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(23/04/2008 15:39:31)

Sun voudrait un Java 100% libre

Sun aimerait voir sa plateforme Java davantage utilisée dans le monde Linux et même packagée avec la plupart des grandes distributions. Pour ce faire, il s'attèle à « nettoyer » le code pour de Java pour qu'il devienne entièrement Open source. Selon Sun, il ne resterait que 4% à passer vers une licence GPL, comprenant principalement des libraires de cryptage, des librairies graphiques, le moteur sonore et certains composants SNMP. En attendant, la société travaille avec les principaux distributeurs Linux (Fedora, OpenSuse et Ubuntu) afin de livrer une mise à jour de son OpenJDK, la plateforme opensource de Java, pour les principales distributions de l'OS. « Nous espérons voir prochainement du mouvement dans les distributions Linux, peut-être dès JavaOne (NDLR : la conférence JavaOne aura lieu à San Francisco du 6 au 9 mai 2008), espère Rich Sands, responsable du développement marketing chez Sun. Nous essayons d'emmener Java vers des endroits où il ne s'est jamais introduit. En l'absence de version 100% Open Source, certains développeurs Linux ont préféré bâtir leurs application avec du C, du C++ ou du PHP. » (...)

(18/04/2008 18:52:22)

Exoplatform met un OS dans le navigateur

Client léger, PC low cost, virtualisation de desktop... La mode est au poste de travail et au bureau allégés. Une aubaine pour la startup française Exo Platform qui présente aujourd'hui son Exo WebOS. Une idée toute simple mais originale : WebOS exécute l'environnement de travail habituel de l'utilisateur directement dans le navigateur, et non sur le bureau. Il ouvre une interface utilisateurs multi-fenêtrée qui a le même « look-and-feel » que l'OS, qui reproduit son fonctionnement et dans lequel viennent s'exécuter les applications. C'est cette interface qui correspond au système d'exploitation habituel de l'utilisateur (Linux, Mac ou Windows Vista) qui est téléchargée directement dans Firefox, Safari ou Internet Explorer, et non l'OS lui-même. « Contrairement à XenDesktop de Citrix qui pousse systématiquement les images de l'OS et des applications vers le poste client, nous envoyons le code directement dans le navigateur," explique Benjamin Mestrallet, président fondateur. Où qu'il soit, à n'importe quel moment, sur n'importe quelle machine, l'utilisateur n'aura besoin que d'un simple navigateur pour retrouver tout son environnement habituel. C'est en s'appuyant sur les standards du web 2.0 qu'Exo Platform réussit à exécuter des fonctions de l'OS dans le navigateur. Pour la gestion de contenu, il s'appuie, comme avec son portail, sur son implémentation de l'API JCR (Java Content Repository). 300 000 utilisateurs au ministère des Finances belge [[page]]A l'occasion de l'annonce, Exo Platform a invité deux de ses clients à témoigner de leurs expériences respectives. Le ministère des Finances de Belgique (SPFF) compte ainsi 300 000 utilisateurs de WebOS dont 10 000 utilisateurs simultanés. Accompagné par Bull, il a déployé un environnement de travail collaboratif avec tableau blanc et visioconférence. Pour certaines entreprises comme M6, un logiciel comme WebOS présente un autre intérêt. L'entreprise veut être plus autonome vis à vis de son outil de portail. Elle souhaite pouvoir rapidement apporter des réponses aux besoins exprimés par ses utilisateurs et en particulier pouvoir facilement ajouter de nouvelles fonctions métier. Indépendant du poste de travail, écrit avec les technologies Javascript et développé en Open Source, WebOS se prête tout à fait au jeu. Née en 2002, la jeune entreprise réalise la plupart de ses développements au Vietnam et en Ukraine. En France, elle travaille avec des prestataires tels que Business & Decision ou Bull. Ce dernier l'accompagne auprès de ses nombreux prospects du secteur public. « Nous avons une dizaine de clients dans le monde entier, mais c'est notre liste de commandes qui est impressionnante. » WebOS est disponible par souscription pour 7 000 € par CPU et par an. Un tarif qui garantit une version stabilisée, le support de la production, la documentation administrateur et utilisateur, la maintenance applicative et corrective. Avant l'été, Exo Platform sortira une suite bureautique pour son WebOS. Dans un avenir proche, il devrait aussi s'intéresser très logiquement aux PC low cost. Enfin, comme son système d'information propre est complètement externalisé sur l'EC2 (Elastic Compute Cloud) de Amazon, l'éditeur pourrait proposer son logiciel en mode SaaS par ce même biais. Un seul bémol, dans certains pays, la loi interdit l'hébergement de données sensibles à l'étranger. (...)

