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Architecture logicielle
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(19/11/2007 18:00:38)
Software AG met deux produits en mode maintenance
A l'occasion d'Integration World 2007, le patron de la R&D de la division WebMethods de Software AG, Peter Kürpick, a fait la lumière sur quelques chevauchements de produits, issus de la fusion entre les deux sociétés. Ainsi, Service Orchestrator, l'ESB de Software AG, sera mis en mode maintenance pour cinq ans, et l'éditeur confirme qu'il ne fera plus évoluer le produit. L'enjeu est de taille, raconte-t-il dans une interview publié sur www.lemondeinformatique.fr, car Service Orchestrator est utilisé par une base de plus de 200 clients. Moins problématique, selon lui, est la mise au repos du produit Ajax Web 2.0 de Software AG au profit de celui de WebMethods. Ce produit sera supporté encore cinq ans, lui aussi. Mais ce dernier dispose d'une base installée moindre, l'outil étant sorti très récemment. Dans cette même interview, Peter Kürpick parle également des évolutions de la prochaine plateforme WebMethods. Lire l'interview de Peter Kürpick (...)
(19/11/2007 12:36:20)No comment de Sun et de Google sur la machine virtuelle d'Android
Google et Sun vont-ils s'engager dans une bataille sur la propriété intellectuelle autour de Java ? Google a en effet dévoilé la semaine dernière le kit de développement (SDK) de sa plateforme pour téléphones mobiles Android, qui fait appel à Java, sans pour autant reposer sur la plateforme de Sun. Les développements pour Android se feront bien en Java, mais Google propose en fait sa propre machine virtuelle, Dalvik, pour interpréter le code (après une simple conversion, qui pourra être effectuée à l'aide d'un outil inclus dans le SDK). Ingénieur italien membre des Labs de la fondation Apache, Stefano Mazzocchi a décortiqué l'annonce de Google et conclu que ce dernier cherchait à contourner les droits attachés à JME (Java Micro Edition), la plateforme de Sun pour téléphones mobiles. Les fabricants d'appareils utilisant JME doivent en effet reverser des royalties à Sun. Or, Android serait de son côté distribué sous licence Apache, et donc librement utilisable par les fabricants. On peut y voir un autre intérêt : partant d'une feuille vierge, Google peut concevoir une machine virtuelle optimisée pour les mobiles actuels. Sun et Google ont tous deux refusé, pour l'instant, de s'exprimer publiquement sur cette pomme de discorde. (...)
(16/11/2007 17:55:18)OpenWorld : les premières pièces de Fusion Applications
C'est sur la présentation des trois premiers produits de sa nouvelle génération d'applications, Fusion Applications, que Larry Ellison, PDG d'Oracle, a clos l'édition 2007 de sa conférence utilisateurs OpenWorld (San Francisco, 11-15 novembre). Il s'agit de trois offres destinées aux équipes commerciales : Oracle Sales Prospector, Oracle Sales References et Oracle Sales Tools. Les fonctions qu'elles apportent sont complémentaires aux outils de gestion de la relation client (GRC) qui existent déjà, Siebel CRM notamment. Larry Ellison les qualifie d'outils de GRC de 2ème génération, Salesforce et Siebel constituant la 1ère génération. Oracle Sales Prospector s'appuie sur du datamining pour déterminer quels sont les produits achetés par les clients afin de leur suggérer d'autres achats, en lien avec ceux qu'ils ont déjà faits. Oracle Sales References va servir à déterminer quels clients satisfaits peuvent servir de références à présenter à de nouveaux prospects. Oracle Sales Tools, enfin, s'appuie sur un concept de réseau social pour permettre le partage de présentations commerciales. Ces produits sont attendus pour le premier semestre 2008. Ces trois nouvelles solutions ont vocation à cohabiter avec l'existant, à l'instar de tous les produits à venir dans la gamme Fusion Applications. « Il y aura une longue période de cohabition (entre les anciennes applications et les nouvelles), a rappelé Larry Ellison. On ne peut pas tout changer d'un seul coup en appuyant sur un bouton. Notre priorité n°1 est d'assurer une coexistence harmonieuse et c'est ce que permet l'architecture orientée services adoptée pour Fusion Applications. » La deuxième priorité d'Oracle, d'après Larry Ellison, c'est de livrer des outils procurant aux clients un gain véritablement mesurable (selon leur demande expresse), et la troisième, d'offrir pour chaque nouvelle application le choix entre une installation interne ou un mode « on demand », c'est-à-dire en ligne et immédiatement accessible. On le voit, les toutes premières offres de Fusion Applications apportent des outils supplémentaires. Il ne s'agit pas encore des offres existantes (e-Business Suite, PeopleSoft Enterprise, JD Edwards EnterpriseOne et World) redéveloppées pour l'architecture SOA. Celles-ci arriveront petit à petit, module par module, assure Larry Ellison. Le PDG maintient la date de 2008 pour l'arrivée des premiers éléments revisités à la sauce SOA. (...)
