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Architecture logicielle

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(16/01/2008 14:19:19)

Bulletin : Sun rachète MySQL

Sun vient d'annoncer son intention de racheter MySQL, leader des bases de données Open Source, pour 1 Md$. La rédaction vous tiendra informé d'ici à la fin de la journée. (...)

(16/01/2008 11:57:44)

Le W3C fait un grand pas en avant pour le Web sémantique

2008 pourrait bien être l'année du décollage du Web sémantique. Le W3C, consortium en charge des standards du Web, vient de publier trois recommandations SPARQL, langage de requête qui permet d'exploiter toute la puissance de l'approche sémantique des données RDF (Ressource Description Framework). Grande marotte de Tim Berners-Lee, pape du Web et patron du W3C, le Web sémantique vise à créer un environnement en ligne dans lequel toutes les données sont reliées entre elles de façon logique pour former une information ultra-pertinente. On ne retient plus alors que le sens des données, et non plus leur place dans un document texte. A l'instar de ce qu'on obtient avec les résultats d'une recherche Google. Place à l'information pure décloisonnée issue de sources multiples et hétérogènes, fi des formats et des méthodes de stockage. Pour l'heure, le Web sémantique n'a pas percé à cause de sa complexité à la mise en oeuvre, mais également par la pauvreté des outils de développement et de la faible implémentation des standards. Parmi les technologies qui encadrent le Web sémantique, on retient RDF - la base du concept -, OWL (Ontology Web Language) qui décrit les ontologies (les liaisons logiques entre les méta-données) et GRDDL (Gleaning Resources Description from Dialects of Languages) qui extrait les micro-formats XML d'un document vers le RDF. Aujourd'hui, le W3C ouvre en grand le requêtage sur RDF en publiant les recommendations SPARQL Query Language for RDF, SPARQL Protocol for RDF et SPARQL Query Results for XML Format, trois spécifications développées par le groupe de travail RDF Data Access Working Group du consortium. Cette publication devrait ainsi doper le nombre d'implémentations de SPARQL au sein de frameworks sémantiques. On en dénombre aujourd'hui 14, dont Jena développé par les laboratoires HP. (...)

(15/01/2008 16:44:28)

Deux administrateurs Oracle sur trois ne patchent pas leur SGDB

Quatre fois par an, régulièrement, Oracle poste son CPU (Critical Patch Updates) qui rassemble toutes les mises à jour de sécurité les plus importantes pour sa base de donnée. Et que font les administrateurs de ces bases ? Pour les deux tiers d'entre eux, strictement rien. C'est en effet le résultat d'un sondage mené par Sentrigo, revendeur américain de solutions de sécurité pour bases de données, auprès de 305 administrateurs Oracle provenant de 14 Oracle user group américains. Et dans le lot, seuls 10 % installent régulièrement les CPU, alors que 90 % d'entre eux n'ont pas installé le dernier lot de patches. Et 67,5 % des répondants n'ont même jamais installé un seul patch. Pour expliquer cette absence d'intérêt, Steve Markovich, directeur technique de Sentrigo a noté trois tendances majeures parmi les répondants. Primo, la plupart d'entre eux ne sont pas sensibilisés aux vulnérabilités pouvant affecter des bases de donnée. Deuxio, l'absence de certifications CPU pour les applications extérieures devant travailler avec une base Oracle est également un frein. Tertio, la sécurité n'est pas la préoccupation majeure de leurs employeurs qui les jugent sur la disponibilité et la performance de la base de donnée. « Au final, patcher une base de données est une opération complexe en soi », explique Steve Markovich. « Et si Oracle peut toujours rendre les choses de plus en plus facile, il faut que du côté client on reconnaisse que la sécurité doit faire partie d'une routine d'administration de base normale. » (...)