(18/04/2008 18:33:37)

MySQL Conference et Expo : polémique autour de la fermeture partielle du code

Connu pour sa mainmise sur les développements open source de ses produits phares - Java et Solaris - Sun était surveillé de près par les développeurs de MySQL depuis l'annonce du rachat de la base données libre. Et la sixième MySQL Conference & Expo, qui s'est terminée hier à Santa Clara (Californie) leur a permis de se faire entendre. Une décision prise avant le rachat, plaide Sun Au coeur de la controverse, MySQL 6.0, attendue pour la fin de l'année. Cette version comprendra des outils de restauration et de sauvegarde. Et certains d'entre eux seront réservés à la version payante de MySQL Entreprise (vendue de 479 à 3 999 euros par serveur et par an suivant les versions). Une annonce qui a conduit Vadim Tkachenko, ancien employé de MySQL devenu consultant chez Percona et toujours utilisateur, à s'interroger : « Est-ce que MySQL ne croit plus en l'open source ? Ou n'y croit-elle que partiellement ? Je comprends qu'il ne s'agisse que d'une question d'argent, et chacun fait ce qu'il veut avec son produit, mais MySQL ne semble pas faire jeu ouvert dans cette histoire. » Et Slashdot, le blog qui appartient au même groupement de sites que SourceForge, accusait même hier Sun de vouloir fermer le code source de cette base de données. Pour Bertrand Matthelié, directeur marketing EMEA de MySQL pour Sun et qui travaille depuis sept ans pour MySQL, cette polémique est sans fondement. « A 100 %, cette décision a été prise par MySQL, avant le rachat par Sun, affirme-t-il. De plus, le coeur des outils de back-up sera disponible pour tous en GPL. Seul des plug-in particuliers seront réservés à nos client MySQL Entreprise (cryptage à la volée ou pilote pour certaines baies de stockage). » [[page]]« Nous n'avons pas encore décidé de la licence qui les protégera. Dans tous les cas, la communauté pourra elle aussi, si elle veut, développer ses propres add-on. » Une nouvelle interface de modélisation Outre des précisions sur MySQL 6.0, cette conférence a aussi vu le lancement d'un logiciel, MySQL Workbench, un outil graphique pour modéliser simplement ses bases de données. Il est disponible dès aujourd'hui sur le même modèle que MySQL. A savoir une version gratuite à télécharger, la Community Edition ; et une version payante, la Standard Edition, à 79 euros par serveurs et par an. Cette version payante bénéficie de modules supplémentaires pour accélérer le travail des développeurs de base de données. La prochaine mise à jour majeure, MySQL 5.1, a également été annoncée pour fin juin. « Nous attendons 15% de gain de performance avec cette version », précise Bertrand Matthelié. Elle proposera également quelques nouveautés comme un partitionnement de la base, des options nouvelles de réplication ou encore un programmateur de tâches, que celles-ci soient récurrentes ou non. (...)

(18/04/2008 12:22:55)