(16/11/2007 16:32:23)Un comité SDO au sein de l'Oasis
SDO dispose désormais de son propre comité au sein de l'Oasis. Les spécifications Service Data Objects visent à donner une vue unifiée, logique, des données, quelles que soient les sources considérées : bases de données relationnelles, fichiers XML, etc. L'organisme de standardisation estime qu'il s'agirait d'une aide appréciable dans la mise en place d'architectures orientées services (SOA). Un modèle de programmation unifié simplifierait en effet énormément la tâche des développeurs. C'est le souhait des promoteurs de SDO : Adobe, BEA Systems, IBM, Progress Software, SAP, et le Français Xcalia. Le comité technique sera affilié à la section 'OASIS Open Composite Services Architecture', qui accueille déjà les comités travaillant sur les spécifications SCA (Service component architecture), un modèle de développement unifié pour des applications conformes aux canons de la SOA. (...)
(16/11/2007 11:20:52)Le premier code source du processeur 4004 redécouvert
Lancé en 1971, le processeur 4004 d'Intel est considéré comme le premier microprocesseur générique. Les équipes d'archéologues de l'informatique de l'Intel Museum viennent de recréer le code source du premier programme jamais implanté dessus : le pilote de la calculatrice Busicom 141-PF. Tenant dans à peine 1 024 octets de mémoire, ce programme permettait non seulement de faire les quatre opérations courantes (addition, soustraction, multiplication et division), mais il gérait également l'affichage du résultat et son impression. La version moderne, à télécharger sur le site du musée, fait pour sa part 230 Ko. Cette différence de poids s'expliquant par la nécessité d'émuler l'environnement de la calculatrice sous Windows XP, et par la documentation sur le code source fournie. (...)
(16/11/2007 10:57:46)Alfresco propose une utilisation professionnelle de Facebook
Alfresco propose ce qu'il nomme « la première application Facebook pour les entreprises ». L'éditeur de logiciel de gestion de contenu Open Source s'appuie sur FBML (Facebook Markup Language), le langage mis à disposition par le réseau social, et sur les API (interfaces de programmation) publiées par Facebook. Les développeurs peuvent en tirer parti, explique Alfresco, pour « partager du contenu sur Facebook, entre clients, partenaires et salariés ». La sécurité est assurée au travers d'une authentification unique. Pour Alfresco, cette intégration avec Facebook est aussi un moyen économique, et dans l'air du temps, de se bâtir une plateforme collaborative reliée à la plateforme de gestion de contenu. L'éditeur cite une étude de McKinsey disant que « 37% des grandes entreprises du secteur informatique interrogées [à l'occasion de cette étude, ndlr] se penchent actuellement sur un projet de ce type ». A l'origine, raconte John Newton, directeur technique d'Alfresco, l'application aurait dû être développée pour MySpace. Puis l'éditeur a pensé que Facebook serait plus attractif pour des utilisateurs professionnels. Certains auraient déjà exprimé leur intérêt. « Pour l'essentiel des organisations qui cherchent à être aussi ouvertes que possible, notamment des communautés religieuses et des administrations. » (...)
