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Architecture logicielle

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(15/07/2008 12:57:44)

Micro Focus s'offre Liant, éditeur d'outils Cobol

Le marché des outils et compilateurs Cobol continue de se concentrer. Micro Focus, qui vient de signer un partenariat d'intégration avec Microsoft, s'est porté acquéreur de Liant, un des quelques petits acteurs restants. Liant, qui édite RM/Cobol, est spécialiste des portages des applications écrites en Cobol pour AS/400 sur Unix, Windows et DOS.

Liant revendique 5 000 clients. Micro Focus a déboursé 5 millions de dollars pour cet éditeur. En mai 2007, il avait consacré 40,7M$ pour Acucorp et ses 4 000 clients.

Micro Focus fait partie des trois acteurs principaux sur le créneau du Cobol avec IBM et Fujitsu. Parmi les autres éditeurs spécialisés du secteur, mais de moindre envergure, figurent encore Envyr, Infinite Software, LegacyJ et Veryant. (...)

(15/07/2008 12:33:18)

Un outil pour mesurer la qualité des projets Open Source

Le projet européen de plateforme de mesure automatique de la qualité des projets Open Source vient de passer un cap : SQO-OSS (Software Quality Observatory for Open Source Software) est désormais disponible en version alpha. Ce programme a été établi par la Communauté européenne afin de fournir un outil d'évaluation de la qualité du code des logiciels libres. Il s'agit pour l'UE de favoriser l'adoption du Libre, et donc de donner les moyens aux développeurs et aux utilisateurs potentiels de tirer la qualité vers le haut. Le coeur du projet SQO-OSS, dit « Alitheia », est un moteur analysant plusieurs éléments (code source, rapports de bugs, gestionnaire de versions, etc.) dans le but de renseigner des métriques de type : nombre de lignes de code, nombre de classes, nombre de méthodes publiques, etc. Une license FreeBSD et bientôt un plug-in pour Eclipse Distribuée sous licence FreeBSD (dite aussi « 2-clause BSD »), et bientôt sous forme de plug-in pour l'atelier Eclipse, la plateforme Alitheia est aussi accessible en ligne pour une démonstration. Du moins en théorie, car au moment où nous écrivons cet article, le service est inaccessible. SQO-OSS n'est pas le seul projet destiné à fournir un outil de mesure de la qualité des projets Open Source. En février dernier, LeMondeInformatique.fr recensait ainsi plusieurs initiatives, dont OpenBBR par Bull ou Qsos par Atos. (...)

(11/07/2008 13:45:28)

La France en tête des pays ayant adopté l'Open Source

Une étude de Forrester souligne que les Européens, et d'abord les Français, sont plus en avance dans leur recours aux logiciels libres. Mais elle souligne aussi que très peu contribuent aux projets. Les entreprises françaises seraient plus avancées dans l'adoption de l'Open Source que leurs homologues d'Allemagne, du Royaume-Uni, des Etats-Unis et du Canada. C'est ce qui ressort d'une étude menée par Forrester Research, en deux fois; d'abord à l'occasion d'un sondage au troisième trimestre 2007, puis lors de discussions ouvertes à la conférence IT Forum EMEA 2008. Alors que le public nord-américain se dit surtout inquiet de la sécurité du code des logiciels libres (à 71%), le public européen indique que sa priorité (51%) est la qualité du support associé. Forrester note que les entreprises européennes sont ainsi tout à fait prêtes à payer pour du support de logiciels libres, « à condition de pouvoir en mesurer la valeur ». Entreprises américaines (31%) comme européennes (22%) ne sont en tout cas guère inquiètes à cause des menaces juridiques pesant sur l'utilisation de l'Open Source. Les couches d'infrastructure restent de loin le premier domaine pour l'Open Source en entreprise [[page]] Côté technologies utilisées, Forrester constate le cycle habituel d'adoption, à savoir l'introduction de briques de base éprouvées, comme Linux ou Open Solaris, le serveur Web Apache, puis les outils de développement comme Eclipse et langages comme PHP, ainsi que les serveurs d'applications Tomcat et JBoss. De plus en plus, continuent les auteurs de l'étude, Jeffrey Hammond et Diego Lo Giudice, les entreprises envisagent de faire monter l'Open Source dans les couches d'infrastructure : bus de services (ESB), extraction, transformation et chargement de données (ETL), bases de données, applications de gestion de contenu... En revanche, aucune « n'a immédiatement signalé un intérêt » quant à poursuivre cette stratégie au niveau des applications métier. Autre information notable : les entreprises qui s'associent à des communautés Open Source ou qui simplement donnent du code à la communauté sont des exceptions. « La plupart se contentent de consommer de l'Open Source plutôt que d'en produire », écrivent les analystes de Forrester. « Un seul des participants [aux discussions] a indiqué que son organisation contribue au projet Open Source qu'il utilise avec du code mis à jour. » Un comportement typique, précise Forrester, de la plupart des grands départements informatiques. (...)