Silverlight supportera les DRM avant la fin de l'année

Sur le Web, l'offre de monétisation n'est jamais loin de l'offre technologique. Afin de faire de son client riche Silverlight le support idéal pour des accords commerciaux avec des producteurs de contenu, Microsoft a annoncé le support des DRM « plus tard dans l'année ». Le système de protection du contenu numérique (DRM, Digital rights management) concernera « uniquement le mode connecté pour l'instant », prévient Marc Jalabert, directeur de la division Plateforme et Ecosystème, autrement dit la vidéo en streaming et en téléchargement progressif. L'offre, intitulée 'Silverlight DRM, Powered by PlayReady', est compatible avec Windows Media DRM 10. Elle est en démonstration cette semaine au NAB Show 2008 de Las Vegas, qui réunit les créateurs, producteurs et distributeurs de contenu. Plusieurs partenaires de Microsoft ont déjà exprimé leur intérêt, dont Paramount Pictures. Avec Silverlight, Microsoft joue pour une fois les challengers face au mammouth du secteur, Flash d'Adobe. Marc Jalabert reste humble devant la base installée de Flash, qui équipe la quasi-totalité des PC dans le monde, mais précise que le plug-in Silverlight est téléchargé au rythme de 1,5 million d'exemplaires par jour. (...)

(17/04/2008 17:38:25)

Microsoft rejoue Mix au public français

Microsoft a proposé aujourd'hui au public français un « Remix », autrement dit une édition adaptée de l'événement Mix, qui s'est déroulé il y a un mois à Las Vegas. Pas d'annonce à se mettre sous la dent, donc, dans la mesure où les bêtas de Silverlight 2 (et sa déclinaison pour mobiles) et de SSDS ont été lancées le mois dernier. Mais des témoignages clients et des démonstrations à foison. Pour rappel, alors que la première version du plug-in pour navigateur Silverlight se contentait d'offrir un espace d'exécution graphique, la version 2 embarque l'environnement .Net, ce qui ouvre la voie à des applications évoluées offrant une interface de type client Internet riche (RIA, Rich Internet Application). SSDS, de son côté, ou SQL Server Data Services, est une offre en ligne, ou « in the cloud », s'appuyant sur la base de données SQL Server. L'objectif de cette rencontre parisienne est de montrer au millier de designers, développeurs et businessmen inscrits - trois sessions parallèles leur étaient proposées - ce qu'il est possible de faire aujourd'hui avec les technologies Microsoft pour améliorer l'attractivité et in fine la rentabilité des sites Web. Malgré l'offre de monétisation dorénavant mise en avant par Microsoft au même titre que les technologies, certains exemples laissent dubitatifs quant au modèle économique. Seesmic, la plateforme de blog vidéo de Loïc Le Meur, est ainsi un bel exemple d'applications de ces technologies sur le mobile, mais sans indice évident sur le financement. D'autres cas d'utilisation sont une simple transposition du modèle économique préexistant, tel M6Replay, qui permet pendant quelques jours de visionner un programme manqué sur la chaîne en le faisant précéder d'un spot publicitaire. D'autres, comme Quiksilver ou cdiscount, tentent d'innover avec une autre façon de présenter ce qu'ils ont à vendre. [[page]] Deep Zoom pour les photos, Silverlight pour la vidéo Parmi les autres clients de ces technologies, citons pêle-mêle la Fnac, le Cirque du soleil, Coca-Cola, Aston Martin, Gucci, et même Double Click, régie publicitaire désormais sous la férule de Google. Constellation, start-up du programme Idées, montre comment Silverlight peut aussi servir de client de mash-up (combinaison de services Web) : son offre associe son service de guide touristique et de réservation d'hôtels au service en ligne de cartographie proposé par Microsoft, Virtual Earth. Toutefois, lors d'une récente manifestation IBM à Las Vegas, Harley Davidson avait montré un outil similaire, destiné à ses clients bikers, aussi convaincant sans plug-in graphique spécifique pour le client. A noter que parmi ces présentations de cas clients se cache une application d'une technologie tombée dans l'escarcelle de Microsoft lors du rachat de Seadragon (à qui l'on doit PhotoSynth et sa vision à plusieurs angles d'Endeavour) : Deep Zoom. Le Défi Wind de Gruissan, compétition de planche à voile à Gruissan (dans l'Aude), l'utilise pour naviguer au sein de son fonds iconographique, en sus des vidéos. « Ils avaient des centaines de photos haute définition pas exploitées, commente Marc Jalabert, directeur de la division plateforme et écosystème de Microsoft France - et lui-même véliplanchiste compétiteur. Cela donne des idées à beaucoup de monde : rendez-vous dans quelques mois ! » En attendant, le test à grande échelle de Silverlight sera ce que met en place NBC pour les Jeux olympiques de Pékin. Le network américain utilisera le Web et Silverlight pour diffuser en direct (enfin, selon ce que permettront les autorités chinoises...) les compétitions, avec des possibilités de visualisation en plein écran, de modules d'information contextuels, d'incrustation de vignettes vidéo pour suivre d'autres sports, etc. (...)

