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(15/02/2008 14:19:03)

Dassault Systèmes : +9% en 2007, cap sur le PLM 2.0

Le Français Dassault Systèmes, spécialiste de la CAO et de la gestion du cycle de vie des produits (ou PLM, pour product lifecycle management) vient de communiquer ses résultats financiers pour l'année écoulée. Premier éditeur français, et numéro trois européen, derrière l'Allemand SAP et le Britannique Sage (selon le dernier classement Truffle), le fournisseur a réalisé en 2007 un chiffre d'affaires de 1,258 Md€, en progression de 9% à taux de change courant (+15% à taux de change constant). Le bénéfice net s'établit à 178,5 M€ contre 179,8 M€ l'an dernier. Ses ventes de logiciels se sont élevées à 1,063 Md€, dont 60% pour le chiffre d'affaires récurrent, c'est-à-dire principalement, la maintenance. Sur ce point, Dassault Systèmes souligne dans son communiqué la forte croissance de la maintenance, mais aussi des licences en location. Ses ventes de service, qui restent stables par rapport à 2006, ne représentent que 15,5% (195,5M€) du chiffre d'affaires total. La marge opérationnelle en normes US GAAP s'est élevée à 20,1%. +24% en Asie, +20% outre Atlantique Comme pour de nombreux éditeurs de logiciels en 2007, le chiffre d'affaires de Dassault Systèmes a bien progressé en Asie : +24% en normes non GAAP. Le Français a également vu ses ventes augmenter de 20% sur le continent américain. Sur l'Hexagone, la hausse n'est que de 6% (US GAAP). Pour 2008, Thibault de Tersant, directeur général adjoint de Dassault Systèmes, confirme un objectif de croissance de 12%, à taux de change constant, du chiffre d'affaires logiciel non GAAP. Version 6 de la plateforme de PLM et PLM 2.0 L'éditeur va livrer en mai prochain la version 6 de sa plateforme collaborative de PLM. Reposant sur une architecture orientée services (SOA), cette V6 permet de gérer l'ensemble des processus métiers liés à la gestion du cycle de vie des produits. Fin janvier, Dassault a déjà lancé le produit Enovia MatrixOne 10.8 qu'il présente comme le socle de cette plateforme, une solution « fédérant l'ensemble de la propriété intellectuelle liée au PLM » dans le cadre de l'entreprise étendue, c'est-à-dire en incluant dans la boucle les sous-traitants, partenaires et clients. L'éditeur a également annoncé ce qu'il appelle « le PLM 2.0 », un environnement 3D en ligne qui, à l'instar des applications Web 2.0, propose des interfaces intuitives pour faciliter la participation des communautés d'utilisateurs à l'élaboration d'un produit. Une offre qui, selon l'éditeur, va permettre « d'exploiter l'intelligence générée collectivement ». (...)

(08/02/2008 13:15:06)

Annuels SAS : +15% sur fond de marché en consolidation

Exercice fiscal 2007 Chiffre d'affaires : 2,15 Md$ (+15%) SAS vient d'annoncer un chiffre d'affaires de 2,15 Md$ sur son exercice fiscal 2007, en progression de 15% par rapport à 2006. Par comparaison, son principal concurrent, Business Objects, désormais dans le giron de SAP, a réalisé sur la même période un chiffre d'affaires de 1,51 Md$, en hausse de 20%. SAS, éditeur américain, créé et toujours dirigé par l'emblématique Jim Goodnight, se maintient dans le cercle restreint des sociétés IT non cotées, ce qui lui permet de ne pas détailler publiquement son exercice fiscal. Il constitue le chef de file des éditeurs indépendants de solutions décisionnelles (Business Intelligence), après la vague de consolidation qui a vu ses principaux concurrents happés par de grands fournisseurs en 2007 (Hyperion par Oracle, Business Objects par SAP et Cognos par IBM). Jim Goodnight rappelle que sa société évolue sur un secteur en pleine croissance, porté par l'augmentation du volume de données, en constante accélération. Le PDG estime que la consolidation actuelle du marché décisionnel lui laisse les coudées franches pour renforcer ses positions sur ce terrain. Solutions de détection de fraude En 2007, les applications de Business Intelligence ont pesé 29% du chiffre d'affaires de SAS. « Nous ne voyons pas de ralentissement sur ce marché », affirme Jim Goodnight dans un communiqué, en estimant que sa plateforme d'entreprise, ses outils d'analyse et ses solutions verticalisées par secteur d'activités se démarquent des offres concurrentes. L'éditeur note une augmentation de 50% sur les ventes de ses solutions liées à l'analyse des données clients (customer intelligence solutions) et une progression de 28% sur les applications verticales (le traitement des fraudes pour les banques, l'ajustement des stocks dans la distribution...). SAS précise aussi que 200 institutions financières dans le monde s'appuient sur SAS for Enterprise Risk Management pour gérer les risques et la conformité réglementaire. Rappelons que, dans le domaine du risque bancaire, SAS a développé avec le groupe bancaire HSBC et livré l'automne dernier une application de détection de fraude à la carte de crédit en temps réel. Sur l'année écoulée, l'éditeur a gagné 1 100 nouveaux clients et son chiffre d'affaires s'est réparti de façon équivalente entre le continent américain (44%), la région EMEA -Europe, Moyen-Orient et Afrique- (45%). La région Asie/Pacifique représente 11% de son revenu. (...)