(09/07/2008 16:33:37)

Genesis, le projet de mashups collaboratifs d'Adobe

Le projet Genesis d'Abode vise à proposer un espace de travail composé de mashups qui regroupent des sources d'information diverses sur un thème donné. Adobe précise qu'il sera possible de partager des projets Genesis. Dans un premier temps, ce partage se fera au travers d'une infrastructure proposée par l'éditeur. Dans un second temps, une autre version permettra l'hébergement des serveurs au sein même des entreprises utilisatrices. Bâti sur un client gratuit AIR (Adobe Integrated Runtime) d'Adobe, Genesis sera lancé en bêta restreinte d'ici la fin de l'année. Né d'échanges avec Business Objects, Genesis se pose en concurrent d'IBM et de son "mashup center". Adobe mène actuellement une campagne auprès de directions opérationnelles de sociétés américaines pour affiner son projet. L'éditeur prévoit toutefois qu'il facturera le partage d'information via son infrastructure, en particulier le temps réel, sous la forme d'abonnement. Ces projets de partage d'information soulèvent toujours des inquiétudes en termes de sécurité. Adobe précise que la version hébergée proposera aux utilisateurs un outil de gestion des contacts. La seconde version, installée sur site, pourra utiliser les renseignements contenus dans les annuaires LDAP. (...)

(07/07/2008 16:56:19)

IBM propose de tester gratuitement son « mashup center »

Un outil d'assemblage de services en ligne, accessible aux utilisateurs métier : telle était la promesse d'IBM lors de la présentation de son Mashup Center, début avril à Las Vegas. Désormais, tout un chacun peut vérifier si la promesse est tenue : l'offre Mashup Center est disponible gratuitement pour les utilisateurs enregistrés sur le portail Lotus Greenhouse. L'outil graphique de création de widgets - services dotés d'une interface utilisateur - Lotus Widget Factory n'est pas encore en ligne, mais l'éditeur assure qu'il fera bientôt partie de l'offre. (...)

(07/07/2008 14:21:03)

Zend étoffe son offre de formation PHP de deux modules en ligne et en français

Zend Technologies annonce aujourd'hui la disponibilité de deux nouvelles offres de formation en ligne destinées aux développeurs francophones. Conçu pour transmettre aux développeurs PHP des connaissances approfondies et pratiques sur la nouvelle génération de l'IDE Zend Studio, le module « Zend Studio for Eclipse» est un cours de 15 heures, entièrement en français, qui simule les processus et défis rencontrés lors du développement d'applications Web à travers des exercices pratiques et un projet pédagogique. Un module complémentaire sur la Zend Platform, outil de monitoring, est également disponible pour savoir utiliser l'intégration entre les deux logiciels. Le cours «Migration d'applications PHP4 en PHP5», pour sa part, fournit aux programmeurs PHP expérimentés toutes les connaissances nécessaires pour réaliser une migration optimisée. Ces deux sessions seront délivrées à distance entre octobre et décembre 2008, pour un coût qui se situe entre 300 € et 1 000 € HT. (...)

