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Architecture logicielle
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(08/08/2008 11:04:19)
SQL Server 2008 paré au téléchargement
SQL Server 2008 est disponible au téléchargement pour les abonnés aux logithèques de Microsoft, MSDN et TechNet. La sortie de la version définitive, dite RTM (Release to manufacturing), de la base de données intervient plus de cinq mois après son lancement officiel, en compagnie de Windows Server 2008 et Visual Studio 2008, en grande pompe par Steve Ballmer. Toutefois, l'éditeur tient le rythme qu'il s'était fixé : un délai de trois ans entre les évolutions majeures de son SGBD. Les grands clients de Microsoft connaissent déjà tout ce qu'il y a à savoir sur l'édition 2008 de SQL Server. Ainsi, en juin dernier, Microsoft France rassemblait dans ses locaux des clients et partenaires pour illustrer des améliorations et des innovations de la base. Microsoft a fait en particulier de gros efforts sur les performances, qu'il s'agisse des temps de réponse ou de la volumétrie. Un des objectifs est de pouvoir répondre aux besoins des hébergeurs : une édition de la base leur est d'ailleurs consacrée. Le 'cloud computing' et le Daas en ligne de mire [[page]] Tous les éléments d'une offre destinée au 'cloud computing' (services informatiques payables à l'usage, accessibles via Internet) ne sont toutefois pas encore en place. Le support de la technologie de virtualisation de l'éditeur, Hyper-V, interviendra sous 30 jours. Quant à l'offre de Daas (database-as-a-service, ou SGBD à la demande), elle est encore en bêta. SSDS (SQL Server Data Services) donne aux développeurs la possibilité d'utiliser les fonctions d'un SGBD en ligne, sans se soucier des opérations d'administration classiques (installation, maintenance, sauvegarde, etc.). Aujourd'hui, SSDS est encore basé sur la version 2005 de SQL Server, mais la migration devrait intervenir prochainement. Pour Noel Yuhanna, analyste chez Forrester Research, Microsoft va désormais consacrer une partie de ses efforts à consolider cette offre de Daas, que l'analyste considère comme une tendance pérenne. Au risque, ajoute-t-il, de concurrencer les éditions Express et Standard de la base. De fait, une base en ligne évite à une petite structure d'avoir à payer les services d'un DBA (administrateur de bases de données) en sus du coût de la licence, et est par nature optimisée pour l'échange de données et l'accès via des navigateurs Web. (...)
(08/08/2008 10:32:28)Oracle corrige une faille majeure concernant WebLogic Server et Express
Oracle vient de fournir un correctif d'urgence pour remédier à une faille qui l'a conduit à diffuser une alerte de sécurité la semaine dernière. L'éditeur précise aux administrateurs qu'ils doivent mettre en oeuvre ce patch plutôt que la procédure de contournement qu'il avait précédemment recommandée. La faille a été trouvée dans le plug-in Apache destiné aux serveurs d'applications Oracle WebLogic Server et WebLogic Express (issus de l'offre BEA WebLogic). Elle concerne sept versions du produit, qu'elle rend vulnérables aux attaques distantes. Cette faille sérieuse est classée au niveau 10, le plus haut sur l'échelle CVSS (Common Vulnerability Scoring System) qui évalue l'importance des risques encourus. En trois ans, depuis qu'Oracle a mis sur pied un cycle de mises à jour régulières, cette faille est la première qui l'oblige à procéder à une mise à jour hors cycle. (...)