(15/01/2008 16:26:17)

BEA explique Genesis à ses utilisateurs français

BEA tenait aujourd'hui son « Convergence Day » au Cnit de Paris-La Défense, un événement important dans le calendrier de l'éditeur, qui réunit ainsi chaque année ses principaux utilisateurs, prospects et partenaires. Alfred Chuang, cofondateur et toujours patron de BEA, a fait le déplacement, pour faire la promotion de son nouveau concept Genesis, dans un court discours résumant son 'keynote' de l'édition européenne de BEA World, qui s'est tenue à Barcelone en octobre dernier. Insistant sur la fin des progiciels intégrés et sur l'essor des mashups, ces services composés par les utilisateurs eux-mêmes, Alfred Chuang explique que l'avenir appartient aux « Dynamic business applications », un terme issu des analyses du cabinet Forrester, désignant des applications conçues pour être changées, et non pas simplement personnalisées. Un avenir rendu possible par la généralisation des SOA, les architectures orientées services. La réponse de BEA à ce challenge s'appelle « Genesis », « une initiative qui embrasse et étend tout ce que fait BEA », a sommairement expliqué Alfred Chuang, qui promet un lancement de la première étape de Genesis dès cet été. Dans un entretien avec Lemondeinformatique.fr, Mike Piech, directeur marketing senior pour les familles de produits WebLogic et Tuxedo, a indiqué que chaque nouvelle version d'un produit BEA comporterait désormais des spécificités liées à Genesis, tandis que certaines fonctionnalités seront délivrées en tant que modules autonomes. Dans tous les cas, a insisté Mike Piech, les produits BEA déjà installés dans l'entreprise seront pris en compte par les nouvelles technologies estampillées Genesis au même titre que le reste de l'existant : pas besoin de tout migrer. La première déclinaison de Genesis concernera les éditeurs souhaitant proposer leurs applications en mode Saas (Software as a service, ou application hébergée). « Parmi les exemples de fonctionnalités, il y aura la capacité de gérer plusieurs instances pour des clients différents, et de superviser l'usage du logiciel pour la facturation. » Genesis mêle mashups et Web 2.0 dans un monde post-SOA Mike Piech était monté sur scène pendant le discours d'Alfred Chuang pour effectuer et commenter une démonstration d'une application Genesis : un portail Web pour une marque automobile fictive, proposant plusieurs vues selon les utilisateurs (client, vendeur, concessionnaire, designer...), et privilégiant des techniques ainsi que des façons de travailler très Web 2.0 : collaboration via messagerie ou tableau blanc, glisser-déposer d'éléments applicatifs générant automatiquement des mashups... « La première démonstration live que j'ai vue moi-même de Genesis », a ensuite glissé Laurent Matringe, DG de BEA France, en guise de conclusion. Or, cela n'avait pas grand-chose de live, nous a ensuite avoué Mike Piech. Il s'agissait d'une vidéo retraçant ce que Genesis pourrait, à terme, offrir. Il reste, avant cela, beaucoup de travail à faire. Non seulement pour parvenir à cette création instantanée de mashups, mais aussi pour encadrer ce que pourront et ne pourront pas faire les utilisateurs. « Parmi les challenges à résoudre, indique Mike Piech, à chaque fois que j'effectue un glisser-déposer, j'augmente significativement la charge du service applicatif. D'où l'intérêt de la virtualisation pour ajouter dynamiquement des ressources. » Le DG France de VMware, partenaire de l'événement, avait d'ailleurs eu l'insigne honneur de monter sur scène le matin, BEA ayant multiplié ces derniers temps les annonces en matière de virtualisation. Toutefois, même avec de la virtualisation, les risques restent importants pour l'équipe d'exploitation. « Je ne peux pas prétendre que nous ayons déjà toutes les réponses », répond Mike Piech. (...)

(14/01/2008 17:49:54)

L'éditeur de l'ESB Open Source Mule signe en France avec Ippon Technologies

MuleSource, un des principaux éditeurs d'ESB (bus de services d'entreprise) Open Source, vient de signer avec un représentant en France : Ippon Technologies. A l'origine SSII spécialisée dans les technologies J2EE, Ippon Technologies s'est tournée vers les architectures orientées services (SOA) au fur et à mesure de ses projets menés avec son partenaire principal, BEA, et son offre Aqualogic. Mais la SSII a aussi été amenée à utiliser de l'Open Source : Liferay pour les portails, par exemple, et Mule pour les ESB. « Nous avons mis en place Mule ESB pour Cegedim, raconte Geoffray Gruel, directeur général délégué d'Ippon Technologies. Cela s'est très bien passé, dans les temps, sans heurt, avec un budget contrôlé. » L'ESB de MuleSource a été sélectionné suite à une revue de plusieurs produits, dont OpenESB de Sun, Petals d'Objectweb (OW2 Consortium), ServiceMix d'Apache et bien sûr JBoss, sur plusieurs critères : technique, communauté et feuille de route. Concernant les évolutions, justement, Geoffray Gruel explique que Mule ESB développe d'intéressantes capacités sur le monitoring en production. « Inversement, dit-il, Mule ESB n'est pas très fort en ce qui concerne le BPM. Mais Mule fonctionne très bien avec JBPM, de JBoss, et on regarde aussi du côté d'Intalio. » (...)

