou des gestes. « Nous sommes juste au commencement », a-t-il dit. La console Xbox 360 au coeur de la stratégie grand public Plusieurs démonstrations ont émaillé ce discours d'introduction d'un peu plus d'une heure. Une collaboratrice de Microsoft a montré comment l'authentification unique Windows Live ID pouvait simplifier la vie en rendant possibles les échanges entre tous les services Windows Live, tandis que Bill Gates lui-même a utilisé un prototype de Surface, sa table-écran tactile. Après rappel de quelques chiffres (420 millions d'utilisateurs inscrits sur Windows Live, 100 millions d'utilisateurs de Vista, 20 millions d'utilisateurs de Windows Mobile, 17,7 millions de consoles Xbox livrées...), Bill Gates et Robbie Bach, président de la division Entertainment & services, ont fait quelques annonces. On retiendra notamment que NBC utilisera la technologie d'affichage Silverlight pour la couverture en webcast des Jeux olympiques de Pékin l'été prochain, et que BT sera le premier opérateur à proposer des consoles de jeu Xbox 360 comme plateformes pour la télévision. C'est finalement guitare en bandoulière que Robbie Bach et Bill Gates ont conclu, sur un défi lancé par le premier, sur le jeu Guitar Hero 3, où il s'agit de reproduire les plus grands riffs. Tandis que Robbie Bach s'est fait aider en convoquant une championne de ce jeu, pour une interprétation honnête de l'introduction de Welcome to the jungle, des Guns'n'Roses, Bill Gates a reçu le soutien sur scène de Slash, créateur de ce riff... (...)
(07/01/2008 15:47:09)L'ODF Alliance dresse un bilan satisfait de son format bureautique ouvert
Selon l'OpenDocument Format Alliance, les Pays-Bas et l'Afrique du Sud sont les derniers pays à avoir rejoint en 2007 le groupe de ceux où les administrations doivent utiliser le format bureautique ouvert ODF. Au total, ce sont douze pays, y compris la France, dont les administrations doivent utiliser des formats bureautiques ouverts, autrement dit ODF. A ces douze nations s'ajoutent six administrations régionales, signe que les services publics du monde entier ont bien compris l'intérêt de créer et d'archiver leurs productions dans un format ouvert, documenté et gratuit. Fondé en mars 2006, l'OpenDocument Format Alliance revendique déjà près de 500 adhérents répartis dans 53 pays. L'association de promotion du format OpenDocument rappelle qu'il a été élevé au rang de standard international sous le numéro ISO 26300:2006. Elle se réjouit d'autant plus du succès grandissant de l'ODF que 2007 fut une année difficile. Après avoir longtemps traité par le mépris cette remise en cause de ses formats bureautiques propriétaires, Microsoft a violemment réagi. L'éditeur a intensifié ses campagnes de lobbying dont les effets collatéraux ont poussé à des démissions en chaîne à la direction de la DSI du Massachusetts, Etat pionnier dans l'adoption d'ODF. Ensuite, risquant d'être évincé d'appels d'offres stratégiques, l'éditeur s'est lancé dans une course effrénée pour élever le format OOXML (Office Open XML) d'Office 2007 au rang de standard international. Malgré une utilisation subtile des arcanes des organismes concernés, le format OOXML n'a toujours pas reçu l'imprimatur de l'ISO. Autant l'utilisation de l'organisme européen Ecma pour accélérer la procédure de validation de l'ISO avait été un succès, autant les autres comités impliqués dans la validation des demandes de Microsoft se sont fait tirer l'oreille pour aller dans le sens de Microsoft... En 2008, l'Oasis, association de professionnels qui a en charge l'évolution du format ODF, devrait lancer la version 1.2 de l'ODF qui supporte, en particulier, des extensions aux métadonnées et les signatures numériques. (...)
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