(15/11/2007 10:27:06)Un demi-million de bases de données sans protection sur Internet
Près d'un demi-million de serveurs de bases de données Oracle et Microsoft sont laissés sans protection et sont accessibles librement depuis Internet. C'est ce qu'affirme le chercheur en sécurité David Litchfield, éditeur du site Databasesecurity.com, dans la deuxième édition de son étude Database exposure survey qui sera publiée lundi prochain. Le chercheur a scanné de façon aléatoire le port réservé à SQL Server et Oracle de presque un million d'adresses IP. Résultat : 157 SQL Server et 53 bases Oracle trouvées, et donc sans protection. En croisant ces chiffres avec les estimations d'installations, il est parvenu à la conclusion qu'"il y a approximativement 368 000 serveurs Microsoft et 124 000 serveurs Oracle directement accessibles sur Internet". Si on peut s'interroger sur la pertinence de la méthode, David Litchfield, quant à lui, se veut alarmant. Car ces résultats démontrent que le nombre de bases Microsoft et Oracle non protégées va en grandissant. Il y a deux ans, à l'occasion de la première édition de l'étude, il ne recensait alors que 140 000 systèmes Oracle et 210 000 systèmes Microsoft sans protection. L'étude, obtenue en avant-première par nos collaborateurs d'IDG News Service, explique également que les systèmes pointés du doigt reposent sur d'anciennes versions des logiciels, qui pour la plupart n'ont pas été mises à jour, ou pire, ne reçoivent plus de mises à jour de sécurité - le support ayant expiré. 13% des systèmes Oracle en question fonctionnent sur la version 9, ou précédente, de la base de données, "reconnue pour être vulnérable". 82% des systèmes Microsoft fonctionnent sous SQL Server 2000 et pour la moitié d'entre eux, sans le Service Pack 1 d'installé. Ce qui, selon David Litchfield, laisse le champ libre à des exploits majeurs pourtant très médiatisés, comme le ver Slammer. Cette année, les bases MySQL ne font pas partie du périmètre. Dans la version précédente de l'étude, David Litchfield en avait trouvé pourtant une proportion importante. Il écrivait d'ailleurs : « Il y a davantage de serveurs MySQl exposés que je n'aurais cru et, comme pour SQL Server et Oracle, la plupart des systèmes trouvés faisaient tourner d'anciennes versions, non patchées ». (...)
(14/11/2007 09:57:47)OpenWorld : Oracle brandit Fusion Middleware 11g
Au deuxième jour d'OpenWorld (11-15 novembre, San Francisco), Oracle a fait le point sur Fusion Middleware 11g, prochaine évolution de sa gamme d'outils intégrés permettant de développer et déployer des applications sécurisées dans une architecture orientée services, en tirant parti des fonctions de collaboration Web 2.0 et des technologies de grid computing. Rappelons que Fusion Middleware rassemble le serveur d'application d'Oracle, son portail, ses solutions décisionnelles et ses outils de gestion de contenus et des identités. Fusion Middleware comprend aussi une suite de composants SOA : l'environnement de développement Java Jdeveloper, des outils pour définir et orchestrer les processus métiers (Business Rules, BPEL PM), pour superviser les activités métiers (BAM) et orchestrer services Web et interactions entre les applications (Web services manager), ainsi qu'un bus de service (ESB). Actuellement testées auprès de certains clients, les nouvelles versions de ces produits seront livrées en bêta à la mi-décembre. L'éditeur, qui dit enregistrer une nette progression sur les ventes de sa gamme Fusion Middleware, a fait une démonstration de force sur OpenWorld en soulignant les atouts de ses produits face à la concurrence. Il y a quelques semaines, il était pourtant tout disposé à racheter BEA Systems, l'un de ses principaux concurrents dans ce domaine, avec le serveur d'application WebLogic et la gamme de développement d'applications SOA Aqualogic. Vers