(14/01/2008 14:56:49)

Les extensions humaines de BPEL ont leur comité à l'Oasis

Neuf mois après l'approbation de la version 2.0 du standard BPEL par l'Oasis, voilà que se profile à l'horizon l'extension pour les tâches humaines. BPEL, ou Business Process Execution Language, est un langage destiné à écrire les enchaînements de services formant des processus. Il n'a pas pour but de gérer des interactions avec les utilisateurs. En revanche, des travaux sur cet aspect de BPEL, appelés BPEL4People, existent depuis longtemps. Active Endpoints, Adobe, BEA, IBM, Oracle et SAP ont ainsi élaboré les spécifications WS-BPEL Extension for People et WS-HumanTask. Co-président du comité BPEL de l'Oasis (Organization for the Advancement of Structured Information Standards, qui gère un grand nombre de standards ouverts liés à XML et aux services Web) depuis sa création en 1993, John Evdemon, de Microsoft, vient d'annoncer que l'Oasis créait un sous-comité pour étudier ces spécifications, et permettre à terme d'inclure ces tâches humaines au sein des processus et de les exposer en tant que services Web. (...)

(11/01/2008 17:18:25)

Les données clients exposées lors des phases de test

La plupart des entreprises font inutilement courir un risque aux données de leurs clients ou de leurs employés lorsqu'elles testent leurs applications informatiques. C'est ce que révèle un rapport intitulé « Test data insecurity : the unseen crisis », publié en décembre par l'éditeur Compuware et les analystes de Ponemon Institute, à la suite d'une enquête menée en juillet et août dernier auprès de 897 responsables informatiques. On y découvre qu'en Europe, 64% des entreprises interrogées utilisent les véritables données de leurs clients (des données issues de leur système de production) sans prendre la peine de les modifier, lors des phases de test qui accompagnent le développement de leurs applications. Parmi les entreprises françaises sondées, elles ne sont que 43% à avoir reconnu procéder ainsi. Seule concession à la confidentialité : les données sont mélangées au sein des colonnes, de façon à ce que les lignes restent cohérentes. Parmi celles qui le font en France, 66% se servent des fichiers clients complets (63% en Europe) et 37% se bornent à utiliser des listes de clients (45% en Europe). Or, les informations ainsi utilisées incluent la plupart du temps des renseignements sensibles ou confidentiels, tant sur les employés que sur les clients (numéros de référence, de cartes de crédit, de sécurité sociale...). Nécessité d'une prise de conscience Les entreprises pensent généralement que les procédures de tests ne mettent pas en danger ces données privées parce qu'elles ne se déroulent pas dans un environnement de production. Pourtant, les informations ainsi manipulées se retrouvent entre les mains d'intervenants qui ne sont généralement pas autorisées à les consulter, non seulement au sein des équipes internes de l'entreprise, mais aussi et surtout lorsque les tests sont effectués chez des partenaires ou des sous-traitants. L'enquête de Compuware et Ponemon montre justement que 59% des entreprises françaises interrogées externalisent les tests de leurs applications (42% seulement en Europe) et que 81% partagent leurs données de production avec leurs sous-traitants (60% en Europe). Larry Ponemon, président fondateur de l'Institut Ponemon, explique cette pratique risquée par le fait qu'il est plus facile et moins cher d'utiliser des fichiers de données internes pour tester les applications. Mais il souligne à quel point cela peut compromettre la sécurité de ces données confidentielles et insiste sur la nécessité d'une prise de conscience. De fait, l'étude révèle aussi que 38% des entreprises françaises interrogées (35% en Europe) reconnaissent ne pas savoir si l'intégrité de leurs informations a été compromise. Pire, 45% des entreprises européennes admettent que des données utilisées dans le cadre de tests ont été perdues ou volées. (...)