(16/04/2008 15:46:37)

Le Gartner invite les entreprises à se méfier du mariage entre SaaS et open source

D'après le Gartner, d'ici 2010 neuf prestataires SaaS (Software as a Service) sur dix s'appuieront sur l'offre open source afin de réaliser des économies. Systèmes d'exploitation, serveurs d'application, bases de données... tout serait bon dans le libre pour réduire les coûts d'infrastructure. Mais Robert Desisto, analyste au Gartner, apporte un important bémol. Les prestataires SaaS n'ont pas l'intention de faire bénéficier leurs clients de ces économies en logiciel, préférant réinvestir les bénéfices en R&D ou simplement... les garder. Pour mener à bien une telle stratégie, les prestataires SaaS chercheront à stimuler le développement Open Source, toujours selon le Gartner, de plusieurs manières. Ils pourraient par exemple adopter prématurément des solutions encore en test ou en bêta. Pour le cabinet de consultants, ce penchant pour l'open source pourrait, à terme, poser bien des problèmes aux utilisateurs finals. Il cite ainsi Salesforce et SugarCRM, deux prestataires qui permettent aux utilisateurs de développer des extensions de logiciels commerciaux du marché pour les partager ensuite. Ces exemples pourraient se répandre et à terme, les prestataires proposeraient des solutions qui ressembleraient à du logiciel libre, auraient le goût du logiciel libre, mais n'en seraient pas vraiment. Les développeurs qui conçoivent ces extensions peuvent en effet adopter une démarche lucrative et demander un paiement en échange de leur travail. La facturation du service d'application reposant sur un coeur payant et des briques diverses et variées, payantes ou non, risque d'engendrer des modèles hybrides complexes à gérer pour les prestataires SaaS. Des clients en infraction sans le savoir Pis encore, les clients pourraient utiliser du code payant sans le savoir et donc se trouver en infraction vis-à-vis des législations anti-piratage ! Pour le Gartner, une seule solution : les entreprises doivent s'impliquer, voire s'ingérer dans la manière dont leur prestataire travaille avec l'open source. Et ce d'autant plus que les directions informatiques perdent le contrôle et la visibilité quand les services ventes ou marketing décident seules d'utiliser une solution SaaS. Ces dernières ne sont pas forcément les mieux placées pour surveiller les ajouts de code et juger de leur qualité. Malheureusement, une fois l'application externalisée, les services informatiques auront bien du mal à récupérer le contrôle si l'entreprise n'est pas directement impliquée dans les choix effectués par son prestataire... (...)

(14/04/2008 12:31:20)

La start-up française Iminent lève 2,4 millions d'euros

La start-up parisienne Iminent vient de réaliser un second tour de table d'un montant de 2,4 M€ auprès de son investisseur 360 Capital Partners, rejoint par I-Source, « séduit par le succès grandissant d'Iminent [NDLR : auprès de bêta-testeurs privés] », d'après Francis Cohen, président de la société. Iminent.com est une plateforme de services et d'extensions pour les utilisateurs de messagerie instantanée (comme celle de Windows ou de Yahoo). Elle leur permet d'enrichir leurs conversation et de créer du contenu (vidéo par exemple). La société, lancée en 2006 par les anciens fondateurs de Kiwee (un site de téléchargement d'avatars, d'émoticônes), avait déjà levé 3 M€ l'an dernier auprès de 360 Capital Partners. « Cette deuxième levée de fonds nous permettra de développer de nouveaux services, mais également de nous attaquer au marché américain », précise Francis Cohen. (...)