(07/02/2008 15:16:22)

Google Apps Team Edition, le travail collaboratif sans administrateur

Comment contourner les directives drastiques des services informatiques d'une entreprise pour s'imposer chez ses employés ? Une question à laquelle a répondu Google, en dévoilant la Google Apps Team Edition. Son principe : fournir les services clés des applications bureautiques de la marque couplés à une offre de travail de groupe, sans avoir recours à une phase d'intégration avec le système de l'entreprise. L'offre « s'adresse aux employés qui sont intéressés par les Google Apps mais dont les employeurs refusent de souscrire à l'offre », résume en substance Rajen Sheth, chef de produit Google Apps. Ce qui devrait faciliter grandement l'utilisation de la Team Edition dans les PME et TPE. A l'inverse des autres éditions Standard, Premier ou Education, Team Edition se dédouane techniquement du domaine Internet de l'entreprise. Ce qui, par conséquent, rend impossible - du moins pour l'heure, assure Google - l'usage de la messagerie Gmail, qui reste encore sujette à l'intervention d'un intégrateur. Team Edition ne nécessite qu'une seule adresse email valide qui reprend le domaine de l'entreprise. Le service en ligne offre un outil de collaboration et de gestion de groupes rapide à mettre en place. « Une fois enregistrés, les utilisateurs ont accès aux autres comptes qui appartiennent ainsi à la même entreprise, et peuvent en inviter d'autres. » Mais, là où ce service effraie les services IT, c'est [[page]]dans sa capacité à se greffer dans le panel d'applications utilisées par les employés d'une entreprise, sans que cette dernière soit finalement au courant. Un phénomène courant, souligne toutefois Forrester, qui rappelle que ce ne serait pas la première application hébergée utilisée en interne sans l'accord de la DSI. Les documents créés seront ainsi hébergés sur les serveurs de Google, posant notamment des soucis de sécurité. Autre point d'intérêt : cette édition, comme la standard, reste gratuite. Ce que Google considère d'ailleurs comme une porte de sortie pour les entreprises souhaitant regagner ou préserver le contrôle sur leur parc applicatif. « Les services IT ont toujours la solution de souscrire à l'offre Standard, elle aussi gratuite, s'ils veulent avoir le contrôle dessus », insiste Rajen Sheth. Puis, éventuellement, cela peut servir de tremplin vers les autres éditions, comme la formule Premier commercialisée 50$ par an et par utilisateur. Cela s'inscrit d'ailleurs dans une politique plus globale de Google, qui peine encore à imposer ses Apps dans les entreprises. Le géant s'appuie ainsi sur l'élan des particuliers pour s'ouvrir le monde de l'entreprise. Et le groupe redouble d'effort. Hier, mercredi 6 fevrier, les Apps se paraient d'un outil de sécurisation d'email issu du rachat de Postini. Une brique essentielle pour séduire les sociétés. (...)

(07/02/2008 10:14:19)

Annuels BO : 5 000 clients de plus en 2007, mais bénéfices en recul

Sur son dernier exercice fiscal, échu fin décembre, le Français Business Objects, spécialiste des solutions décisionnelles (Business Intelligence), a réalisé un chiffre d'affaires en hausse de 20%, à 1,51 Md$, au sein duquel les ventes de licences ont progressé de 11% en un an, à 624 M$, à taux de change courant. Toutefois, à taux constant, la progression du chiffre d'affaires annuel et celle des ventes de licences s'établissent respectivement à 15% et 6%. Quant au bénéfice net, il accuse un recul de 28,8% sur l'année et de 60,5% sur le dernier trimestre. C'est dans la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique) que les ventes ont le mieux progressé : +32% pour un chiffre d'affaires de 632 M$. Sur le continent américain, Business Objects a engrangé 770 M$ (+12%) et sur la zone Asie Pacifique, qui enregistre également une nette progression, le montant total des ventes s'élève à 108 M$ (+24%). BO rachète Cartesis puis se fait racheter par SAP Rappelons qu'au deuxième trimestre (fin avril), Business Objects a racheté son compatriote Cartesis pour 225 M€, avant de recevoir lui-même, début octobre, une offre de rachat amicale de la part de SAP, pour un montant de 4,8 Md€. Le repreneur allemand a tôt fait savoir [[page]]qu'il comptait laisser son autonomie à Business Objects afin, notamment, que ce dernier continue à développer une offre multi-plateforme qui ne soit pas uniquement associée aux solutions de SAP. [mise à jour] SAP a annoncé le 05 février que sa filiale française (c'est par l'intermédiaire de cette entité que le rachat de BO s'est effectué) détenait désormais 95,35% du capital de Business Objects. En dépit de ces mouvements, Business Objects a gagné 1 400 clients de plus au cours de son quatrième trimestre, portant à 5 000 le nombre de nouveaux clients sur l'année (sur une base installée de 46 000 entreprises). BO précise aussi qu'il totalise 93 000 abonnements sur son offre décisionnelle proposée en ligne (hébergée sur sa plateforme OnDemand). Sur l'ensemble de l'année, l'éditeur a lancé plusieurs offres prépackagées spécialement taillées pour les PME. Il vient également d'annoncer une appliance virtuelle s'appuyant sur les technologies de Citrix, rPath et RightScale, conçue pour déployer rapidement une application de reporting en PME. (...)

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