(07/08/2008 11:51:41)DataSynapse va intégrer ses solutions à VMWare
C'est un peu le mariage du grid et de la virtualisation, même si le premier terme n'est plus guère employé par DataSynapse. L'éditeur, qui a démarré dans ce domaine, où il concurrençait notamment Platform Computing, a subtilement glissé vers de la gestion dynamique de services (DASM, Dynamic Application Service Management). Tout en se gardant d'attaquer de front le marché de la virtualisation. Ce qui lui permet aujourd'hui de s'associer avec VMWare, leader du secteur. Comme l'explique Franck Leonard, ingénieur avant-vente de DataSynapse, le métier de l'éditeur est de créer un catalogue de services applicatifs et d'optimiser la consommation de ressources entre ces services en fonction de règles prédéfinies. « Il nous a paru intéressant de collaborer car des applications demandent parfois des environnements spécifiques, dit-il. On passera alors par VMWare. » L'offre de DASM, FabricServer, s'occupera dans ce cas de déployer les images VMWare. Franck Leonard reprend ainsi l'argument clé du grid : « Alors que dans les centres serveurs, les CPU ne sont utilisées qu'à 10 ou 15%, on peut aller jusqu'à 70%. Et on peut augmenter ou diminuer le nombre d'instances en fonction de règles définies - par exemple lorsqu'une application est surtout utilisée le matin - ou de contrats de niveau de service. » Assembler et déployer les images virtuelles à la demande Autre bénéfice, lié spécifiquement cette fois à la virtualisation : l'offre de DataSynapse peut assembler dynamiquement les éléments d'une image virtuelle. L'environnement VMWare impose en effet de stocker des images prêtes au déploiement. Or, prévient DataSynapse, le nombre d'images peut rapidement augmenter en fonction des configurations voulues (édition du système d'exploitation, version du serveur d'application, etc.). De son côté, FabricServer offre d'assembler et donc de composer à la demande les images voulues. Franck Leonard estime que les premiers produits issus de cette collaboration devraient sortir en septembre. Quant à des accords avec d'autres acteurs de la virtualisation, comme Xen ou Microsoft, « on y pense en interne ». (...)
(05/08/2008 11:24:04)Forrester voit l'avènement du Daas d'ici deux ou trois ans
Les bases Oracle et autres SGBD d'entreprise ont encore de beaux jours à vivre avant d'être détrônés par les bases de données disponibles en ligne. Néanmoins, prévient Forrester, la technologie mûrit rapidement, et répond déjà à un certain nombre de besoins. D'ici deux ou trois ans, estime le cabinet d'études, les Daas (Database-as-a-service, SGBD hébergés et mutualisés pour plusieurs entreprises) feront partie intégrante des solutions informatiques d'entreprise. Forrester invite donc les DSI (directeurs des systèmes d'information) et DBA (administrateurs de bases de données) à se pencher dès maintenant sur le phénomène. Plusieurs facteurs, indique Noel Yuhanna, l'analyste de Forrester auteur de l'étude, laissent penser que les offres de Daas deviendront sous peu courantes. D'abord, souligne-t-il, malgré la pression sur les prix engendrée par l'apparition d'offres Open Source sérieuses, le coût moyen d'un SGBD d'entreprise a crû ces dernières années d'environ 18% par an, « et aucun fournisseur ne montre de signe laissant penser qu'il pourrait réduire ses prix ». Quant aux offres Open Source, elles nécessitent tout de même d'allouer des ressources coûteuses : matériel et surtout personnel à former et entretenir. Des bases facturées à l'usage, sans coût d'administration en sus Deuxième argument, les besoins de bases de données se multiplient, notamment pour développer et tester des applications. Puis vient le déploiement, qui multiplie les risques de fragmentation des données (lorsque des données concernant un même client ou une même opération se retrouvent dans plusieurs bases). L'apparition d'offres de bases de données à la demande, accessibles en ligne via des technologies classiques (Rest, Soap, ODBC, JDBC, SQL...) et facturées à l'usage, résout ces problèmes, explique Noel Yuhanna. Du moins une grande partie d'entre eux ; notamment lorsque le besoin se limite à pouvoir stocker, retrouver et mettre à jour une donnée, ce qui est le cas de nombreuses applications. Le Daas représente ainsi une solution économique et simple pour des applications collaboratives (tous les participants disposent d'un endroit unique, en ligne, pour partager leurs documents), ou bien pour de