(03/07/2008 16:15:06)

Micro Focus et Microsoft activent la modernisation des applications Cobol

Les applications Cobol sont toujours d'actualité et tiennent résolument leur cap. Pour accélérer leur insertion dans les architectures actuelles, l'éditeur Micro Focus collabore avec Microsoft afin d'étendre la palette d'outils proposés à leurs clients engagés dans la modernisation de ces applicatifs. Spécialisé sur ce marché, Micro Focus va ajouter à ses produits pour Windows (Net Express, SOA Express, Entreprise Server) des solutions 64 bits tirant pleinement parti de la plateforme .Net de Microsoft et de ses outils d'infrastructure, d'intégration et de développement SQL Server, Team Foundation Server, BizTalk Server et System Center Operations Manager. L'objectif vise à accélérer la modernisation des applications Cobol stratégiques avec de nouveaux outils de développement, de test (à exploiter dans un environnement Visual Studio) et de déploiement. Selon Peter Duffell, vice président de l'activité solutions Microsoft chez Micro Focus, il reste encore 200 milliards de lignes de Cobol actuellement en exploitation. Un CICS.Net prévu pour 2009 En complément, Microsoft et Micro Focus prévoient, d'ici 2009 une adaptation pour Windows du système transactionnel CICS OLTP (l'« ancêtre » Customer Information Control System, Online transaction processing). Le produit devrait s'appeler CICS.Net. Il permettra de moderniser les applications CICS, soit en les faisant migrer sur Windows, soit en les maintenant sur mainframe, a indiqué Peter Duffell, en ajoutant que les processus de modernisation permettaient aussi d'optimiser le code des applications. (...)

(03/07/2008 12:35:09)

L'éditeur de l'ESB Open Source Mule s'attaque à la gouvernance SOA

« Nos clients avaient besoin d'un outil pour gérer leurs services, s'assurer que les déploiements soient conformes à certaines règles... » Ross Mason, cofondateur et directeur technique de Mulesource, est à Paris cette semaine, à l'invitation d'Octo Technology, pour son Université du SI, et de son partenaire sur le marché français, la SSII Ippon Technologies. Le créateur de l'ESB Open Source Mule en a profité pour vanter son tout nouveau produit, Galaxy, un annuaire de services présenté comme un outil de gouvernance des SOA (architectures orientées services). Tout comme le bus de services d'entreprise Mule, Galaxy existe en deux versions : une 'Community Edition', Open Source, sortie en janvier dernier, et une 'Enterprise Edition', commercialisée, qui est sortie lundi dernier. Cette édition de Galaxy fournit des services de haute disponibilité, un moteur de recherche de services, la capacité de stocker des documents bureautiques décrivant les services, ou encore la capacité à gérer les changements de version. Cette dernière fonction est particulièrement appréciable lorsque le nombre de services passant par l'ESB augmente. Une entreprise peut ainsi rendre obligatoire le déploiement des services à partir de l'annuaire, afin d'éviter les conflits de versions et garder une trace claire des événements. Pour Ross Mason, il s'agit de la première offre de gouvernance des SOA en Open Source. Plus prosaïquement, il s'agit d'un ajout essentiel à l'ESB, nous a expliqué Ross Mason, « à un prix abordable pour la grande majorité des utilisateurs ». (...)

(03/07/2008 12:18:08)

La v5 du serveur d'applications JBoss conforme à OSGI

La version 5 du serveur d'applications Java Open Source JBoss sera disponible dans quelques semaines. Sacha Labourey, le directeur technique de l'entité middleware de Red Hat, a expliqué sur son blog qu'une première version potentiellement commercialisable (RC1) sortait et qu'une seconde devait venir d'ici 6 à 7 semaines, la version finale (commercialisable, celle-ci) étant attendue ensuite. Sacha Labourey insiste sur le côté modulaire de JBoss 5. Pour preuve, le serveur d'applications adopte désormais sur les spécifications OSGI, le système de connexion de composants logiciels écrits en Java (qui forme déjà la base de l'atelier Eclipse, par exemple). Le découpage se poursuit avec un « microcontainer » qui laisse les utilisateurs choisir les API, langages et services qu'ils souhaitent utiliser. [MAJ : voir les précisions en commentaires] Autrement dit, quels que soient les choix techniques futurs, JBoss 5 devrait pouvoir s'en accommoder. « Cette nouvelle architecture signifie que votre investissement dans JBoss est à long terme », conclut Sacha Labourey. (...)