(14/04/2008 12:19:54)

Cisco transforme ses routeurs en serveurs d'application

Cisco se lance sur le marché des serveurs d'applications sous Linux avec sa Cisco Application eXtended Platform (AXP). Associant matériel et logiciel, celle-ci va transformer les routeurs ISR (Integrated Services Routers) et WAAS (Wide Area Applications Services) de Cisco en serveurs d'application. Il suffit de brancher le module AXP sur l'un des routeurs. Bien que le système d'exploitation au coeur d'AXP soit une distribution maison de Linux, Cisco Hardened Linux, cette plateforme propose un ensemble de librairies standard en C, Python ou Java pour accueillir presque n'importe quel type d'application. (...)

(11/04/2008 17:19:49)

Sun dévoile un projet pour simplifier la gestion des plateformes SaaS

Baptisé Caroline, le projet de recherche évoqué par Sun le 10 avril concerne directement les fournisseurs de services SaaS (software as a service). Il s'agit en effet d'une solution qui faciliterait la mise en oeuvre et l'administration des infrastructures Saas à travers une interface unique permettant d'allouer, superviser et développer les ressources. Elle serait livrée avec différentes fonctions pour gérer les environnements virtualisés, le stockage ou encore les ressources réseau.Ce projet utilisera les langages Java, Ruby, Python ou Perl et devrait ainsi permettre aux fournisseurs de concevoir rapidement de nouveaux services et de mieux gérer leurs ressources. Pour Sun, il s'agit d'anticiper le succès d'un marché promis à un bel avenir comme le souligne John McClain, ingénieur senior de Sun qui travaille sur le projet Caroline. Il estime qu'à terme toutes les applications reverront à des serveurs Sun sur Internet: « Dans certains cas, voire la plupart des cas, l'intégralité de l'application sera en fait un service Internet ». De fait, le Gartner avait estimé le marché mondial des applications d'entreprise fournies « comme un service » à 5,1 milliards de dollars en 2007 (progression de 21% par rapport à 2006) et prévoyait qu'il atteindrait les 11,5 milliards de dollars en 2011. Avec Caroline, Sun entend devancer les besoins métiers et techniques qui ne manqueront pas d'apparaitre avec cet essor des plateformes SaaS en adoptant une approche où le développeur pourra attribuer un pool de ressources pour chaque application. En s'appuyant sur les technologies de virtualisation, Caroline permet en effet d'isoler les services et les utilisateurs tout en favorisant une exploitation optimisée des infrastructures des fournisseurs. Pour l'instant, aucune date de sortie n'est encore prévue pour Caroline, la solution étant actuellement déployée en grid dans un datacenter à Burlington dans le Massachussetts (Etats-Unis). Toutefois, le code est disponible sous licence GNU version 2, Caroline ne fonctionnant pour l'instant qu'avec la base de données PostgreSQL. MySQL est en cours d'implémentation. (...)

(11/04/2008 17:44:41)

STMicroelectronics et NXP unissent leurs activités sans fil

Le fondeur franco-italien STMicrolectronics (STM) va fusionner ses activités dans le domaine des technologies sans fil avec celles du néerlandais NXP, en créant une joint-venture dont il contrôlera 80% du capital. En déboursant 1,55 Md€ cash dans cette opération, STM créé ainsi une société qui devrait figurer parmi les leaders du marché, derrière Intel, Texas Instrument ou encore Qualcomm, les trois géants des puces pour périphériques sans fil. La nouvelle société devrait employer 9000 personnes (STM emploie 50 000 personnes dans le monde), et son siège social se situera en Suisse. Aussitôt l'opération annoncée, Christine Lagarde, ministre des Finances, s'est félicitée de ce partenariat : « L'accord conclu avec NXP s'inscrit dans la vision stratégique commune aux actionnaires publics italiens et français de STMicroelectronics, reposant sur un modèle intégré de recherche et de production ». De fait, les composants pour périphériques sans fil représentent un marché important de 14% du total des puces vendues dans le monde, STM et NXP ayant généré ensemble un chiffre d'affaire de 3 milliards de dollars sur ce segment en 2007. Selon Leif-Olof Wallin, vice-président de la recherche chez Gartner, cette annonce n'est pas une surprise : " les fournisseurs de composants ont été soumis à une grande pression sur les prix. S'unir est une façon d'y faire face." (...)

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