l'archivage, puisque l'espace de stockage est illimité (c'est l'affaire de l'hébergeur) et offre de meilleures performances que la bande lorsqu'il s'agit de retrouver des données. Les principaux freins au Daas : les temps de réponse et la sécurité des données [[page]] Evidemment, précise Forrester, il y a des freins. La sécurité des données vient en premier à l'esprit, et elle est intimement liée aux procédures mises en place par l'hébergeur et à sa viabilité et sa crédibilité sur ce marché. Le temps de réponse peut aussi être un facteur déterminant : si le Daas constitue une réponse idéale pour un portail collaboratif ou pour stocker des données accessibles depuis un appareil mobile (dans les deux cas, l'utilisateur sait qu'il passe par Internet et qu'il y aura une certaine latence), il paraît inconcevable pour des applications transactionnelles ou des applications utilisées simultanément par des milliers d'utilisateurs - sauf à disposer d'infrastructures spécifiques, ce qui éloigne de l'idée originale d'une infrastructure de bases de données partagée. Noel Yuhanna donne dans son étude plusieurs conseils pour choisir son prestataire. La liste est encore restreinte. Amazon, avec SimpleDB, Force.com et sa Platform-as-a-service et EnterpriseDB avec Postgres Plus Advanced Server Cloud Edition sont ainsi cités comme les premiers sur ce marché. Néanmoins, l'analyste de Forrester estime que les grands éditeurs du marché devraient prochainement les concurrencer. Déjà, Microsoft propose une bêta de son offre SSDS (SQL Server Data Services), et Oracle devrait faire évoluer ses offres Apex et OnDemand en ce sens. Forrester attend pour très bientôt les offres de Sun, Google et IBM Forrester s'attend aussi à ce que Sun redéfinisse son offre suite au rachat de MySQL : Sun proposait déjà une offre hébergée sur son infrastructure, tandis que MySQL était présent sur le service de 'cloud computing' d'Amazon, EC2. Google dispose aussi d'une offre Daas, mais pas promue en tant que telle pour l'instant : la base de données en ligne BigTable est pour l'instant un composant intégré à Google AppEngine, son offre de développement et de stockage d'applications en ligne. BigTable sert également de support de stockage aux services bureautiques de Google, et Forrester estime que le moteur de recherches devrait rapidement le présenter comme une offre Daas à part entière. Reste IBM, qui dispose de tous les éléments pour constituer une offre Daas. Big Blue en a d'ailleurs mis une en place dans certains de ses centres de Cloud Computing, pour de gros clients. (...)
(28/07/2008 17:39:45)Rachat d'Ilog par IBM : les deux entreprises commentent
IBM a annoncé ce matin son intention d'acquérir l'éditeur français Ilog. Le président d'IBM France, Daniel Chaffraix a commenté ce projet de rachat pour LeMondeInformatique.fr. Jean-François Abramatic, Vice-président Chief Product Officer d'Ilog et Nicolas Robbe, Vice-président marketing produit de l'éditeur ont également donné leur point de vue à la rédaction. Cette acquisition, si elle est validée par les autorités compétentes, offrira à IBM un éventail technologique performant en complément de sa propre offre de SOA, de BPM et de gestion des règles métier. L'opération devra encore attendre les diverses validations réglementaires afférentes à toute acquisition. (...)
(28/07/2008 09:47:59)IBM projette de racheter Ilog
Dans un communiqué du 28 juillet publié par IBM et Ilog, Big Blue annonce son projet de racheter l'éditeur français. Le conseil d'administration de ce dernier a déjà donné son accord. IBM continue ainsi de se renforcer dans la SOA, le BPM (gestion de processus métiers) sans oublier la spécificité d'Ilog, la gestion des règles métier (BRMS). Après l'acquisition l'an dernier de Business Objects par SAP, c'est un autre grand et un autre vétéran du logiciel français qui disparaît hors de l'Hexagone. En dehors de Dassault Systèmes avec un CA de 1,2 Md€ et de quelques SSII, la plupart des éditeurs français (voir classement Truffle 100) se situent désormais sous la barre de 100 M€. IBM va déposer des offres publiques en France et aux Etats-Unis au prix de 10 € par action, soit un prix total maximum d'environ 215 M€. Celles-ci sont bien entendu conditionnées à l'obtention des autorisations des autorités de la concurrence européenne et américaine. Elles sont également soumises à un seuil de renonciation de 66,67% du capital et des droits de vote d'Ilog sur une base totalement diluée. (...)