l'intégration de données décisionnelles Thomas Kurian, senior vice-président d'Oracle pour les technologies serveurs, a rappelé les avancées récentes et à venir d'Oracle Fusion Middleware. Parmi celles-ci, un runtime compatible JEE 5 pour le serveur d'application, un bus de service basé sur les standards SCA (service component architecture), l'utilisation du mode ELT (extraction, chargement, transformation des données) pour intégrer les données décisionnelles, de nouveaux tableaux de bord interactifs, une meilleure intégration avec Excel, ou encore l'utilisation de Webcenter pour créer des environnements de travail dynamiques permettant d'exploiter les fonctions Web 2.0. Dans l'offre de gestion de contenus, acquise avec le rachat de Stellent, les versions 3 d'Imaging and process management 10g (intégration des images dans les processus documentaires) et d'Information rights management (sécurisation et traçabilité des documents) sont désormais disponibles. La première permet de disposer une interface web personnalisable et de fonctions optimisées de load balancing. La seconde inclut une nouvelle API web services mise à jour pour supporter le placement de filigranes dans les fichiers PDF, ainsi que l'encryptage AES 256 bit. Oracle a également ajouté des outils de diagnostic et des fonctions analytiques à sa solution de respect des procédures, Fusion Governance Risk and Compliance Intelligence. Ils permettront aux dirigeants de constituer rapports et tableaux de bord pour mieux identifier les risques. (...)
(13/11/2007 17:09:55)Integration World 2007 : quelques évolutions stratégiques de la plateforme SOA de WebMethods
A l'occasion d'Integration World 2007, Subbash Ramachadran, directeur de la ligne ESB et intégration de Software AG, et Jignesh Shah, directeur marketing de l'Allemand, ont levé le voile sur les évolutions possibles de la plateforme SOA WebMethods. La valeur d'usage et facilité d'utilisation ("usability" en VO) sera ainsi une des priorités. "Il ne s'agit pas uniquement de rassembler les composants pour les faire fonctionner, mais également du degré de facilité que je possède pour construire quelque chose en production", commente Subbash Ramachadran. Un des leviers peut alors venir d'une meilleure "collaboration entre architecte et développeurs pour construire des services efficaces à valeur ajoutée", ajoute Jignesh Shah. Subbash Ramachadran a ensuite expliqué que d'un point de vue technologique, la plateforme était en ligne notamment en termes de standards, mais l'un des enjeux est "de la faire évoluer vers tout ce dont les utilisateurs ont besoin". Parmi les demandes des utilisateurs, Jignesh Shah pointe notamment la possibilité de rendre les choses plus faciles à déployer et plus de visibilité sur la méthodologie de management, comme la gouvernance SOA. "La véritable raison de ce besoin est qu'ils veulent de mieux en mieux collaborer". Une des requêtes d'utilisateurs est également un désir d'ouverture des composants de la suite à d'autres environnements applicatifs. Et Subbash Ramachadran de citer notamment l'exemple de composants de SAP. Une idée que reprend Jignesh Shah en expliquant prévoir d'ici deux à trois ans une demande quant à la capacité à mieux fédérer. Un point actuellement étudié par le groupe. Les deux spécialistes ont enfin mis en avant les éléments qui différencient l'approche WebMethods de ses concurrents : tandis que Jignesh Shah mise quant à lui sur une "synergie et une complémentarité au sein du portefeuille", de la qualité de l'ESB et de Centrasite (gouvernance SOA), Subbash Ramachadran souligne le côté "standalone" de la plateforme et l'architecture globale qui restera - après le rachat de Software AG - un exemple de stabilité et de fiabilité, notamment dans les secteurs critiques (comme la banque). (...)
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