(02/07/2008 09:03:44)

Oracle choisit de faire de BEA Weblogic son serveur d'applications

Depuis qu'Oracle a lancé son offre d'achat sur BEA en octobre 2007, tout le monde se demandait quels choix drastiques il opérerait en cas de fusion des gammes de produits. La réponse est venue hier soir, délivrée par Thomas Kurian, vice-président senior d'Oracle responsable de la stratégie middleware. La star de l'offre BEA, le serveur d'applications Java Weblogic, devient le serveur d'applications d'Oracle. Personne ne doutait que Weblogic - fort de commentaires élogieux des analystes et d'une base installée conséquente - continuerait son existence. En revanche, le fait que le serveur d'applications d'Oracle serve de container J2EE au progiciel d'Oracle rend les choses problématiques. Oracle a résolu le dilemme en expliquant que les fonctionnalités de son logiciel qui n'existent pas chez BEA (tel que l'outil de correspondance relationnel-objet) y seraient intégrées, mais qu'en aucun cas les clients de son progiciel e-Business Suite ne seraient forcés de migrer. « Le développement du serveur d'applications va continuer, a précisé Thomas Kurian. Les clients auront simplement la possibilité de migrer. » BEA Aqualogic Repository devient le coeur de l'offre de gouvernance SOA d'Oracle D'autres produits BEA font leur entrée tels quels au catalogue d'Oracle (si on met de côté le changement de nom). Toujours du côté de Weblogic, l'édition dédiée au secteur des opérateurs télécoms, SIP Server, remplace Oracle SIP Server. Le moniteur transactionnel Tuxedo, qui a fait le premier le succès de BEA, reste évidemment inchangé. Le référentiel Aqualogic Repository devient de son côté le référentiel de l'offre de gouvernance des architectures orientées services d'Oracle. Lequel n'avait jusqu'à présent qu'un annuaire UDDI, qui vient donc s'intégrer à l'offre de BEA. [[page]]D'autres produits très spécifiques, comme la machine virtuelle Java JRockit ou l'outil de gestion des serveurs virtuels LiquidVM, viennent compléter immédiatement l'offre Oracle. On peut encore citer une des composantes d'Aqualogic, pour associer de façon centralisée des droits à des utilisateurs ou à des rôles, Aqualogic Enterprise Security, qui deviendra Oracle Entitlements Manager. Les ESB de BEA et d'Oracle seront fusionnés Pour la majorité des produits, toutefois, la stratégie qui prévaut est celle de l'intégration. Côté développement, les éléments de BEA Workshop deviennent par exemple des composants au sein d'un tout nouveau « pack Eclipse » livré gratuitement avec JDeveloper, l'atelier de développement d'Oracle. Pour la conception des processus, le studio de BEA, Aqualogic BPM Designer, vient compléter l'offre d'Oracle, plus axée sur la modélisation des processus d'entreprise. Un moteur unifié sera proposé pour le déploiement. Les bus de services (ESB) seront aussi unifiés, l'ESB d'Aqualogic étant complété par les fonctions de celui d'Oracle. Idem pour les outils de portail : les logiciels de BEA viendront compléter l'offre WebCenter d'Oracle. La gestion des événements complexes (CEP, complex event processing) n'échappe pas la règle, Thomas Kurian jugeant que « l'offre de BEA est avant tout un moteur pour collecter des événements, [alors que celle d'] Oracle propose un grand nombre d'algorithmes pour effectuer les calculs ». D'une façon générale, Thomas Kurian a insisté sur le fait qu'il n'y aurait aucune migration forcée, que ce soit pour les clients de BEA ou d'Oracle, et qu'il s'agisse des produits ou des contrats : une nouvelle liste de prix a été établie, mais les anciennes restent valables, a-t-il dit. Il a également fait valoir que tous les produits mentionnés dans sa présentation comme « en mode maintenance » l'étaient déjà avant l'acquisition de BEA par Oracle. Seule exception : Aqualogic Services Manager, qui reposait sur une offre OEM, « redondante avec Oracle Enterprise Manager », et qui est donc mise de côté. (...)

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