(22/07/2008 11:09:19)Les 10 causes d'échec des projets SOA listées par CIO.com
Pour quelles raisons certaines initiatives SOA conduisent-elles à des projets ratés ? La mauvaise compréhension des gens impliqués, répond Mike Kavis, journaliste de CIO.com, dans un éditorial (*CIO.com est édité par IDG, actionnaire d'IT News Info, éditeur de LeMondeInformatique.fr). Suite à une discussion par blogs interposés entre plusieurs experts du sujet, dont les analystes de Zapthink Ron Schmelzer et de Burton Group Anne Thomas Manes, Mike Kavis a listé ce qui constitue selon lui les 10 principales causes d'échec des projets d'architectures orientées services. D'après CIO.com, les gens échouent : 1) Parce qu'ils n'arrivent pas à expliquer la valeur métier des SOA Les projets consacrent énormément de temps, de ressources humaines et d'argent à mettre au point la meilleure architecture possible - ce qui est une bonne chose, souligne Mike Kavis. Toutefois, là où le bât blesse, c'est que généralement, cela se fait au détriment de toute discussion avec le métier. Du coup, lorsque l'architecture est prête, personne n'en veut car personne n'en comprend l'intérêt. Il faut donc, dit-il, commencer un projet en gardant en tête le besoin de répondre à des problématiques métier. Le mieux étant de présenter une « killer app », l'application qui résoudra tant de problèmes métier que les fonctionnels en redemanderont. Pour lui, le BPM (Business process management, gestion des processus métier) est sans conteste LA 'killer app' pour les SOA. 2) Parce qu'ils sous-estiment l'impact des changements organisationnels Les SOA impliquent souvent de vastes changements dans l'organisation des entreprises, « surtout si ces dernières n'ont pas d'architecture d'entreprise bien établie », écrit Mike Kavis. Cela génère bien sûr des incertitudes, une peur de l'inconnu, et donc une résistance au changement. A chaque niveau de l'entreprise, chacun a ses inquiétudes, et cela doit être pris en compte, au besoin en embauchant un expert de la gestion du changement. 3) Parce qu'ils n'obtiennent pas de soutien haut placé Il est très improbable qu'une initiative SOA réussisse si elle n'est pas sponsorisée par quelqu'un de haut placé dans la hiérarchie (CEO, CIO, CTO, etc.). De fait, même les SOA peuvent se traduire en une multitude de projets. Il n'existe pas de petit projet SOA. Une initiative SOA concerne par définition plusieurs - sinon tous - départements de l'entreprise, puisqu'il s'agit de casser les silos. Il faut donc pouvoir compter sur le soutien de quelqu'un qui sera capable de contourner ou de briser les obstacles. Le mieux, écrit Mike Kavis, est de confier ce rôle à un dirigeant métier lorsque le bénéfice métier de l'initiative SOA a été clairement défini. [[page]] 4) Parce qu'ils essaient de faire de la SOA à l'économie Les projets SOA coûtent cher, il faut en être conscient. En plus des investissement technologiques dans le middleware, indique Mike Kavis, il faut prévoir les outils de gouvernance, la formation, l'aide de consultants, etc. Certaines entreprises essaient de tout faire elles-mêmes pour limiter les coûts, écrit-il, mais « à moins que vous ne soyez bardés de gens très expérimentés en SOA, se passer d'une aide extérieure afin d'économiser de l'argent vous conduira droit au désastre ». L'éditorialiste donne, avec un certain angélisme, deux conseils dans ce cas : d'une part, présenter un projet qui, s'il est suffisamment bien argumenté, suffira à décider le financement de l'initiative, et d'autre part, recourir éventuellement à des projets Open Source pour diminuer le coût d'implémentation. 5) Parce qu'ils manquent des compétences nécessaires Ce point est un corollaire du précédent - et reflète la culture américaine sur la mobilité dans l'emploi : souvent, par souci d'économie, l'entreprise tente de conduire des projets SOA avec des gens qui manquent d'expérience en la matière. Alors qu'elle a besoin au contraire d'experts, qu'il s'agisse d'architectes, de gens capables d'administrer les outils ou de modéliser les processus métier. Faute de pouvoir embaucher, Mike Kavis recommande de demander beaucoup d'argent dès le départ - pour ne pas donner l'impression ensuite que l'initiative SOA est un puits sans fond - à investir dans la formation des informaticiens et des responsables métier auxquels les outils de BPM sont destinés. 6) Parce qu'ils gèrent mal leur projet Le meilleur projet SOA n'arrivera pas au bout si la gestion du projet est défaillante. Comme pour tout projet, il faut gérer les risques, faire en sorte que chacun adhère au planning, etc. Sauf que cela se fait à une échelle extrêmement grande. D'où le conseil de Mike Kavis : « Mettez votre meilleure ressource en gestion de projet sur ce projet. » Et comme on le lit dans les annonces de recrutement, ce serait un plus si « cette personne était suffisamment technique pour comprendre les SOA au niveau conceptuel ». 