(10/01/2008 17:19:42)

Samba, PHP et Perl certifiés sécurisés

Coverity, qui exécute le programme Open source Hardening Project pour le compte du ministère de l'Intérieur américain (DHS - Department of homeland security), vient de certifier 11 logiciels Open Source, leur appliquant son sceau Rung 2. Ce qui symbolise le plus haut degré de sécurité pour une application Open Source, selon le barème - qui fait référence - de la société. On dénombre Amanda, NTP, OpenPAM, OpenVPN, Overdose, Perl, PHP, Postfix, Python, Samba et TCL. Le programme a été lancé en mars 2006 pour analyser les lignes de codes de quelque 180 logiciels Open Source afin d'en déterminer un indice de confiance. Depuis sa création, Coverity aurait ainsi scanné plus de 50 millions de lignes de code et aurait permis de patcher quelque 7 826 failles et bogues. Coverity est censé repérer les failles et les soucis de qualité du code. Les rustines sont apportées par l'éditeur et sa communauté, qui au fur et à mesure, franchissent les étapes du barème Coverity (Rung 0, Rung 1 et Rung 2). Dans un communiqué, Coverity explique que nombre de projets Open Source ont été assidus à corriger les troubles de sécurité qu'il a identifiés. Par exemple, sur les 236 failles isolées dans les 450 000 lignes de code de Samba, 228 ont été corrigées. (...)

(08/01/2008 16:55:35)

Progress Software : bénéfice net en hausse de 44% grâce aux SOA

2007 a été une année profitable pour Progress Software. L'éditeur de logiciels d'infrastructures SOA vient en effet de publier un chiffre d'affaires de 494 M$, en progression de 10%, et un bénéfice net qui est passé de 29,4 M$ à 42,3 M$ (+44%). Sur un marché marqué par la consolidation - Oracle, IBM, Microsoft et SAP captant de plus en plus d'acteurs - Progress met en avant sa bonne santé financière : « La trésorerie et les investissements à court terme de la société se montent à 340 millions de dollars à la fin du trimestre, indique l'éditeur. Au cours du dernier trimestre, la société a acheté 600 000 actions pour un coût de 18,5 millions de dollars. L'autorisation de rachat existante, au titre de laquelle la société peut encore racheter 9,4 millions d'actions environ, expire le 30 septembre 2008. » Le quatrième trimestre a particulièrement été fructueux, puisque le bénéfice net a enregistré une augmentation de 75% (12,1 M$ contre 6,9 M$ un an plus tôt). Sur cette même période, les revenus générés par la vente de licences atteint 53,8 M$, contre 49,4 M$ en 2006 (+9%). La société explique ces bons résultats par la maturité du marché, et la forte adoption des architectures orientées services (SOA) dans les entreprises. Les ventes de logiciels SOA ont en effet progressé de 20% en 2007 chez l'éditeur. Progress Software ne compte pas s'arrêter en si bon chemin, et table d'ores et déjà sur un chiffre d'affaire compris entre 515 et 525 M$ pour l'exercice fiscal 2008. Progress Software propose ses solutions SOA sous différentes marques : Apama (gestion d'événements en temps réel), Actional (supervision des services Web), DataXtend (réplication et accès aux données) et Sonic (bus de services d'entreprise). L'éditeur emploie 1600 personnes dans une trentaine de pays (27 personnes en France). (...)

(08/01/2008 12:36:17)

Tension sur l'emploi des spécialistes des bases de données, selon Freelance.com

Le début d'année 2008 semble se singulariser par une tension accrue sur le marché des bases de données. En effet, cette spécialité concentre près de 40% des demandes de compétences à elle seule. Elle est emmenée par Oracle, qui représente près d'une demande sur cinq, notamment sur des profils DBA (Administrateur de base de données) et analystes programmeurs. SAP reste stable mais n'arrive qu'à la 3e position des demandes, après plusieurs semaines sur les deux plus hautes marches du podium. Les demandes en spécialistes de .Net ont également augmenté, marquant ainsi le retour des professionnels des environnements Microsoft, alors que le marché était plutôt fluide jusqu'à présent, les compétences Microsoft étant de loin les plus proposées par les freelances. Freelance.com relève parallèlement une progression notable des tarifs de prestations pour des profils multi-spécialisés, avec une dominante forte axée sur la programmation et les bases de données. (...)

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