7) Parce qu'ils voient la SOA comme un projet plutôt que comme une architecture Mike Kavis dénonce « la naïveté de nombreuses entreprises » qui croient que les SOA sont juste un projet comme un autre. Or, elles impliquent la collaboration de nombreux acteurs, spécialistes des ESB (Enterprise Service Bus), des interfaces utilisateurs, de la modélisation de processus, du réseau, de l'architecture des données, etc. Plutôt que de perdre du temps dans de multiples réunions, l'auteur préconise de rassembler toutes ces personnes sur un plateau 'open space' avec moult tableaux blancs pour favoriser le travail collaboratif. [[page]] 8) Parce qu'ils sous-estiment la complexité des SOA D'un point de vue utilisateur, SOA et BPM sont d'une grande simplicité : ils font apparaître comme des applications intégrées des centaines de logiciels et services applicatifs. Vu de l'intérieur, cela représente en revanche un exercice redoutable, même pour des développeurs aguerris. Il faut donc s'attendre à ce que de nombreux obstacles se dressent sur la route, que cela vienne des produits des éditeurs qui manqueraient de maturité ou bien de l'intégration avec le système d'information existant. Dans tous les cas, prévient Mike Kavis, il faut fixer des objectifs réalistes, ne jamais oublier l'infrastructure de sécurité pour chaque sous-projet, et procéder par itérations afin de délivrer souvent de la valeur au métier. 9) Parce qu'ils ne parviennent pas à mettre en place une gouvernance SOA Qu'on l'appelle management ou gouvernance - le terme qui effraiera le moins les équipes, ou rencontrera la meilleure adhésion - il faut mettre en place une politique de gestion globale. Tant au moment de la conception (pour faire en sorte que les développements respectent les principes architecturaux, notamment) qu'après le déploiement, pour comptabiliser les services consommés, superviser les performances, etc. Mike Kavis recommande d'investir dans une équipe dédiée, avec des outils spécifiques, qui gagnera en maturité en même temps que le reste des équipes et des projets. 10) Parce qu'ils laissent les éditeurs guider l'architecture Mike Kavis met en garde contre ce que Ron Schmelzer qualifie de VDA (Vendor driven architecture, ou architecture guidée par le fournisseur) : « Le but du fournisseur est de vous vendre autant de choses que possible. Votre but est d'implémenter avec succès la SOA, et de procurer à votre entreprise le maximum de bénéfices avec le minimum de dépenses. Voyez-vous le conflit d'intérêts ? » Bien sûr, les fournisseurs arguent que leur acheter leur plateforme complète réduira les coûts d'intégration - ce que l'auteur conteste, puisque ces plateformes sont justement constituées de multiples produits rachetés et agrégés. Il s'agit donc ici d'une étape cruciale, qui consiste à prendre le maximum de renseignements auprès des experts et des pairs, à bien définir son besoin avant de consulter les fournisseurs, et à demander à ces derniers des preuves technologiques de ce qu'ils avancent. Il est bien évidemment tentant de s'en remettre à l'expertise d'un éditeur, mais sachant combien les projets SOA sont coûteux, et prévus pour durer des années, cette décision est l'une des plus difficiles à prendre. Titre de l'encadré: En savoir plus Encadré: - L'opinion de Mike Kavis sur CIO.com (...)
(15/07/2008 14:58:04)Microsoft achète une qualité de données à SQL Server
Microsoft a acheté, hier lundi 14 juillet, le petit Israélien Zoomix, éditeur d'une technologie de qualité de données. Les termes de l'opération n'ont pas été divulgués. La gestion de la qualité des données automatise la vérification de la précision des données qui entrent et sont stockées dans une base - ainsi que celles auxquelles on accède pour un traitement décisionnel. Et c'est bien le rôle d'Accelerator, le logiciel de Zoomix, qui, pour ce faire, combine des analyses sémantique et linguistique avec un apprentissage par la machine destiné au classement, à la correspondance et la standardisation des données complexes dans les entreprises. « Aujourd'hui on se retrouve face à de telles quantités de données dans les entreprises qu'il est difficile de savoir ce qui est vraiment important - il s'agit de récupérer de l'information et d'en extraire de la connaissance, insiste Richard Ptak, du cabinet d'analystes IT Ptak, Noel & Associates. C'est pourquoi, de plus en plus souvent, les éditeurs de SGBD et de décisionnel intègrent dans leurs offres des fonctions automatisées de gestion de la qualité des données. Et ce, dans le but d'améliorer la qualité de l'ensemble de l'organisation des données. » Vérifier les données le plus tôt possible dans le cycle Microsoft intégrera les fonctions de Zoomix dans les futures versions de son gestionnaire de bases de données SQL Server. « Il compte s'attaquer en particulier aux données qui entrent dans le workflow, continue Richard Ptak, ce qui réduirait les erreurs et les incohérences. Les entreprises ont besoin de corriger ces défauts le plus tôt possible dans le cycle. » Aujourd'hui, Zoomix cible principalement l'industrie, la distribution, le commerce et la finance aux Etats-Unis, en Europe et au Moyen-Orient. Son équipe de développement rejoindra la R&D de Microsoft en Israël. (...)
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